Chateaubriand a parfaitement résumé cette dame.
« En recherchant les causes de l’athéisme, on est conduit à cette triste observation, que la plupart de ceux qui se révoltent contre le Ciel ont à se plaindre en quelque chose de la société ou de la nature (excepté toutefois des jeunes gens séduits par le monde, ou des écrivains qui ne veulent faire que du bruit). Mais comment ceux qui sont privés des frivoles avantages que le hasard donne ou ravit dans ses caprices ne savent-ils pas trouver le remède à ce léger malheur en se rapprochant de la Divinité ? [...] Laissons l’athéisme à ceux qui, n’ayant pas assez de noblesse pour s’élever au-dessus des injustices du sort, ne montrent dans leurs blasphèmes que le premier vice de l’homme chatouillé dans sa partie la plus sensible. »