Ce sujet a été résolu
et tu attend une vrai réponse ?
oui
https://risibank.fr/cache[...]0/25/2590/259050/full.gif T'aimes ça hein?

il y a un an
oui
Biographie
Naissance
30 juin 1949Voir et modifier les données sur Wikidata (74 ans)
ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Alain Luc FinkielkrautVoir et modifier les données sur Wikidata
Époque
Philosophie contemporaine
Nationalités
polonaise (1949-1950)
française (depuis 1950)
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
École normale supérieure de Saint-Cloud (à partir de 1969)
Lycée Henri-IVVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Philosophe, producteur de radio, journaliste d'opinion, écrivain, animateur de radio, critiqueVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
École polytechnique (novembre 1989 - 2014)
France Culture (depuis 1985)Voir et modifier les données sur Wikidata
Membre de
Académie française (2014)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mouvement
Nouveaux philosophesVoir et modifier les données sur Wikidata
Influencé par
Alexis de Tocqueville, Ernest Renan, Franz Rosenzweig, Hannah Arendt, Emmanuel Levinas, Claude Lévi-Strauss, Charles Péguy, Milan Kundera, Martin HeideggerVoir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
afficherListe détaillée
Œuvres principales
Le Nouveau Désordre amoureux (1977)
La Défaite de la pensée (1987)
Le Mécontemporain. Charles Péguy, lecteur du monde moderne (1992)
Internet, l'inquiétante extase (2001)
L'imparfait du présent. Pièces brèves (2002)
Nous autres, modernes : Quatre leçons (2005)
La Querelle de l'école (2007)
Un cœur intelligent (2009)
Et si l'amour durait (2011)
L'Identité malheureuse (2013)
La Seule Exactitude (2015)
En terrain miné, co-publié avec Elisabeth de Fontenay (2017)
Des animaux et des hommes (2018)
À la première personne (2019)
L'après littérature (2021)
modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle
Alain Finkielkrauta, né le 30 juin 1949 à Paris, est un philosophe, écrivain, professeur, essayiste, polémiste, producteur de radio et académicien français.
Ancien élève de l'École normale supérieure de Saint-Cloud, agrégé de lettres modernes et titulaire d'une maîtrise de philosophie, il est l'auteur de nombreux essais sur la littérature, l'amour et la modernité. Professeur au lycée technique de Beauvais (1974-1976), puis assistant-professeur invité à l'université de Californie à Berkeley (1976-1978)[réf. nécessaire], il enseigne à l'Institut universitaire privé Elie-Wiesel à Paris et exerce comme professeur d'histoire des idées au département humanités et sciences sociales de l'École polytechnique entre 1989 et 2014, année où il est élu membre de l'Académie française. Il anime depuis 1985 l'émission Répliques sur France Culture et intervient régulièrement dans l'espace médiatique français où il est régulièrement à l'origine de controverses et de polémiques.
Il s'est engagé dans le mouvement de mai 68 avant de rejoindre la « nouvelle philosophie » dans les années 1970. Devenu un intellectuel familier du public au cours des années 1980, il développe alors une réflexion propre sur l'identité, la mémoire et l'intégration par l'école. Dans ce contexte, il s'est exprimé sur des questions politiques comme la judéité, le nationalisme, la colonisation, le sionisme, la notion d'identité, l'antisémitisme et le racisme, sur le multiculturalisme, sur les failles du système éducatif français, ou encore sur les guerres de Yougoslavie — prises de positions qui ont parfois fait l'objet de vives controverses.
Il est officier de la Légion d'honneur depuis 2009 et lauréat de nombreux prix pour ses essais.
Biographie[modifier | modifier le code]
Origines et parcours[modifier | modifier le code]
Alain Luc Finkielkraut naît à Paris le 30 juin 1949 de Daniel et Janka Finkielkraut, réfugiés juifs polonais.
Daniel Finkielkraut1, né le 26 octobre 1904 à Varsovie, maroquinier, a quitté la Pologne dans les années 1930 en raison de l'antisémitisme2. Après avoir été victime de la rafle du billet vert3,4 il est déporté dans le convoi no 5, en date du 28 juin 1942, de Beaune-la-Rolande vers le camp d'extermination nazi d'Auschwitz5, où il survit à la Shoah. Les grands-parents paternels d'Alain Finkielkraut, Aron Finkielkraut et Terner Finkielkraut, sont déportés par le convoi no 36, en date du 23 septembre 1942, du Camp de Drancy vers Auschwitz6.
Janka, née sous le prénom de Laura dans la ville de Lviv alors polonaise, a survécu à l'extermination de sa famille dans les camps situés en Pologne7 et s'est d'abord réfugiée en Allemagne, puis à Anvers, en Belgique. Elle adopte définitivement le prénom de « Janka » figurant sur ses faux papiers8[source insuffisante]. En 1950, Daniel et Janka Finkielkraut et leur fils unique Alain Luc bénéficient d'une naturalisation collective de l'État français9.
Après ses études secondaires, Finkielkraut entre en classes préparatoires au lycée Henri-IV.
Pascal Bruckner, un de ses condisciples, témoigne de l'antimilitarisme de Finkielkraut, qui se serait fait réformer du service militaire par simulation10.
En 1969 il est reçu à l'École normale supérieure de Saint-Cloud11,12.
En 1972, après une maîtrise de philosophie13, il est reçu à l'agrégation de lettres modernes12,14. Il est ensuite nommé professeur de lettres modernes au lycée Paul-Langevin de Beauvais.
De 1976 à 1978 il enseigne au département de littérature française de l'université de Californie à Berkeley.
Il se marie en 1985 avec l'avocate Sylvie Topaloff15. La même année il devient l'animateur de Répliques sur France Culture15.
De novembre 1989 à 2014 il est professeur d'histoire des idées à l'École polytechnique. À la rentrée 2014 Alain Finkielkraut prend sa retraite de l'École polytechnique, où il est remplacé par le philosophe Michaël Fœssel9.
En 2000 il cofonde l'Institut d'études lévinassiennes16.
Critique médiatisé des réformes du système éducatif français, il est consulté par l'État sur les questions scolaires (il fait notamment partie de la commission Thélot, dont il démissionne par désaccord avec le contenu du rapport final)17.
Le 10 avril 2014, il est élu à l'Académie française pour succéder, au fauteuil 21, à l'écrivain Félicien Marceau, par 16 voix sur 28 votes, dès le premier tour18,19. Son élection est critiquée par certains académiciens[Qui ?] reprochant le caractère « clivant » du personnage20, alors que d'autres saluent « une reconnaissance qui le consacre comme acteur de l’Histoire de la philosophie et figure active du monde intellectuel français »21. Le 28 janvier 2016b, il est accueilli sous la Coupole par Pierre Nora22 et prononce l'éloge de Félicien Marceau23.
Début 2022, il est hospitalisé pendant trois mois à la suite d'une infection nosocomiale24.
Engagements[modifier | modifier le code]
Dans sa jeunesse, dans le sillage de Mai 68, Alain Finkielkraut est maoïste, proche de la Gauche prolétarienne25, et membre actif de l'Union des jeunesses communistes marxistes-léninistes (UJCml)[réf. nécessaire]. Sans renier ce premier engagement, il s'éloigne de ses camarades politiques en soutenant Israël lors de la guerre du Kippour en 197325. À la fin des années 1980, il soutient les chrétiens du Liban[précision nécessaire]26,27. En 1989, il cosigne un appel dans Le Nouvel Observateur, avec notamment Régis Debray et Élisabeth Badinter, demandant l’interdiction du foulard islamique à l'école28.
Années 1990[modifier | modifier le code]
Dans les années 1990 il est avec Bernard-Henri Lévy parmi les premiers intellectuels à s'engager pour une intervention occidentale en ex-Yougoslavie, dans un climat plutôt hostile (la position officielle de la France et de son président François Mitterrand étant à l'époque pro-serbe)[réf. nécessaire]. Il défend également le droit de la Croatie à la sécession contre la Grande Serbie bâtie sur les ruines de l'ex-Yougoslavie, au nom du principe de la défense des « petites nations » comme gage de liberté. En 1998, il est témoin des parties civiles au procès en appel de Roger Garaudy pour contestation de crimes contre l'humanité29.
Années 2000[modifier | modifier le code]
Dans les années 2000, il condamne la seconde intifada et critique le silence du gouvernement PS de Lionel Jospin au sujet de la montée de l'antisémitisme en France. Lors de l'élection présidentielle de 2002, il fait un discours devant le Panthéon pour protester contre la présence de Jean-Marie Le Pen au second tour du scrutin30,31. Il dénonce également les positions de l'humoriste Dieudonné, qu'il accuse de prôner l'antisémitisme au nom de la défense des Noirs et qu'il estime représentatif d'un « nouvel antisémitisme proféré au nom de l'antiracisme ». Il juge à ce titre Dieudonné plus dangereux que le Front national32.
Années 2010[modifier | modifier le code]
Dans le cadre de l'élection présidentielle française de 2017, Alain Finkielkraut indique qu’il a voté pour Manuel Valls à la primaire de la gauche33. En vue du second tour de la présidentielle, qui oppose Emmanuel Macron à Marine Le Pen, il apporte son soutien au candidat d’En marche34.
Naissance
30 juin 1949Voir et modifier les données sur Wikidata (74 ans)
ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Alain Luc FinkielkrautVoir et modifier les données sur Wikidata
Époque
Philosophie contemporaine
Nationalités
polonaise (1949-1950)
française (depuis 1950)
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
École normale supérieure de Saint-Cloud (à partir de 1969)
Lycée Henri-IVVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Philosophe, producteur de radio, journaliste d'opinion, écrivain, animateur de radio, critiqueVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
École polytechnique (novembre 1989 - 2014)
France Culture (depuis 1985)Voir et modifier les données sur Wikidata
Membre de
Académie française (2014)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mouvement
Nouveaux philosophesVoir et modifier les données sur Wikidata
Influencé par
Alexis de Tocqueville, Ernest Renan, Franz Rosenzweig, Hannah Arendt, Emmanuel Levinas, Claude Lévi-Strauss, Charles Péguy, Milan Kundera, Martin HeideggerVoir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
afficherListe détaillée
Œuvres principales
Le Nouveau Désordre amoureux (1977)
La Défaite de la pensée (1987)
Le Mécontemporain. Charles Péguy, lecteur du monde moderne (1992)
Internet, l'inquiétante extase (2001)
L'imparfait du présent. Pièces brèves (2002)
Nous autres, modernes : Quatre leçons (2005)
La Querelle de l'école (2007)
Un cœur intelligent (2009)
Et si l'amour durait (2011)
L'Identité malheureuse (2013)
La Seule Exactitude (2015)
En terrain miné, co-publié avec Elisabeth de Fontenay (2017)
Des animaux et des hommes (2018)
À la première personne (2019)
L'après littérature (2021)
modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle
Alain Finkielkrauta, né le 30 juin 1949 à Paris, est un philosophe, écrivain, professeur, essayiste, polémiste, producteur de radio et académicien français.
Ancien élève de l'École normale supérieure de Saint-Cloud, agrégé de lettres modernes et titulaire d'une maîtrise de philosophie, il est l'auteur de nombreux essais sur la littérature, l'amour et la modernité. Professeur au lycée technique de Beauvais (1974-1976), puis assistant-professeur invité à l'université de Californie à Berkeley (1976-1978)[réf. nécessaire], il enseigne à l'Institut universitaire privé Elie-Wiesel à Paris et exerce comme professeur d'histoire des idées au département humanités et sciences sociales de l'École polytechnique entre 1989 et 2014, année où il est élu membre de l'Académie française. Il anime depuis 1985 l'émission Répliques sur France Culture et intervient régulièrement dans l'espace médiatique français où il est régulièrement à l'origine de controverses et de polémiques.
Il s'est engagé dans le mouvement de mai 68 avant de rejoindre la « nouvelle philosophie » dans les années 1970. Devenu un intellectuel familier du public au cours des années 1980, il développe alors une réflexion propre sur l'identité, la mémoire et l'intégration par l'école. Dans ce contexte, il s'est exprimé sur des questions politiques comme la judéité, le nationalisme, la colonisation, le sionisme, la notion d'identité, l'antisémitisme et le racisme, sur le multiculturalisme, sur les failles du système éducatif français, ou encore sur les guerres de Yougoslavie — prises de positions qui ont parfois fait l'objet de vives controverses.
Il est officier de la Légion d'honneur depuis 2009 et lauréat de nombreux prix pour ses essais.
Biographie[modifier | modifier le code]
Origines et parcours[modifier | modifier le code]
Alain Luc Finkielkraut naît à Paris le 30 juin 1949 de Daniel et Janka Finkielkraut, réfugiés juifs polonais.
Daniel Finkielkraut1, né le 26 octobre 1904 à Varsovie, maroquinier, a quitté la Pologne dans les années 1930 en raison de l'antisémitisme2. Après avoir été victime de la rafle du billet vert3,4 il est déporté dans le convoi no 5, en date du 28 juin 1942, de Beaune-la-Rolande vers le camp d'extermination nazi d'Auschwitz5, où il survit à la Shoah. Les grands-parents paternels d'Alain Finkielkraut, Aron Finkielkraut et Terner Finkielkraut, sont déportés par le convoi no 36, en date du 23 septembre 1942, du Camp de Drancy vers Auschwitz6.
Janka, née sous le prénom de Laura dans la ville de Lviv alors polonaise, a survécu à l'extermination de sa famille dans les camps situés en Pologne7 et s'est d'abord réfugiée en Allemagne, puis à Anvers, en Belgique. Elle adopte définitivement le prénom de « Janka » figurant sur ses faux papiers8[source insuffisante]. En 1950, Daniel et Janka Finkielkraut et leur fils unique Alain Luc bénéficient d'une naturalisation collective de l'État français9.
Après ses études secondaires, Finkielkraut entre en classes préparatoires au lycée Henri-IV.
Pascal Bruckner, un de ses condisciples, témoigne de l'antimilitarisme de Finkielkraut, qui se serait fait réformer du service militaire par simulation10.
En 1969 il est reçu à l'École normale supérieure de Saint-Cloud11,12.
En 1972, après une maîtrise de philosophie13, il est reçu à l'agrégation de lettres modernes12,14. Il est ensuite nommé professeur de lettres modernes au lycée Paul-Langevin de Beauvais.
De 1976 à 1978 il enseigne au département de littérature française de l'université de Californie à Berkeley.
Il se marie en 1985 avec l'avocate Sylvie Topaloff15. La même année il devient l'animateur de Répliques sur France Culture15.
De novembre 1989 à 2014 il est professeur d'histoire des idées à l'École polytechnique. À la rentrée 2014 Alain Finkielkraut prend sa retraite de l'École polytechnique, où il est remplacé par le philosophe Michaël Fœssel9.
En 2000 il cofonde l'Institut d'études lévinassiennes16.
Critique médiatisé des réformes du système éducatif français, il est consulté par l'État sur les questions scolaires (il fait notamment partie de la commission Thélot, dont il démissionne par désaccord avec le contenu du rapport final)17.
Le 10 avril 2014, il est élu à l'Académie française pour succéder, au fauteuil 21, à l'écrivain Félicien Marceau, par 16 voix sur 28 votes, dès le premier tour18,19. Son élection est critiquée par certains académiciens[Qui ?] reprochant le caractère « clivant » du personnage20, alors que d'autres saluent « une reconnaissance qui le consacre comme acteur de l’Histoire de la philosophie et figure active du monde intellectuel français »21. Le 28 janvier 2016b, il est accueilli sous la Coupole par Pierre Nora22 et prononce l'éloge de Félicien Marceau23.
Début 2022, il est hospitalisé pendant trois mois à la suite d'une infection nosocomiale24.
Engagements[modifier | modifier le code]
Dans sa jeunesse, dans le sillage de Mai 68, Alain Finkielkraut est maoïste, proche de la Gauche prolétarienne25, et membre actif de l'Union des jeunesses communistes marxistes-léninistes (UJCml)[réf. nécessaire]. Sans renier ce premier engagement, il s'éloigne de ses camarades politiques en soutenant Israël lors de la guerre du Kippour en 197325. À la fin des années 1980, il soutient les chrétiens du Liban[précision nécessaire]26,27. En 1989, il cosigne un appel dans Le Nouvel Observateur, avec notamment Régis Debray et Élisabeth Badinter, demandant l’interdiction du foulard islamique à l'école28.
Années 1990[modifier | modifier le code]
Dans les années 1990 il est avec Bernard-Henri Lévy parmi les premiers intellectuels à s'engager pour une intervention occidentale en ex-Yougoslavie, dans un climat plutôt hostile (la position officielle de la France et de son président François Mitterrand étant à l'époque pro-serbe)[réf. nécessaire]. Il défend également le droit de la Croatie à la sécession contre la Grande Serbie bâtie sur les ruines de l'ex-Yougoslavie, au nom du principe de la défense des « petites nations » comme gage de liberté. En 1998, il est témoin des parties civiles au procès en appel de Roger Garaudy pour contestation de crimes contre l'humanité29.
Années 2000[modifier | modifier le code]
Dans les années 2000, il condamne la seconde intifada et critique le silence du gouvernement PS de Lionel Jospin au sujet de la montée de l'antisémitisme en France. Lors de l'élection présidentielle de 2002, il fait un discours devant le Panthéon pour protester contre la présence de Jean-Marie Le Pen au second tour du scrutin30,31. Il dénonce également les positions de l'humoriste Dieudonné, qu'il accuse de prôner l'antisémitisme au nom de la défense des Noirs et qu'il estime représentatif d'un « nouvel antisémitisme proféré au nom de l'antiracisme ». Il juge à ce titre Dieudonné plus dangereux que le Front national32.
Années 2010[modifier | modifier le code]
Dans le cadre de l'élection présidentielle française de 2017, Alain Finkielkraut indique qu’il a voté pour Manuel Valls à la primaire de la gauche33. En vue du second tour de la présidentielle, qui oppose Emmanuel Macron à Marine Le Pen, il apporte son soutien au candidat d’En marche34.
membre de la confrérie des "Frères Validux"
il y a un an
Ça y est
Pardon ?
ils savent
Vous parlez de quoi très cher éminent président directeur Alain Finkielkraut
Bah des couilles de Brigitte
On va marquer une courte page de pub

Pardon ?
ils savent

Vous parlez de quoi très cher éminent président directeur Alain Finkielkraut
Bah des couilles de Brigitte
On va marquer une courte page de pub
house music
il y a un an
Biographie
Naissance
30 juin 1949Voir et modifier les données sur Wikidata (74 ans)
ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Alain Luc FinkielkrautVoir et modifier les données sur Wikidata
Époque
Philosophie contemporaine
Nationalités
polonaise (1949-1950)
française (depuis 1950)
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
École normale supérieure de Saint-Cloud (à partir de 1969)
Lycée Henri-IVVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Philosophe, producteur de radio, journaliste d'opinion, écrivain, animateur de radio, critiqueVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
École polytechnique (novembre 1989 - 2014)
France Culture (depuis 1985)Voir et modifier les données sur Wikidata
Membre de
Académie française (2014)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mouvement
Nouveaux philosophesVoir et modifier les données sur Wikidata
Influencé par
Alexis de Tocqueville, Ernest Renan, Franz Rosenzweig, Hannah Arendt, Emmanuel Levinas, Claude Lévi-Strauss, Charles Péguy, Milan Kundera, Martin HeideggerVoir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
afficherListe détaillée
Œuvres principales
Le Nouveau Désordre amoureux (1977)
La Défaite de la pensée (1987)
Le Mécontemporain. Charles Péguy, lecteur du monde moderne (1992)
Internet, l'inquiétante extase (2001)
L'imparfait du présent. Pièces brèves (2002)
Nous autres, modernes : Quatre leçons (2005)
La Querelle de l'école (2007)
Un cœur intelligent (2009)
Et si l'amour durait (2011)
L'Identité malheureuse (2013)
La Seule Exactitude (2015)
En terrain miné, co-publié avec Elisabeth de Fontenay (2017)
Des animaux et des hommes (2018)
À la première personne (2019)
L'après littérature (2021)
modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle
Alain Finkielkrauta, né le 30 juin 1949 à Paris, est un philosophe, écrivain, professeur, essayiste, polémiste, producteur de radio et académicien français.
Ancien élève de l'École normale supérieure de Saint-Cloud, agrégé de lettres modernes et titulaire d'une maîtrise de philosophie, il est l'auteur de nombreux essais sur la littérature, l'amour et la modernité. Professeur au lycée technique de Beauvais (1974-1976), puis assistant-professeur invité à l'université de Californie à Berkeley (1976-1978)[réf. nécessaire], il enseigne à l'Institut universitaire privé Elie-Wiesel à Paris et exerce comme professeur d'histoire des idées au département humanités et sciences sociales de l'École polytechnique entre 1989 et 2014, année où il est élu membre de l'Académie française. Il anime depuis 1985 l'émission Répliques sur France Culture et intervient régulièrement dans l'espace médiatique français où il est régulièrement à l'origine de controverses et de polémiques.
Il s'est engagé dans le mouvement de mai 68 avant de rejoindre la « nouvelle philosophie » dans les années 1970. Devenu un intellectuel familier du public au cours des années 1980, il développe alors une réflexion propre sur l'identité, la mémoire et l'intégration par l'école. Dans ce contexte, il s'est exprimé sur des questions politiques comme la judéité, le nationalisme, la colonisation, le sionisme, la notion d'identité, l'antisémitisme et le racisme, sur le multiculturalisme, sur les failles du système éducatif français, ou encore sur les guerres de Yougoslavie — prises de positions qui ont parfois fait l'objet de vives controverses.
Il est officier de la Légion d'honneur depuis 2009 et lauréat de nombreux prix pour ses essais.
Biographie[modifier | modifier le code]
Origines et parcours[modifier | modifier le code]
Alain Luc Finkielkraut naît à Paris le 30 juin 1949 de Daniel et Janka Finkielkraut, réfugiés juifs polonais.
Daniel Finkielkraut1, né le 26 octobre 1904 à Varsovie, maroquinier, a quitté la Pologne dans les années 1930 en raison de l'antisémitisme2. Après avoir été victime de la rafle du billet vert3,4 il est déporté dans le convoi no 5, en date du 28 juin 1942, de Beaune-la-Rolande vers le camp d'extermination nazi d'Auschwitz5, où il survit à la Shoah. Les grands-parents paternels d'Alain Finkielkraut, Aron Finkielkraut et Terner Finkielkraut, sont déportés par le convoi no 36, en date du 23 septembre 1942, du Camp de Drancy vers Auschwitz6.
Janka, née sous le prénom de Laura dans la ville de Lviv alors polonaise, a survécu à l'extermination de sa famille dans les camps situés en Pologne7 et s'est d'abord réfugiée en Allemagne, puis à Anvers, en Belgique. Elle adopte définitivement le prénom de « Janka » figurant sur ses faux papiers8[source insuffisante]. En 1950, Daniel et Janka Finkielkraut et leur fils unique Alain Luc bénéficient d'une naturalisation collective de l'État français9.
Après ses études secondaires, Finkielkraut entre en classes préparatoires au lycée Henri-IV.
Pascal Bruckner, un de ses condisciples, témoigne de l'antimilitarisme de Finkielkraut, qui se serait fait réformer du service militaire par simulation10.
En 1969 il est reçu à l'École normale supérieure de Saint-Cloud11,12.
En 1972, après une maîtrise de philosophie13, il est reçu à l'agrégation de lettres modernes12,14. Il est ensuite nommé professeur de lettres modernes au lycée Paul-Langevin de Beauvais.
De 1976 à 1978 il enseigne au département de littérature française de l'université de Californie à Berkeley.
Il se marie en 1985 avec l'avocate Sylvie Topaloff15. La même année il devient l'animateur de Répliques sur France Culture15.
De novembre 1989 à 2014 il est professeur d'histoire des idées à l'École polytechnique. À la rentrée 2014 Alain Finkielkraut prend sa retraite de l'École polytechnique, où il est remplacé par le philosophe Michaël Fœssel9.
En 2000 il cofonde l'Institut d'études lévinassiennes16.
Critique médiatisé des réformes du système éducatif français, il est consulté par l'État sur les questions scolaires (il fait notamment partie de la commission Thélot, dont il démissionne par désaccord avec le contenu du rapport final)17.
Le 10 avril 2014, il est élu à l'Académie française pour succéder, au fauteuil 21, à l'écrivain Félicien Marceau, par 16 voix sur 28 votes, dès le premier tour18,19. Son élection est critiquée par certains académiciens[Qui ?] reprochant le caractère « clivant » du personnage20, alors que d'autres saluent « une reconnaissance qui le consacre comme acteur de l’Histoire de la philosophie et figure active du monde intellectuel français »21. Le 28 janvier 2016b, il est accueilli sous la Coupole par Pierre Nora22 et prononce l'éloge de Félicien Marceau23.
Début 2022, il est hospitalisé pendant trois mois à la suite d'une infection nosocomiale24.
Engagements[modifier | modifier le code]
Dans sa jeunesse, dans le sillage de Mai 68, Alain Finkielkraut est maoïste, proche de la Gauche prolétarienne25, et membre actif de l'Union des jeunesses communistes marxistes-léninistes (UJCml)[réf. nécessaire]. Sans renier ce premier engagement, il s'éloigne de ses camarades politiques en soutenant Israël lors de la guerre du Kippour en 197325. À la fin des années 1980, il soutient les chrétiens du Liban[précision nécessaire]26,27. En 1989, il cosigne un appel dans Le Nouvel Observateur, avec notamment Régis Debray et Élisabeth Badinter, demandant l’interdiction du foulard islamique à l'école28.
Années 1990[modifier | modifier le code]
Dans les années 1990 il est avec Bernard-Henri Lévy parmi les premiers intellectuels à s'engager pour une intervention occidentale en ex-Yougoslavie, dans un climat plutôt hostile (la position officielle de la France et de son président François Mitterrand étant à l'époque pro-serbe)[réf. nécessaire]. Il défend également le droit de la Croatie à la sécession contre la Grande Serbie bâtie sur les ruines de l'ex-Yougoslavie, au nom du principe de la défense des « petites nations » comme gage de liberté. En 1998, il est témoin des parties civiles au procès en appel de Roger Garaudy pour contestation de crimes contre l'humanité29.
Années 2000[modifier | modifier le code]
Dans les années 2000, il condamne la seconde intifada et critique le silence du gouvernement PS de Lionel Jospin au sujet de la montée de l'antisémitisme en France. Lors de l'élection présidentielle de 2002, il fait un discours devant le Panthéon pour protester contre la présence de Jean-Marie Le Pen au second tour du scrutin30,31. Il dénonce également les positions de l'humoriste Dieudonné, qu'il accuse de prôner l'antisémitisme au nom de la défense des Noirs et qu'il estime représentatif d'un « nouvel antisémitisme proféré au nom de l'antiracisme ». Il juge à ce titre Dieudonné plus dangereux que le Front national32.
Années 2010[modifier | modifier le code]
Dans le cadre de l'élection présidentielle française de 2017, Alain Finkielkraut indique qu’il a voté pour Manuel Valls à la primaire de la gauche33. En vue du second tour de la présidentielle, qui oppose Emmanuel Macron à Marine Le Pen, il apporte son soutien au candidat d’En marche34.
Naissance
30 juin 1949Voir et modifier les données sur Wikidata (74 ans)
ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Alain Luc FinkielkrautVoir et modifier les données sur Wikidata
Époque
Philosophie contemporaine
Nationalités
polonaise (1949-1950)
française (depuis 1950)
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
École normale supérieure de Saint-Cloud (à partir de 1969)
Lycée Henri-IVVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Philosophe, producteur de radio, journaliste d'opinion, écrivain, animateur de radio, critiqueVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
École polytechnique (novembre 1989 - 2014)
France Culture (depuis 1985)Voir et modifier les données sur Wikidata
Membre de
Académie française (2014)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mouvement
Nouveaux philosophesVoir et modifier les données sur Wikidata
Influencé par
Alexis de Tocqueville, Ernest Renan, Franz Rosenzweig, Hannah Arendt, Emmanuel Levinas, Claude Lévi-Strauss, Charles Péguy, Milan Kundera, Martin HeideggerVoir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
afficherListe détaillée
Œuvres principales
Le Nouveau Désordre amoureux (1977)
La Défaite de la pensée (1987)
Le Mécontemporain. Charles Péguy, lecteur du monde moderne (1992)
Internet, l'inquiétante extase (2001)
L'imparfait du présent. Pièces brèves (2002)
Nous autres, modernes : Quatre leçons (2005)
La Querelle de l'école (2007)
Un cœur intelligent (2009)
Et si l'amour durait (2011)
L'Identité malheureuse (2013)
La Seule Exactitude (2015)
En terrain miné, co-publié avec Elisabeth de Fontenay (2017)
Des animaux et des hommes (2018)
À la première personne (2019)
L'après littérature (2021)
modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle
Alain Finkielkrauta, né le 30 juin 1949 à Paris, est un philosophe, écrivain, professeur, essayiste, polémiste, producteur de radio et académicien français.
Ancien élève de l'École normale supérieure de Saint-Cloud, agrégé de lettres modernes et titulaire d'une maîtrise de philosophie, il est l'auteur de nombreux essais sur la littérature, l'amour et la modernité. Professeur au lycée technique de Beauvais (1974-1976), puis assistant-professeur invité à l'université de Californie à Berkeley (1976-1978)[réf. nécessaire], il enseigne à l'Institut universitaire privé Elie-Wiesel à Paris et exerce comme professeur d'histoire des idées au département humanités et sciences sociales de l'École polytechnique entre 1989 et 2014, année où il est élu membre de l'Académie française. Il anime depuis 1985 l'émission Répliques sur France Culture et intervient régulièrement dans l'espace médiatique français où il est régulièrement à l'origine de controverses et de polémiques.
Il s'est engagé dans le mouvement de mai 68 avant de rejoindre la « nouvelle philosophie » dans les années 1970. Devenu un intellectuel familier du public au cours des années 1980, il développe alors une réflexion propre sur l'identité, la mémoire et l'intégration par l'école. Dans ce contexte, il s'est exprimé sur des questions politiques comme la judéité, le nationalisme, la colonisation, le sionisme, la notion d'identité, l'antisémitisme et le racisme, sur le multiculturalisme, sur les failles du système éducatif français, ou encore sur les guerres de Yougoslavie — prises de positions qui ont parfois fait l'objet de vives controverses.
Il est officier de la Légion d'honneur depuis 2009 et lauréat de nombreux prix pour ses essais.
Biographie[modifier | modifier le code]
Origines et parcours[modifier | modifier le code]
Alain Luc Finkielkraut naît à Paris le 30 juin 1949 de Daniel et Janka Finkielkraut, réfugiés juifs polonais.
Daniel Finkielkraut1, né le 26 octobre 1904 à Varsovie, maroquinier, a quitté la Pologne dans les années 1930 en raison de l'antisémitisme2. Après avoir été victime de la rafle du billet vert3,4 il est déporté dans le convoi no 5, en date du 28 juin 1942, de Beaune-la-Rolande vers le camp d'extermination nazi d'Auschwitz5, où il survit à la Shoah. Les grands-parents paternels d'Alain Finkielkraut, Aron Finkielkraut et Terner Finkielkraut, sont déportés par le convoi no 36, en date du 23 septembre 1942, du Camp de Drancy vers Auschwitz6.
Janka, née sous le prénom de Laura dans la ville de Lviv alors polonaise, a survécu à l'extermination de sa famille dans les camps situés en Pologne7 et s'est d'abord réfugiée en Allemagne, puis à Anvers, en Belgique. Elle adopte définitivement le prénom de « Janka » figurant sur ses faux papiers8[source insuffisante]. En 1950, Daniel et Janka Finkielkraut et leur fils unique Alain Luc bénéficient d'une naturalisation collective de l'État français9.
Après ses études secondaires, Finkielkraut entre en classes préparatoires au lycée Henri-IV.
Pascal Bruckner, un de ses condisciples, témoigne de l'antimilitarisme de Finkielkraut, qui se serait fait réformer du service militaire par simulation10.
En 1969 il est reçu à l'École normale supérieure de Saint-Cloud11,12.
En 1972, après une maîtrise de philosophie13, il est reçu à l'agrégation de lettres modernes12,14. Il est ensuite nommé professeur de lettres modernes au lycée Paul-Langevin de Beauvais.
De 1976 à 1978 il enseigne au département de littérature française de l'université de Californie à Berkeley.
Il se marie en 1985 avec l'avocate Sylvie Topaloff15. La même année il devient l'animateur de Répliques sur France Culture15.
De novembre 1989 à 2014 il est professeur d'histoire des idées à l'École polytechnique. À la rentrée 2014 Alain Finkielkraut prend sa retraite de l'École polytechnique, où il est remplacé par le philosophe Michaël Fœssel9.
En 2000 il cofonde l'Institut d'études lévinassiennes16.
Critique médiatisé des réformes du système éducatif français, il est consulté par l'État sur les questions scolaires (il fait notamment partie de la commission Thélot, dont il démissionne par désaccord avec le contenu du rapport final)17.
Le 10 avril 2014, il est élu à l'Académie française pour succéder, au fauteuil 21, à l'écrivain Félicien Marceau, par 16 voix sur 28 votes, dès le premier tour18,19. Son élection est critiquée par certains académiciens[Qui ?] reprochant le caractère « clivant » du personnage20, alors que d'autres saluent « une reconnaissance qui le consacre comme acteur de l’Histoire de la philosophie et figure active du monde intellectuel français »21. Le 28 janvier 2016b, il est accueilli sous la Coupole par Pierre Nora22 et prononce l'éloge de Félicien Marceau23.
Début 2022, il est hospitalisé pendant trois mois à la suite d'une infection nosocomiale24.
Engagements[modifier | modifier le code]
Dans sa jeunesse, dans le sillage de Mai 68, Alain Finkielkraut est maoïste, proche de la Gauche prolétarienne25, et membre actif de l'Union des jeunesses communistes marxistes-léninistes (UJCml)[réf. nécessaire]. Sans renier ce premier engagement, il s'éloigne de ses camarades politiques en soutenant Israël lors de la guerre du Kippour en 197325. À la fin des années 1980, il soutient les chrétiens du Liban[précision nécessaire]26,27. En 1989, il cosigne un appel dans Le Nouvel Observateur, avec notamment Régis Debray et Élisabeth Badinter, demandant l’interdiction du foulard islamique à l'école28.
Années 1990[modifier | modifier le code]
Dans les années 1990 il est avec Bernard-Henri Lévy parmi les premiers intellectuels à s'engager pour une intervention occidentale en ex-Yougoslavie, dans un climat plutôt hostile (la position officielle de la France et de son président François Mitterrand étant à l'époque pro-serbe)[réf. nécessaire]. Il défend également le droit de la Croatie à la sécession contre la Grande Serbie bâtie sur les ruines de l'ex-Yougoslavie, au nom du principe de la défense des « petites nations » comme gage de liberté. En 1998, il est témoin des parties civiles au procès en appel de Roger Garaudy pour contestation de crimes contre l'humanité29.
Années 2000[modifier | modifier le code]
Dans les années 2000, il condamne la seconde intifada et critique le silence du gouvernement PS de Lionel Jospin au sujet de la montée de l'antisémitisme en France. Lors de l'élection présidentielle de 2002, il fait un discours devant le Panthéon pour protester contre la présence de Jean-Marie Le Pen au second tour du scrutin30,31. Il dénonce également les positions de l'humoriste Dieudonné, qu'il accuse de prôner l'antisémitisme au nom de la défense des Noirs et qu'il estime représentatif d'un « nouvel antisémitisme proféré au nom de l'antiracisme ». Il juge à ce titre Dieudonné plus dangereux que le Front national32.
Années 2010[modifier | modifier le code]
Dans le cadre de l'élection présidentielle française de 2017, Alain Finkielkraut indique qu’il a voté pour Manuel Valls à la primaire de la gauche33. En vue du second tour de la présidentielle, qui oppose Emmanuel Macron à Marine Le Pen, il apporte son soutien au candidat d’En marche34.
donc il l'est bien, merci khey 

https://risibank.fr/cache[...]0/25/2590/259050/full.gif T'aimes ça hein?

il y a un an
pas de soucis
membre de la confrérie des "Frères Validux"
il y a un an
Je pensais qu'il disait (information) "dont je m'en fous"
Je sais pas si la loi m'autorise à exprimer ce que je pense de ce personnage et de sa réaction mais voilà quoi
Aucun respect ce type
Je sais pas si la loi m'autorise à exprimer ce que je pense de ce personnage et de sa réaction mais voilà quoi
Aucun respect ce type
il y a un an
il y a un an