Ce sujet a été résolu
TheMorphing
12j
Pour 2025
Grâce à Rima Hassan. Marine Le Pen aura vraiment tout raté .
il y a 12 jours
Mein Kampf deuxième livre le plus lu dans le Maghreb après le Coran, les objets à croix gammées dispo dans toute l'Asie, on est pas prêts
il y a 12 jours
J'ai au contraire l'impression que cela fait son petit bonhomme de chemin. Une partie du problème sera résolue par les arabes; il est vrai. Difficile de leur faire croire que Big H. était méchant; ni aux asiatiques. Curieusement il n’y a que les blancs qui restent en partie hermétiques aux messages de paix de Big H.
Message de paix -> application du fordisme et de la logique industrielle à la mise à mort systématique d'être humains
il y a 12 jours
On s'en branle d'Adolf, on a des problèmes d'aujourd'hui, pas d'hier.
Votre sauveur va pas surgir miraculeusement du passé, hein !
Votre sauveur va pas surgir miraculeusement du passé, hein !
Non au terrorisme musulman, aux OQTFs assassins, au racisme anti français ! Vive la France Libre !
il y a 12 jours
kerabera
12j
quand les boomers seront plus là
C'est le souhait des islamistes, ça, ils savent qu'alors ils seront majoritaires et seront élus pour instaurer le califat et la charia.
Non au terrorisme musulman, aux OQTFs assassins, au racisme anti français ! Vive la France Libre !
il y a 12 jours
HylienDivin
12j
Des majuscules pour m’assurer un max de visibilité.
—————————————————
On a vu de spectaculaires changements dans la parole publique ces dernières années.
De nombreuses thématiques qui étaient proscrites, honnies il y a encore peu, deviennent assez banales.
Le refus de l'immigration de masse, la critique du progressisme et des moeurs contemporaines sont des opinions de plus en plus répandues.
Mais une question demeure, car la finalité de tels retournements est bien un regard nouveau sur la chronologie : à quand la reconnaissance des bienfaits du national-socialisme, quels qu'aient pu être ses défauts et imperfection ? Quand admettra t-on que l'on paye finalement aujourd'hui la défaite et l'opprobre jeté par les vainqueurs de 45 sur une des dernières tentatives de promouvoir le beau et le vrai en Europe ? Quand verra-t-on, en dehors des marges confidentielles des sachants, une doxa publique en Occident faire preuve de bienveillance à l'égard du führer, celui-là même qui érigea la défense de l'homme blanc et de la civilisation européenne au statut de norme suprême ?
Je ne présumerais de rien, tant les 10 dernières années ont été porteuses de changements importants.
Verra-ton avant 2050 une personnalité publique dire que le peintre autrichien n'était, après tout, pas si fou ni mauvais que ça ?
Il faut avoir conscience d'une chose : le statut du national-socialisme à notre époque est unique dans l'histoire. Aucun régime, aucune idéologie n'a été frappée d'un tel stigmate, d'un tel tabou, d'un tel interdit de pensée. Le jour où le rideau tombera, il s'agira d'un des plus important bouleversements de notre imaginaire collectif. Comment imaginer un monde où, comme au lendemain d'un mauvais rêve, l'on devra justifier pour la postérité la permanence d'un tel matraquage, une telle pensée unique, à travers les médias, l'art, la politique des années durant avant la redécouverte de la vérité ?
Même la chute du rideau de fer et des communismes en Europe de l'Est ne soutiendrais pas la comparaison sur le plan moral et idéologique. Il s'agirais alors d'un véritable séisme, comparable à la découverte de la Pierre de Rosette, à la différence notable que les clés étaient sous nos yeux depuis le début...
Quoi qu'il advienne, nous serons aux premières loges pour le voir. Et nous pourrons, à défaut d'avoir vécu une existence apaisée ou tranquille, nous targuer d'avoir été spectateurs de l'apogée, et peut être de la renaissance, de la notion de politique.
(texte de Charles-Maurras d’Avnol)
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On a vu de spectaculaires changements dans la parole publique ces dernières années.
De nombreuses thématiques qui étaient proscrites, honnies il y a encore peu, deviennent assez banales.
Le refus de l'immigration de masse, la critique du progressisme et des moeurs contemporaines sont des opinions de plus en plus répandues.
Mais une question demeure, car la finalité de tels retournements est bien un regard nouveau sur la chronologie : à quand la reconnaissance des bienfaits du national-socialisme, quels qu'aient pu être ses défauts et imperfection ? Quand admettra t-on que l'on paye finalement aujourd'hui la défaite et l'opprobre jeté par les vainqueurs de 45 sur une des dernières tentatives de promouvoir le beau et le vrai en Europe ? Quand verra-t-on, en dehors des marges confidentielles des sachants, une doxa publique en Occident faire preuve de bienveillance à l'égard du führer, celui-là même qui érigea la défense de l'homme blanc et de la civilisation européenne au statut de norme suprême ?
Je ne présumerais de rien, tant les 10 dernières années ont été porteuses de changements importants.
Verra-ton avant 2050 une personnalité publique dire que le peintre autrichien n'était, après tout, pas si fou ni mauvais que ça ?
Il faut avoir conscience d'une chose : le statut du national-socialisme à notre époque est unique dans l'histoire. Aucun régime, aucune idéologie n'a été frappée d'un tel stigmate, d'un tel tabou, d'un tel interdit de pensée. Le jour où le rideau tombera, il s'agira d'un des plus important bouleversements de notre imaginaire collectif. Comment imaginer un monde où, comme au lendemain d'un mauvais rêve, l'on devra justifier pour la postérité la permanence d'un tel matraquage, une telle pensée unique, à travers les médias, l'art, la politique des années durant avant la redécouverte de la vérité ?
Même la chute du rideau de fer et des communismes en Europe de l'Est ne soutiendrais pas la comparaison sur le plan moral et idéologique. Il s'agirais alors d'un véritable séisme, comparable à la découverte de la Pierre de Rosette, à la différence notable que les clés étaient sous nos yeux depuis le début...
Quoi qu'il advienne, nous serons aux premières loges pour le voir. Et nous pourrons, à défaut d'avoir vécu une existence apaisée ou tranquille, nous targuer d'avoir été spectateurs de l'apogée, et peut être de la renaissance, de la notion de politique.
(texte de Charles-Maurras d’Avnol)
15 Ans.
il y a 12 jours
HylienDivin
12j
Des majuscules pour m’assurer un max de visibilité.
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On a vu de spectaculaires changements dans la parole publique ces dernières années.
De nombreuses thématiques qui étaient proscrites, honnies il y a encore peu, deviennent assez banales.
Le refus de l'immigration de masse, la critique du progressisme et des moeurs contemporaines sont des opinions de plus en plus répandues.
Mais une question demeure, car la finalité de tels retournements est bien un regard nouveau sur la chronologie : à quand la reconnaissance des bienfaits du national-socialisme, quels qu'aient pu être ses défauts et imperfection ? Quand admettra t-on que l'on paye finalement aujourd'hui la défaite et l'opprobre jeté par les vainqueurs de 45 sur une des dernières tentatives de promouvoir le beau et le vrai en Europe ? Quand verra-t-on, en dehors des marges confidentielles des sachants, une doxa publique en Occident faire preuve de bienveillance à l'égard du führer, celui-là même qui érigea la défense de l'homme blanc et de la civilisation européenne au statut de norme suprême ?
Je ne présumerais de rien, tant les 10 dernières années ont été porteuses de changements importants.
Verra-ton avant 2050 une personnalité publique dire que le peintre autrichien n'était, après tout, pas si fou ni mauvais que ça ?
Il faut avoir conscience d'une chose : le statut du national-socialisme à notre époque est unique dans l'histoire. Aucun régime, aucune idéologie n'a été frappée d'un tel stigmate, d'un tel tabou, d'un tel interdit de pensée. Le jour où le rideau tombera, il s'agira d'un des plus important bouleversements de notre imaginaire collectif. Comment imaginer un monde où, comme au lendemain d'un mauvais rêve, l'on devra justifier pour la postérité la permanence d'un tel matraquage, une telle pensée unique, à travers les médias, l'art, la politique des années durant avant la redécouverte de la vérité ?
Même la chute du rideau de fer et des communismes en Europe de l'Est ne soutiendrais pas la comparaison sur le plan moral et idéologique. Il s'agirais alors d'un véritable séisme, comparable à la découverte de la Pierre de Rosette, à la différence notable que les clés étaient sous nos yeux depuis le début...
Quoi qu'il advienne, nous serons aux premières loges pour le voir. Et nous pourrons, à défaut d'avoir vécu une existence apaisée ou tranquille, nous targuer d'avoir été spectateurs de l'apogée, et peut être de la renaissance, de la notion de politique.
(texte de Charles-Maurras d’Avnol)
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On a vu de spectaculaires changements dans la parole publique ces dernières années.
De nombreuses thématiques qui étaient proscrites, honnies il y a encore peu, deviennent assez banales.
Le refus de l'immigration de masse, la critique du progressisme et des moeurs contemporaines sont des opinions de plus en plus répandues.
Mais une question demeure, car la finalité de tels retournements est bien un regard nouveau sur la chronologie : à quand la reconnaissance des bienfaits du national-socialisme, quels qu'aient pu être ses défauts et imperfection ? Quand admettra t-on que l'on paye finalement aujourd'hui la défaite et l'opprobre jeté par les vainqueurs de 45 sur une des dernières tentatives de promouvoir le beau et le vrai en Europe ? Quand verra-t-on, en dehors des marges confidentielles des sachants, une doxa publique en Occident faire preuve de bienveillance à l'égard du führer, celui-là même qui érigea la défense de l'homme blanc et de la civilisation européenne au statut de norme suprême ?
Je ne présumerais de rien, tant les 10 dernières années ont été porteuses de changements importants.
Verra-ton avant 2050 une personnalité publique dire que le peintre autrichien n'était, après tout, pas si fou ni mauvais que ça ?
Il faut avoir conscience d'une chose : le statut du national-socialisme à notre époque est unique dans l'histoire. Aucun régime, aucune idéologie n'a été frappée d'un tel stigmate, d'un tel tabou, d'un tel interdit de pensée. Le jour où le rideau tombera, il s'agira d'un des plus important bouleversements de notre imaginaire collectif. Comment imaginer un monde où, comme au lendemain d'un mauvais rêve, l'on devra justifier pour la postérité la permanence d'un tel matraquage, une telle pensée unique, à travers les médias, l'art, la politique des années durant avant la redécouverte de la vérité ?
Même la chute du rideau de fer et des communismes en Europe de l'Est ne soutiendrais pas la comparaison sur le plan moral et idéologique. Il s'agirais alors d'un véritable séisme, comparable à la découverte de la Pierre de Rosette, à la différence notable que les clés étaient sous nos yeux depuis le début...
Quoi qu'il advienne, nous serons aux premières loges pour le voir. Et nous pourrons, à défaut d'avoir vécu une existence apaisée ou tranquille, nous targuer d'avoir été spectateurs de l'apogée, et peut être de la renaissance, de la notion de politique.
(texte de Charles-Maurras d’Avnol)
Il n’y aura pas de grande prise de conscience avant un bon bout de temps
Depuis 45, c’est la fabrique à golems qui a prospéré de manière faramineuse pour étouffer la vérité
Il faudra plusieurs siècle pour que la vraie Histoire soit assumée
Autrement dit, après la mort, naturelle ou pas, de ceux qui en profitent aujourd’hui
Depuis 45, c’est la fabrique à golems qui a prospéré de manière faramineuse pour étouffer la vérité
Il faudra plusieurs siècle pour que la vraie Histoire soit assumée
Autrement dit, après la mort, naturelle ou pas, de ceux qui en profitent aujourd’hui
il y a 12 jours
Réhabiliter un homme qui détester la France ahi bordel les droitardé vous etes vraiment des con
il y a 12 jours
New-Volo
12j
Réhabiliter un homme qui détester la France ahi bordel les droitardé vous etes vraiment des con
Qui aime la France républicaine ?
La France républicaine n’a servit que de tremplin au sionisme depuis sa création en 1789
En dépit des goys qui sont morts pour elle, donc inconsciemment pour là où on en est aujourd’hui : l’avènement du sionisme
La France républicaine n’a servit que de tremplin au sionisme depuis sa création en 1789
En dépit des goys qui sont morts pour elle, donc inconsciemment pour là où on en est aujourd’hui : l’avènement du sionisme
il y a 12 jours
HylienDivin
12j
Des majuscules pour m’assurer un max de visibilité.
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On a vu de spectaculaires changements dans la parole publique ces dernières années.
De nombreuses thématiques qui étaient proscrites, honnies il y a encore peu, deviennent assez banales.
Le refus de l'immigration de masse, la critique du progressisme et des moeurs contemporaines sont des opinions de plus en plus répandues.
Mais une question demeure, car la finalité de tels retournements est bien un regard nouveau sur la chronologie : à quand la reconnaissance des bienfaits du national-socialisme, quels qu'aient pu être ses défauts et imperfection ? Quand admettra t-on que l'on paye finalement aujourd'hui la défaite et l'opprobre jeté par les vainqueurs de 45 sur une des dernières tentatives de promouvoir le beau et le vrai en Europe ? Quand verra-t-on, en dehors des marges confidentielles des sachants, une doxa publique en Occident faire preuve de bienveillance à l'égard du führer, celui-là même qui érigea la défense de l'homme blanc et de la civilisation européenne au statut de norme suprême ?
Je ne présumerais de rien, tant les 10 dernières années ont été porteuses de changements importants.
Verra-ton avant 2050 une personnalité publique dire que le peintre autrichien n'était, après tout, pas si fou ni mauvais que ça ?
Il faut avoir conscience d'une chose : le statut du national-socialisme à notre époque est unique dans l'histoire. Aucun régime, aucune idéologie n'a été frappée d'un tel stigmate, d'un tel tabou, d'un tel interdit de pensée. Le jour où le rideau tombera, il s'agira d'un des plus important bouleversements de notre imaginaire collectif. Comment imaginer un monde où, comme au lendemain d'un mauvais rêve, l'on devra justifier pour la postérité la permanence d'un tel matraquage, une telle pensée unique, à travers les médias, l'art, la politique des années durant avant la redécouverte de la vérité ?
Même la chute du rideau de fer et des communismes en Europe de l'Est ne soutiendrais pas la comparaison sur le plan moral et idéologique. Il s'agirais alors d'un véritable séisme, comparable à la découverte de la Pierre de Rosette, à la différence notable que les clés étaient sous nos yeux depuis le début...
Quoi qu'il advienne, nous serons aux premières loges pour le voir. Et nous pourrons, à défaut d'avoir vécu une existence apaisée ou tranquille, nous targuer d'avoir été spectateurs de l'apogée, et peut être de la renaissance, de la notion de politique.
(texte de Charles-Maurras d’Avnol)
—————————————————
On a vu de spectaculaires changements dans la parole publique ces dernières années.
De nombreuses thématiques qui étaient proscrites, honnies il y a encore peu, deviennent assez banales.
Le refus de l'immigration de masse, la critique du progressisme et des moeurs contemporaines sont des opinions de plus en plus répandues.
Mais une question demeure, car la finalité de tels retournements est bien un regard nouveau sur la chronologie : à quand la reconnaissance des bienfaits du national-socialisme, quels qu'aient pu être ses défauts et imperfection ? Quand admettra t-on que l'on paye finalement aujourd'hui la défaite et l'opprobre jeté par les vainqueurs de 45 sur une des dernières tentatives de promouvoir le beau et le vrai en Europe ? Quand verra-t-on, en dehors des marges confidentielles des sachants, une doxa publique en Occident faire preuve de bienveillance à l'égard du führer, celui-là même qui érigea la défense de l'homme blanc et de la civilisation européenne au statut de norme suprême ?
Je ne présumerais de rien, tant les 10 dernières années ont été porteuses de changements importants.
Verra-ton avant 2050 une personnalité publique dire que le peintre autrichien n'était, après tout, pas si fou ni mauvais que ça ?
Il faut avoir conscience d'une chose : le statut du national-socialisme à notre époque est unique dans l'histoire. Aucun régime, aucune idéologie n'a été frappée d'un tel stigmate, d'un tel tabou, d'un tel interdit de pensée. Le jour où le rideau tombera, il s'agira d'un des plus important bouleversements de notre imaginaire collectif. Comment imaginer un monde où, comme au lendemain d'un mauvais rêve, l'on devra justifier pour la postérité la permanence d'un tel matraquage, une telle pensée unique, à travers les médias, l'art, la politique des années durant avant la redécouverte de la vérité ?
Même la chute du rideau de fer et des communismes en Europe de l'Est ne soutiendrais pas la comparaison sur le plan moral et idéologique. Il s'agirais alors d'un véritable séisme, comparable à la découverte de la Pierre de Rosette, à la différence notable que les clés étaient sous nos yeux depuis le début...
Quoi qu'il advienne, nous serons aux premières loges pour le voir. Et nous pourrons, à défaut d'avoir vécu une existence apaisée ou tranquille, nous targuer d'avoir été spectateurs de l'apogée, et peut être de la renaissance, de la notion de politique.
(texte de Charles-Maurras d’Avnol)
il est présent sur onche Charles-Maurras ?
LC
il y a 12 jours