Ce sujet a été résolu
À un moment, j'ai fait part à Kyllian d'une anecdote que j'avais lu il y a un moment via Google Actu. Les personnes qui se supplémentent en vitamines ont une espérance de vie réduite. On pourrait croire que ce sont au contraire les personnes faibles ou malades qui se supplémentent, d'où la surmortalité de la population concernée, c'est à la mode en ce moment de faire le malin comme ça, en montrant qu'on prend en compte un biais connu alors qu'il s'agit encore de sauter sur la première interprétation venue. Je ne crois pas que ce soit ça. Je livrai à Kyllian mon interprétation : si vous prescrivez des apports nutritionnels quelconques à une population, il se trouvera nécessairement des individus à qui cela bénéficiera plus qu'à d'autres. Admettons qu'en moyenne, ce soit véritablement les apports conseillés qui soient les meilleurs, cela ne veut pas du tout dire que le fait pour cette population d'avoir davantage tendance à se régler sur cette valeur aura une tendance générale à en tirer des bienfaits, cela veut seulement dire que toute autre valeur aurait fait plus de dommages collatéraux. À part cela, « la bonne valeur » peut très bien faire une majorité de dommages collatéraux et une minorité - la plus grande minorité possible, certes - de bénéficiaires. Prescrivez cependant la même norme pendant assez longtemps, et vous constaterez qu'une majorité de la population est avantagée si elle absorbe les valeurs prescrites, et désavantagée si les valeurs sont différentes. Vous pourrez alors vous vanter d'avoir toujours eu raison, seulement cela ne tient qu'au fait que lorsque votre norme a été mise en vigueur, la minorité qui se trouvait par hasard se situer dans la moyenne, a été favorisée, les autres sont morts légèrement plus souvent ou beaucoup plus souvent en fonction de leur écart à la moyenne, ou bien ont été défavorisés sur le plan reproductif que ce soit physiologiquement ou bien tout simplement parce que leur état moins vigoureux, leur beauté moindre, les rendaient moins désirables. De la même façon, ne donnez à une population que du carton pour seule nourriture, et vous assisterez sans doute à une hécatombe, mais il y aura peut-être quelques cas, ça et là, qui, de par une constitution très anormale, y trouveront un minimum vital. Revenez cent ans plus tard et il n'y aura plus personne pour prétendre qu'un régime à base de carton n'est pas valable. Kyllian ne pouvait que comprendre ce que je disais, n'étant au fond interné que parce que décendant de déportés tziganes. Toute loi imposée à une population prédéfinie façonne le type biologique de son sujet. Il ne tombe que par hasard que l'on est né pour une certaine loi. On ne devient pas citoyen français, on nait ou pas en tant qu'encouragé dans sa nature par la république que ses fondateurs ont pensée à leur propre convenance, dans l'idée de partager universellement ce dont ils aimaient jouir, certes, et alors ? N'est-ce pas là, précisément, la quintessence du mépris d'autrui ? Rappelons-nous la cigogne et le renard. Moi, vous voyez, je ne suis pas et je ne serai jamais français. En effet, j'ai été deux fois en garde à vue. La France pourrait changer dans tous les sens, elle pourrait ressembler trait pour trait à l'idée que je me fais de la perfection, que ça n'y changerait rien. Tant qu'une chose portera ce nom, elle portera sa dette. Si la France veut gagner mon amnistie, elle devra ployer et proclamer son propre démantèlement. Tous les français qui trouvent la loi bien faite, ou au moins défendable, et considèrent qu'on peut s'y référer simplement comme si cela avait un quelconque poids argumentatif en faveur ou en défaveur de tel ou tel comportement, ne devraient pas dans ce cas-là revendiquer si fièrement d'avoir vaincu deux fois les allemands aux guerres mondiales. L'ennemi a peut-être capitulé au front, mais le français d'avant est immoral à l'aune des critères du français actuel, puisque ce dernier est le produit d'un tri sélectif. Il ne fait pas le moindre doute que l’'ancien français de souche est biologiquement inapte à appliquer la loi du nouveau, enfin du restant si vous préférez, qu'il est en outre, pour son écrasante majorité, malade mental de façon innée et irrémédiable à l'aune de la perception qu'en aurait la plupart des français de souches actuels. D'où vient, par exemple, ce que l'on nomme, sans doute très à propos comme nous l'avons déjà exposé dans l'histoire du mariage, la libération sexuelle ? Elle vient de ce que parmi les français mobilisés aux fronts de 14-18 et 39-45, les bons maris et les bons pères de famille, ceux qui étaient dévastés, bien plus qu'ils ne craignaient pour leur vie, de pouvoir être trompés pendant leur absence, moururent bien plus souvent que ceux qui rêvaient à leur retour. Ils se laissèrent mourir. Ils étaient les plus étrangers à la cause nationale, mais ils étaient une majorité. Ils furent sacrifiés sur l'autel du mythe de l'Espèce, pour laisser place à la race d'échangistes zélée que nous connaissons et qui règne aujourd'hui sur les moeurs sans partage, celle des assoiffés de gloire qui s'en tirèrent parce camaraderie et léchages de culs. Les monuments aux morts sur lesquels leurs noms figurent sont érigés pour symboliser que c'est au nom de leurs propres luttes qu'on est fier d'engrosser leurs veuves chacun son tour dans les villages. En réalité, c'est la « culture Volkisch », ce mouvement nudiste qui constitue l'une des principales origines du nazisme, qui est représentée sous une forme mutante, fêtée aux pieds de ces stèles. C'est au nom des valeurs qu'ont combattu ces montagnes de cadavres plus hautes que des immeubles, marqué du sceau de l'ennemi que l'on prétend perpétuer leur « victoire » en jouissant « du fruit de leurs efforts », de cette « liberté » (cette annexion).
Annuler la victoire culturelle, pour ne pas dire démographique, de l'Allemagne à la seconde guerre mondiale, ce sera d'abord dénazifier la sexualité, en sorte que la sexualité qui caractérise l'être humain (par opposition à l'être amoureux) et qui caractérisera encore une majorité d'ex-humains après la destruction de l'Humanité, devra renoncer à tout prosélytisme. Sous peine d'élimination sauvage. Je plaisante, mais je n'irai pas jusqu'à le déplorer si cela devait se produire indépendamment de ma volonté. En tous les cas, le prosélytisme Volkisch, qui s'accapare aujourd'hui le nom générique de progressisme, rien que ça, recevra la dénomination qu'il mérite, ce qui représentera une condamnation sans ambiguïté, sans incompatibilité avec un dégoût respectueux de l'étranger absolu tant qu'il n'empiète pas au-delà de son droit de regard. Tant qu'il ne parle pas à ce qui ne lui ressemble pas de la façon dont cela se passe quand il est avec ce qui lui ressemble. N'oublions pas que l'idée qu'ils voudraient nous susurrer impunément, c'est qu'abandonner ou trahir quelqu'un qui vous aime, dont vous avez façonné le cœur afin qu'il ne serve qu’à vous, rejouer les deux guerres pour un frisson fugace, tuer encore tous ces morts avec la même obscénité, tout cela est un droit sacré. N'oublions pas que leur plus innocente gaieté, leur plus printanier enjouement, leur plus délicat sourire est un charnier. N'oublions pas que le nôtre aussi, par conséquent gardons-nous bien de jamais être printanier quand notre tour est passé, que nous l'ayons voulu ou non : nous sommes morts, nous restons morts, et toute notre fidélité à nos rêves assassinés est dans ce rester-mort. Le rester-mort, quel nom séant à l'assassiné et au bafoué, ce pourrait être le nom d'une danse que nous donnerions en signe d'inquiétude, de peur panique pour ceux qui ont encore l'espoir de ne jamais l'être. Une danse de chaque seconde, dont certains pas se veillent et d'autres se dorment.
Annuler la victoire culturelle, pour ne pas dire démographique, de l'Allemagne à la seconde guerre mondiale, ce sera d'abord dénazifier la sexualité, en sorte que la sexualité qui caractérise l'être humain (par opposition à l'être amoureux) et qui caractérisera encore une majorité d'ex-humains après la destruction de l'Humanité, devra renoncer à tout prosélytisme. Sous peine d'élimination sauvage. Je plaisante, mais je n'irai pas jusqu'à le déplorer si cela devait se produire indépendamment de ma volonté. En tous les cas, le prosélytisme Volkisch, qui s'accapare aujourd'hui le nom générique de progressisme, rien que ça, recevra la dénomination qu'il mérite, ce qui représentera une condamnation sans ambiguïté, sans incompatibilité avec un dégoût respectueux de l'étranger absolu tant qu'il n'empiète pas au-delà de son droit de regard. Tant qu'il ne parle pas à ce qui ne lui ressemble pas de la façon dont cela se passe quand il est avec ce qui lui ressemble. N'oublions pas que l'idée qu'ils voudraient nous susurrer impunément, c'est qu'abandonner ou trahir quelqu'un qui vous aime, dont vous avez façonné le cœur afin qu'il ne serve qu’à vous, rejouer les deux guerres pour un frisson fugace, tuer encore tous ces morts avec la même obscénité, tout cela est un droit sacré. N'oublions pas que leur plus innocente gaieté, leur plus printanier enjouement, leur plus délicat sourire est un charnier. N'oublions pas que le nôtre aussi, par conséquent gardons-nous bien de jamais être printanier quand notre tour est passé, que nous l'ayons voulu ou non : nous sommes morts, nous restons morts, et toute notre fidélité à nos rêves assassinés est dans ce rester-mort. Le rester-mort, quel nom séant à l'assassiné et au bafoué, ce pourrait être le nom d'une danse que nous donnerions en signe d'inquiétude, de peur panique pour ceux qui ont encore l'espoir de ne jamais l'être. Une danse de chaque seconde, dont certains pas se veillent et d'autres se dorment.
il y a 10 mois
Résumé gptax
Le texte explore l'impact des normes sociales et biologiques sur les individus, critiquant les systèmes imposés par la société qui favorisent certains traits au détriment d'autres. L'auteur remet en question la valeur des prescriptions collectives (comme la citoyenneté ou les vitamines), soulignant que ces normes façonnent la population de manière artificielle. Il dénonce également la transformation des valeurs sociétales, en particulier sur la sexualité, et leur lien avec les conséquences des guerres mondiales, pour critiquer ce qu'il considère comme un déracinement culturel et un "progressisme" dévoyé
Le texte explore l'impact des normes sociales et biologiques sur les individus, critiquant les systèmes imposés par la société qui favorisent certains traits au détriment d'autres. L'auteur remet en question la valeur des prescriptions collectives (comme la citoyenneté ou les vitamines), soulignant que ces normes façonnent la population de manière artificielle. Il dénonce également la transformation des valeurs sociétales, en particulier sur la sexualité, et leur lien avec les conséquences des guerres mondiales, pour critiquer ce qu'il considère comme un déracinement culturel et un "progressisme" dévoyé
il y a 10 mois
Asimplex
10 mois
Résumé gptax
Le texte explore l'impact des normes sociales et biologiques sur les individus, critiquant les systèmes imposés par la société qui favorisent certains traits au détriment d'autres. L'auteur remet en question la valeur des prescriptions collectives (comme la citoyenneté ou les vitamines), soulignant que ces normes façonnent la population de manière artificielle. Il dénonce également la transformation des valeurs sociétales, en particulier sur la sexualité, et leur lien avec les conséquences des guerres mondiales, pour critiquer ce qu'il considère comme un déracinement culturel et un "progressisme" dévoyé
Le texte explore l'impact des normes sociales et biologiques sur les individus, critiquant les systèmes imposés par la société qui favorisent certains traits au détriment d'autres. L'auteur remet en question la valeur des prescriptions collectives (comme la citoyenneté ou les vitamines), soulignant que ces normes façonnent la population de manière artificielle. Il dénonce également la transformation des valeurs sociétales, en particulier sur la sexualité, et leur lien avec les conséquences des guerres mondiales, pour critiquer ce qu'il considère comme un déracinement culturel et un "progressisme" dévoyé
Le résumé est merdiques.
il y a 10 mois
TA GUEULE
Détend toi poto t'as l'air tendu un peu faut pas
Je suis le donut du forum
il y a 10 mois
Détend toi poto t'as l'air tendu un peu faut pas
SUICIDE TOI ORDURE
il y a 10 mois
Le résumé est merdiques.
Et les paragraphes ? C'est en option ?
https://cnews.boats Juif qui parle, bouche qui ment.
il y a 10 mois
Asimplex
10 mois
Résumé gptax
Le texte explore l'impact des normes sociales et biologiques sur les individus, critiquant les systèmes imposés par la société qui favorisent certains traits au détriment d'autres. L'auteur remet en question la valeur des prescriptions collectives (comme la citoyenneté ou les vitamines), soulignant que ces normes façonnent la population de manière artificielle. Il dénonce également la transformation des valeurs sociétales, en particulier sur la sexualité, et leur lien avec les conséquences des guerres mondiales, pour critiquer ce qu'il considère comme un déracinement culturel et un "progressisme" dévoyé
Le texte explore l'impact des normes sociales et biologiques sur les individus, critiquant les systèmes imposés par la société qui favorisent certains traits au détriment d'autres. L'auteur remet en question la valeur des prescriptions collectives (comme la citoyenneté ou les vitamines), soulignant que ces normes façonnent la population de manière artificielle. Il dénonce également la transformation des valeurs sociétales, en particulier sur la sexualité, et leur lien avec les conséquences des guerres mondiales, pour critiquer ce qu'il considère comme un déracinement culturel et un "progressisme" dévoyé
tu peux faire un résumé du résumé stp
nipah ~
il y a 10 mois
Tecktonik
10 mois
À un moment, j'ai fait part à Kyllian d'une anecdote que j'avais lu il y a un moment via Google Actu. Les personnes qui se supplémentent en vitamines ont une espérance de vie réduite. On pourrait croire que ce sont au contraire les personnes faibles ou malades qui se supplémentent, d'où la surmortalité de la population concernée, c'est à la mode en ce moment de faire le malin comme ça, en montrant qu'on prend en compte un biais connu alors qu'il s'agit encore de sauter sur la première interprétation venue. Je ne crois pas que ce soit ça. Je livrai à Kyllian mon interprétation : si vous prescrivez des apports nutritionnels quelconques à une population, il se trouvera nécessairement des individus à qui cela bénéficiera plus qu'à d'autres. Admettons qu'en moyenne, ce soit véritablement les apports conseillés qui soient les meilleurs, cela ne veut pas du tout dire que le fait pour cette population d'avoir davantage tendance à se régler sur cette valeur aura une tendance générale à en tirer des bienfaits, cela veut seulement dire que toute autre valeur aurait fait plus de dommages collatéraux. À part cela, « la bonne valeur » peut très bien faire une majorité de dommages collatéraux et une minorité - la plus grande minorité possible, certes - de bénéficiaires. Prescrivez cependant la même norme pendant assez longtemps, et vous constaterez qu'une majorité de la population est avantagée si elle absorbe les valeurs prescrites, et désavantagée si les valeurs sont différentes. Vous pourrez alors vous vanter d'avoir toujours eu raison, seulement cela ne tient qu'au fait que lorsque votre norme a été mise en vigueur, la minorité qui se trouvait par hasard se situer dans la moyenne, a été favorisée, les autres sont morts légèrement plus souvent ou beaucoup plus souvent en fonction de leur écart à la moyenne, ou bien ont été défavorisés sur le plan reproductif que ce soit physiologiquement ou bien tout simplement parce que leur état moins vigoureux, leur beauté moindre, les rendaient moins désirables. De la même façon, ne donnez à une population que du carton pour seule nourriture, et vous assisterez sans doute à une hécatombe, mais il y aura peut-être quelques cas, ça et là, qui, de par une constitution très anormale, y trouveront un minimum vital. Revenez cent ans plus tard et il n'y aura plus personne pour prétendre qu'un régime à base de carton n'est pas valable. Kyllian ne pouvait que comprendre ce que je disais, n'étant au fond interné que parce que décendant de déportés tziganes. Toute loi imposée à une population prédéfinie façonne le type biologique de son sujet. Il ne tombe que par hasard que l'on est né pour une certaine loi. On ne devient pas citoyen français, on nait ou pas en tant qu'encouragé dans sa nature par la république que ses fondateurs ont pensée à leur propre convenance, dans l'idée de partager universellement ce dont ils aimaient jouir, certes, et alors ? N'est-ce pas là, précisément, la quintessence du mépris d'autrui ? Rappelons-nous la cigogne et le renard. Moi, vous voyez, je ne suis pas et je ne serai jamais français. En effet, j'ai été deux fois en garde à vue. La France pourrait changer dans tous les sens, elle pourrait ressembler trait pour trait à l'idée que je me fais de la perfection, que ça n'y changerait rien. Tant qu'une chose portera ce nom, elle portera sa dette. Si la France veut gagner mon amnistie, elle devra ployer et proclamer son propre démantèlement. Tous les français qui trouvent la loi bien faite, ou au moins défendable, et considèrent qu'on peut s'y référer simplement comme si cela avait un quelconque poids argumentatif en faveur ou en défaveur de tel ou tel comportement, ne devraient pas dans ce cas-là revendiquer si fièrement d'avoir vaincu deux fois les allemands aux guerres mondiales. L'ennemi a peut-être capitulé au front, mais le français d'avant est immoral à l'aune des critères du français actuel, puisque ce dernier est le produit d'un tri sélectif. Il ne fait pas le moindre doute que l’'ancien français de souche est biologiquement inapte à appliquer la loi du nouveau, enfin du restant si vous préférez, qu'il est en outre, pour son écrasante majorité, malade mental de façon innée et irrémédiable à l'aune de la perception qu'en aurait la plupart des français de souches actuels. D'où vient, par exemple, ce que l'on nomme, sans doute très à propos comme nous l'avons déjà exposé dans l'histoire du mariage, la libération sexuelle ? Elle vient de ce que parmi les français mobilisés aux fronts de 14-18 et 39-45, les bons maris et les bons pères de famille, ceux qui étaient dévastés, bien plus qu'ils ne craignaient pour leur vie, de pouvoir être trompés pendant leur absence, moururent bien plus souvent que ceux qui rêvaient à leur retour. Ils se laissèrent mourir. Ils étaient les plus étrangers à la cause nationale, mais ils étaient une majorité. Ils furent sacrifiés sur l'autel du mythe de l'Espèce, pour laisser place à la race d'échangistes zélée que nous connaissons et qui règne aujourd'hui sur les moeurs sans partage, celle des assoiffés de gloire qui s'en tirèrent parce camaraderie et léchages de culs. Les monuments aux morts sur lesquels leurs noms figurent sont érigés pour symboliser que c'est au nom de leurs propres luttes qu'on est fier d'engrosser leurs veuves chacun son tour dans les villages. En réalité, c'est la « culture Volkisch », ce mouvement nudiste qui constitue l'une des principales origines du nazisme, qui est représentée sous une forme mutante, fêtée aux pieds de ces stèles. C'est au nom des valeurs qu'ont combattu ces montagnes de cadavres plus hautes que des immeubles, marqué du sceau de l'ennemi que l'on prétend perpétuer leur « victoire » en jouissant « du fruit de leurs efforts », de cette « liberté » (cette annexion).
Annuler la victoire culturelle, pour ne pas dire démographique, de l'Allemagne à la seconde guerre mondiale, ce sera d'abord dénazifier la sexualité, en sorte que la sexualité qui caractérise l'être humain (par opposition à l'être amoureux) et qui caractérisera encore une majorité d'ex-humains après la destruction de l'Humanité, devra renoncer à tout prosélytisme. Sous peine d'élimination sauvage. Je plaisante, mais je n'irai pas jusqu'à le déplorer si cela devait se produire indépendamment de ma volonté. En tous les cas, le prosélytisme Volkisch, qui s'accapare aujourd'hui le nom générique de progressisme, rien que ça, recevra la dénomination qu'il mérite, ce qui représentera une condamnation sans ambiguïté, sans incompatibilité avec un dégoût respectueux de l'étranger absolu tant qu'il n'empiète pas au-delà de son droit de regard. Tant qu'il ne parle pas à ce qui ne lui ressemble pas de la façon dont cela se passe quand il est avec ce qui lui ressemble. N'oublions pas que l'idée qu'ils voudraient nous susurrer impunément, c'est qu'abandonner ou trahir quelqu'un qui vous aime, dont vous avez façonné le cœur afin qu'il ne serve qu’à vous, rejouer les deux guerres pour un frisson fugace, tuer encore tous ces morts avec la même obscénité, tout cela est un droit sacré. N'oublions pas que leur plus innocente gaieté, leur plus printanier enjouement, leur plus délicat sourire est un charnier. N'oublions pas que le nôtre aussi, par conséquent gardons-nous bien de jamais être printanier quand notre tour est passé, que nous l'ayons voulu ou non : nous sommes morts, nous restons morts, et toute notre fidélité à nos rêves assassinés est dans ce rester-mort. Le rester-mort, quel nom séant à l'assassiné et au bafoué, ce pourrait être le nom d'une danse que nous donnerions en signe d'inquiétude, de peur panique pour ceux qui ont encore l'espoir de ne jamais l'être. Une danse de chaque seconde, dont certains pas se veillent et d'autres se dorment.
Annuler la victoire culturelle, pour ne pas dire démographique, de l'Allemagne à la seconde guerre mondiale, ce sera d'abord dénazifier la sexualité, en sorte que la sexualité qui caractérise l'être humain (par opposition à l'être amoureux) et qui caractérisera encore une majorité d'ex-humains après la destruction de l'Humanité, devra renoncer à tout prosélytisme. Sous peine d'élimination sauvage. Je plaisante, mais je n'irai pas jusqu'à le déplorer si cela devait se produire indépendamment de ma volonté. En tous les cas, le prosélytisme Volkisch, qui s'accapare aujourd'hui le nom générique de progressisme, rien que ça, recevra la dénomination qu'il mérite, ce qui représentera une condamnation sans ambiguïté, sans incompatibilité avec un dégoût respectueux de l'étranger absolu tant qu'il n'empiète pas au-delà de son droit de regard. Tant qu'il ne parle pas à ce qui ne lui ressemble pas de la façon dont cela se passe quand il est avec ce qui lui ressemble. N'oublions pas que l'idée qu'ils voudraient nous susurrer impunément, c'est qu'abandonner ou trahir quelqu'un qui vous aime, dont vous avez façonné le cœur afin qu'il ne serve qu’à vous, rejouer les deux guerres pour un frisson fugace, tuer encore tous ces morts avec la même obscénité, tout cela est un droit sacré. N'oublions pas que leur plus innocente gaieté, leur plus printanier enjouement, leur plus délicat sourire est un charnier. N'oublions pas que le nôtre aussi, par conséquent gardons-nous bien de jamais être printanier quand notre tour est passé, que nous l'ayons voulu ou non : nous sommes morts, nous restons morts, et toute notre fidélité à nos rêves assassinés est dans ce rester-mort. Le rester-mort, quel nom séant à l'assassiné et au bafoué, ce pourrait être le nom d'une danse que nous donnerions en signe d'inquiétude, de peur panique pour ceux qui ont encore l'espoir de ne jamais l'être. Une danse de chaque seconde, dont certains pas se veillent et d'autres se dorment.
Idée principale :
Le texte explore les conséquences sociales, biologiques et culturelles des normes imposées aux populations, qu'elles soient médicales, légales ou idéologiques. Il critique la prétendue neutralité ou universalité de ces normes, en montrant comment elles favorisent certains groupes tout en en marginalisant d'autres, jusqu'à modifier la biologie et les comportements de la population sur le long terme.
Points principaux développés :
Sur la supplémentation en vitamines :
Une interprétation de la réduction de l'espérance de vie des personnes supplémentées.
L'idée que toute norme nutritionnelle ou autre, appliquée à une population, avantage une minorité spécifique tout en créant des "dommages collatéraux" pour les autres.
Influence des lois sur la biologie des populations :
Les lois façonnent les individus qui leur sont soumis, sélectionnant biologiquement ceux qui s'y adaptent le mieux.
Exemple de l’évolution des comportements sociaux, comme le mariage et la sexualité, influencée par des événements historiques (les guerres mondiales).
Critique de la construction identitaire nationale :
La République française est perçue comme imposant des valeurs uniformes, souvent au mépris des diversités individuelles.
Une appartenance nationale est décrite comme un hasard biologique, plutôt qu'un choix.
La guerre et ses impacts culturels :
Les guerres mondiales auraient favorisé certains comportements, comme une sexualité plus libérée, en éliminant ceux attachés à des valeurs plus conservatrices.
Les monuments aux morts sont décrits comme des symboles ironiques d’une victoire culturelle et démographique contraire aux idéaux des soldats tombés.
Réflexion sur la sexualité et le progressisme :
Une critique du prosélytisme "Volkisch", perçu comme une déformation du progressisme.
Une condamnation des idéologies qui sacralisent des comportements destructeurs pour des relations ou des rêves individuels.
Ton et conclusion implicite :
Une vision pessimiste, voire nihiliste, des dynamiques sociales et historiques.
Un appel à la lucidité sur l’impact des normes, sans glorifier ni rejeter totalement l'altérité.
Le texte explore les conséquences sociales, biologiques et culturelles des normes imposées aux populations, qu'elles soient médicales, légales ou idéologiques. Il critique la prétendue neutralité ou universalité de ces normes, en montrant comment elles favorisent certains groupes tout en en marginalisant d'autres, jusqu'à modifier la biologie et les comportements de la population sur le long terme.
Points principaux développés :
Sur la supplémentation en vitamines :
Une interprétation de la réduction de l'espérance de vie des personnes supplémentées.
L'idée que toute norme nutritionnelle ou autre, appliquée à une population, avantage une minorité spécifique tout en créant des "dommages collatéraux" pour les autres.
Influence des lois sur la biologie des populations :
Les lois façonnent les individus qui leur sont soumis, sélectionnant biologiquement ceux qui s'y adaptent le mieux.
Exemple de l’évolution des comportements sociaux, comme le mariage et la sexualité, influencée par des événements historiques (les guerres mondiales).
Critique de la construction identitaire nationale :
La République française est perçue comme imposant des valeurs uniformes, souvent au mépris des diversités individuelles.
Une appartenance nationale est décrite comme un hasard biologique, plutôt qu'un choix.
La guerre et ses impacts culturels :
Les guerres mondiales auraient favorisé certains comportements, comme une sexualité plus libérée, en éliminant ceux attachés à des valeurs plus conservatrices.
Les monuments aux morts sont décrits comme des symboles ironiques d’une victoire culturelle et démographique contraire aux idéaux des soldats tombés.
Réflexion sur la sexualité et le progressisme :
Une critique du prosélytisme "Volkisch", perçu comme une déformation du progressisme.
Une condamnation des idéologies qui sacralisent des comportements destructeurs pour des relations ou des rêves individuels.
Ton et conclusion implicite :
Une vision pessimiste, voire nihiliste, des dynamiques sociales et historiques.
Un appel à la lucidité sur l’impact des normes, sans glorifier ni rejeter totalement l'altérité.
il y a 10 mois