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:pirouette-pipe:
il y a un an

Sondage – 43 votes

Si, aux yeux de Dieu elle est toujours vierge
Ballec de la virginité
Non, elle a été souillée
:pirouette-pipe:
il y a un an
Oui oui violée, on connaît la vraie histoire
:selection_naturelle:
Fondée en 1915, 890 milliards d'eurodollars de valeur monétaire, 600 000 membres. Et toi?
il y a un an
Saka
Saka
1 an
Oui oui violée, on connaît la vraie histoire
:selection_naturelle:
Imagine que c'est vrai, genre vraiment vrai
:pirouette-pipe:
il y a un an
Saka
Saka
1 an
Oui oui violée, on connaît la vraie histoire
:selection_naturelle:
il y a un an
C'est marrant au lycée si tu parles aux meufs autour de toi tu remarques qu'il y en a une sur deux qui s'est faite violer, t'as presque l'impression d'être en Ouganda
:adf_cool:


Et quand tu grattes un peu tu captes vite la douille ---> c'est des putes qui ont tourné comme des toupies et qui assument degun (ou alors elles essaie de s'inventer un background, fréquent aussi)
il y a un an
Saint Augustin y répond dans le livre premier de la Cité de Dieu.

On s’imagine couvrir les chrétiens de honte, quand pour rendre plus horrible le tableau de leur captivité, on nous montre les barbares violant les femmes, les filles et même les vierges consacrées à Dieu. [...] Posons d’abord ce principe inébranlable que la vertu qui fait la bonne vie a pour siège l’âme, d’où elle commande aux organes corporels, et que le corps tire sa sainteté du secours qu’il prête à une volonté sainte. Tant que cette volonté ne faiblit pas, tout ce qui arrive au corps par le fait d’une volonté étrangère, sans qu’on puisse l’éviter autrement que par un péché, tout cela n’altère en rien notre innocence. Mais, dira-t-on, outre les traitements douloureux que peut souffrir le corps, il est des violences d’une autre nature, celles que le libertinage fait accomplir. Si une chasteté ferme et sûre d’elle-même en sort triomphante, la pudeur en souffre cependant, et on a lieu de craindre qu’un outrage qui ne peut être subi sans quelque plaisir de la chair ne se soit pas consommé sans quelque adhésion de la volonté. [...]

On alléguera la crainte qu’on éprouve d’être souillé par l’impureté d’autrui. Je réponds Si l’impureté reste le fait d’un autre que vous, elle ne vous souillera pas ; si elle vous souille, c’est qu’elle est aussi votre fait. La pureté est une vertu de l’âme ; elle a pour compagne la force qui nous rend capables de supporter les plus grands maux plutôt que de consentir au mal. Or, l’homme le plus pur et le plus ferme est maître, sans doute, du consentement et du refus de sa volonté, mais il ne l’est pas des accidents que sa chair peut subir; comment donc pourrait-il croire, s’il a l’esprit sain, qu’il a perdu la pureté parce que son corps violemment saisi aura servi à assouvir une impureté dont il n’est pas complice? Si la pureté peut être perdue de la sorte, elle n’est plus une vertu de l’âme ; il faut cesser de la compter au nombre des biens qui sont le principe de la bonne vie, et le ranger parmi les biens du corps, avec la vigueur, la beauté, la santé et tous ces avantages qui peuvent souffrir des altérations, sans que la justice et la vertu en soient aucunement altérées. Or, si la pureté n’est rien de mieux que cela, pourquoi s’en mettre si fort en peine au péril même de la vie? Rendez-vous à cette vertu de l’âme son vrai caractère, elle ne peut plus être détruite par la violence faite au corps. Je dirai plus s’il est vrai qu’en faisant des efforts pour ne pas céder à l’attrait des concupiscences charnelles, la sainte continence sanctifie le corps lui-même, j’en conclus que tarit que l’intention de leur résister se maintient ferme et inébranlable, le corps ne perd pas sa sainteté, car la volonté de s’en servir saintement persévère, et, autant qu’il dépend de lui, il nous en laisse la faculté.

La sainteté du corps ne consiste pas à préserver nos membres de toute altération et de tout contact : mille accidents peuvent occasionner de graves blessures, et souvent, pour nous sauver la vie, les chirurgiens nous font subir d’horribles opérations. Une sage-femme, soit malveillance, soit maladresse, soit pur hasard, détruit la virginité d’une jeune fille en voulant la constater, y a-t-il un esprit assez mal fait pour s’imaginer que cette jeune fille par l’altération d’un de ses organes, ait perdu quelque chose de la pureté de son corps? Ainsi donc, tant que l’âme garde ce ferme propos qui fait la sainteté du corps, la brutalité d’une convoitise étrangère ne saurait ôter au corps le caractère sacré que lui imprime une continence persévérante. Voici une femme au coeur perverti qui, trahissant les voeux contractés devant Dieu, court se livrer à son amant. Direz-vous que pendant le chemin elle est encore pure de corps, après avoir perdu la pureté de l’âme, source de l’autre pureté ? Loin de nous cette erreur ! Disons plutôt qu’avec une âme pure, la sainteté du corps ne saurait être altérée, alors même que le corps subirait les derniers outrages; et pareillement, qu’une âme corrompue fait perdre au corps sa sainteté, alors même qu’il n’aurait éprouvé aucune souillure matérielle. Concluons qu’une femme n’a rien à punir en soi par une mort volontaire, quand elle a été victime passive du péché d’autrui ; à plus forte raison, avant l’outrage : car alors elle se charge d’un homicide certain pour empêcher un crime encore incertain.

il y a un an
Saint Augustin y répond dans le livre premier de la Cité de Dieu.

On s’imagine couvrir les chrétiens de honte, quand pour rendre plus horrible le tableau de leur captivité, on nous montre les barbares violant les femmes, les filles et même les vierges consacrées à Dieu. [...] Posons d’abord ce principe inébranlable que la vertu qui fait la bonne vie a pour siège l’âme, d’où elle commande aux organes corporels, et que le corps tire sa sainteté du secours qu’il prête à une volonté sainte. Tant que cette volonté ne faiblit pas, tout ce qui arrive au corps par le fait d’une volonté étrangère, sans qu’on puisse l’éviter autrement que par un péché, tout cela n’altère en rien notre innocence. Mais, dira-t-on, outre les traitements douloureux que peut souffrir le corps, il est des violences d’une autre nature, celles que le libertinage fait accomplir. Si une chasteté ferme et sûre d’elle-même en sort triomphante, la pudeur en souffre cependant, et on a lieu de craindre qu’un outrage qui ne peut être subi sans quelque plaisir de la chair ne se soit pas consommé sans quelque adhésion de la volonté. [...]

On alléguera la crainte qu’on éprouve d’être souillé par l’impureté d’autrui. Je réponds Si l’impureté reste le fait d’un autre que vous, elle ne vous souillera pas ; si elle vous souille, c’est qu’elle est aussi votre fait. La pureté est une vertu de l’âme ; elle a pour compagne la force qui nous rend capables de supporter les plus grands maux plutôt que de consentir au mal. Or, l’homme le plus pur et le plus ferme est maître, sans doute, du consentement et du refus de sa volonté, mais il ne l’est pas des accidents que sa chair peut subir; comment donc pourrait-il croire, s’il a l’esprit sain, qu’il a perdu la pureté parce que son corps violemment saisi aura servi à assouvir une impureté dont il n’est pas complice? Si la pureté peut être perdue de la sorte, elle n’est plus une vertu de l’âme ; il faut cesser de la compter au nombre des biens qui sont le principe de la bonne vie, et le ranger parmi les biens du corps, avec la vigueur, la beauté, la santé et tous ces avantages qui peuvent souffrir des altérations, sans que la justice et la vertu en soient aucunement altérées. Or, si la pureté n’est rien de mieux que cela, pourquoi s’en mettre si fort en peine au péril même de la vie? Rendez-vous à cette vertu de l’âme son vrai caractère, elle ne peut plus être détruite par la violence faite au corps. Je dirai plus s’il est vrai qu’en faisant des efforts pour ne pas céder à l’attrait des concupiscences charnelles, la sainte continence sanctifie le corps lui-même, j’en conclus que tarit que l’intention de leur résister se maintient ferme et inébranlable, le corps ne perd pas sa sainteté, car la volonté de s’en servir saintement persévère, et, autant qu’il dépend de lui, il nous en laisse la faculté.

La sainteté du corps ne consiste pas à préserver nos membres de toute altération et de tout contact : mille accidents peuvent occasionner de graves blessures, et souvent, pour nous sauver la vie, les chirurgiens nous font subir d’horribles opérations. Une sage-femme, soit malveillance, soit maladresse, soit pur hasard, détruit la virginité d’une jeune fille en voulant la constater, y a-t-il un esprit assez mal fait pour s’imaginer que cette jeune fille par l’altération d’un de ses organes, ait perdu quelque chose de la pureté de son corps? Ainsi donc, tant que l’âme garde ce ferme propos qui fait la sainteté du corps, la brutalité d’une convoitise étrangère ne saurait ôter au corps le caractère sacré que lui imprime une continence persévérante. Voici une femme au coeur perverti qui, trahissant les voeux contractés devant Dieu, court se livrer à son amant. Direz-vous que pendant le chemin elle est encore pure de corps, après avoir perdu la pureté de l’âme, source de l’autre pureté ? Loin de nous cette erreur ! Disons plutôt qu’avec une âme pure, la sainteté du corps ne saurait être altérée, alors même que le corps subirait les derniers outrages; et pareillement, qu’une âme corrompue fait perdre au corps sa sainteté, alors même qu’il n’aurait éprouvé aucune souillure matérielle. Concluons qu’une femme n’a rien à punir en soi par une mort volontaire, quand elle a été victime passive du péché d’autrui ; à plus forte raison, avant l’outrage : car alors elle se charge d’un homicide certain pour empêcher un crime encore incertain.

Merci clé, elle reste toujours vierge aux yeux de Dieu

onche.org https://onche.org/topic/5[...]un-bougn-a-maisons-alfort
il y a un an
Merci clé, elle reste toujours vierge aux yeux de Dieu

onche.org https://onche.org/topic/5[...]un-bougn-a-maisons-alfort
Prions pour elle.
:doigt_zemmour_risitas:
il y a un an
Imagine que c'est vrai, genre vraiment vrai
:pirouette-pipe:
Comment était elle habillée ?
:soral_poliment_original:
il y a un an
Comment était elle habillée ?
:soral_poliment_original:
Un cambrioleur qui s'infiltre chez elle
il y a un an
Ça compte pas si elle est veaiment violée
:hap_tg:
LabelConFort Kaguya-Hourai
il y a un an
Sans image sans aucune preuve
:singe_eussou:
Yara Pilartz
:coeur:
il y a un an
Sans image sans aucune preuve
:singe_eussou:
Ok karim
:jean_marire:
"Une patrie, un Etat, un chef ."
:Franco1:
:Bonneau_pill:
il y a un an
Ok karim
:jean_marire:
Ils auraient pu poster une photo de la maison au moins ces paresseux
:singe_eussou:

On espère que la cambriolée s'en remettra si c'est vrai cela dit
:jean_marire:
Yara Pilartz
:coeur:
il y a un an
Ils auraient pu poster une photo de la maison au moins ces paresseux
:singe_eussou:

On espère que la cambriolée s'en remettra si c'est vrai cela dit
:jean_marire:
En gros ça t'excite :Zidanevieux:
"Une patrie, un Etat, un chef ."
:Franco1:
:Bonneau_pill:
il y a un an
En gros ça t'excite :Zidanevieux:
Mais qu'est ce que tu racontes ?
:jmarie_doigt:
Yara Pilartz
:coeur:
il y a un an
Un cambrioleur qui s'infiltre chez elle
En tout cas je pense qu'elle a été souillé contre son gré mais souillé tout de même
:risitas_assis:
il y a un an
Mais qu'est ce que tu racontes ?
:jmarie_doigt:
Pourquoi tu veux une photo? :Zidanevieux:
"Une patrie, un Etat, un chef ."
:Franco1:
:Bonneau_pill:
il y a un an
Saint Augustin y répond dans le livre premier de la Cité de Dieu.

On s’imagine couvrir les chrétiens de honte, quand pour rendre plus horrible le tableau de leur captivité, on nous montre les barbares violant les femmes, les filles et même les vierges consacrées à Dieu. [...] Posons d’abord ce principe inébranlable que la vertu qui fait la bonne vie a pour siège l’âme, d’où elle commande aux organes corporels, et que le corps tire sa sainteté du secours qu’il prête à une volonté sainte. Tant que cette volonté ne faiblit pas, tout ce qui arrive au corps par le fait d’une volonté étrangère, sans qu’on puisse l’éviter autrement que par un péché, tout cela n’altère en rien notre innocence. Mais, dira-t-on, outre les traitements douloureux que peut souffrir le corps, il est des violences d’une autre nature, celles que le libertinage fait accomplir. Si une chasteté ferme et sûre d’elle-même en sort triomphante, la pudeur en souffre cependant, et on a lieu de craindre qu’un outrage qui ne peut être subi sans quelque plaisir de la chair ne se soit pas consommé sans quelque adhésion de la volonté. [...]

On alléguera la crainte qu’on éprouve d’être souillé par l’impureté d’autrui. Je réponds Si l’impureté reste le fait d’un autre que vous, elle ne vous souillera pas ; si elle vous souille, c’est qu’elle est aussi votre fait. La pureté est une vertu de l’âme ; elle a pour compagne la force qui nous rend capables de supporter les plus grands maux plutôt que de consentir au mal. Or, l’homme le plus pur et le plus ferme est maître, sans doute, du consentement et du refus de sa volonté, mais il ne l’est pas des accidents que sa chair peut subir; comment donc pourrait-il croire, s’il a l’esprit sain, qu’il a perdu la pureté parce que son corps violemment saisi aura servi à assouvir une impureté dont il n’est pas complice? Si la pureté peut être perdue de la sorte, elle n’est plus une vertu de l’âme ; il faut cesser de la compter au nombre des biens qui sont le principe de la bonne vie, et le ranger parmi les biens du corps, avec la vigueur, la beauté, la santé et tous ces avantages qui peuvent souffrir des altérations, sans que la justice et la vertu en soient aucunement altérées. Or, si la pureté n’est rien de mieux que cela, pourquoi s’en mettre si fort en peine au péril même de la vie? Rendez-vous à cette vertu de l’âme son vrai caractère, elle ne peut plus être détruite par la violence faite au corps. Je dirai plus s’il est vrai qu’en faisant des efforts pour ne pas céder à l’attrait des concupiscences charnelles, la sainte continence sanctifie le corps lui-même, j’en conclus que tarit que l’intention de leur résister se maintient ferme et inébranlable, le corps ne perd pas sa sainteté, car la volonté de s’en servir saintement persévère, et, autant qu’il dépend de lui, il nous en laisse la faculté.

La sainteté du corps ne consiste pas à préserver nos membres de toute altération et de tout contact : mille accidents peuvent occasionner de graves blessures, et souvent, pour nous sauver la vie, les chirurgiens nous font subir d’horribles opérations. Une sage-femme, soit malveillance, soit maladresse, soit pur hasard, détruit la virginité d’une jeune fille en voulant la constater, y a-t-il un esprit assez mal fait pour s’imaginer que cette jeune fille par l’altération d’un de ses organes, ait perdu quelque chose de la pureté de son corps? Ainsi donc, tant que l’âme garde ce ferme propos qui fait la sainteté du corps, la brutalité d’une convoitise étrangère ne saurait ôter au corps le caractère sacré que lui imprime une continence persévérante. Voici une femme au coeur perverti qui, trahissant les voeux contractés devant Dieu, court se livrer à son amant. Direz-vous que pendant le chemin elle est encore pure de corps, après avoir perdu la pureté de l’âme, source de l’autre pureté ? Loin de nous cette erreur ! Disons plutôt qu’avec une âme pure, la sainteté du corps ne saurait être altérée, alors même que le corps subirait les derniers outrages; et pareillement, qu’une âme corrompue fait perdre au corps sa sainteté, alors même qu’il n’aurait éprouvé aucune souillure matérielle. Concluons qu’une femme n’a rien à punir en soi par une mort volontaire, quand elle a été victime passive du péché d’autrui ; à plus forte raison, avant l’outrage : car alors elle se charge d’un homicide certain pour empêcher un crime encore incertain.

Merci kheyou
:risibo:
:hype:
il y a un an