Ce sujet a été résolu
Il existe de multiples attitudes adoptables face à l'horrible société. La plus courante est la conformité. Vient ensuite la tristesse, la morosité.
C'est votre état, comme c'est l'etat de toutes les personnes qui ont refuser de se conformer mais qui doivent supporter tous les jours le spectacle de cette société maudite.
Il existe d'autres attitudes. La mienne, déjà : la fuite. Côtoyer la société est facultatif. Se marginaliser est possible. On développe alors une indifférence pour la décadence du monde. Ce n'est plus le nôtre.
Mais où trouver la joie ? André Gide nous le dit : dans les sensations les plus simples. La caresse du vent tiède, la vue d'un bel arbre, le bruit de la pluie. Jouissez de tous les phénomènes sensoriels.
Il faut réduire ses désirs, se détacher de nos savoirs, de nos idées, de nos biens matériels, oublier le passé, le futur, et être simplement présent, en train de profiter de ce qui est là.
Oubliez la violence, le capitalisme sauvage, la routine des gens, l'immigration, les femmes, oubliez tout, partez, detournez le regard, et ennivrez vous des étoiles comme un gosse
C'est une attitude dangereuse. Une attitude égoïste. Une attitude radicale difficile à atteindre. Mais vous avez le droit à la joie. La fuite dans la contemplation du monde vaut mieux que la rageuse tristesse du type qui cherche encore à se faire une place dans la société quelque part
Fuyez, et menez une vie folle, une vie de clochard s'il le faut, pour peu que vous soyez hors du système. Vous verrez alors des choses que les autres ne voient pas. De la beauté, des sensations brûlantes, comme si vous veniez de naître ou que votre esprit meditait perpétuellement
C'est votre état, comme c'est l'etat de toutes les personnes qui ont refuser de se conformer mais qui doivent supporter tous les jours le spectacle de cette société maudite.
Il existe d'autres attitudes. La mienne, déjà : la fuite. Côtoyer la société est facultatif. Se marginaliser est possible. On développe alors une indifférence pour la décadence du monde. Ce n'est plus le nôtre.
Mais où trouver la joie ? André Gide nous le dit : dans les sensations les plus simples. La caresse du vent tiède, la vue d'un bel arbre, le bruit de la pluie. Jouissez de tous les phénomènes sensoriels.
Il faut réduire ses désirs, se détacher de nos savoirs, de nos idées, de nos biens matériels, oublier le passé, le futur, et être simplement présent, en train de profiter de ce qui est là.
Oubliez la violence, le capitalisme sauvage, la routine des gens, l'immigration, les femmes, oubliez tout, partez, detournez le regard, et ennivrez vous des étoiles comme un gosse
C'est une attitude dangereuse. Une attitude égoïste. Une attitude radicale difficile à atteindre. Mais vous avez le droit à la joie. La fuite dans la contemplation du monde vaut mieux que la rageuse tristesse du type qui cherche encore à se faire une place dans la société quelque part
Fuyez, et menez une vie folle, une vie de clochard s'il le faut, pour peu que vous soyez hors du système. Vous verrez alors des choses que les autres ne voient pas. De la beauté, des sensations brûlantes, comme si vous veniez de naître ou que votre esprit meditait perpétuellement
il y a un an
Eussoudore01
1 an
Il existe de multiples attitudes adoptables face à l'horrible société. La plus courante est la conformité. Vient ensuite la tristesse, la morosité.
C'est votre état, comme c'est l'etat de toutes les personnes qui ont refuser de se conformer mais qui doivent supporter tous les jours le spectacle de cette société maudite.
Il existe d'autres attitudes. La mienne, déjà : la fuite. Côtoyer la société est facultatif. Se marginaliser est possible. On développe alors une indifférence pour la décadence du monde. Ce n'est plus le nôtre.
Mais où trouver la joie ? André Gide nous le dit : dans les sensations les plus simples. La caresse du vent tiède, la vue d'un bel arbre, le bruit de la pluie. Jouissez de tous les phénomènes sensoriels.
Il faut réduire ses désirs, se détacher de nos savoirs, de nos idées, de nos biens matériels, oublier le passé, le futur, et être simplement présent, en train de profiter de ce qui est là.
Oubliez la violence, le capitalisme sauvage, la routine des gens, l'immigration, les femmes, oubliez tout, partez, detournez le regard, et ennivrez vous des étoiles comme un gosse
C'est une attitude dangereuse. Une attitude égoïste. Une attitude radicale difficile à atteindre. Mais vous avez le droit à la joie. La fuite dans la contemplation du monde vaut mieux que la rageuse tristesse du type qui cherche encore à se faire une place dans la société quelque part
Fuyez, et menez une vie folle, une vie de clochard s'il le faut, pour peu que vous soyez hors du système. Vous verrez alors des choses que les autres ne voient pas. De la beauté, des sensations brûlantes, comme si vous veniez de naître ou que votre esprit meditait perpétuellement
C'est votre état, comme c'est l'etat de toutes les personnes qui ont refuser de se conformer mais qui doivent supporter tous les jours le spectacle de cette société maudite.
Il existe d'autres attitudes. La mienne, déjà : la fuite. Côtoyer la société est facultatif. Se marginaliser est possible. On développe alors une indifférence pour la décadence du monde. Ce n'est plus le nôtre.
Mais où trouver la joie ? André Gide nous le dit : dans les sensations les plus simples. La caresse du vent tiède, la vue d'un bel arbre, le bruit de la pluie. Jouissez de tous les phénomènes sensoriels.
Il faut réduire ses désirs, se détacher de nos savoirs, de nos idées, de nos biens matériels, oublier le passé, le futur, et être simplement présent, en train de profiter de ce qui est là.
Oubliez la violence, le capitalisme sauvage, la routine des gens, l'immigration, les femmes, oubliez tout, partez, detournez le regard, et ennivrez vous des étoiles comme un gosse
C'est une attitude dangereuse. Une attitude égoïste. Une attitude radicale difficile à atteindre. Mais vous avez le droit à la joie. La fuite dans la contemplation du monde vaut mieux que la rageuse tristesse du type qui cherche encore à se faire une place dans la société quelque part
Fuyez, et menez une vie folle, une vie de clochard s'il le faut, pour peu que vous soyez hors du système. Vous verrez alors des choses que les autres ne voient pas. De la beauté, des sensations brûlantes, comme si vous veniez de naître ou que votre esprit meditait perpétuellement
Ok Jean-Kerouak
il y a un an
il y a un an
Si c'est juste une déprime passagère, la douleur physique engendrée par le sport est la meilleure solution
Nous sommes la jeunesse, nous sommes la vie, Rex doit vaincre c'est pourquoi Rex vaincra
il y a un an
Eussoudore01
1 an
Il existe de multiples attitudes adoptables face à l'horrible société. La plus courante est la conformité. Vient ensuite la tristesse, la morosité.
C'est votre état, comme c'est l'etat de toutes les personnes qui ont refuser de se conformer mais qui doivent supporter tous les jours le spectacle de cette société maudite.
Il existe d'autres attitudes. La mienne, déjà : la fuite. Côtoyer la société est facultatif. Se marginaliser est possible. On développe alors une indifférence pour la décadence du monde. Ce n'est plus le nôtre.
Mais où trouver la joie ? André Gide nous le dit : dans les sensations les plus simples. La caresse du vent tiède, la vue d'un bel arbre, le bruit de la pluie. Jouissez de tous les phénomènes sensoriels.
Il faut réduire ses désirs, se détacher de nos savoirs, de nos idées, de nos biens matériels, oublier le passé, le futur, et être simplement présent, en train de profiter de ce qui est là.
Oubliez la violence, le capitalisme sauvage, la routine des gens, l'immigration, les femmes, oubliez tout, partez, detournez le regard, et ennivrez vous des étoiles comme un gosse
C'est une attitude dangereuse. Une attitude égoïste. Une attitude radicale difficile à atteindre. Mais vous avez le droit à la joie. La fuite dans la contemplation du monde vaut mieux que la rageuse tristesse du type qui cherche encore à se faire une place dans la société quelque part
Fuyez, et menez une vie folle, une vie de clochard s'il le faut, pour peu que vous soyez hors du système. Vous verrez alors des choses que les autres ne voient pas. De la beauté, des sensations brûlantes, comme si vous veniez de naître ou que votre esprit meditait perpétuellement
C'est votre état, comme c'est l'etat de toutes les personnes qui ont refuser de se conformer mais qui doivent supporter tous les jours le spectacle de cette société maudite.
Il existe d'autres attitudes. La mienne, déjà : la fuite. Côtoyer la société est facultatif. Se marginaliser est possible. On développe alors une indifférence pour la décadence du monde. Ce n'est plus le nôtre.
Mais où trouver la joie ? André Gide nous le dit : dans les sensations les plus simples. La caresse du vent tiède, la vue d'un bel arbre, le bruit de la pluie. Jouissez de tous les phénomènes sensoriels.
Il faut réduire ses désirs, se détacher de nos savoirs, de nos idées, de nos biens matériels, oublier le passé, le futur, et être simplement présent, en train de profiter de ce qui est là.
Oubliez la violence, le capitalisme sauvage, la routine des gens, l'immigration, les femmes, oubliez tout, partez, detournez le regard, et ennivrez vous des étoiles comme un gosse
C'est une attitude dangereuse. Une attitude égoïste. Une attitude radicale difficile à atteindre. Mais vous avez le droit à la joie. La fuite dans la contemplation du monde vaut mieux que la rageuse tristesse du type qui cherche encore à se faire une place dans la société quelque part
Fuyez, et menez une vie folle, une vie de clochard s'il le faut, pour peu que vous soyez hors du système. Vous verrez alors des choses que les autres ne voient pas. De la beauté, des sensations brûlantes, comme si vous veniez de naître ou que votre esprit meditait perpétuellement
Une autre vie existe, accessible facilement, plus saine, plus auprès de la nature, plus concrète ou les fruits de ton travail te parvienne directement et redonne goût à la vie aux plus déséspéré à mon avis .
Si tu vis dans un appart de merde, enfermé 22h sur 24, vivant d'aides sociales... tu peux faire la même chose dans un coin plus reculé et plus sauvage de France.
La différence ?
Tu pourras sortir quasiment sans croiser qui que ce soit, et t'enfoncer dans la nature, dans la forêt, pres des petits cours d'eau. Tu pourras apprendre à trouver des plantes sauvages et des champignons. Voir, reconnaitre et photographier des animaux. Peut etre auras tu un petit jardin pour un loyer inférireur à la cellule que tu paies aujourd hui en ville.
Il y a une autre vie pour vous mes kheys. Une vie loin d'etre aussi dure que certain le pense.
Si tu vis dans un appart de merde, enfermé 22h sur 24, vivant d'aides sociales... tu peux faire la même chose dans un coin plus reculé et plus sauvage de France.
La différence ?
Tu pourras sortir quasiment sans croiser qui que ce soit, et t'enfoncer dans la nature, dans la forêt, pres des petits cours d'eau. Tu pourras apprendre à trouver des plantes sauvages et des champignons. Voir, reconnaitre et photographier des animaux. Peut etre auras tu un petit jardin pour un loyer inférireur à la cellule que tu paies aujourd hui en ville.
Il y a une autre vie pour vous mes kheys. Une vie loin d'etre aussi dure que certain le pense.
Certain disent l'avoir vu trainer dans leur potager la nuit
il y a un an
ElBouclador
1 an
Pourquoi vouloir se détacher de nos savoirs, de nos idées et vouloir oublier le passé et le futur
Pour accueillir les sensations présente sans préjugé, sans lassitude, comme pour la première fois. Pour être ouvert à n'importe quel avenir. Pour ne pas snober ce gauchiste qui t'aborde et qui t'aurais fait éprouver quelques minutes de sentiments amicaux. Pour ne pas être nostalgique d'une enfance rêvée alors que le vent souffle encore contre les chênes
il y a un an
Pour accueillir les sensations présente sans préjugé, sans lassitude, comme pour la première fois. Pour être ouvert à n'importe quel avenir. Pour ne pas snober ce gauchiste qui t'aborde et qui t'aurais fait éprouver quelques minutes de sentiments amicaux. Pour ne pas être nostalgique d'une enfance rêvée alors que le vent souffle encore contre les chênes
il y a un an
Aucun besoin de s'oublier sois même pour cela
Essaie, tu verras
il y a un an
ElBouclador
1 an
Pourquoi vouloir se détacher de nos savoirs, de nos idées et vouloir oublier le passé et le futur
D’accord sur ça mais effectivement l’op à raison sur les plaisirs simples.
Bref une bonne balade dans un coin tranquille avec soi même fait toujours du bien
Bref une bonne balade dans un coin tranquille avec soi même fait toujours du bien

Tu attends quoi pour t’armer FDP ? Calibre 12 occasion + vingtaine de chevrotine 1 = 350€
il y a un an
Essaie, tu verras
il y a un an
D’accord sur ça mais effectivement l’op à raison sur les plaisirs simples.
Bref une bonne balade dans un coin tranquille avec soi même fait toujours du bien
Bref une bonne balade dans un coin tranquille avec soi même fait toujours du bien

Je suis aussi d'accord avec lui sur ça, je pense juste que ces conditions ne sont pas nécessaires à cela justement
il y a un an
Je suis aussi d'accord avec lui sur ça, je pense juste que ces conditions ne sont pas nécessaires à cela justement
On est d’accord
Tu attends quoi pour t’armer FDP ? Calibre 12 occasion + vingtaine de chevrotine 1 = 350€
il y a un an