Ce sujet a été résolu
C'était y'a quelques temps j'étais dans les chiottes et le disjoncteur a sauté. Noir total et pas mon téléphone sur moi. Comme j'étais "en train de" j'ai terminé mon affaire et tout fait à taton dans l'obscurité et bordel c'était G-E-N-I-A-L.
Le rituel d'aller chier est passé dans un autre espace temps (espace noir, et temps allongé comme ralenti pour assurer chaque geste qui devenait presque cérémoniel et attentionné). C'est devenu un moment "tout autre" renforçant ce petit plaisir habituel de lâcher un étron dans l'intimité du petit cabinet.
Je vous jure que même l'écho dans la pièce semblait décuplé, mes étrons "floquaient" dans le lagon bleu comme un stalactite millénaire se décrochant de la voûte d'une caverne profonde et inconnue, pour heurter la surface placide d'un lac souterrain jamais dérangé par plus d'une chute de goutte d'eau dans toute son histoire jusque là.
Voûté sur mon trône pour soulager le colon dans son travail, j'étais un casimodo qui faisait sonner les cloches.
Le torchage de cul qui ne se mesurait plus à la couleur de la trace par le regard, mais aux extrêmes sensibilités de sensation des poils de la raie à leur adhérence au papier selon l'épaisseur de matière restante. C'était déceler le frottis des pattes de la fourmis qui marche sur les feuilles mortes d'une forêt d'automne.
Quant à l'odeur c'était le comble de l'humilité et du recceuillement. L'obscurité et l'odeur fétide de la matière morte me mettaient en proie aux affres du tombeau et du sépulcre. Mon chiotte était devenu une crypte et mon fumier un face à face avec la décomposition et la putréfaction de toute fin de vie qui faisait écho à la mienne qui allait aussi connaître un terme un jour, et inéluctablement se rapprocher de cet état au fond de la cuvette. J'en frissonnait d’effroi et de plaisir, de cette mort qui telle du poivre nous brûle délicieusement les lèvres et nous rappelle à la vie existante en ce moment.
La chasse d'eau fut une cascade purificatrice des pensées, un sas de décompression. Le loquet tourné et la porte ouverte, j'étais ébloui par la lumière, mes poumons se remplissais d'un air pur et bien odorant, c'était comme une résurrection pour repartir vivre avec le sourire d'être vivant.
Depuis je chie dans le noir et ma vie semble changée, chaque étron qui pointe le bout de son nez est la promesse d'un jour plus radieux.
Le rituel d'aller chier est passé dans un autre espace temps (espace noir, et temps allongé comme ralenti pour assurer chaque geste qui devenait presque cérémoniel et attentionné). C'est devenu un moment "tout autre" renforçant ce petit plaisir habituel de lâcher un étron dans l'intimité du petit cabinet.
Je vous jure que même l'écho dans la pièce semblait décuplé, mes étrons "floquaient" dans le lagon bleu comme un stalactite millénaire se décrochant de la voûte d'une caverne profonde et inconnue, pour heurter la surface placide d'un lac souterrain jamais dérangé par plus d'une chute de goutte d'eau dans toute son histoire jusque là.
Voûté sur mon trône pour soulager le colon dans son travail, j'étais un casimodo qui faisait sonner les cloches.
Le torchage de cul qui ne se mesurait plus à la couleur de la trace par le regard, mais aux extrêmes sensibilités de sensation des poils de la raie à leur adhérence au papier selon l'épaisseur de matière restante. C'était déceler le frottis des pattes de la fourmis qui marche sur les feuilles mortes d'une forêt d'automne.
Quant à l'odeur c'était le comble de l'humilité et du recceuillement. L'obscurité et l'odeur fétide de la matière morte me mettaient en proie aux affres du tombeau et du sépulcre. Mon chiotte était devenu une crypte et mon fumier un face à face avec la décomposition et la putréfaction de toute fin de vie qui faisait écho à la mienne qui allait aussi connaître un terme un jour, et inéluctablement se rapprocher de cet état au fond de la cuvette. J'en frissonnait d’effroi et de plaisir, de cette mort qui telle du poivre nous brûle délicieusement les lèvres et nous rappelle à la vie existante en ce moment.
La chasse d'eau fut une cascade purificatrice des pensées, un sas de décompression. Le loquet tourné et la porte ouverte, j'étais ébloui par la lumière, mes poumons se remplissais d'un air pur et bien odorant, c'était comme une résurrection pour repartir vivre avec le sourire d'être vivant.
Depuis je chie dans le noir et ma vie semble changée, chaque étron qui pointe le bout de son nez est la promesse d'un jour plus radieux.
il y a un an
Il n'y a que moi qui n'a jamais de coupures de courant?
𝕹𝖊 𝖙𝖊 𝖒𝖊𝖙𝖘 𝖕𝖆𝖘 𝖊𝖓𝖙𝖗𝖊 𝕹𝖆𝖟𝖌𝖚̂𝖑 𝖊𝖙 𝖘𝖆 𝖕𝖗𝖔𝖎𝖊.
il y a un an
J ai pas lu, mais oui chier fait partie des petits plaisir de la vie
Monkey see Monkey do
il y a un an
Je savais à quoi m'attendre en cliquant sur le topic, j'ai quand même lu
Je ne suis pas déçu
Je ne suis pas déçu
il y a un an
C'est une aventure mystique que tu as vécu op.
aïcha avait 9 ans quand mohamed le prophète pédophile l'a violé.
il y a un an
t'es indien l'op
ah non merde, les indiens ne chient pas dans des toilettes
ah non merde, les indiens ne chient pas dans des toilettes
Khey INFJ sympa bien que taré, catho, anti NWO, l'hélite 100% ready. Frère de croisade de @Joshua_38
il y a un an
C'est la prostate qui fait que la pause caca est autant un moment de plaisir?
il y a un an
Anakinetunwooki
1 an
C'était y'a quelques temps j'étais dans les chiottes et le disjoncteur a sauté. Noir total et pas mon téléphone sur moi. Comme j'étais "en train de" j'ai terminé mon affaire et tout fait à taton dans l'obscurité et bordel c'était G-E-N-I-A-L.
Le rituel d'aller chier est passé dans un autre espace temps (espace noir, et temps allongé comme ralenti pour assurer chaque geste qui devenait presque cérémoniel et attentionné). C'est devenu un moment "tout autre" renforçant ce petit plaisir habituel de lâcher un étron dans l'intimité du petit cabinet.
Je vous jure que même l'écho dans la pièce semblait décuplé, mes étrons "floquaient" dans le lagon bleu comme un stalactite millénaire se décrochant de la voûte d'une caverne profonde et inconnue, pour heurter la surface placide d'un lac souterrain jamais dérangé par plus d'une chute de goutte d'eau dans toute son histoire jusque là.
Voûté sur mon trône pour soulager le colon dans son travail, j'étais un casimodo qui faisait sonner les cloches.
Le torchage de cul qui ne se mesurait plus à la couleur de la trace par le regard, mais aux extrêmes sensibilités de sensation des poils de la raie à leur adhérence au papier selon l'épaisseur de matière restante. C'était déceler le frottis des pattes de la fourmis qui marche sur les feuilles mortes d'une forêt d'automne.
Quant à l'odeur c'était le comble de l'humilité et du recceuillement. L'obscurité et l'odeur fétide de la matière morte me mettaient en proie aux affres du tombeau et du sépulcre. Mon chiotte était devenu une crypte et mon fumier un face à face avec la décomposition et la putréfaction de toute fin de vie qui faisait écho à la mienne qui allait aussi connaître un terme un jour, et inéluctablement se rapprocher de cet état au fond de la cuvette. J'en frissonnait d’effroi et de plaisir, de cette mort qui telle du poivre nous brûle délicieusement les lèvres et nous rappelle à la vie existante en ce moment.
La chasse d'eau fut une cascade purificatrice des pensées, un sas de décompression. Le loquet tourné et la porte ouverte, j'étais ébloui par la lumière, mes poumons se remplissais d'un air pur et bien odorant, c'était comme une résurrection pour repartir vivre avec le sourire d'être vivant.
Depuis je chie dans le noir et ma vie semble changée, chaque étron qui pointe le bout de son nez est la promesse d'un jour plus radieux.
Le rituel d'aller chier est passé dans un autre espace temps (espace noir, et temps allongé comme ralenti pour assurer chaque geste qui devenait presque cérémoniel et attentionné). C'est devenu un moment "tout autre" renforçant ce petit plaisir habituel de lâcher un étron dans l'intimité du petit cabinet.
Je vous jure que même l'écho dans la pièce semblait décuplé, mes étrons "floquaient" dans le lagon bleu comme un stalactite millénaire se décrochant de la voûte d'une caverne profonde et inconnue, pour heurter la surface placide d'un lac souterrain jamais dérangé par plus d'une chute de goutte d'eau dans toute son histoire jusque là.
Voûté sur mon trône pour soulager le colon dans son travail, j'étais un casimodo qui faisait sonner les cloches.
Le torchage de cul qui ne se mesurait plus à la couleur de la trace par le regard, mais aux extrêmes sensibilités de sensation des poils de la raie à leur adhérence au papier selon l'épaisseur de matière restante. C'était déceler le frottis des pattes de la fourmis qui marche sur les feuilles mortes d'une forêt d'automne.
Quant à l'odeur c'était le comble de l'humilité et du recceuillement. L'obscurité et l'odeur fétide de la matière morte me mettaient en proie aux affres du tombeau et du sépulcre. Mon chiotte était devenu une crypte et mon fumier un face à face avec la décomposition et la putréfaction de toute fin de vie qui faisait écho à la mienne qui allait aussi connaître un terme un jour, et inéluctablement se rapprocher de cet état au fond de la cuvette. J'en frissonnait d’effroi et de plaisir, de cette mort qui telle du poivre nous brûle délicieusement les lèvres et nous rappelle à la vie existante en ce moment.
La chasse d'eau fut une cascade purificatrice des pensées, un sas de décompression. Le loquet tourné et la porte ouverte, j'étais ébloui par la lumière, mes poumons se remplissais d'un air pur et bien odorant, c'était comme une résurrection pour repartir vivre avec le sourire d'être vivant.
Depuis je chie dans le noir et ma vie semble changée, chaque étron qui pointe le bout de son nez est la promesse d'un jour plus radieux.
Taré


Partie du fdce.Pour le retou de l'errance chevaleresque https://onche.org/topic/5[...]u-chevalier-errant#messag
il y a un an
Anakinetunwooki
1 an
C'était y'a quelques temps j'étais dans les chiottes et le disjoncteur a sauté. Noir total et pas mon téléphone sur moi. Comme j'étais "en train de" j'ai terminé mon affaire et tout fait à taton dans l'obscurité et bordel c'était G-E-N-I-A-L.
Le rituel d'aller chier est passé dans un autre espace temps (espace noir, et temps allongé comme ralenti pour assurer chaque geste qui devenait presque cérémoniel et attentionné). C'est devenu un moment "tout autre" renforçant ce petit plaisir habituel de lâcher un étron dans l'intimité du petit cabinet.
Je vous jure que même l'écho dans la pièce semblait décuplé, mes étrons "floquaient" dans le lagon bleu comme un stalactite millénaire se décrochant de la voûte d'une caverne profonde et inconnue, pour heurter la surface placide d'un lac souterrain jamais dérangé par plus d'une chute de goutte d'eau dans toute son histoire jusque là.
Voûté sur mon trône pour soulager le colon dans son travail, j'étais un casimodo qui faisait sonner les cloches.
Le torchage de cul qui ne se mesurait plus à la couleur de la trace par le regard, mais aux extrêmes sensibilités de sensation des poils de la raie à leur adhérence au papier selon l'épaisseur de matière restante. C'était déceler le frottis des pattes de la fourmis qui marche sur les feuilles mortes d'une forêt d'automne.
Quant à l'odeur c'était le comble de l'humilité et du recceuillement. L'obscurité et l'odeur fétide de la matière morte me mettaient en proie aux affres du tombeau et du sépulcre. Mon chiotte était devenu une crypte et mon fumier un face à face avec la décomposition et la putréfaction de toute fin de vie qui faisait écho à la mienne qui allait aussi connaître un terme un jour, et inéluctablement se rapprocher de cet état au fond de la cuvette. J'en frissonnait d’effroi et de plaisir, de cette mort qui telle du poivre nous brûle délicieusement les lèvres et nous rappelle à la vie existante en ce moment.
La chasse d'eau fut une cascade purificatrice des pensées, un sas de décompression. Le loquet tourné et la porte ouverte, j'étais ébloui par la lumière, mes poumons se remplissais d'un air pur et bien odorant, c'était comme une résurrection pour repartir vivre avec le sourire d'être vivant.
Depuis je chie dans le noir et ma vie semble changée, chaque étron qui pointe le bout de son nez est la promesse d'un jour plus radieux.
Le rituel d'aller chier est passé dans un autre espace temps (espace noir, et temps allongé comme ralenti pour assurer chaque geste qui devenait presque cérémoniel et attentionné). C'est devenu un moment "tout autre" renforçant ce petit plaisir habituel de lâcher un étron dans l'intimité du petit cabinet.
Je vous jure que même l'écho dans la pièce semblait décuplé, mes étrons "floquaient" dans le lagon bleu comme un stalactite millénaire se décrochant de la voûte d'une caverne profonde et inconnue, pour heurter la surface placide d'un lac souterrain jamais dérangé par plus d'une chute de goutte d'eau dans toute son histoire jusque là.
Voûté sur mon trône pour soulager le colon dans son travail, j'étais un casimodo qui faisait sonner les cloches.
Le torchage de cul qui ne se mesurait plus à la couleur de la trace par le regard, mais aux extrêmes sensibilités de sensation des poils de la raie à leur adhérence au papier selon l'épaisseur de matière restante. C'était déceler le frottis des pattes de la fourmis qui marche sur les feuilles mortes d'une forêt d'automne.
Quant à l'odeur c'était le comble de l'humilité et du recceuillement. L'obscurité et l'odeur fétide de la matière morte me mettaient en proie aux affres du tombeau et du sépulcre. Mon chiotte était devenu une crypte et mon fumier un face à face avec la décomposition et la putréfaction de toute fin de vie qui faisait écho à la mienne qui allait aussi connaître un terme un jour, et inéluctablement se rapprocher de cet état au fond de la cuvette. J'en frissonnait d’effroi et de plaisir, de cette mort qui telle du poivre nous brûle délicieusement les lèvres et nous rappelle à la vie existante en ce moment.
La chasse d'eau fut une cascade purificatrice des pensées, un sas de décompression. Le loquet tourné et la porte ouverte, j'étais ébloui par la lumière, mes poumons se remplissais d'un air pur et bien odorant, c'était comme une résurrection pour repartir vivre avec le sourire d'être vivant.
Depuis je chie dans le noir et ma vie semble changée, chaque étron qui pointe le bout de son nez est la promesse d'un jour plus radieux.
il y a un an
Anakinetunwooki
1 an
C'était y'a quelques temps j'étais dans les chiottes et le disjoncteur a sauté. Noir total et pas mon téléphone sur moi. Comme j'étais "en train de" j'ai terminé mon affaire et tout fait à taton dans l'obscurité et bordel c'était G-E-N-I-A-L.
Le rituel d'aller chier est passé dans un autre espace temps (espace noir, et temps allongé comme ralenti pour assurer chaque geste qui devenait presque cérémoniel et attentionné). C'est devenu un moment "tout autre" renforçant ce petit plaisir habituel de lâcher un étron dans l'intimité du petit cabinet.
Je vous jure que même l'écho dans la pièce semblait décuplé, mes étrons "floquaient" dans le lagon bleu comme un stalactite millénaire se décrochant de la voûte d'une caverne profonde et inconnue, pour heurter la surface placide d'un lac souterrain jamais dérangé par plus d'une chute de goutte d'eau dans toute son histoire jusque là.
Voûté sur mon trône pour soulager le colon dans son travail, j'étais un casimodo qui faisait sonner les cloches.
Le torchage de cul qui ne se mesurait plus à la couleur de la trace par le regard, mais aux extrêmes sensibilités de sensation des poils de la raie à leur adhérence au papier selon l'épaisseur de matière restante. C'était déceler le frottis des pattes de la fourmis qui marche sur les feuilles mortes d'une forêt d'automne.
Quant à l'odeur c'était le comble de l'humilité et du recceuillement. L'obscurité et l'odeur fétide de la matière morte me mettaient en proie aux affres du tombeau et du sépulcre. Mon chiotte était devenu une crypte et mon fumier un face à face avec la décomposition et la putréfaction de toute fin de vie qui faisait écho à la mienne qui allait aussi connaître un terme un jour, et inéluctablement se rapprocher de cet état au fond de la cuvette. J'en frissonnait d’effroi et de plaisir, de cette mort qui telle du poivre nous brûle délicieusement les lèvres et nous rappelle à la vie existante en ce moment.
La chasse d'eau fut une cascade purificatrice des pensées, un sas de décompression. Le loquet tourné et la porte ouverte, j'étais ébloui par la lumière, mes poumons se remplissais d'un air pur et bien odorant, c'était comme une résurrection pour repartir vivre avec le sourire d'être vivant.
Depuis je chie dans le noir et ma vie semble changée, chaque étron qui pointe le bout de son nez est la promesse d'un jour plus radieux.
Le rituel d'aller chier est passé dans un autre espace temps (espace noir, et temps allongé comme ralenti pour assurer chaque geste qui devenait presque cérémoniel et attentionné). C'est devenu un moment "tout autre" renforçant ce petit plaisir habituel de lâcher un étron dans l'intimité du petit cabinet.
Je vous jure que même l'écho dans la pièce semblait décuplé, mes étrons "floquaient" dans le lagon bleu comme un stalactite millénaire se décrochant de la voûte d'une caverne profonde et inconnue, pour heurter la surface placide d'un lac souterrain jamais dérangé par plus d'une chute de goutte d'eau dans toute son histoire jusque là.
Voûté sur mon trône pour soulager le colon dans son travail, j'étais un casimodo qui faisait sonner les cloches.
Le torchage de cul qui ne se mesurait plus à la couleur de la trace par le regard, mais aux extrêmes sensibilités de sensation des poils de la raie à leur adhérence au papier selon l'épaisseur de matière restante. C'était déceler le frottis des pattes de la fourmis qui marche sur les feuilles mortes d'une forêt d'automne.
Quant à l'odeur c'était le comble de l'humilité et du recceuillement. L'obscurité et l'odeur fétide de la matière morte me mettaient en proie aux affres du tombeau et du sépulcre. Mon chiotte était devenu une crypte et mon fumier un face à face avec la décomposition et la putréfaction de toute fin de vie qui faisait écho à la mienne qui allait aussi connaître un terme un jour, et inéluctablement se rapprocher de cet état au fond de la cuvette. J'en frissonnait d’effroi et de plaisir, de cette mort qui telle du poivre nous brûle délicieusement les lèvres et nous rappelle à la vie existante en ce moment.
La chasse d'eau fut une cascade purificatrice des pensées, un sas de décompression. Le loquet tourné et la porte ouverte, j'étais ébloui par la lumière, mes poumons se remplissais d'un air pur et bien odorant, c'était comme une résurrection pour repartir vivre avec le sourire d'être vivant.
Depuis je chie dans le noir et ma vie semble changée, chaque étron qui pointe le bout de son nez est la promesse d'un jour plus radieux.
il y a un an