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Les races : un tabou social en France
Le principe même du tabou est que toute discussion à son sujet, toute remise en question de sa validité, est interdite. Il est considéré comme acquis et indiscutable, et exerce une terreur irrationnelle. Violer le tabou entraîne des réactions extrêmement négatives, à la manière d’une terreur superstitieuse. La personne ayant commis ce crime devient alors un paria. Quiconque a le malheur d’entretenir des relations positives avec la personne ou de tenir des propos positifs à son égard devient suspecte, et est prié de cesser sous peine de subir le même sort.
C’est ce terrorisme intellectuel généralisé – qui n’est pas apparu de nulle part, mais son émergence mériterait un article entier – qui rend la question des races si périlleuse et la conscience des masses sur ce sujet si ténue.
Espèces et races
Une confusion fréquente est celle entre espèce et race. « Nous appartenons tous à la même espèce » ne contredit absolument pas l’existence des races.
Comment définit-on une espèce et une race ?
Une espèce désigne le plus large groupe d’individus interféconds, et dont les progénitures peuvent elle-même se reproduire. Par exemple les lions et tigres constituent deux espèces distinctes car leurs progénitures sont stériles. En revanche l’être humain est bien une unique espèce, puisque ce critère est vérifié.
Une race désigne un groupe d’individus au sein d’une espèce qui présente un ensemble de caractères biologiques héréditaires.
Les diverses races de chiens constituent un exemple classique : taille et morphologie, couleur et forme du poil, tendances comportementales, sont extrêmement stables au sein des races alors qu’elles varient énormément sur l’ensemble de l’espèce.
La notion de race ne s’appliquent pas qu’aux espèces domestiques, mais aussi aux espèces sauvages, par exemple les ours bruns et les ours polaires – ils sont en effet interféconds, même si par abus de langage on parle fréquemment d’espèce. Le même abus de langage aux groupes humains conduirait à parler d’espèces différentes.
La principale difficulté théorique est d’établir des groupes cohérents. Si on décidait de parler de la race des « grands » et de celle des « petits », cela ne serait pas pertinent. D’une part, les enfants pourraient changer de catégorie – ce qui est impossible pour la race ; et d’autre part la collection d’individus ainsi obtenu serait tout à fait hétéroclite – la distance génétique avec un membre du groupe ou un membre hors du groupe serait similaire.
La genèse des races
Pour établir des groupes raciaux cohérents, il convient de comprendre comment les races apparaissent.
Les modifications au sein d’une espèce sont le résultat de mutations génétiques qui se propagent. Elles sont fréquentes, mais celles ayant un succès important restent rares.
Le processus de différenciation de l’espèce en races est la conséquence même du processus de modification de l’espèce. Tant qu’il y a des reproductions assez fréquentes entre les groupes de l’espèce, elle reste unie.
Si en revanche une population est isolé des autres, les mutations qui s’y produiront n’atteindront jamais les autres groupes, et inversement. L’isolement entre les populations entraîne donc avec le temps de plus en plus de différences.
Si l’environnement est fortement différent, la différenciation sera plus rapide et prononcée, car les critères de succès des mutations différeront.
Etablir l’historique précis des territoires occupés par les divers groupes est quasi impossible du fait du nombre extrêmement réduit de restes paléontologiques. Les divers scénarios que l’on peut voir décrits ici ou là sont donc en très large part extrapolés sans base scientifique solide.
L’existence de barrières naturelles majeures a été un facteur important pour l’émergence des races, en diminuant les mouvements de population potentiels.
L’Europe, isolée pour l’essentiel par la mer, et par les montagnes du Caucase, a vu l’émergence des blancs européens.
L’essentiel de l’Afrique est isolée du Nord du continent par le désert.Les territoires désertiques afghans et balouches ont aussi constitué un facteur d’isolement entre le Moyen-Orient et le sous-continent indien (assez divers racialement, et problématique dans les classifications assez larges)
L’Himalaya et les montagnes birmanes ont elles aussi été un facteur d’isolement avec l’Asie Orientale.
Enfin bien entendu, les populations ayant occupé les îles du Sud-Est asiatique jusqu’à l’Australie, du Pacifique et l’Amérique, ont été extrêmement isolées.
Il a cependant bien sûr toujours existé des contacts à la marge entre groupes : entre Asiatiques du Sud-Est (péninsule indochinoise) et Asiatiques de l’Est ; autour de la méditerranée, en Sibérie…
Les conditions de vie très différentes entre l’Afrique équatoriale où il n’y a ni été ni hiver et où les ressources sont abondantes, l’Europe froide et où les ressources sont plus rares (surtout lors des glaciations) ou encore le Moyen-Orient ; ont favorisé chacune des caractéristiques et des stratégies évolutives distinctes.
Il faut garder en effet que le critère d’efficacité évolutive est la production du plus grand nombre de descendants possibles à long terme – être plus fort ou plus intelligent en ayant une maturité sexuelle plus tardive peut par exemple être un handicap dans un contexte d’abondance.
En pratique donc, établir des groupes raciaux cohérents n’est pas bien difficile : plutôt que de vouloir collectionner des critères, on prend un groupe présent historiquement dans un territoire et on analyse ses caractéristiques. La seule ambiguïté véritable réside dans le degré de précision : par exemple les moyen-orientaux, iraniens et européens sont apparentés. Une classification très large les regroupera alors qu’une plus détaillée les distinguera.
Génétique et races
Longtemps, le seul moyen d’étude des races était l’anthropologie : étude de la morphologie du corps, couleur de peau, pilosité, densité osseuse, etc.
Aujourd’hui, la génétique permet une approche beaucoup plus précise encore.
Sont étudiés en particulier le chromosome Y, qui donne la lignée paternelle, et l’ADN mitochondrial lié à la lignée maternelle. Au delà de la ligne de transmission claire, ils ont l’avantage d’une grande stabilité : les chromosomes présents en double exemplaire peuvent se recomposer lors du processus reproductif, et mélanger ainsi les chromosomes précédents en deux nouveaux.
Un haplogroupe est un groupe d’haplotypes, lesquels sont des séries d’allèles (variantes d’un gène) situés à des sites spécifiques dans un chromosome.
Ils permettent d’identifier avec certitude un groupe commun.
Les différents groupes raciaux présentent des compositions d’haplogroupes vastement différentes.
Les Blancs Européens ainsi présentent principalement l’haplogroupe R1, dans ses sous-groupes R1a et R1b, et l’haplogroupe I. L’existence de sous-groupes est naturelle : on prend en compte davantage de mutations, qui sont en conséquences chacune moins répandues et plus spécifiques à un groupe.
Certaines zones situées à des points de rencontres voient une variabilité bien plus grande, la Turquie par exemple qui est très mélangée.
Les différences majeures d’haplogroupes entre les territoires occupés par les groupes raciaux distincts confirment qu’il y a eu une endogamie importante au sein de ces groupes. L’endogamie est pour les membres d’un groupe, le fait de se reproduire au sein de ce groupe. Par exemple, un blanc avec une blanche, un suédois avec une suédoise, un juif avec une juive. Le facteur culturel peut favoriser l’endogamie très fortement, créant une isolation artificielle entamant le processus de différenciation.
Bien entendu, le groupe racial d’un individu n’est pas déterminé simplement par son haplogroupe Y ou mitochondrien, qui ne donnent que la filiation raciale dans la lignée paternelle ou maternelle.
Pour cela, il faut une analyse autosomale : analyse de la totalité des chromosomes de l’individu.
Ainsi, pour chacun d’entre eux on peut déterminer le groupe racial dont il relève : des analyses en assez grande quantité, parmi des personnes à l’appartenance raciale et ethnique clairement établie (critères anthropologiques et généalogie), permettent en effet d’obtenir des références.
Les techniques d’analyse sur le génome et de traitement statistique des données à partir des échantillons de populations étudiées ont été mises au point notamment par l’équipe du professeur Masatoshi Nei (Pennsylvania State University). Parmi ses contributions, qui permettent la définition des groupes raciaux selon les critères génétiques, on peut citer les méthodes statistiques pour mesurer la distance génétique entre les populations (la distance génétique de Nei) et la méthode de reconstruction des arbres phylogénétiques.
Les diverses techniques mises au point par l’équipe de professeur Masatoshi Nei, et par d’autres scientifiques, ont été utilisées et complétées par des scientifiques dont les recherches concernent la génétique des populations dans des domaines variés.
Le principe même du tabou est que toute discussion à son sujet, toute remise en question de sa validité, est interdite. Il est considéré comme acquis et indiscutable, et exerce une terreur irrationnelle. Violer le tabou entraîne des réactions extrêmement négatives, à la manière d’une terreur superstitieuse. La personne ayant commis ce crime devient alors un paria. Quiconque a le malheur d’entretenir des relations positives avec la personne ou de tenir des propos positifs à son égard devient suspecte, et est prié de cesser sous peine de subir le même sort.
C’est ce terrorisme intellectuel généralisé – qui n’est pas apparu de nulle part, mais son émergence mériterait un article entier – qui rend la question des races si périlleuse et la conscience des masses sur ce sujet si ténue.
Espèces et races
Une confusion fréquente est celle entre espèce et race. « Nous appartenons tous à la même espèce » ne contredit absolument pas l’existence des races.
Comment définit-on une espèce et une race ?
Une espèce désigne le plus large groupe d’individus interféconds, et dont les progénitures peuvent elle-même se reproduire. Par exemple les lions et tigres constituent deux espèces distinctes car leurs progénitures sont stériles. En revanche l’être humain est bien une unique espèce, puisque ce critère est vérifié.
Une race désigne un groupe d’individus au sein d’une espèce qui présente un ensemble de caractères biologiques héréditaires.
Les diverses races de chiens constituent un exemple classique : taille et morphologie, couleur et forme du poil, tendances comportementales, sont extrêmement stables au sein des races alors qu’elles varient énormément sur l’ensemble de l’espèce.
La notion de race ne s’appliquent pas qu’aux espèces domestiques, mais aussi aux espèces sauvages, par exemple les ours bruns et les ours polaires – ils sont en effet interféconds, même si par abus de langage on parle fréquemment d’espèce. Le même abus de langage aux groupes humains conduirait à parler d’espèces différentes.
La principale difficulté théorique est d’établir des groupes cohérents. Si on décidait de parler de la race des « grands » et de celle des « petits », cela ne serait pas pertinent. D’une part, les enfants pourraient changer de catégorie – ce qui est impossible pour la race ; et d’autre part la collection d’individus ainsi obtenu serait tout à fait hétéroclite – la distance génétique avec un membre du groupe ou un membre hors du groupe serait similaire.
La genèse des races
Pour établir des groupes raciaux cohérents, il convient de comprendre comment les races apparaissent.
Les modifications au sein d’une espèce sont le résultat de mutations génétiques qui se propagent. Elles sont fréquentes, mais celles ayant un succès important restent rares.
Le processus de différenciation de l’espèce en races est la conséquence même du processus de modification de l’espèce. Tant qu’il y a des reproductions assez fréquentes entre les groupes de l’espèce, elle reste unie.
Si en revanche une population est isolé des autres, les mutations qui s’y produiront n’atteindront jamais les autres groupes, et inversement. L’isolement entre les populations entraîne donc avec le temps de plus en plus de différences.
Si l’environnement est fortement différent, la différenciation sera plus rapide et prononcée, car les critères de succès des mutations différeront.
Etablir l’historique précis des territoires occupés par les divers groupes est quasi impossible du fait du nombre extrêmement réduit de restes paléontologiques. Les divers scénarios que l’on peut voir décrits ici ou là sont donc en très large part extrapolés sans base scientifique solide.
L’existence de barrières naturelles majeures a été un facteur important pour l’émergence des races, en diminuant les mouvements de population potentiels.
L’Europe, isolée pour l’essentiel par la mer, et par les montagnes du Caucase, a vu l’émergence des blancs européens.
L’essentiel de l’Afrique est isolée du Nord du continent par le désert.Les territoires désertiques afghans et balouches ont aussi constitué un facteur d’isolement entre le Moyen-Orient et le sous-continent indien (assez divers racialement, et problématique dans les classifications assez larges)
L’Himalaya et les montagnes birmanes ont elles aussi été un facteur d’isolement avec l’Asie Orientale.
Enfin bien entendu, les populations ayant occupé les îles du Sud-Est asiatique jusqu’à l’Australie, du Pacifique et l’Amérique, ont été extrêmement isolées.
Il a cependant bien sûr toujours existé des contacts à la marge entre groupes : entre Asiatiques du Sud-Est (péninsule indochinoise) et Asiatiques de l’Est ; autour de la méditerranée, en Sibérie…
Les conditions de vie très différentes entre l’Afrique équatoriale où il n’y a ni été ni hiver et où les ressources sont abondantes, l’Europe froide et où les ressources sont plus rares (surtout lors des glaciations) ou encore le Moyen-Orient ; ont favorisé chacune des caractéristiques et des stratégies évolutives distinctes.
Il faut garder en effet que le critère d’efficacité évolutive est la production du plus grand nombre de descendants possibles à long terme – être plus fort ou plus intelligent en ayant une maturité sexuelle plus tardive peut par exemple être un handicap dans un contexte d’abondance.
En pratique donc, établir des groupes raciaux cohérents n’est pas bien difficile : plutôt que de vouloir collectionner des critères, on prend un groupe présent historiquement dans un territoire et on analyse ses caractéristiques. La seule ambiguïté véritable réside dans le degré de précision : par exemple les moyen-orientaux, iraniens et européens sont apparentés. Une classification très large les regroupera alors qu’une plus détaillée les distinguera.
Génétique et races
Longtemps, le seul moyen d’étude des races était l’anthropologie : étude de la morphologie du corps, couleur de peau, pilosité, densité osseuse, etc.
Aujourd’hui, la génétique permet une approche beaucoup plus précise encore.
Sont étudiés en particulier le chromosome Y, qui donne la lignée paternelle, et l’ADN mitochondrial lié à la lignée maternelle. Au delà de la ligne de transmission claire, ils ont l’avantage d’une grande stabilité : les chromosomes présents en double exemplaire peuvent se recomposer lors du processus reproductif, et mélanger ainsi les chromosomes précédents en deux nouveaux.
Un haplogroupe est un groupe d’haplotypes, lesquels sont des séries d’allèles (variantes d’un gène) situés à des sites spécifiques dans un chromosome.
Ils permettent d’identifier avec certitude un groupe commun.
Les différents groupes raciaux présentent des compositions d’haplogroupes vastement différentes.
Les Blancs Européens ainsi présentent principalement l’haplogroupe R1, dans ses sous-groupes R1a et R1b, et l’haplogroupe I. L’existence de sous-groupes est naturelle : on prend en compte davantage de mutations, qui sont en conséquences chacune moins répandues et plus spécifiques à un groupe.
Certaines zones situées à des points de rencontres voient une variabilité bien plus grande, la Turquie par exemple qui est très mélangée.
Les différences majeures d’haplogroupes entre les territoires occupés par les groupes raciaux distincts confirment qu’il y a eu une endogamie importante au sein de ces groupes. L’endogamie est pour les membres d’un groupe, le fait de se reproduire au sein de ce groupe. Par exemple, un blanc avec une blanche, un suédois avec une suédoise, un juif avec une juive. Le facteur culturel peut favoriser l’endogamie très fortement, créant une isolation artificielle entamant le processus de différenciation.
Bien entendu, le groupe racial d’un individu n’est pas déterminé simplement par son haplogroupe Y ou mitochondrien, qui ne donnent que la filiation raciale dans la lignée paternelle ou maternelle.
Pour cela, il faut une analyse autosomale : analyse de la totalité des chromosomes de l’individu.
Ainsi, pour chacun d’entre eux on peut déterminer le groupe racial dont il relève : des analyses en assez grande quantité, parmi des personnes à l’appartenance raciale et ethnique clairement établie (critères anthropologiques et généalogie), permettent en effet d’obtenir des références.
Les techniques d’analyse sur le génome et de traitement statistique des données à partir des échantillons de populations étudiées ont été mises au point notamment par l’équipe du professeur Masatoshi Nei (Pennsylvania State University). Parmi ses contributions, qui permettent la définition des groupes raciaux selon les critères génétiques, on peut citer les méthodes statistiques pour mesurer la distance génétique entre les populations (la distance génétique de Nei) et la méthode de reconstruction des arbres phylogénétiques.
Les diverses techniques mises au point par l’équipe de professeur Masatoshi Nei, et par d’autres scientifiques, ont été utilisées et complétées par des scientifiques dont les recherches concernent la génétique des populations dans des domaines variés.
Only White Lives Matter.
il y a un an
Les races ne sont pas identiques
Cela semble évident, puisque leur existence même repose sur leurs différences, mais il existe un dogme qui consiste à affirmer faussement « toutes les races sont du même niveau, dans tous les domaines ». Lorsque ces dogmes sont contredits par les faits a-t-on le droit d’exprimer ces faits ? L’existence des races n’est pas établie seulement par l’observation subjective simple mais repose sur des critères objectifs scientifiquement définissables. Les études comparatives établissent les différences d’aptitudes entre les races. A-t-on le droit de constater dans un rapport scientifique rendu public que les différences d’aptitudes entre les races humaines sont un fait établi ? On en a le droit exactement comme on a le droit de constater que l’eau mouille et que 2+2 font 4.
Si le processus qui a permis à partir d’un ancêtre commun de passer d’un animal quadrupède poilu avec l’intelligence d’un singe à un animal bipède largement dépourvu de pilosité et avec une intelligence bien supérieure, pourquoi donc la poursuite de ce processus, qui a conduit à l’émergence des races, ne pourrait-elle pas engendrer des différences dans les aptitudes physiques, intellectuelles, sociales ?
Cela n’aurait aucun sens.
Conclusion
Les races existent, il est possible d’identifier l’appartenance raciale de quelqu’un d’un simple regard, mais aussi par l’anthropologie et de déterminer une composition raciale plus détaillée à l’aide de la génétique.
Les différences raciales existent.
Nous aurons l’occasion à de multiples reprises d’insister sur ce point.
La conscience raciale et la volonté de la défendre sont des éléments fondamentaux du nationalisme dans le cadre de l’attaque mondialiste contre les peuples européens.
Cela semble évident, puisque leur existence même repose sur leurs différences, mais il existe un dogme qui consiste à affirmer faussement « toutes les races sont du même niveau, dans tous les domaines ». Lorsque ces dogmes sont contredits par les faits a-t-on le droit d’exprimer ces faits ? L’existence des races n’est pas établie seulement par l’observation subjective simple mais repose sur des critères objectifs scientifiquement définissables. Les études comparatives établissent les différences d’aptitudes entre les races. A-t-on le droit de constater dans un rapport scientifique rendu public que les différences d’aptitudes entre les races humaines sont un fait établi ? On en a le droit exactement comme on a le droit de constater que l’eau mouille et que 2+2 font 4.
Si le processus qui a permis à partir d’un ancêtre commun de passer d’un animal quadrupède poilu avec l’intelligence d’un singe à un animal bipède largement dépourvu de pilosité et avec une intelligence bien supérieure, pourquoi donc la poursuite de ce processus, qui a conduit à l’émergence des races, ne pourrait-elle pas engendrer des différences dans les aptitudes physiques, intellectuelles, sociales ?
Cela n’aurait aucun sens.
Conclusion
Les races existent, il est possible d’identifier l’appartenance raciale de quelqu’un d’un simple regard, mais aussi par l’anthropologie et de déterminer une composition raciale plus détaillée à l’aide de la génétique.
Les différences raciales existent.
Nous aurons l’occasion à de multiples reprises d’insister sur ce point.
La conscience raciale et la volonté de la défendre sont des éléments fondamentaux du nationalisme dans le cadre de l’attaque mondialiste contre les peuples européens.
Only White Lives Matter.
il y a un an
Selon une personne dont je ne peux citer le nom, respecter l'existence des races, c'est respecter le plan divin
Nous sommes un.
il y a un an
BlueRider_5DX
1 an
Selon une personne dont je ne peux citer le nom, respecter l'existence des races, c'est respecter le plan divin
Je crois savoir qui était cette personne, mais j'ai oublié son nom...
Only White Lives Matter.
il y a un an
Je crois savoir qui était cette personne, mais j'ai oublié son nom...
Nous sommes un.
il y a un an