L'enculade MONUMENTALE du système SOCIAL Français

Même sans les retraites.

La France était un pays sain et puissant encore dans les années 60. Sans dette, sans déficit.

Des matières premières, une agriculture riche, diversifiée, de qualité, des espaces ruraux entretenus, des industries de transformatin, de produits finis, des filières métalurgiques, chimiques, électroniques, plastique, des bars, brasseries, restaurants à chaque coin de rue, des fabricants de chaussures, de vêtements, une électricité fiable et peu chère, des services publics omniprésents et de qualité...

Tout, absolument tout a été vendu, bradé, cassé, dilapidé, un trou de 3300 milliards d'euros de dette a été créé par les diverses mafias qui se sont succédé.

Les boomers sont très peu responsables, ils avaient aussi peu de pouvoir que vous de changer les choses, si on se révoltait, on était brisés, condamnés, emprisonnés, massacrés.

On en a bavé, beaucoup sont morts bien avant la retraite, et beaucoup y arrivent juste le temps de crever comme des chiens, beaucoup encore avec des pathologies type vertèbres usées, poumons grillés au chimique ou à l'amiante, brisés, usés, handicapés.

Ceux qui ont piqué le pognon, c'est au dessus, les "artistes", les medias, les politiques, les patrons, les syndicats, les associations, les comités bidule, les mafias.

Les budgets, c'est pas les boomers qui les ont fait. Et c'est pas eux qui ont décidé de partir en vacances pour crever sous la torture en Algérie, en Indochine, à l'usine.

Les boomers, c'est comme vous, ils se sont fait casser le cul, sauf que vous, vous y avez pris goût en virant traps.

Même sans les retraites.

La France était un pays sain et puissant encore dans les années 60. Sans dette, sans déficit.

Des matières premières, une agriculture riche, diversifiée, de qualité, des espaces ruraux entretenus, des industries de transformatin, de produits finis, des filières métalurgiques, chimiques, électroniques, plastique, des bars, brasseries, restaurants à chaque coin de rue, des fabricants de chaussures, de vêtements, une électricité fiable et peu chère, des services publics omniprésents et de qualité...

Tout, absolument tout a été vendu, bradé, cassé, dilapidé, un trou de 3300 milliards d'euros de dette a été créé par les diverses mafias qui se sont succédé.

Les boomers sont très peu responsables, ils avaient aussi peu de pouvoir que vous de changer les choses, si on se révoltait, on était brisés, condamnés, emprisonnés, massacrés.

On en a bavé, beaucoup sont morts bien avant la retraite, et beaucoup y arrivent juste le temps de crever comme des chiens, beaucoup encore avec des pathologies type vertèbres usées, poumons grillés au chimique ou à l'amiante, brisés, usés, handicapés.

Ceux qui ont piqué le pognon, c'est au dessus, les "artistes", les medias, les politiques, les patrons, les syndicats, les associations, les comités bidule, les mafias.

Les budgets, c'est pas les boomers qui les ont fait. Et c'est pas eux qui ont décidé de partir en vacances pour crever sous la torture en Algérie, en Indochine, à l'usine.

Les boomers, c'est comme vous, ils se sont fait casser le cul, sauf que vous, vous y avez pris goût en virant traps.

Même sans les retraites.

La France était un pays sain et puissant encore dans les années 60. Sans dette, sans déficit.

Des matières premières, une agriculture riche, diversifiée, de qualité, des espaces ruraux entretenus, des industries de transformatin, de produits finis, des filières métalurgiques, chimiques, électroniques, plastique, des bars, brasseries, restaurants à chaque coin de rue, des fabricants de chaussures, de vêtements, une électricité fiable et peu chère, des services publics omniprésents et de qualité...

Tout, absolument tout a été vendu, bradé, cassé, dilapidé, un trou de 3300 milliards d'euros de dette a été créé par les diverses mafias qui se sont succédé.

Les boomers sont très peu responsables, ils avaient aussi peu de pouvoir que vous de changer les choses, si on se révoltait, on était brisés, condamnés, emprisonnés, massacrés.

On en a bavé, beaucoup sont morts bien avant la retraite, et beaucoup y arrivent juste le temps de crever comme des chiens, beaucoup encore avec des pathologies type vertèbres usées, poumons grillés au chimique ou à l'amiante, brisés, usés, handicapés.

Ceux qui ont piqué le pognon, c'est au dessus, les "artistes", les medias, les politiques, les patrons, les syndicats, les associations, les comités bidule, les mafias.

Les budgets, c'est pas les boomers qui les ont fait. Et c'est pas eux qui ont décidé de partir en vacances pour crever sous la torture en Algérie, en Indochine, à l'usine.

Les boomers, c'est comme vous, ils se sont fait casser le cul, sauf que vous, vous y avez pris goût en virant traps.

Sauve nous Neo

El famosso

Le petit bobo qui part de rien du tout

vous aime trop l'afrique aussi

Sauve nous Neo

Que crois-tu ?

On nous a imposé l'immigration, comme à vous. On nous a culpabilisé pour la dernière guerre, en tant que Français, nous étions tous suspects d'être des collabos, des fachos, des salauds, les camps de concentration, on en mangeait H24, c'était nous, notre faute, les tortures, les morts, le colonialisme, l'esclavage, c'était nous, on était des saluds, et la propagande était partout, BD, littérature, musique, cinéma, politique, on mangeait la guerre, le colonialisme et les camps H 24 7/7, même pour les fêtes.

Vous, vous avez le choix en musique ou art.

Nous, c'était Léo Ferré, Barbara, Reggiani, Moustaki, Brel, que des gens qui puaient la mort et le cancer.

On nous mettait sans cesse le nez dans des œuvres sur les camps de concentration comme on le fait pour les chiots dans leur pisse en nous disant regarde ce que t'as fait là et en nous bastonnant.

J'ai reçu des coups de règle crarée en métal sur le bout des doigts, on m'a soulevé en me tirant l'oreille, vous n'avez pas idée de comment on a pris cher, bordel !

+ fallait dire non

La seule façon de dire non, c'était de crever.

C'est pour ça qu'on a été rebelles, qu'on a sombré dans le rock, la drogue, l'alcool, et que beaucoup sont morts. Parce qu'on refusait.

Il est surprenant que je sois encore vivant, car j'ai réussi à dire non toute ma vie, et que je continue encore. La rage est un sacré moteur. La rébellion, ça conserve. Les lopettes finissent carpettes. Si on survit, on est incontournables.

+ pov merde

Et en prime, il ne reste pas UN pays blanc épargné par la pouillerie raciale

Pour ceux qui sont nés à partir des années 90

Système en décrépitude totale, d'une nullité abyssale, qui privilégie les vieux et les migrants qui monopolisent tout à eux seuls


Mais ce n'est pas ça le pire

Le pire c'est qu'on va cotiser comme des cons pendant des années et un beau jour il vont vraiment tout couper et hop, non seulement on se sera fait taxer la gueule à mort toute notre vie pour rien, mais en prime on auras pas de retraite ni l'argent pour en financer une


La double enculade pour cette génération