[Histoire] Comment les tramways se sont faits remplacés par les bus

Et sinon c'est juste plus pratique et moins cher un bus . Installer des rails , ne pas pouvoir changer d'itinerairee comme tu veux . Sans compter le prix de l'entretient des infrastrcture la reservation des voies . Et le dysfonctionnement permanent des transport public en france , c'est pas une grande perte .

Si on avait gardé beaucoup de trams, ca aurait fait baisser le prix des entretiens.
Théoriquement, je crois que tu risques moins de problème venant d'un tramway électrique, plutôt qu'un bus.

Faut entretenir la voie et les rails c'est encore plus cher .

Au début du 20e siècle, les tramways étaient omniprésents dans notre société. Personnellement, je vois même encore des vestiges de rails dans un village non loin de chez moi. Je me demandais, comment on en est arrivé à faire disparaitre ces réseaux qui pourtant seraient aujourd'hui d’une grande aide pour nos déplacements. Voici l’histoire.

Au cœur du scandale des tramways américains, un complot industriel a remodelé le paysage urbain des États-Unis. Le scandale des tramways américains illustre les dérives du libéralisme exacerbé, où la quête de profit

des grandes entreprises a écrasé l’intérêt public. Dans les années 1930-1950, des géants de l’industrie automobile, pétrolière ainsi que producteurs de pneus se sont associés. General Motors, Standard Oil of California, Firestone Tire, Phillips Petroleum, et Mack Trucks ont uni leurs forces pour éliminer les tramways électriques. Leur objectif ? Booster la vente de voitures et de bus.

La révélation tardive de ces agissements a exposé une manipulation délibérée du marché et des infrastructures urbaines, favorisant les intérêts des grandes entreprises au détriment de l’environnement et de la santé publique. Ce coup d’État capitaliste, mené par des magnats tels qu’Alfred Sloan de General Motors, a non seulement détruit un système de transport public efficace mais a également engendré une dépendance toxique aux énergies fossiles, exacerbant la pollution et le chaos urbain.

Ils ont racheté une grande partie des entreprises de tramways, déjà fragilisées par la crise de 1929. A chaque fois, ils remplacaient les tramways qu'ils disaient "vieux et dépassés" pour les remplacer par des bus "modernes et confortables".

Ce cas est un témoignage accablant des horreurs que peut engendrer un capitalisme sans freins, où la maximisation des profits prime sur la durabilité et le bien-être collectif.

Ce scandale est aujourd’hui considéré comme un exemple flagrant de l’influence néfaste des lobbies industriels.

Vous imaginez, plutôt que d’avoir des parkings immenses, vous auriez pu simplement venir faire vos courses chez Leclerc en tramway.

Résumé :

et avant d'utiliser le terme "energie fossile" comme la juive Rotshild de greta , sache que le réchauffement climatique par le CO2 est bidon, qu'il y a bien assez de pétrole et de gaz pour encore +100 ans, mais surtout, que la priorité de notre civilisation raciale blanche/ de nos enfants là est dans notre SURVIE à COURT TERME face aux juifs, aux chinois, aux nègres, aux indiens et aux golems suicidaires

ridicule l'op le tramway est comme le train, un transport en commun d'esclave, de promiscuité. Le tramway n'aurait de toute façon pas pu cohabiter/être compétitif avec l'offre voiture + bus + train ; parce que des routes y'en a partout (bus, voiture, camions), des rails de train y'en a partout, mais des petits rail de tramway pour tramway, c'est restrictif

faut se dire qu'à l'époque, des masses d'ouvriers se rendaient à la même usine pendant 40 ans, aujourd'hui ce n'est absolument plus le cas

Au début du 20e siècle, les tramways étaient omniprésents dans notre société. Personnellement, je vois même encore des vestiges de rails dans un village non loin de chez moi. Je me demandais, comment on en est arrivé à faire disparaitre ces réseaux qui pourtant seraient aujourd'hui d’une grande aide pour nos déplacements. Voici l’histoire.

Au cœur du scandale des tramways américains, un complot industriel a remodelé le paysage urbain des États-Unis. Le scandale des tramways américains illustre les dérives du libéralisme exacerbé, où la quête de profit

des grandes entreprises a écrasé l’intérêt public. Dans les années 1930-1950, des géants de l’industrie automobile, pétrolière ainsi que producteurs de pneus se sont associés. General Motors, Standard Oil of California, Firestone Tire, Phillips Petroleum, et Mack Trucks ont uni leurs forces pour éliminer les tramways électriques. Leur objectif ? Booster la vente de voitures et de bus.

La révélation tardive de ces agissements a exposé une manipulation délibérée du marché et des infrastructures urbaines, favorisant les intérêts des grandes entreprises au détriment de l’environnement et de la santé publique. Ce coup d’État capitaliste, mené par des magnats tels qu’Alfred Sloan de General Motors, a non seulement détruit un système de transport public efficace mais a également engendré une dépendance toxique aux énergies fossiles, exacerbant la pollution et le chaos urbain.

Ils ont racheté une grande partie des entreprises de tramways, déjà fragilisées par la crise de 1929. A chaque fois, ils remplacaient les tramways qu'ils disaient "vieux et dépassés" pour les remplacer par des bus "modernes et confortables".

Ce cas est un témoignage accablant des horreurs que peut engendrer un capitalisme sans freins, où la maximisation des profits prime sur la durabilité et le bien-être collectif.

Ce scandale est aujourd’hui considéré comme un exemple flagrant de l’influence néfaste des lobbies industriels.

Vous imaginez, plutôt que d’avoir des parkings immenses, vous auriez pu simplement venir faire vos courses chez Leclerc en tramway.

Résumé :

Pareil pour toutes les petites lignes de train. En bas de mon village, le train passait dans la plaine pour rejoindre les villes aux alentours.

Et bien finito