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La vraie religion : le christianisme

Quelle est la vraie religion ? Voici les 5 meilleures raisons pourquoi, selon moi, le christianisme est la vraie religion ou plutôt pourquoi Jésus est réellement le Sauveur du monde comme il prétendait l’être.

1 – Perfection morale de Jésus
Dieu étant par définition un être parfaitement bon, il s’ensuit que la vraie religion doit être celle qui incite le plus l’être humain à la vertu et la beauté existentielle. Jésus se démarque de tous les autres fondateurs de religions ici. “Qui me convaincra de péché?” demandait-il à ses accusateurs. Contrairement à d’autres soi-disant prophètes, il n’a jamais profité de son statut de porte-parole divin pour son propre intérêt, de façon égoïste ou de façon malsaine. Il a prêché et incarné l’amour sacrificiel, la justice, la compassion, le souci de pauvre et du marginalisé, des femmes, des plus vulnérables que la société rejetait. Il a été entouré par plus de douze jeunes hommes jour et nuit pendant trois ans. Certainement, s’ils avaient vu en Jésus quelqu’un de moralement répréhensible comme tout le monde par moment, ils n’auraient pas prêché la perfection morale de Jésus, vérité essentielle au message du christianisme : le Juste est mort pour les injustes afin que sa perfection morale soit transférée à tous ceux qui croient en lui.

2 – Son enseignement
L’enseignement de Jésus Christ a clairement apporté l’humanité à un autre niveau en introduisant la notion de compassion universelle (le bon samaritain – Luc 10,25-37), de l’amour inconditionnel et sacrificiel qui brise le cycle de la violence. La Bible dépeint trois stades de l’humanité. Cette citation de Jean Monbourquette cerne bien les deux premiers :

Dans la tradition du judaïsme, la célèbre loi du talion ‘Oeil pour oeil, dent pour dent’ avait pour but de réglementer la vengeance. Elle voulait atténuer les paroles de Lémek, le fils de Caïn qui proclamait à ses femmes : “Oui, j’ai tué un homme pour une blessure, un enfant pour une meurtrissure. Oui, Caïn sera vengé sept fois, mais Lémek soixante-dix-sept fois!” (Genèse 4,23-24).

De la vengeance à la justice et de la justice à la miséricorde, voilà trois étapes importantes traçant le travail de Dieu dans l’histoire de l’humanité. Le point culminant de cette éducation divine se trouve en Jésus Christ qui ne nous a pas seulement incités à aimer nos ennemis et à prier pour ceux qui nous persécutent6, mais qui nous a donné un véritable exemple à suivre en mourant à la croix alors que nous étions encore ennemis de Dieu. Il est celui dont la meurtrissure nous guérit et nous sommes appelés à suivre ses traces afin d’être aussi un baume dans un monde brisé. Jésus a encore contribué à l’émergence d’autres valeurs comme l’égalité homme femme, notamment en donnant droit à Marie d’être à l’écoute de ses enseignements au même titre que les autres disciples.

De plus, désirer s’assurer de la solidité de ses croyances mène sans doute à des questions du genre : dans quelle mesure mes croyances répondent-elles de façon cohérente à la réalité dans laquelle nous vivons ? Expliquent-elles, par exemple, de façon satisfaisante la nature humaine ? La nature humaine, comme l’a dit Blaise Pascal, est à la fois grande et misérable :

Les grandeurs et les misères de l’homme sont tellement visibles, qu’il faut nécessairement que la vraie religion nous enseigne qu’il y a quelque grand principe de grandeur en l’homme, et qu’il y a un grand principe de misère. Il faut donc qu’elle nous rende raison de ces étonnantes contrariétés.

Le christianisme apporte une excellente réponse au paradoxe de la condition humaine : nous avons été créés à l’image de Dieu (donc avec une noblesse, un potentiel inouï, capable de bien faire), mais à cause du désir d’autonomie spirituelle de nos ancêtres primitifs, nous avons hérité d’un monde brisé (expliquant ainsi notre tendance au mal). D’où notre capacité de faire des actions les plus nobles comme les plus honteuses. Non seulement le narratif biblique dépeint avec consistance l’origine et l’état actuel des choses10, mais donne espoir d’une restauration future.

3 – Nombreux miracles
Jésus lui-même disait : “Croyez-moi, je suis dans le Père et le Père est en moi. Croyez du moins à cause de ces oeuvres [miracles]” (Jean 14,12). Plus loin, l’apôtre Jean déclare aussi que ces nombreux miracles représentent une bonne raison de croire que Jésus était vraiment qui il prétendait être, c’est-à-dire le Fils de Dieu : “Jésus a fait encore, en présence de ses disciples, beaucoup d’autres miracles qui ne sont pas écrits dans ce livre. Mais ceci est écrit afin que vous croyiez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu et qu’en croyant, vous ayez la vie en son nom” (Jean 20,30-31 ; voir aussi Jean 5,36).

Par voie de comparaison, Mahomet n’a jamais prétendu faire le moindre miracle :

Et ils disent : « Pourquoi n’a-t-on pas fait descendre sur lui des signes venus de son Seigneur ? » Dis : « Les Signes sont auprès d’Allah. Je ne suis qu’un avertisseur explicite ». Ne leur suffit-il donc pas que Nous ayons fait descendre sur toi le Livre et qu’il leur soit récité ? Il y a vraiment là une miséricorde et un Rappel pour des gens qui croient (Coran, Sourate 29,50-51)

Si l’on regarde les autres fondateurs des grandes religions, on s’aperçoit qu’aucun d’entre eux n’est comparable à Jésus sur ce point. Les nombreux miracles attestés dans les écrits du Nouveau Testament et dont la crédibilité peut être examinée par la méthode historique sont sans parallèle. D’après moi, les septiques prennent trop à la légère le fait que Jésus était reconnu par tous pour avoir fait plusieurs miracles. Il faut considérer au moins trois éléments soutenant la crédibilité de cet argument.

3.1 – Ce n’est pas Jésus qui écrivit sa propre biographie empreinte de miraculeux, mais plusieurs auteurs qui affirment tous avoir été témoins oculaires ou rapporter les propos de témoins oculaires. Considérez tous ces passages bibliques qui attestent ce statut de témoins oculaires : Luc 1,1-4, Jean 19,33-35, 20,24-30, Actes 2,32, 3,15, 4,18-20, 5,30-32, 10,39-40, 1 Corinthiens 15,3-11, Hébreux 1,1, 2,3-4, 1 Pierre 5,1, 2 Pierre 1,16, 1 Jean 1,1-2. Un excellent livre anglophone qui argumente pour le lien entre les évangiles et les témoins oculaires est Jesus and the Eyewitnesses: The Gospels as Eyewitness Testimony de Richard Bauckham.

3.2 – Les évènements ne sont aucunement présentés comme un mythe, mais comme étant ancrés historiquement dans des lieux, des temps, des époques précises. On y donne des précisions géographiques, politiques et culturelles nous permettant de valider historiquement les faits. L’historicité des récits est renforcée par les coïncidences non intentionnelles, c’est-à-dire les détails entre les sources indépendantes qui convergent dans le même sens et s’expliquent mutuellement

3.3 – Les apôtres ont prouvé la sincérité de leur témoignage en étant prêts à souffrir et mourir pour annoncer la Bonne Nouvelle. Dans son livre The Fate of the Apostles: Examining the Martyrdom Accounts of the Closest Followers of Jesus, Sean McDowell a analysé la vie et la mort des Douze apôtres dans une perspective historique et critique. Il conclut que le martyr de Pierre, Paul et Jacques (fils de Zébédée) sont certains et que celui de Jacques, le frère de Jésus, Thomas et André sont de très probablement historique à plausible. Pour sept apôtres, les données historiques sont divisées de sorte qu’il y a une chance sur deux que ça soit produit. Seulement l’apôtre Jean n’est probablement pas mort en martyr, mais de vieillesse. Il termine son livre en écrivant : “Tous les apôtres ont souffert et étaient prêt à être mis à mort et nous avons de bonnes raisons de croire que certains d’entre eux ont réellement fait face à l’exécution. Il n’y a aucune donnée qui indique qu’ils ont hésité. (…) ils croyaient réellement que Jésus était le Messie ressuscité et ont misé leur vie sur cela.” Un autre élément qui prouve leur sincérité est le fait qu’ils n’avaient aucun intérêt personnel lié à la prédication de l’évangile. Aucun avantage économique, politique ou sexuel. Au contraire, l’apôtre Paul décrit éloquemment le prix qu’il payait pour l’évangile en 2 Corinthiens.

4 – Les prophéties
Selon Blaise Pascal, “la plus grande des preuves de Jésus Christ est les prophéties.” Selon lui, les prophéties représentent “un miracle subsistant. Pour moi, elles sont la plus grande démonstration du Dieu de l’Histoire. Dès Genèse 3,15, Dieu dit au serpent : “Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta descendance et sa descendance. Celle-ci t’écrasera [futur] la tête et tu lui écraseras [futur] le talon.” D’où l’importance de toutes les généalogies dans la Bible, notamment celles de Jésus dans le début de Matthieu et de Luc. Depuis le tout début, après la chute, Dieu promettait qu’un jour, quelqu’un de la descendance de la femme apporterait un coup mortel au diable tandis que le diable le blesserait aussi, mais de façon beaucoup moindre. C’est ce qui est arrivé par la crucifixion et la résurrection de Jésus Christ.

Pensons aussi à Abraham qui fut appelé par Dieu a sacrifier son fils unique (Genèse 22). Dans ce passage biblique, il est écrit : “C’est pourquoi l’on dit aujourd’hui : ‘À la montagne de l’Éternel, il sera [futur] pourvu.'” Genèse 22,14 C’est justement sur une montagne que Jésus Christ, le Fils unique de Dieu fut offert en sacrifice, sur le mont Golgotha (Marc 15,21-24). Allez lire Ésaïe 53 ou Zacharie 12,10, allez lire Matthieu 27,26-50 puis comparez avec le Psaume 22 comme Jésus lui-même du haut de sa croix nous y invite en citant la première phrase du Psaume (Matthieu 27,46).
il y a 9 mois
Lien connard
il y a 9 mois
:Soupoudrez_le_tout:
:bllshill:
Louis auguste je t'ai à l'œil
:Farqaad_1:
il y a 9 mois
Magique
Magique
9 mois
Lien connard
il y a 9 mois
J'ai CHIÉ une ENORME MERDE JAUNATRE ce matin au TAF
:Golempelo:


J'avais mangé des SARDINES la veille
:Choent:
🇮🇪
il y a 9 mois
5 – La résurrection
Jésus crucifié fut le verdict humain sur sa personne. Jésus ressuscité trois jours plus tard fut le verdict divin sur sa personne. Si les prophéties constitues un miracle qui précédait même sa naissance, la résurrection représente un miracle suivant même sa mort. Avant [prophéties], pendant [miracles] et même après sa vie terrestre [résurrection], Dieu a pleinement démontré qu’il était du côté de Jésus Christ. Plusieurs personnes affirment avoir vu Jésus vivant, avoir parlé et interagi avec lui après qu’il ait été crucifié. Que ce soit individuellement [Marie-Madeleine] ou en groupe [les 11 onze apôtres], que ce soit des septiques [Thomas, Jacques, le frère du Seigneur et ses autres frères] et même un ennemi [Paul], leur témoignage est unanime : il est revenu à la vie et a vaincu la mort après avoir été crucifié pour nos péchés. Tous furent complètement transformés par cette rencontre et, comme j’ai dit plus tôt, l’histoire témoigne que tous les apôtres sauf Jean ont fini en martyrs pour avoir prêché cette vérité. Cela prouve leur sincérité.

Le témoignage du Saint Esprit : garantie ultime
Si nous recevons le témoignage des hommes, le témoignage de Dieu est plus grand, car le témoignage de Dieu consiste en ce qu’il a rendu témoignage à son Fils (1 Jean 5,9).
Enfin, pour découvrir la vérité sur Dieu, j’ajouterais une sixième raison qui s’ancre dans notre subjectivité, dans notre vécu propre. Cette sixième raison est complémentaire avec les raisons objectives mentionnées précédemment. L’expérience d’un moment spirituel où Dieu lui-même nous dévoile la vérité concernant Jésus assure qu’il est réellement Seigneur et le Fils unique de Dieu. Ici, c’est Dieu lui-même qui vient attester la vérité de l’Évangile au plus profond de notre être par le Saint-Esprit. Panoplies de nos contemporains dont moi-même peuvent attester que Jésus Christ est vivant et qu’il transforme des vies encore aujourd’hui. De la même manière que la résurrection de Jésus Christ changea radicalement la vie des gens du 1er siècle, aujourd’hui encore il change des vies. Il se révèle encore de nos jours à ceux qui se tournent vers lui et l’invoquent d’un coeur sincère, à ceux qui cherchent la vérité avec humilité. Une personne qui cherche le vrai Dieu peut lui demander qu’il vienne lui-même témoigner de la vérité dans son coeur.

Conclusion
Bref, voilà six raisons qui m’assurent personnellement que le christianisme est la vraie religion. Mais, tout compte fait, le christianisme est beaucoup plus qu’une religion, car il ne s’agit pas de faire des bonnes oeuvres ou d’accomplir les bons rites afin de gagner la faveur de Dieu. Le Nouveau Testament nous apprend qu’on ne peut pas grimper l’échelle de la vertu pour accéder au ciel par nos propres forces. Dieu lui-même dut descendre vers les hommes. Par le modèle de vie qu’il nous a donné en son Fils et le paiement que celui-ci a fait pour nos fautes à la croix, le Dieu de justice et d’amour invite le monde entier à se réconcilier avec lui et à cultiver une relation intime avec lui, en Jésus Christ.
il y a 9 mois
ayaaa brutal
:jerry:
des zinzins fruités
:OoOoOoOoOohh:
:ohzepavrai:
il y a 9 mois
Digidix
Digidix
9 mois
J'ai CHIÉ une ENORME MERDE JAUNATRE ce matin au TAF
:Golempelo:


J'avais mangé des SARDINES la veille
:Choent:
Je reposte
:Golempelo:
🇮🇪
il y a 9 mois
Zigotin
Zigotin
9 mois
ayaaa brutal
:jerry:
Les pauvres... ils avaient déjà leur bite en main
:zahi:
il y a 9 mois
:Brozeur:
il y a 9 mois
Je crache sur ton christianisme l'op, bande d'idolâtres
I am LaGrotteDeYtgki don't revelate
il y a 9 mois
Post
I am LaGrotteDeYtgki don't revelate
il y a 9 mois-PEMT
Yeshoua
Yeshoua
9 mois
La vraie religion : le christianisme

Quelle est la vraie religion ? Voici les 5 meilleures raisons pourquoi, selon moi, le christianisme est la vraie religion ou plutôt pourquoi Jésus est réellement le Sauveur du monde comme il prétendait l’être.

1 – Perfection morale de Jésus
Dieu étant par définition un être parfaitement bon, il s’ensuit que la vraie religion doit être celle qui incite le plus l’être humain à la vertu et la beauté existentielle. Jésus se démarque de tous les autres fondateurs de religions ici. “Qui me convaincra de péché?” demandait-il à ses accusateurs. Contrairement à d’autres soi-disant prophètes, il n’a jamais profité de son statut de porte-parole divin pour son propre intérêt, de façon égoïste ou de façon malsaine. Il a prêché et incarné l’amour sacrificiel, la justice, la compassion, le souci de pauvre et du marginalisé, des femmes, des plus vulnérables que la société rejetait. Il a été entouré par plus de douze jeunes hommes jour et nuit pendant trois ans. Certainement, s’ils avaient vu en Jésus quelqu’un de moralement répréhensible comme tout le monde par moment, ils n’auraient pas prêché la perfection morale de Jésus, vérité essentielle au message du christianisme : le Juste est mort pour les injustes afin que sa perfection morale soit transférée à tous ceux qui croient en lui.

2 – Son enseignement
L’enseignement de Jésus Christ a clairement apporté l’humanité à un autre niveau en introduisant la notion de compassion universelle (le bon samaritain – Luc 10,25-37), de l’amour inconditionnel et sacrificiel qui brise le cycle de la violence. La Bible dépeint trois stades de l’humanité. Cette citation de Jean Monbourquette cerne bien les deux premiers :

Dans la tradition du judaïsme, la célèbre loi du talion ‘Oeil pour oeil, dent pour dent’ avait pour but de réglementer la vengeance. Elle voulait atténuer les paroles de Lémek, le fils de Caïn qui proclamait à ses femmes : “Oui, j’ai tué un homme pour une blessure, un enfant pour une meurtrissure. Oui, Caïn sera vengé sept fois, mais Lémek soixante-dix-sept fois!” (Genèse 4,23-24).

De la vengeance à la justice et de la justice à la miséricorde, voilà trois étapes importantes traçant le travail de Dieu dans l’histoire de l’humanité. Le point culminant de cette éducation divine se trouve en Jésus Christ qui ne nous a pas seulement incités à aimer nos ennemis et à prier pour ceux qui nous persécutent6, mais qui nous a donné un véritable exemple à suivre en mourant à la croix alors que nous étions encore ennemis de Dieu. Il est celui dont la meurtrissure nous guérit et nous sommes appelés à suivre ses traces afin d’être aussi un baume dans un monde brisé. Jésus a encore contribué à l’émergence d’autres valeurs comme l’égalité homme femme, notamment en donnant droit à Marie d’être à l’écoute de ses enseignements au même titre que les autres disciples.

De plus, désirer s’assurer de la solidité de ses croyances mène sans doute à des questions du genre : dans quelle mesure mes croyances répondent-elles de façon cohérente à la réalité dans laquelle nous vivons ? Expliquent-elles, par exemple, de façon satisfaisante la nature humaine ? La nature humaine, comme l’a dit Blaise Pascal, est à la fois grande et misérable :

Les grandeurs et les misères de l’homme sont tellement visibles, qu’il faut nécessairement que la vraie religion nous enseigne qu’il y a quelque grand principe de grandeur en l’homme, et qu’il y a un grand principe de misère. Il faut donc qu’elle nous rende raison de ces étonnantes contrariétés.

Le christianisme apporte une excellente réponse au paradoxe de la condition humaine : nous avons été créés à l’image de Dieu (donc avec une noblesse, un potentiel inouï, capable de bien faire), mais à cause du désir d’autonomie spirituelle de nos ancêtres primitifs, nous avons hérité d’un monde brisé (expliquant ainsi notre tendance au mal). D’où notre capacité de faire des actions les plus nobles comme les plus honteuses. Non seulement le narratif biblique dépeint avec consistance l’origine et l’état actuel des choses10, mais donne espoir d’une restauration future.

3 – Nombreux miracles
Jésus lui-même disait : “Croyez-moi, je suis dans le Père et le Père est en moi. Croyez du moins à cause de ces oeuvres [miracles]” (Jean 14,12). Plus loin, l’apôtre Jean déclare aussi que ces nombreux miracles représentent une bonne raison de croire que Jésus était vraiment qui il prétendait être, c’est-à-dire le Fils de Dieu : “Jésus a fait encore, en présence de ses disciples, beaucoup d’autres miracles qui ne sont pas écrits dans ce livre. Mais ceci est écrit afin que vous croyiez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu et qu’en croyant, vous ayez la vie en son nom” (Jean 20,30-31 ; voir aussi Jean 5,36).

Par voie de comparaison, Mahomet n’a jamais prétendu faire le moindre miracle :

Et ils disent : « Pourquoi n’a-t-on pas fait descendre sur lui des signes venus de son Seigneur ? » Dis : « Les Signes sont auprès d’Allah. Je ne suis qu’un avertisseur explicite ». Ne leur suffit-il donc pas que Nous ayons fait descendre sur toi le Livre et qu’il leur soit récité ? Il y a vraiment là une miséricorde et un Rappel pour des gens qui croient (Coran, Sourate 29,50-51)

Si l’on regarde les autres fondateurs des grandes religions, on s’aperçoit qu’aucun d’entre eux n’est comparable à Jésus sur ce point. Les nombreux miracles attestés dans les écrits du Nouveau Testament et dont la crédibilité peut être examinée par la méthode historique sont sans parallèle. D’après moi, les septiques prennent trop à la légère le fait que Jésus était reconnu par tous pour avoir fait plusieurs miracles. Il faut considérer au moins trois éléments soutenant la crédibilité de cet argument.

3.1 – Ce n’est pas Jésus qui écrivit sa propre biographie empreinte de miraculeux, mais plusieurs auteurs qui affirment tous avoir été témoins oculaires ou rapporter les propos de témoins oculaires. Considérez tous ces passages bibliques qui attestent ce statut de témoins oculaires : Luc 1,1-4, Jean 19,33-35, 20,24-30, Actes 2,32, 3,15, 4,18-20, 5,30-32, 10,39-40, 1 Corinthiens 15,3-11, Hébreux 1,1, 2,3-4, 1 Pierre 5,1, 2 Pierre 1,16, 1 Jean 1,1-2. Un excellent livre anglophone qui argumente pour le lien entre les évangiles et les témoins oculaires est Jesus and the Eyewitnesses: The Gospels as Eyewitness Testimony de Richard Bauckham.

3.2 – Les évènements ne sont aucunement présentés comme un mythe, mais comme étant ancrés historiquement dans des lieux, des temps, des époques précises. On y donne des précisions géographiques, politiques et culturelles nous permettant de valider historiquement les faits. L’historicité des récits est renforcée par les coïncidences non intentionnelles, c’est-à-dire les détails entre les sources indépendantes qui convergent dans le même sens et s’expliquent mutuellement

3.3 – Les apôtres ont prouvé la sincérité de leur témoignage en étant prêts à souffrir et mourir pour annoncer la Bonne Nouvelle. Dans son livre The Fate of the Apostles: Examining the Martyrdom Accounts of the Closest Followers of Jesus, Sean McDowell a analysé la vie et la mort des Douze apôtres dans une perspective historique et critique. Il conclut que le martyr de Pierre, Paul et Jacques (fils de Zébédée) sont certains et que celui de Jacques, le frère de Jésus, Thomas et André sont de très probablement historique à plausible. Pour sept apôtres, les données historiques sont divisées de sorte qu’il y a une chance sur deux que ça soit produit. Seulement l’apôtre Jean n’est probablement pas mort en martyr, mais de vieillesse. Il termine son livre en écrivant : “Tous les apôtres ont souffert et étaient prêt à être mis à mort et nous avons de bonnes raisons de croire que certains d’entre eux ont réellement fait face à l’exécution. Il n’y a aucune donnée qui indique qu’ils ont hésité. (…) ils croyaient réellement que Jésus était le Messie ressuscité et ont misé leur vie sur cela.” Un autre élément qui prouve leur sincérité est le fait qu’ils n’avaient aucun intérêt personnel lié à la prédication de l’évangile. Aucun avantage économique, politique ou sexuel. Au contraire, l’apôtre Paul décrit éloquemment le prix qu’il payait pour l’évangile en 2 Corinthiens.

4 – Les prophéties
Selon Blaise Pascal, “la plus grande des preuves de Jésus Christ est les prophéties.” Selon lui, les prophéties représentent “un miracle subsistant. Pour moi, elles sont la plus grande démonstration du Dieu de l’Histoire. Dès Genèse 3,15, Dieu dit au serpent : “Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta descendance et sa descendance. Celle-ci t’écrasera [futur] la tête et tu lui écraseras [futur] le talon.” D’où l’importance de toutes les généalogies dans la Bible, notamment celles de Jésus dans le début de Matthieu et de Luc. Depuis le tout début, après la chute, Dieu promettait qu’un jour, quelqu’un de la descendance de la femme apporterait un coup mortel au diable tandis que le diable le blesserait aussi, mais de façon beaucoup moindre. C’est ce qui est arrivé par la crucifixion et la résurrection de Jésus Christ.

Pensons aussi à Abraham qui fut appelé par Dieu a sacrifier son fils unique (Genèse 22). Dans ce passage biblique, il est écrit : “C’est pourquoi l’on dit aujourd’hui : ‘À la montagne de l’Éternel, il sera [futur] pourvu.'” Genèse 22,14 C’est justement sur une montagne que Jésus Christ, le Fils unique de Dieu fut offert en sacrifice, sur le mont Golgotha (Marc 15,21-24). Allez lire Ésaïe 53 ou Zacharie 12,10, allez lire Matthieu 27,26-50 puis comparez avec le Psaume 22 comme Jésus lui-même du haut de sa croix nous y invite en citant la première phrase du Psaume (Matthieu 27,46).
d'accord mais pourquoi ils veulent tuer les homosexuels ?

Lévitique 20:13
« Si un homme couche avec un autre homme comme on couche avec une femme, ils ont tous deux commis une abomination : ils seront punis de mort ; leur sang retombera sur eux. »
:drapeau_europe:
:drapeau_ukraine:
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il y a 9 mois-PEMT
Digidix
Digidix
9 mois
J'ai CHIÉ une ENORME MERDE JAUNATRE ce matin au TAF
:Golempelo:


J'avais mangé des SARDINES la veille
:Choent:
Généralement ça n'a rien à voir avec la nourriture mais c'est plutôt lié à des problèmes à la vésicule biliaire ou au foie
il y a 9 mois
Digidix
Digidix
9 mois
J'ai CHIÉ une ENORME MERDE JAUNATRE ce matin au TAF
:Golempelo:


J'avais mangé des SARDINES la veille
:Choent:
c'est un miracle
:Jesus_Christ:
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il y a 9 mois
Yeshoua
Yeshoua
9 mois
La vraie religion : le christianisme

Quelle est la vraie religion ? Voici les 5 meilleures raisons pourquoi, selon moi, le christianisme est la vraie religion ou plutôt pourquoi Jésus est réellement le Sauveur du monde comme il prétendait l’être.

1 – Perfection morale de Jésus
Dieu étant par définition un être parfaitement bon, il s’ensuit que la vraie religion doit être celle qui incite le plus l’être humain à la vertu et la beauté existentielle. Jésus se démarque de tous les autres fondateurs de religions ici. “Qui me convaincra de péché?” demandait-il à ses accusateurs. Contrairement à d’autres soi-disant prophètes, il n’a jamais profité de son statut de porte-parole divin pour son propre intérêt, de façon égoïste ou de façon malsaine. Il a prêché et incarné l’amour sacrificiel, la justice, la compassion, le souci de pauvre et du marginalisé, des femmes, des plus vulnérables que la société rejetait. Il a été entouré par plus de douze jeunes hommes jour et nuit pendant trois ans. Certainement, s’ils avaient vu en Jésus quelqu’un de moralement répréhensible comme tout le monde par moment, ils n’auraient pas prêché la perfection morale de Jésus, vérité essentielle au message du christianisme : le Juste est mort pour les injustes afin que sa perfection morale soit transférée à tous ceux qui croient en lui.

2 – Son enseignement
L’enseignement de Jésus Christ a clairement apporté l’humanité à un autre niveau en introduisant la notion de compassion universelle (le bon samaritain – Luc 10,25-37), de l’amour inconditionnel et sacrificiel qui brise le cycle de la violence. La Bible dépeint trois stades de l’humanité. Cette citation de Jean Monbourquette cerne bien les deux premiers :

Dans la tradition du judaïsme, la célèbre loi du talion ‘Oeil pour oeil, dent pour dent’ avait pour but de réglementer la vengeance. Elle voulait atténuer les paroles de Lémek, le fils de Caïn qui proclamait à ses femmes : “Oui, j’ai tué un homme pour une blessure, un enfant pour une meurtrissure. Oui, Caïn sera vengé sept fois, mais Lémek soixante-dix-sept fois!” (Genèse 4,23-24).

De la vengeance à la justice et de la justice à la miséricorde, voilà trois étapes importantes traçant le travail de Dieu dans l’histoire de l’humanité. Le point culminant de cette éducation divine se trouve en Jésus Christ qui ne nous a pas seulement incités à aimer nos ennemis et à prier pour ceux qui nous persécutent6, mais qui nous a donné un véritable exemple à suivre en mourant à la croix alors que nous étions encore ennemis de Dieu. Il est celui dont la meurtrissure nous guérit et nous sommes appelés à suivre ses traces afin d’être aussi un baume dans un monde brisé. Jésus a encore contribué à l’émergence d’autres valeurs comme l’égalité homme femme, notamment en donnant droit à Marie d’être à l’écoute de ses enseignements au même titre que les autres disciples.

De plus, désirer s’assurer de la solidité de ses croyances mène sans doute à des questions du genre : dans quelle mesure mes croyances répondent-elles de façon cohérente à la réalité dans laquelle nous vivons ? Expliquent-elles, par exemple, de façon satisfaisante la nature humaine ? La nature humaine, comme l’a dit Blaise Pascal, est à la fois grande et misérable :

Les grandeurs et les misères de l’homme sont tellement visibles, qu’il faut nécessairement que la vraie religion nous enseigne qu’il y a quelque grand principe de grandeur en l’homme, et qu’il y a un grand principe de misère. Il faut donc qu’elle nous rende raison de ces étonnantes contrariétés.

Le christianisme apporte une excellente réponse au paradoxe de la condition humaine : nous avons été créés à l’image de Dieu (donc avec une noblesse, un potentiel inouï, capable de bien faire), mais à cause du désir d’autonomie spirituelle de nos ancêtres primitifs, nous avons hérité d’un monde brisé (expliquant ainsi notre tendance au mal). D’où notre capacité de faire des actions les plus nobles comme les plus honteuses. Non seulement le narratif biblique dépeint avec consistance l’origine et l’état actuel des choses10, mais donne espoir d’une restauration future.

3 – Nombreux miracles
Jésus lui-même disait : “Croyez-moi, je suis dans le Père et le Père est en moi. Croyez du moins à cause de ces oeuvres [miracles]” (Jean 14,12). Plus loin, l’apôtre Jean déclare aussi que ces nombreux miracles représentent une bonne raison de croire que Jésus était vraiment qui il prétendait être, c’est-à-dire le Fils de Dieu : “Jésus a fait encore, en présence de ses disciples, beaucoup d’autres miracles qui ne sont pas écrits dans ce livre. Mais ceci est écrit afin que vous croyiez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu et qu’en croyant, vous ayez la vie en son nom” (Jean 20,30-31 ; voir aussi Jean 5,36).

Par voie de comparaison, Mahomet n’a jamais prétendu faire le moindre miracle :

Et ils disent : « Pourquoi n’a-t-on pas fait descendre sur lui des signes venus de son Seigneur ? » Dis : « Les Signes sont auprès d’Allah. Je ne suis qu’un avertisseur explicite ». Ne leur suffit-il donc pas que Nous ayons fait descendre sur toi le Livre et qu’il leur soit récité ? Il y a vraiment là une miséricorde et un Rappel pour des gens qui croient (Coran, Sourate 29,50-51)

Si l’on regarde les autres fondateurs des grandes religions, on s’aperçoit qu’aucun d’entre eux n’est comparable à Jésus sur ce point. Les nombreux miracles attestés dans les écrits du Nouveau Testament et dont la crédibilité peut être examinée par la méthode historique sont sans parallèle. D’après moi, les septiques prennent trop à la légère le fait que Jésus était reconnu par tous pour avoir fait plusieurs miracles. Il faut considérer au moins trois éléments soutenant la crédibilité de cet argument.

3.1 – Ce n’est pas Jésus qui écrivit sa propre biographie empreinte de miraculeux, mais plusieurs auteurs qui affirment tous avoir été témoins oculaires ou rapporter les propos de témoins oculaires. Considérez tous ces passages bibliques qui attestent ce statut de témoins oculaires : Luc 1,1-4, Jean 19,33-35, 20,24-30, Actes 2,32, 3,15, 4,18-20, 5,30-32, 10,39-40, 1 Corinthiens 15,3-11, Hébreux 1,1, 2,3-4, 1 Pierre 5,1, 2 Pierre 1,16, 1 Jean 1,1-2. Un excellent livre anglophone qui argumente pour le lien entre les évangiles et les témoins oculaires est Jesus and the Eyewitnesses: The Gospels as Eyewitness Testimony de Richard Bauckham.

3.2 – Les évènements ne sont aucunement présentés comme un mythe, mais comme étant ancrés historiquement dans des lieux, des temps, des époques précises. On y donne des précisions géographiques, politiques et culturelles nous permettant de valider historiquement les faits. L’historicité des récits est renforcée par les coïncidences non intentionnelles, c’est-à-dire les détails entre les sources indépendantes qui convergent dans le même sens et s’expliquent mutuellement

3.3 – Les apôtres ont prouvé la sincérité de leur témoignage en étant prêts à souffrir et mourir pour annoncer la Bonne Nouvelle. Dans son livre The Fate of the Apostles: Examining the Martyrdom Accounts of the Closest Followers of Jesus, Sean McDowell a analysé la vie et la mort des Douze apôtres dans une perspective historique et critique. Il conclut que le martyr de Pierre, Paul et Jacques (fils de Zébédée) sont certains et que celui de Jacques, le frère de Jésus, Thomas et André sont de très probablement historique à plausible. Pour sept apôtres, les données historiques sont divisées de sorte qu’il y a une chance sur deux que ça soit produit. Seulement l’apôtre Jean n’est probablement pas mort en martyr, mais de vieillesse. Il termine son livre en écrivant : “Tous les apôtres ont souffert et étaient prêt à être mis à mort et nous avons de bonnes raisons de croire que certains d’entre eux ont réellement fait face à l’exécution. Il n’y a aucune donnée qui indique qu’ils ont hésité. (…) ils croyaient réellement que Jésus était le Messie ressuscité et ont misé leur vie sur cela.” Un autre élément qui prouve leur sincérité est le fait qu’ils n’avaient aucun intérêt personnel lié à la prédication de l’évangile. Aucun avantage économique, politique ou sexuel. Au contraire, l’apôtre Paul décrit éloquemment le prix qu’il payait pour l’évangile en 2 Corinthiens.

4 – Les prophéties
Selon Blaise Pascal, “la plus grande des preuves de Jésus Christ est les prophéties.” Selon lui, les prophéties représentent “un miracle subsistant. Pour moi, elles sont la plus grande démonstration du Dieu de l’Histoire. Dès Genèse 3,15, Dieu dit au serpent : “Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta descendance et sa descendance. Celle-ci t’écrasera [futur] la tête et tu lui écraseras [futur] le talon.” D’où l’importance de toutes les généalogies dans la Bible, notamment celles de Jésus dans le début de Matthieu et de Luc. Depuis le tout début, après la chute, Dieu promettait qu’un jour, quelqu’un de la descendance de la femme apporterait un coup mortel au diable tandis que le diable le blesserait aussi, mais de façon beaucoup moindre. C’est ce qui est arrivé par la crucifixion et la résurrection de Jésus Christ.

Pensons aussi à Abraham qui fut appelé par Dieu a sacrifier son fils unique (Genèse 22). Dans ce passage biblique, il est écrit : “C’est pourquoi l’on dit aujourd’hui : ‘À la montagne de l’Éternel, il sera [futur] pourvu.'” Genèse 22,14 C’est justement sur une montagne que Jésus Christ, le Fils unique de Dieu fut offert en sacrifice, sur le mont Golgotha (Marc 15,21-24). Allez lire Ésaïe 53 ou Zacharie 12,10, allez lire Matthieu 27,26-50 puis comparez avec le Psaume 22 comme Jésus lui-même du haut de sa croix nous y invite en citant la première phrase du Psaume (Matthieu 27,46).
Intéressant mais tu peux faire une demo plus short:
1- les 3 religions monotheistes reconnaissent le même dieu le dieu d'Abraham.
2- Le christianisme est supérieur grâce à sa moelle: le concept génial de trinité qui induit une dimension polythéiste, dieu n'est pas 1, dieu est 3 c'est le dieu trinitaire, le mystère de la trinité (cf concile de Nicee. ) c'est la synthese parfaite entre monotheïsme et polythéisme un concept qui a séduit le plus grand nombre d'où le success du christianisme.

Mais perso je trouve le bouddhisme au dessus de tout le reste, la symbiose avec l'univers, les vibrations... la bible à côté ça ressemble à une mauvaise bd
il y a 9 mois
:chat_lunettes:
il y a 9 mois
:Boris_Stupefait:
il y a 3 mois