les hongrois sont blancs ou pas ?

Donne moi ces sources

@trapezeleft viens là

C'est à toi que je pose la question

Pas à trapèze gauche

je les ait pas DL sur mon hard drive khey

Tu fais un piètre missionnaire

bah j'en ai rien à foutre de convertir les autres, je suis athée

...

:rienconfruittexte:

ma mission pour l'instant est de me développer avant de développer les autres

Développe

@skeno badge développeur stp

j'ai besoin de développer

Bah oui c’est au centre de l’Europe en dépit de leur langue ouralique comme les finlandais

sale chien

va lire le topax

Peace and lové in despitent ofent

T’as cru que j’avais que ça à foutre de lire ton topic de merde

bah oui

Eurasiens.

Qu'est-ce que

Toi aussi ?

y' a de tout la dedans, du buritos

Mes parents sont sénégalais mais je suis né au pôle nord alors j'ai les cheveux blonds platines lisses et les yeux bleus argentés nofake

Il s'agit d'une réimpression d'une lettre de Ponce Pilate à Tibère César décrivant l'apparence physique de Jésus. Des copies sont conservées à la Bibliothèque du Congrès à Washington.

À TIBERIUS CAESAR :

Un jeune homme est apparu en Galilée, prêchant avec une humble onction une loi nouvelle au nom du Dieu qui l'avait envoyé. Je craignis d'abord qu'il ne cherchât à soulever le peuple contre les Romains, mais mes craintes furent bientôt dissipées. Jésus de Nazareth parlait plutôt en ami des Romains qu'en ami des Juifs. Un jour, j'ai observé au milieu d'un groupe de personnes un jeune homme qui, adossé à un arbre, s'adressait calmement à la foule. On m'a dit que c'était Jésus. J'aurais pu facilement m'en douter, tant la différence entre lui et ceux qui l'écoutaient était grande. Ses cheveux et sa barbe dorés donnaient à son apparence un aspect céleste. Il semblait avoir une trentaine d'années. Jamais je n'ai vu un visage plus doux et plus serein. Quel contraste entre lui et ses porteurs à la barbe noire et au teint fauve ! Ne voulant pas l'interrompre par ma présence, j'ai continué ma marche, mais j'ai demandé à ma secrétaire de se joindre au groupe et d'écouter. Plus tard, mon secrétaire m'a dit qu'il n'avait jamais rien vu dans les œuvres de tous les philosophes qui soit comparable à l'enseignement de Jésus. Il m'a dit que Jésus n'était ni séditieux ni rebelle, et nous lui avons donc accordé notre protection. Il était libre d'agir, de parler, de se réunir et de s'adresser au peuple. Cette liberté illimitée a provoqué les Juifs, non pas les pauvres, mais les riches et les puissants.

Plus tard, j'ai écrit à Jésus pour lui demander une entrevue au prétoire. Il vint. Lorsque le Nazaréen fit son apparition, j'étais en train de faire ma promenade matinale et, face à lui, mes pieds semblaient attachés d'une main de fer au pavé de marbre et je tremblais de tous mes membres comme un coupable, alors qu'il était calme. Pendant un certain temps, j'ai admiré cet homme extraordinaire. Il n'y avait rien de repoussant en lui, ni dans son caractère, mais je me sentais impressionné en sa présence. Je lui ai dit qu'il y avait une simplicité magnétique autour de lui et de sa personnalité qui l'élevait bien au-dessus des philosophes et des enseignants de son époque. En somme, il a fait une profonde impression sur moi et sur tout le monde en raison de sa bonté, de sa simplicité, de son humilité et de son amour.

Maintenant, Noble Souverain, il y a les faits concernant Jésus de Nazareth et j'ai pris le temps de vous écrire en détail à ce sujet. Je dis qu'un tel homme qui a pu changer l'eau en vin, la mort en vie, la maladie en santé, calmer les mers agitées, n'est coupable d'aucun crime et, comme d'autres l'ont dit, nous devons être d'accord : c'est vraiment le Fils de Dieu !
Votre très obéissant serviteur,
PONTIUS PILATE

La description suivante de Jésus-Christ a été écrite par Publius Lentrelus (l'orthographe n'est peut-être pas correcte car l'écriture était indistincte), un habitant de Judée sous le règne de Tibère César, à l'intention du monarque à Rome. Elle est apparue pour la première fois dans les écrits de Saint Anselme de Canterbury au XIe siècle :

« En ce temps-ci vit en Judée un homme d'une vertu singulière, nommé Jésus-Christ, que les barbares considèrent comme un prophète, mais que ses disciples aiment et adorent comme le rejeton du Dieu immortel

Il rappelle les morts des tombeaux et guérit toutes sortes de maladies d'un mot ou d'un toucher. C'est un homme de grande taille, bien formé, d'un aspect aimable et révérencieux ; ses cheveux d'une couleur difficilement égalable tombent en boucles gracieuses, ondulent et sont très agréables accroupis sur l'épaule, séparés sur le sommet de la tête, coulant en ruisseau vers l'avant à la mode des nazaréens. Son front est haut, large et imposant ; ses joues sans tache ni ride, d'un beau rouge ; son nez et sa bouche sont d'une symétrie exquise ; sa barbe, d'une couleur appropriée à ses cheveux, descend au-dessous du menton et se sépare au milieu comme une fourche ; ses yeux sont d'un bleu vif, clairs et sereins. Regard innocent, digne, viril et mûr. Les proportions de son corps sont parfaites et captivantes ; ses bras et ses mains sont délicieux à voir.

Il réprimande avec majesté, conseille avec douceur, et tout son discours, en paroles ou en actes, est éloquent et grave. Personne ne l'a vu rire, mais ses manières sont extrêmement agréables, et il a souvent pleuré en présence des hommes. Il est tempéré, modeste et sage. Un homme d'une beauté et d'une perfection extraordinaires, surpassant en tous points les enfants des hommes.