Le travail ne rend pas libre 
Les hommes travaillent généralement trop pour pouvoir encore rester eux-mêmes. Le travail : une malédiction que l’homme a transformée en volupté.
Oeuvrer de toutes ses forces pour le seul amour du travail, tirer de la joie d’un effort qui ne mène qu’à des accomplissements sans valeur, estimer qu’on ne peut se réaliser autrement que par le labeur incessant : voilà une chose révoltante et incompréhensible. Le travail permanent et soutenu abrutit, banalise et rend impersonnel.
Le centre d’intérêt de l’individu se déplace de son milieu subjectif vers une fade objectivité ; l’homme se désintéresse alors de son propre destin, de son évolution intérieure, pour s’attacher à n’importe quoi : l’œuvre véritable, qui devrait être une activité de permanente transfiguration, est devenue un moyen d’extériorisation qui lui fait quitter l’intime de son être.
Les hommes travaillent généralement trop pour pouvoir encore rester eux-mêmes. Le travail : une malédiction que l’homme a transformée en volupté.
Oeuvrer de toutes ses forces pour le seul amour du travail, tirer de la joie d’un effort qui ne mène qu’à des accomplissements sans valeur, estimer qu’on ne peut se réaliser autrement que par le labeur incessant : voilà une chose révoltante et incompréhensible. Le travail permanent et soutenu abrutit, banalise et rend impersonnel.
Le centre d’intérêt de l’individu se déplace de son milieu subjectif vers une fade objectivité ; l’homme se désintéresse alors de son propre destin, de son évolution intérieure, pour s’attacher à n’importe quoi : l’œuvre véritable, qui devrait être une activité de permanente transfiguration, est devenue un moyen d’extériorisation qui lui fait quitter l’intime de son être.
Frappé par le malin 
Les golem droitardés carriéristes et les libéraux en sueur devant la vacuité de leur être
fainéant
Et ma retraite dans tout ça?
Et ma retraite dans tout ça?
Faut bosser pour soi surtout
Comment ne pas voir cette vérité
Comment briser ses chaînes d'esclaves
Comment briser ses chaînes d'esclaves
« le travail éloigne de nous trois grands maux : l'ennui, le vice et le besoin »
Pas de liberté ici selon notre cher Voltaire
Pas de liberté ici selon notre cher Voltaire
"souvent femme varie, bien fol est qui s'y fie"
Compétences de l'homo modernus "Responsable RH"
Une société saine ne repose pas sur l'aliénation
Une société saine ne repose pas sur l'aliénation
Faut bosser pour soi surtout
L'indépendance est un mirage, une illusion nihiliste, nous sommes tous esclave, que cela soit de notre moralité, de notre nature humaine, du monde matérielle, de nos idées, de notre essence.
Tu seras esclave de tes client et de l'état
Tu seras esclave de tes client et de l'état
Donner son cul 45 ans à son patron
L'indépendance est un mirage, une illusion nihiliste, nous sommes tous esclave, que cela soit de notre moralité, de notre nature humaine, du monde matérielle, de nos idées, de notre essence.
Tu seras esclave de tes client et de l'état
Tu seras esclave de tes client et de l'état
Tant que j'ai pas de boss au dessus de ma tête, c'est moi le patron
Oui le travail est aliénant
Pour rappel : 66% des richesses produites finissent dans les poches des milliardaires
66% du fruit de votre labeur, oui oui
Pour rappel : 66% des richesses produites finissent dans les poches des milliardaires
66% du fruit de votre labeur, oui oui
Tant que j'ai pas de boss au dessus de ma tête, c'est moi le patron
Not ready pour avoir pensé que tu etais ton propre chef
Comment dire que tu es un desco RSAiste sans le dire
Comment dire que tu es un desco RSAiste sans le dire
Je suis esclave en Italie
Au moins il faut beau
Au moins il faut beau
Comment dire que tu es un desco RSAiste sans le dire
Bon assujettissement le goy
Not ready pour avoir pensé que tu etais ton propre chef
Not ready de croire que je compte déclarer à l'État mes revenus
Le travail nous rend Sisyphe
Not ready de croire que je compte déclarer à l'État mes revenus
