Ce sujet a été résolu
J'ai une quête un peu bizarre mais qui, pour moi, fait sens dans ma relation avec la nature. En gros, j’ai décidé de faire pipi dans le plus de lacs possibles. Oui, c’est sérieux ! Actuellement, j’en suis à 65 lacs dans lesquels j’ai laissé ma petite marque personnelle, du Lac d’Aiguebelle au Lac de Saint-Cyr, en passant par le Grand Lac des Aulnes.
J’ai également visité des lieux plus modestes, tels que le Lac du Petit-Bois ou encore le Lac des Roselières, et d'autres Lacs nichés loin des sentiers battus, mais tout aussi dignes de ce périple. Chaque lac a son charme, et je suis en route pour atteindre la barre des 100. Peu importe où ils se trouvent, je m’y rends coûte que coûte, n’hésitant pas à boire de grandes quantités d’eau pour être sûr de pouvoir honorer chaque destination.
Pourquoi faire ça, me direz-vous ? Pour moi, ce n’est pas juste une lubie idiote. C’est une sorte de communion avec la nature, une manière de marquer mon passage de manière subtile et symbolique. Uriner dans un lac, c’est laisser une petite partie de moi dans l’eau, comme une offrande liquide à la Terre-Mère.
C’est un geste ancestral, un rituel oublié que je réinvente, pour me reconnecter avec le monde aquatique. Chaque goutte versée n’est pas un simple déchet, mais une contribution minuscule à l’immense cycle de l’eau, une manière d’intégrer ma propre existence dans cette grande boucle naturelle.
Ce geste, à la fois microscopique et significatif, tisse un lien passager entre ma présence et l’élément liquide, une osmose fugace où mes fluides se mêlent à la biocénose locale. C’est un échange moléculaire, une diffusion dans l’écosystème, où mon passage s’inscrit dans le cycle des échanges ioniques et osmotiques des lacs, laissant une empreinte fugitive mais quantifiable dans cette vaste dynamique naturelle.
Une façon de dire : "je suis passé ici, et je ne fais qu’un avec l’onde".
J’ai également visité des lieux plus modestes, tels que le Lac du Petit-Bois ou encore le Lac des Roselières, et d'autres Lacs nichés loin des sentiers battus, mais tout aussi dignes de ce périple. Chaque lac a son charme, et je suis en route pour atteindre la barre des 100. Peu importe où ils se trouvent, je m’y rends coûte que coûte, n’hésitant pas à boire de grandes quantités d’eau pour être sûr de pouvoir honorer chaque destination.
Pourquoi faire ça, me direz-vous ? Pour moi, ce n’est pas juste une lubie idiote. C’est une sorte de communion avec la nature, une manière de marquer mon passage de manière subtile et symbolique. Uriner dans un lac, c’est laisser une petite partie de moi dans l’eau, comme une offrande liquide à la Terre-Mère.
C’est un geste ancestral, un rituel oublié que je réinvente, pour me reconnecter avec le monde aquatique. Chaque goutte versée n’est pas un simple déchet, mais une contribution minuscule à l’immense cycle de l’eau, une manière d’intégrer ma propre existence dans cette grande boucle naturelle.
Ce geste, à la fois microscopique et significatif, tisse un lien passager entre ma présence et l’élément liquide, une osmose fugace où mes fluides se mêlent à la biocénose locale. C’est un échange moléculaire, une diffusion dans l’écosystème, où mon passage s’inscrit dans le cycle des échanges ioniques et osmotiques des lacs, laissant une empreinte fugitive mais quantifiable dans cette vaste dynamique naturelle.
Une façon de dire : "je suis passé ici, et je ne fais qu’un avec l’onde".
Un visage sincère et plein d'empathie est le vrai visage de la " force"
il y a 8 mois
choah
8 mois
J'ai une quête un peu bizarre mais qui, pour moi, fait sens dans ma relation avec la nature. En gros, j’ai décidé de faire pipi dans le plus de lacs possibles. Oui, c’est sérieux ! Actuellement, j’en suis à 65 lacs dans lesquels j’ai laissé ma petite marque personnelle, du Lac d’Aiguebelle au Lac de Saint-Cyr, en passant par le Grand Lac des Aulnes.
J’ai également visité des lieux plus modestes, tels que le Lac du Petit-Bois ou encore le Lac des Roselières, et d'autres Lacs nichés loin des sentiers battus, mais tout aussi dignes de ce périple. Chaque lac a son charme, et je suis en route pour atteindre la barre des 100. Peu importe où ils se trouvent, je m’y rends coûte que coûte, n’hésitant pas à boire de grandes quantités d’eau pour être sûr de pouvoir honorer chaque destination.
Pourquoi faire ça, me direz-vous ? Pour moi, ce n’est pas juste une lubie idiote. C’est une sorte de communion avec la nature, une manière de marquer mon passage de manière subtile et symbolique. Uriner dans un lac, c’est laisser une petite partie de moi dans l’eau, comme une offrande liquide à la Terre-Mère.
C’est un geste ancestral, un rituel oublié que je réinvente, pour me reconnecter avec le monde aquatique. Chaque goutte versée n’est pas un simple déchet, mais une contribution minuscule à l’immense cycle de l’eau, une manière d’intégrer ma propre existence dans cette grande boucle naturelle.
Ce geste, à la fois microscopique et significatif, tisse un lien passager entre ma présence et l’élément liquide, une osmose fugace où mes fluides se mêlent à la biocénose locale. C’est un échange moléculaire, une diffusion dans l’écosystème, où mon passage s’inscrit dans le cycle des échanges ioniques et osmotiques des lacs, laissant une empreinte fugitive mais quantifiable dans cette vaste dynamique naturelle.
Une façon de dire : "je suis passé ici, et je ne fais qu’un avec l’onde".
J’ai également visité des lieux plus modestes, tels que le Lac du Petit-Bois ou encore le Lac des Roselières, et d'autres Lacs nichés loin des sentiers battus, mais tout aussi dignes de ce périple. Chaque lac a son charme, et je suis en route pour atteindre la barre des 100. Peu importe où ils se trouvent, je m’y rends coûte que coûte, n’hésitant pas à boire de grandes quantités d’eau pour être sûr de pouvoir honorer chaque destination.
Pourquoi faire ça, me direz-vous ? Pour moi, ce n’est pas juste une lubie idiote. C’est une sorte de communion avec la nature, une manière de marquer mon passage de manière subtile et symbolique. Uriner dans un lac, c’est laisser une petite partie de moi dans l’eau, comme une offrande liquide à la Terre-Mère.
C’est un geste ancestral, un rituel oublié que je réinvente, pour me reconnecter avec le monde aquatique. Chaque goutte versée n’est pas un simple déchet, mais une contribution minuscule à l’immense cycle de l’eau, une manière d’intégrer ma propre existence dans cette grande boucle naturelle.
Ce geste, à la fois microscopique et significatif, tisse un lien passager entre ma présence et l’élément liquide, une osmose fugace où mes fluides se mêlent à la biocénose locale. C’est un échange moléculaire, une diffusion dans l’écosystème, où mon passage s’inscrit dans le cycle des échanges ioniques et osmotiques des lacs, laissant une empreinte fugitive mais quantifiable dans cette vaste dynamique naturelle.
Une façon de dire : "je suis passé ici, et je ne fais qu’un avec l’onde".
j'ai la même passion et j'en suis à 66 lacs.
il y a 8 mois
Vsy jeune dresseur de pipi
ET POURTANT JE CONTINUE D'ÉCRIRE, PARCE QUE C'EST MA FAÇON DE HURLER
il y a 8 mois
j'ai la même passion et j'en suis à 66 lacs.
Un visage sincère et plein d'empathie est le vrai visage de la " force"
il y a 8 mois