Ce sujet a été résolu
Voici la sweet les kheys.
L'odeur s'est apaisé et les esprits aussi dans la bagnole.
Il ne reste qu'une faible persistance d'œuf trop cuit qui a du sûrement s'imprégner dans les fibres des tissus.
Tout le monde a compris que le coupable de ne se dénoncérais jamais et donc le sujet n'a même pas été abordé.
Les comparses de voyage retourne à leur train train de route.
Je vois par contre mon voisin de droite qui a mal vécu les effluves coriaces se concentrer de plus en plus sur son point de vue pour sûrement calmer ses nausées ...
Le silence absolu règne, seul son reste les grandes gueule qui passe à la radio.
A l'intérieur, ça travaille, je le sent de plus en plus ...
Je vais pas mentir, je sais que ça va se reproduire et j'ai déjà honte de moi ...
J'ai aussi cette peur et cette panique grandissante à l'idée que on a même pas fait la moitié de la route et que une diahrée fulgurante dans cette voiture fera de cette journée, la pire de ma vie.
J'ai les mains moites, des sueurs froides dans le bas du cou ...
Est-ce que des pets, ou le pire reste à venir ...
Les km passent et défilent, j'imagine l'hypothèse d'une pause sur une aire d'autoroute pour me purger de toute cette sale disgrace qui ere en moi mais le conducteur ne propose rien et je sais que personne d'autre ne le fera, par peur d'être rendu coupable de cette attaque nucléaire par simple déduction.
Les contractions se rapprochent, cette chaleur brûlante refait apparition, ce n'est qu'une question de minute.
Étant au courant des dégâts potentiels que ça peut causer cette fois ci, je peux préparer mon plan pendant les dizaines de secondes qu'il me reste avant la prochaine hécatombe.
Devrais je réitérer le transfert de flux vers l'avant du véhicule, simple, connu et sans bavure ...
Ou peut être diriger cette mortelle vers mon voisin de droite ? ...
Le fait que tout le monde a vu qu'il était patraque en fait un suspect de choix, de plus, il m'a voler ma place, je trouve ça normal qu'il prenne cette responsabilité.
Non putain je peux pas faire ça, il est malade en voiture, ça serait vraiment une puterie de lui faire ça ...
Ou peut être un mouvement subtil de bassin sur 360 degrés pour anihiler complètement tout les angles pour brouiller les pistes ...
Vous auriez fait quoi les kheys ?
Suite à la demande
L'odeur s'est apaisé et les esprits aussi dans la bagnole.
Il ne reste qu'une faible persistance d'œuf trop cuit qui a du sûrement s'imprégner dans les fibres des tissus.
Tout le monde a compris que le coupable de ne se dénoncérais jamais et donc le sujet n'a même pas été abordé.
Les comparses de voyage retourne à leur train train de route.
Je vois par contre mon voisin de droite qui a mal vécu les effluves coriaces se concentrer de plus en plus sur son point de vue pour sûrement calmer ses nausées ...
Le silence absolu règne, seul son reste les grandes gueule qui passe à la radio.
A l'intérieur, ça travaille, je le sent de plus en plus ...
Je vais pas mentir, je sais que ça va se reproduire et j'ai déjà honte de moi ...
J'ai aussi cette peur et cette panique grandissante à l'idée que on a même pas fait la moitié de la route et que une diahrée fulgurante dans cette voiture fera de cette journée, la pire de ma vie.
J'ai les mains moites, des sueurs froides dans le bas du cou ...
Est-ce que des pets, ou le pire reste à venir ...
Les km passent et défilent, j'imagine l'hypothèse d'une pause sur une aire d'autoroute pour me purger de toute cette sale disgrace qui ere en moi mais le conducteur ne propose rien et je sais que personne d'autre ne le fera, par peur d'être rendu coupable de cette attaque nucléaire par simple déduction.
Les contractions se rapprochent, cette chaleur brûlante refait apparition, ce n'est qu'une question de minute.
Étant au courant des dégâts potentiels que ça peut causer cette fois ci, je peux préparer mon plan pendant les dizaines de secondes qu'il me reste avant la prochaine hécatombe.
Devrais je réitérer le transfert de flux vers l'avant du véhicule, simple, connu et sans bavure ...
Ou peut être diriger cette mortelle vers mon voisin de droite ? ...
Le fait que tout le monde a vu qu'il était patraque en fait un suspect de choix, de plus, il m'a voler ma place, je trouve ça normal qu'il prenne cette responsabilité.
Non putain je peux pas faire ça, il est malade en voiture, ça serait vraiment une puterie de lui faire ça ...
Ou peut être un mouvement subtil de bassin sur 360 degrés pour anihiler complètement tout les angles pour brouiller les pistes ...
Vous auriez fait quoi les kheys ?
Suite à la demande
Chui pas ton pote mon pote !
il y a 7 mois
Kasane
7 mois
Ayaaaaaa perso j'adore faire ça lâché une ruine en soufflé et profité du spectacle
Chui pas ton pote mon pote !
il y a 7 mois
Cuissage
7 mois
Aujourd'hui les kheys, petite histoire qui m'est arrivé ya quelques années.
Un jour de décembre glacial, je devais monter dans les hauts de France pour les fêtes mais j'avais pas de pneu neige et flemme de faire 15h de route.
Je prend donc un blablacar.
La veille de partir je fait un bon gueuleton avec quelques amis et je me prend une petite cuite, rien de bien méchant.
Le lendemain, un peu retourné, courbaturé et les yeux en trou de pine, je me poste devant un mcdo à 6h du mat.
Bordel à l'arrivée du véhicule sur le lieu de recup, j'ai tout de suite compris la galère que ça serait.
206 rouge pétante minuscule avec à son bord déjà 3 passagers ...
Je dit bonjour et j'analyse mon environnement et ses occupants.
Le conducteur, un jeune d'environ 25 ans.
La passagère droite, une femme de 40 ans madame tout le monde
et a côté de moi, un Jean randonneur de 40 ans tout habillé en queshua hiver.
Au bout de 30 min de route on récupère un 5eme laron, un mec de la 30 aine propre sur lui.
Le gars me demande si je peux passer au milieu car il faut qu'il regarde l'horizon à la fenêtre pour pas être malade.
Je regarde la minuscule place qu'il me demande de prendre, je soupirs mais je me dit que c'est mieux que d'être peinturé de vomis pendant le voyage...
Si il ment, c'est bien joué de sa part et c'est de bonne guerre ...
J'accepte.
Au bout de 2h de route, je commence à avoir des mals de ventre de plus en plus aiguës.
Vous voyez ce genre de mal de ventre profond qui dirige la macération de plein d'alcool différentes et d'esalope milanaise d'un mauvais restaurant italien.
Cette sensation qu'a chaque pique de douleur, du méthane condensé brulant se déplace en direction du bas vers votre troufignar.
Je n'esquisse aucune gêne, je reste tel une gargouille, écoutant ma musique.
On est sur l'autoroute bloqué à 130 quand le 1er drame se produisit.
Je sentais que ça toquait à la porte, je ne pouvais rien y faire, il fallait que ça sorte.
Je décalais donc discrètement mon toubal sur le devant du véhicule ...
Je priais intérieurement que ça ne sorte pas une foireuse ou pire, que mon toubale ne soit pas assez décaler du plat du siège et que ça fasse un pet plaqué ultra bruillant.
Mon fiak en forme de ọ , je réussis à délivrer ce gaz brûlant sans un bruit, cela dura bien 7 ou 8 secondes.
Puis le calme avant la tempête, je sais ce qui se trame, eux pas encore ...
Une odeur Pestilancielle, je dit bien nauséabonde au level max de la puanteur hors cadaverique s'est propagé et empris de toute la bagnole, moquette, siège et plafond.
Je n'ai moi même jamais sentis une puanteur aussi profonde sortir de moi en 30 ans d'existence.
En cette journée glaciale de décembre, il me semblait même qu'elle accentuais la buée sur les vitre de la voiture ...
Honteux, mais curieux de voir ce qui allait se passer, je garde le silence évidement, hors de question d'avouer.
Les autres le savent également, le 1er qui balance linfo sera le suspect numéro 1...
Ceci dit, 10 secondes se sont écoulées et une réaction se fera fatalement, l'odeur est trop intense ...
C'est la femme d'avant droit qui ouvre le bal avec cette phrase mythique qui restera dans mes souvenirs à jamais.
" Ah putain mais Quesquezé c'todeur ???! "
Et la c'est la délivrance pour tout le monde
" Ah ouais c'est horrible "
" C'EST QUI BORDEL ?!! "
Je me permet un petit " Ça se fait pas sérieux ! "
Le denier a côté de moi pour qui j'ai céder ma place est occupé à avoir des relans contre la vitre.
Le conducteur râle en ouvrant sa vitre, la passagère aussi mais pour nous autres derrière, c'est un modèle de voiture assez vieux avec vitre non baissable à l'arrière.
Le froid très prenant cette journée et le fait detre a 130 fait fermer les vitres très rapidement et un reste d'odeur reste imprégner dans l'habitacle.
L'horreur c'est que ça me relance, la chaleur ardente envahis de nouveau mon bas ventre ...
PARTIE 2 de la page 2
L'odeur s'est apaisé et les esprits aussi dans la bagnole.
Il ne reste qu'une faible persistance d'œuf trop cuit qui a du sûrement s'imprégner dans les fibres des tissus.
Tout le monde a compris que le coupable de ne se dénoncérais jamais et donc le sujet n'a même pas été abordé.
Les comparses de voyage retourne à leur train train de route.
Je vois par contre mon voisin de droite qui a mal vécu les effluves coriaces se concentrer de plus en plus sur son point de vue pour sûrement calmer ses nausées ...
Le silence absolu règne, seul son reste les grandes gueule qui passe à la radio.
A l'intérieur, ça travaille, je le sent de plus en plus ...
Je vais pas mentir, je sais que ça va se reproduire et j'ai déjà honte de moi ...
J'ai aussi cette peur et cette panique grandissante à l'idée que on a même pas fait la moitié de la route et que une diahrée fulgurante dans cette voiture fera de cette journée, la pire de ma vie.
J'ai les mains moites, des sueurs froides dans le bas du cou ...
Est-ce que des pets, ou le pire reste à venir ...
Les km passent et défilent, j'imagine l'hypothèse d'une pause sur une aire d'autoroute pour me purger de toute cette sale disgrace qui ere en moi mais le conducteur ne propose rien et je sais que personne d'autre ne le fera, par peur d'être rendu coupable de cette attaque nucléaire par simple déduction.
Les contractions se rapprochent, cette chaleur brûlante refait apparition, ce n'est qu'une question de minute.
Étant au courant des dégâts potentiels que ça peut causer cette fois ci, je peux préparer mon plan pendant les dizaines de secondes qu'il me reste avant la prochaine hécatombe.
Devrais je réitérer le transfert de flux vers l'avant du véhicule, simple, connu et sans bavure ...
Ou peut être diriger cette mortelle vers mon voisin de droite ? ...
Le fait que tout le monde a vu qu'il était patraque en fait un suspect de choix, de plus, il m'a voler ma place, je trouve ça normal qu'il prenne cette responsabilité.
Non putain je peux pas faire ça, il est malade en voiture, ça serait vraiment une puterie de lui faire ça ...
Ou peut être un mouvement subtil de bassin sur 360 degrés pour anihiler complètement tout les angles pour brouiller les pistes ...
Vous auriez fait quoi les kheys ?
Partie 3 de la page 3
On y est, le point de non retour ...
Mon toubal' est hermétiquement gonflé et bombé sur l'extérieur ...
Je doute ...
Putain non c'est pas le moment de douter !
Cette incertitude me fait bloquer mon flux et je sent que le toz s'accumule au porte de l'enfer.
C'est vraiment l'erreur que j'ai faite ce jour là, bloquer mon cul et pa respiration ...
Par réflexe humain et automatique, je bascule sur la droite, le pauvre homme souffreteu du mal des transports.
Malheureusement, ce rempart de plusieurs secondes a laisser sortir un immonde, mais néanmoins si pure bruit des enfers ...
Je vois instantanément le regard du conducteur dans le rétro intérieur se fixer sur moi ...
D'un instinct primaire et lâche, j'ai immédiatement regarder avec surprise et dégoût le pauvre mec nauséeux.
Le mec de gauche par interprétation de mon regard fit de même.
La femme se retourna violemment et s'aligna aussi également sur nos point de vue.
Le pauvre bougre savait que c'était la fin pour lui, il tenta une défense en disant automatiquement que ce n'était pas lui ...
Trop tard l'ami, en disant cela tu signais ton arrêt de mort ...
Personne ne répondit ...
Il me regardait dans les yeux et je pouvais y lire :
"Putain d'enculé tu m'a bien niqué, mais bien joué tout de même"
Tout ça se passait très vite mais au bout de 30 secondes, rebelotte ...
La sainte odeur refit son apparition en version un peu plus soft.
Le conducteur, agacé à lancé :
"Bon allez ce n'est plus possible, on va s'arrêter ça fera du bien à tout le monde"
Le pauvre mec était abattu, les mains entre ses jambes, la tête à l'horizon.
Perso je regardais devant moi mais je le guettait du coin de l'œil, hors de question d'interagir visuellement avec lui après ce qu'il s'était passé.
L'arrêt se fit 3 ou 4 km après l'annonce.
Je prit soin de ne pas me précipiter genre :
" Qui moi ?! Non perso pas besoin d'aller au toilette ... "
Mon plan finement orchestré prit tout son génie quand le pauvre gars de droite, sortit brusquement de la voiture, fit quelques pas sur le devant de la voiture et se mit à poser un ENORME renard, juste devant nous, qui avions nos yeux braqués sur lui ...
Femme :" Rha c'est horrible ça "
Passager arriere guauche : " Franchement quand on est malade, on prend pas la route avec des inconnus "
Moi : " Vaut mieux dehors que dedans "
Le conducteur restait silencieux en me regardant avec insistance dans le rétro ...
A til vu clair dans mon manège ? ...
Je suis sortis avec mon fion en feu en prenant le temps de me m'etirer pour plus de crédibilité.
"Bon ben je vais me chercher un truc à boire"
Bordel a peine sortit de leur champs de vision, je courais aux chiottards !!!
Pas de surprises, le calbard plein de merde...
Je me vidais intégralement en pleurant de douleur, assis sur le chiotte, en regardant mon calebard souillé dans la corbeille à papier.
Je retournais au véhicule serein, soigné et propre, sans calbard ... mais avec mon honneur sauf ...
Seul le conducteur sait la vérité à mon avis.
Les autres resterons dans l'ignorance éternelle et continueront à salir ce pauvre homme en racontant cette histoire à chaque Noël en famille.
Le pauvre bougre saura à tout jamais que je possède son âme et qu'il ère depuis ce jour dans mon jardin damné en tant qu'esclave.
Tu restera dans mes pensée David M
Un jour de décembre glacial, je devais monter dans les hauts de France pour les fêtes mais j'avais pas de pneu neige et flemme de faire 15h de route.
Je prend donc un blablacar.
La veille de partir je fait un bon gueuleton avec quelques amis et je me prend une petite cuite, rien de bien méchant.
Le lendemain, un peu retourné, courbaturé et les yeux en trou de pine, je me poste devant un mcdo à 6h du mat.
Bordel à l'arrivée du véhicule sur le lieu de recup, j'ai tout de suite compris la galère que ça serait.
206 rouge pétante minuscule avec à son bord déjà 3 passagers ...
Je dit bonjour et j'analyse mon environnement et ses occupants.
Le conducteur, un jeune d'environ 25 ans.
La passagère droite, une femme de 40 ans madame tout le monde
et a côté de moi, un Jean randonneur de 40 ans tout habillé en queshua hiver.
Au bout de 30 min de route on récupère un 5eme laron, un mec de la 30 aine propre sur lui.
Le gars me demande si je peux passer au milieu car il faut qu'il regarde l'horizon à la fenêtre pour pas être malade.
Je regarde la minuscule place qu'il me demande de prendre, je soupirs mais je me dit que c'est mieux que d'être peinturé de vomis pendant le voyage...
Si il ment, c'est bien joué de sa part et c'est de bonne guerre ...
J'accepte.
Au bout de 2h de route, je commence à avoir des mals de ventre de plus en plus aiguës.
Vous voyez ce genre de mal de ventre profond qui dirige la macération de plein d'alcool différentes et d'esalope milanaise d'un mauvais restaurant italien.
Cette sensation qu'a chaque pique de douleur, du méthane condensé brulant se déplace en direction du bas vers votre troufignar.
Je n'esquisse aucune gêne, je reste tel une gargouille, écoutant ma musique.
On est sur l'autoroute bloqué à 130 quand le 1er drame se produisit.
Je sentais que ça toquait à la porte, je ne pouvais rien y faire, il fallait que ça sorte.
Je décalais donc discrètement mon toubal sur le devant du véhicule ...
Je priais intérieurement que ça ne sorte pas une foireuse ou pire, que mon toubale ne soit pas assez décaler du plat du siège et que ça fasse un pet plaqué ultra bruillant.
Mon fiak en forme de ọ , je réussis à délivrer ce gaz brûlant sans un bruit, cela dura bien 7 ou 8 secondes.
Puis le calme avant la tempête, je sais ce qui se trame, eux pas encore ...
Une odeur Pestilancielle, je dit bien nauséabonde au level max de la puanteur hors cadaverique s'est propagé et empris de toute la bagnole, moquette, siège et plafond.
Je n'ai moi même jamais sentis une puanteur aussi profonde sortir de moi en 30 ans d'existence.
En cette journée glaciale de décembre, il me semblait même qu'elle accentuais la buée sur les vitre de la voiture ...
Honteux, mais curieux de voir ce qui allait se passer, je garde le silence évidement, hors de question d'avouer.
Les autres le savent également, le 1er qui balance linfo sera le suspect numéro 1...
Ceci dit, 10 secondes se sont écoulées et une réaction se fera fatalement, l'odeur est trop intense ...
C'est la femme d'avant droit qui ouvre le bal avec cette phrase mythique qui restera dans mes souvenirs à jamais.
" Ah putain mais Quesquezé c'todeur ???! "
Et la c'est la délivrance pour tout le monde
" Ah ouais c'est horrible "
" C'EST QUI BORDEL ?!! "
Je me permet un petit " Ça se fait pas sérieux ! "
Le denier a côté de moi pour qui j'ai céder ma place est occupé à avoir des relans contre la vitre.
Le conducteur râle en ouvrant sa vitre, la passagère aussi mais pour nous autres derrière, c'est un modèle de voiture assez vieux avec vitre non baissable à l'arrière.
Le froid très prenant cette journée et le fait detre a 130 fait fermer les vitres très rapidement et un reste d'odeur reste imprégner dans l'habitacle.
L'horreur c'est que ça me relance, la chaleur ardente envahis de nouveau mon bas ventre ...
PARTIE 2 de la page 2
L'odeur s'est apaisé et les esprits aussi dans la bagnole.
Il ne reste qu'une faible persistance d'œuf trop cuit qui a du sûrement s'imprégner dans les fibres des tissus.
Tout le monde a compris que le coupable de ne se dénoncérais jamais et donc le sujet n'a même pas été abordé.
Les comparses de voyage retourne à leur train train de route.
Je vois par contre mon voisin de droite qui a mal vécu les effluves coriaces se concentrer de plus en plus sur son point de vue pour sûrement calmer ses nausées ...
Le silence absolu règne, seul son reste les grandes gueule qui passe à la radio.
A l'intérieur, ça travaille, je le sent de plus en plus ...
Je vais pas mentir, je sais que ça va se reproduire et j'ai déjà honte de moi ...
J'ai aussi cette peur et cette panique grandissante à l'idée que on a même pas fait la moitié de la route et que une diahrée fulgurante dans cette voiture fera de cette journée, la pire de ma vie.
J'ai les mains moites, des sueurs froides dans le bas du cou ...
Est-ce que des pets, ou le pire reste à venir ...
Les km passent et défilent, j'imagine l'hypothèse d'une pause sur une aire d'autoroute pour me purger de toute cette sale disgrace qui ere en moi mais le conducteur ne propose rien et je sais que personne d'autre ne le fera, par peur d'être rendu coupable de cette attaque nucléaire par simple déduction.
Les contractions se rapprochent, cette chaleur brûlante refait apparition, ce n'est qu'une question de minute.
Étant au courant des dégâts potentiels que ça peut causer cette fois ci, je peux préparer mon plan pendant les dizaines de secondes qu'il me reste avant la prochaine hécatombe.
Devrais je réitérer le transfert de flux vers l'avant du véhicule, simple, connu et sans bavure ...
Ou peut être diriger cette mortelle vers mon voisin de droite ? ...
Le fait que tout le monde a vu qu'il était patraque en fait un suspect de choix, de plus, il m'a voler ma place, je trouve ça normal qu'il prenne cette responsabilité.
Non putain je peux pas faire ça, il est malade en voiture, ça serait vraiment une puterie de lui faire ça ...
Ou peut être un mouvement subtil de bassin sur 360 degrés pour anihiler complètement tout les angles pour brouiller les pistes ...
Vous auriez fait quoi les kheys ?
Partie 3 de la page 3
On y est, le point de non retour ...
Mon toubal' est hermétiquement gonflé et bombé sur l'extérieur ...
Je doute ...
Putain non c'est pas le moment de douter !
Cette incertitude me fait bloquer mon flux et je sent que le toz s'accumule au porte de l'enfer.
C'est vraiment l'erreur que j'ai faite ce jour là, bloquer mon cul et pa respiration ...
Par réflexe humain et automatique, je bascule sur la droite, le pauvre homme souffreteu du mal des transports.
Malheureusement, ce rempart de plusieurs secondes a laisser sortir un immonde, mais néanmoins si pure bruit des enfers ...
Je vois instantanément le regard du conducteur dans le rétro intérieur se fixer sur moi ...
D'un instinct primaire et lâche, j'ai immédiatement regarder avec surprise et dégoût le pauvre mec nauséeux.
Le mec de gauche par interprétation de mon regard fit de même.
La femme se retourna violemment et s'aligna aussi également sur nos point de vue.
Le pauvre bougre savait que c'était la fin pour lui, il tenta une défense en disant automatiquement que ce n'était pas lui ...
Trop tard l'ami, en disant cela tu signais ton arrêt de mort ...
Personne ne répondit ...
Il me regardait dans les yeux et je pouvais y lire :
"Putain d'enculé tu m'a bien niqué, mais bien joué tout de même"
Tout ça se passait très vite mais au bout de 30 secondes, rebelotte ...
La sainte odeur refit son apparition en version un peu plus soft.
Le conducteur, agacé à lancé :
"Bon allez ce n'est plus possible, on va s'arrêter ça fera du bien à tout le monde"
Le pauvre mec était abattu, les mains entre ses jambes, la tête à l'horizon.
Perso je regardais devant moi mais je le guettait du coin de l'œil, hors de question d'interagir visuellement avec lui après ce qu'il s'était passé.
L'arrêt se fit 3 ou 4 km après l'annonce.
Je prit soin de ne pas me précipiter genre :
" Qui moi ?! Non perso pas besoin d'aller au toilette ... "
Mon plan finement orchestré prit tout son génie quand le pauvre gars de droite, sortit brusquement de la voiture, fit quelques pas sur le devant de la voiture et se mit à poser un ENORME renard, juste devant nous, qui avions nos yeux braqués sur lui ...
Femme :" Rha c'est horrible ça "
Passager arriere guauche : " Franchement quand on est malade, on prend pas la route avec des inconnus "
Moi : " Vaut mieux dehors que dedans "
Le conducteur restait silencieux en me regardant avec insistance dans le rétro ...
A til vu clair dans mon manège ? ...
Je suis sortis avec mon fion en feu en prenant le temps de me m'etirer pour plus de crédibilité.
"Bon ben je vais me chercher un truc à boire"
Bordel a peine sortit de leur champs de vision, je courais aux chiottards !!!
Pas de surprises, le calbard plein de merde...
Je me vidais intégralement en pleurant de douleur, assis sur le chiotte, en regardant mon calebard souillé dans la corbeille à papier.
Je retournais au véhicule serein, soigné et propre, sans calbard ... mais avec mon honneur sauf ...
Seul le conducteur sait la vérité à mon avis.
Les autres resterons dans l'ignorance éternelle et continueront à salir ce pauvre homme en racontant cette histoire à chaque Noël en famille.
Le pauvre bougre saura à tout jamais que je possède son âme et qu'il ère depuis ce jour dans mon jardin damné en tant qu'esclave.
Tu restera dans mes pensée David M
Bordel j'ai éclaté de rire et ça m'a rappelé des pets infects que je lachais au taff parfois
il y a 7 mois
Bordel j'ai éclaté de rire et ça m'a rappelé des pets infects que je lachais au taff parfois
Une odeur khey .... histoire nofake j'ai rarement sentis ça
Chui pas ton pote mon pote !
il y a 7 mois
Une odeur khey .... histoire nofake j'ai rarement sentis ça
Ayaaaaa bordel
je me suis fait engueuler par ma femme car je riais comme une baleine alors que je dois installer la douche
Belgo-chasseur.
il y a 7 mois
Une odeur khey .... histoire nofake j'ai rarement sentis ça
Moi une fois au taff j'en ai lâché un. Tu sais ceux bien chauds qui limite te crament le trou d'balle
Sauf que j'étais en mouvement donc je pars vers les frigo de stockage. Et là j'entends un collègue qui gueule "Bordel qui a pété. C'est une infection
Il en a même eu des hauts le cœur et a vraiment été à deux doigts de vomir. Et tous les clients qui arrivaient faisaient demi tour le temps que l'odeur se barre
Sauf que j'étais en mouvement donc je pars vers les frigo de stockage. Et là j'entends un collègue qui gueule "Bordel qui a pété. C'est une infection
Il en a même eu des hauts le cœur et a vraiment été à deux doigts de vomir. Et tous les clients qui arrivaient faisaient demi tour le temps que l'odeur se barre
il y a 7 mois
Moi une fois au taff j'en ai lâché un. Tu sais ceux bien chauds qui limite te crament le trou d'balle
Sauf que j'étais en mouvement donc je pars vers les frigo de stockage. Et là j'entends un collègue qui gueule "Bordel qui a pété. C'est une infection
Il en a même eu des hauts le cœur et a vraiment été à deux doigts de vomir. Et tous les clients qui arrivaient faisaient demi tour le temps que l'odeur se barre
Sauf que j'étais en mouvement donc je pars vers les frigo de stockage. Et là j'entends un collègue qui gueule "Bordel qui a pété. C'est une infection
Il en a même eu des hauts le cœur et a vraiment été à deux doigts de vomir. Et tous les clients qui arrivaient faisaient demi tour le temps que l'odeur se barre
Au taff les pets assassins c'est les pire
Chui pas ton pote mon pote !
il y a 7 mois
Au taff les pets assassins c'est les pire
il y a 7 mois
J'ai éclaté de rire
Quelle plume !
La suite putain
Quelle plume !
La suite putain
T'as des idées noires keyou ? Plutôt que de faire une connerie, passes discuter en MP.
il y a 7 mois
Johndoe2424
7 mois
J'ai éclaté de rire
Quelle plume !
La suite putain
Quelle plume !
La suite putain
Je l'écrit quand j'ai 5 min khey, content que ça te fasse marré
Chui pas ton pote mon pote !
il y a 7 mois
Je l'écrit quand j'ai 5 min khey, content que ça te fasse marré
C'est le cas, hâte de lire la suite.
J'imagine que le malade qui regarde le paysage va prendre tarifs
J'imagine que le malade qui regarde le paysage va prendre tarifs
T'as des idées noires keyou ? Plutôt que de faire une connerie, passes discuter en MP.
il y a 7 mois