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16 mai 2023 : une chaîne de télévision présente des excuses
Ce jour-là, le média NHK s’est fendu d’un tweet officiel pour avoir menti aux téléspectateurs(7).
La chaîne avait, en effet, au cours du journal télévisé, expliqué que des patients étaient décédés du covid-19, là où en réalité, ils avaient été tués par le vaccin contre le covid-19.
Les familles des patients s’étaient plaintes auprès de la NHK en affirmant que les journalistes avaient tordu les faits(7).
L’association "Tsunagu kai", basée dans la préfecture de Kyoto, avait été sollicitée par NHK(7).
Cette ONG réunit des familles de victimes du vaccin contre le covid-19. NHK souhaitait obtenir des témoignages de ces familles.
Les témoins endeuillés avaient précisé les circonstances dans lesquelles leurs proches étaient décédés et affirmé leur opposition à ce vaccin.
Mais à leur grande surprise, le 15 mai 2023, la chaîne a présenté les choses comme si le coronavirus avait tué ces personnes et non le vaccin.
Les familles se sont publiquement indignées et ont menacé de porter plainte contre la chaîne.
Le 16 mai, dans l’après-midi, NHK s’excusait(7).
1er juin 2024 : un ancien ministre présente ses excuses publiques
Cette deuxième affaire d’excuses publiques montre qu’au sein de l’opinion publique japonaise, la gestion du covid-19 par les autorités japonaises et internationales ne passe pas.
Une manifestation contre l’OMS avait été organisée.
Et un ancien ministre de l’Intérieur et de la Communication, Kazuhiro Haraguchi, a pris la parole(8).
Ce responsable politique est désormais parlementaire.
Il a dit “Nous nous excusons auprès de vous tous. Je m’excuse auprès de vous tous. Tant de personnes sont décédées. Et elles n’auraient pas dû mourir.”
Il a ajouté : “Lorsque nous sommes confrontés à des armes biologiques comme le coronavirus qui se diffusent, nous essayons de répondre avec une médecine japonaise. C’est ce que nous avons fait en utilisant l’ivermectine développée par le Dr Satoshi Omura. Nous avons proposé cette approche au Parlement. Mais elle a été refusée. Pourquoi ? Parce que le médicament n’était pas assez cher.”(8)
Il a conclu que l’ivermectine risquait de mettre en péril la commercialisation des vaccins.
Kazuhiro Haraguchi a ensuite dit qu’il avait, lui-même, été vacciné avec cet ARNm, ce qui lui a déclenché un lymphome.
C'est pas en France qu'on verrait Michel Cymès et Olivier Verand s'excuser publiquement
					 
				
Ce jour-là, le média NHK s’est fendu d’un tweet officiel pour avoir menti aux téléspectateurs(7).
La chaîne avait, en effet, au cours du journal télévisé, expliqué que des patients étaient décédés du covid-19, là où en réalité, ils avaient été tués par le vaccin contre le covid-19.
Les familles des patients s’étaient plaintes auprès de la NHK en affirmant que les journalistes avaient tordu les faits(7).
L’association "Tsunagu kai", basée dans la préfecture de Kyoto, avait été sollicitée par NHK(7).
Cette ONG réunit des familles de victimes du vaccin contre le covid-19. NHK souhaitait obtenir des témoignages de ces familles.
Les témoins endeuillés avaient précisé les circonstances dans lesquelles leurs proches étaient décédés et affirmé leur opposition à ce vaccin.
Mais à leur grande surprise, le 15 mai 2023, la chaîne a présenté les choses comme si le coronavirus avait tué ces personnes et non le vaccin.
Les familles se sont publiquement indignées et ont menacé de porter plainte contre la chaîne.
Le 16 mai, dans l’après-midi, NHK s’excusait(7).
1er juin 2024 : un ancien ministre présente ses excuses publiques
Cette deuxième affaire d’excuses publiques montre qu’au sein de l’opinion publique japonaise, la gestion du covid-19 par les autorités japonaises et internationales ne passe pas.
Une manifestation contre l’OMS avait été organisée.
Et un ancien ministre de l’Intérieur et de la Communication, Kazuhiro Haraguchi, a pris la parole(8).
Ce responsable politique est désormais parlementaire.
Il a dit “Nous nous excusons auprès de vous tous. Je m’excuse auprès de vous tous. Tant de personnes sont décédées. Et elles n’auraient pas dû mourir.”
Il a ajouté : “Lorsque nous sommes confrontés à des armes biologiques comme le coronavirus qui se diffusent, nous essayons de répondre avec une médecine japonaise. C’est ce que nous avons fait en utilisant l’ivermectine développée par le Dr Satoshi Omura. Nous avons proposé cette approche au Parlement. Mais elle a été refusée. Pourquoi ? Parce que le médicament n’était pas assez cher.”(8)
Il a conclu que l’ivermectine risquait de mettre en péril la commercialisation des vaccins.
Kazuhiro Haraguchi a ensuite dit qu’il avait, lui-même, été vacciné avec cet ARNm, ce qui lui a déclenché un lymphome.
C'est pas en France qu'on verrait Michel Cymès et Olivier Verand s'excuser publiquement
il y a un an
Jsp pk je suis partage entre des periodes de haine et d'amour contre ce pays 
					 
				
🇦🇴🇵🇹
il y a un an
Hirasawa
1 an
Jsp pk je suis partage entre des periodes de haine et d'amour contre ce pays 
					 
				
il y a un an



















