Il faut comprendre que les golems qui aimaient gainsbourg l'aimaient avant tout par snobisme, par prétention.
C'est moche, donc aimer ça est contre-nature, donc ça rend intéressant d'aimer ça.
C'est provocateur, mais aimer être provoqué aide à singer l'assurance, alors on se rend intéressant en acceptant ça.
C'était encore la fin de l'éopque des boomers, et les boomers sont des monstres de vanité et de narcissisme. Et les générations suivantes ont été éduquées par leurs valeurs. L'approche marketing derrière Gainsbourg c'était l'approche Abercrombie, on provoque, on insinue, on teste, le golem aime ça, c'est son petit jeu, essayer de garder la face.
Je me souviens quand j'étais au collège, je disais que j'aimais pas une prof car elle l'ouvrait trop. Mon frère me disait que lui il l'aimait bien justement parce qu'elle l'ouvrait. Alors au final c'était une femme normale et pas méchante, juste un peu excessive mais moi je me suis dit "ah ouais en fait il a raison ça doit être parce qu'elle est plus intelligente qu'elle est chiante".
Et j'ai mis des année à comprendre qu'en fait c'est juste que les golems aimaient se prendre la tête, jouer avec les limites, se quereller et qu'il n'y avait pas d'intelligence derrière, juste des dynamiques de narcissisme...
Gainsbourg, outre le fait qu'il sot tout simplement un juif pistonné, a réussi à se faire aimer en vendant au goy une forme de maltraitance mentale qu'il est obligé de prétendre aimer pour ne pas passer pour une victime.
Quand je parlais encore à mon entourage moins proche je discernais clairement ce caractère femelle et gauchiste dans ces générations, ce besoin de subversion, de complexité superflue. Ils avaient besoin de sale, de laid. De réparties cinglantes, de conflits gratuits ...
Je suis Seugondaire.
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