Je me rendais tranquillement au travail comme un bon esclave que je suis, perdu dans mes pensées.
Muni de ma CARTE NAVIGO, je m’apprêtais à passer le PORTIQUE pour accéder au RER.
J’étais en train de lire le bonjour de ma potite chérie, sourire aux lèvres, mais il a fallu qu’une présence dans mon dos vienne me sortir de ces plaisantes pensées.
Je sentais comme une personne qui me collait de près. Je sentais l’odeur caractérisque des survêtements synthétiques.
Odeur désagréable couplée à la puanteur inhérente à la race crasseuse qui porte habituellement ce genre d’accoutrement.
Sans réflexion aucune, j’ai eu le réflexe de me stopper tout de suite après avoir passé le portique.
L’Arabe s’est alors retrouvé bloqué, l’avant-bras coincé entre les portes. Il a du reculer pour libérer son membre de voleur.
Je l’ai également entendu proférer des insultes mentionnant l’hypothétique activité professionnelle de rue de ma maman.
Je lui lancé exactement cette expression
avant de filer prendre mon train.
Je l’ai vu plus loin lever son doigt crochu vers moi
avant de se faire embrouiller par un homme subsaharien de très grande taille.
Muni de ma CARTE NAVIGO, je m’apprêtais à passer le PORTIQUE pour accéder au RER.
J’étais en train de lire le bonjour de ma potite chérie, sourire aux lèvres, mais il a fallu qu’une présence dans mon dos vienne me sortir de ces plaisantes pensées.
Je sentais comme une personne qui me collait de près. Je sentais l’odeur caractérisque des survêtements synthétiques.
Odeur désagréable couplée à la puanteur inhérente à la race crasseuse qui porte habituellement ce genre d’accoutrement.
Sans réflexion aucune, j’ai eu le réflexe de me stopper tout de suite après avoir passé le portique.
L’Arabe s’est alors retrouvé bloqué, l’avant-bras coincé entre les portes. Il a du reculer pour libérer son membre de voleur.
Je l’ai également entendu proférer des insultes mentionnant l’hypothétique activité professionnelle de rue de ma maman.
Je lui lancé exactement cette expression
Je l’ai vu plus loin lever son doigt crochu vers moi
Ahi. Je te laisse rédiger la morale.
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Vous pouvez regarder mes yeux, mais pas ce qu'ils ont vu.
La fin Ahi
guerre de territoire comme les animaux
Je te jure. Il n’y a pas meilleur sticker pour illustrer mon expression
La fin Ahi
guerre de territoire comme les animaux
Des singes.
Ahi. Je te laisse rédiger la morale.
Je précise que je n’éprouve aucune haine à l’égard des fraudeurs.
Un homme respectable qui viendrait quérir mon aide avec courtoisie bénéficierait de mon approbation et de mon assistance sans la moindre hésitation de ma part.
En revanche qu’un Arabe puant se serve de moi sans respect en se collant comme un frotteur ça je ne peux pas l’accepter.
Un homme respectable qui viendrait quérir mon aide avec courtoisie bénéficierait de mon approbation et de mon assistance sans la moindre hésitation de ma part.
En revanche qu’un Arabe puant se serve de moi sans respect en se collant comme un frotteur ça je ne peux pas l’accepter.
L'auteur ce troll de haute compétition
L'auteur ce troll de haute compétition
Le petit plaisir du matin, je te tire mon chapeau
Je me rendais tranquillement au travail comme un bon esclave que je suis, perdu dans mes pensées.
Muni de ma CARTE NAVIGO, je m’apprêtais à passer le PORTIQUE pour accéder au RER.
J’étais en train de lire le bonjour de ma potite chérie, sourire aux lèvres, mais il a fallu qu’une présence dans mon dos vienne me sortir de ces plaisantes pensées.
Je sentais comme une personne qui me collait de près. Je sentais l’odeur caractérisque des survêtements synthétiques.
Odeur désagréable couplée à la puanteur inhérente à la race crasseuse qui porte habituellement ce genre d’accoutrement.
Sans réflexion aucune, j’ai eu le réflexe de me stopper tout de suite après avoir passé le portique.
L’Arabe s’est alors retrouvé bloqué, l’avant-bras coincé entre les portes. Il a du reculer pour libérer son membre de voleur.
Je l’ai également entendu proférer des insultes mentionnant l’hypothétique activité professionnelle de rue de ma maman.
Je lui lancé exactement cette expression
avant de filer prendre mon train.
Je l’ai vu plus loin lever son doigt crochu vers moi
avant de se faire embrouiller par un homme subsaharien de très grande taille.
Muni de ma CARTE NAVIGO, je m’apprêtais à passer le PORTIQUE pour accéder au RER.
J’étais en train de lire le bonjour de ma potite chérie, sourire aux lèvres, mais il a fallu qu’une présence dans mon dos vienne me sortir de ces plaisantes pensées.
Je sentais comme une personne qui me collait de près. Je sentais l’odeur caractérisque des survêtements synthétiques.
Odeur désagréable couplée à la puanteur inhérente à la race crasseuse qui porte habituellement ce genre d’accoutrement.
Sans réflexion aucune, j’ai eu le réflexe de me stopper tout de suite après avoir passé le portique.
L’Arabe s’est alors retrouvé bloqué, l’avant-bras coincé entre les portes. Il a du reculer pour libérer son membre de voleur.
Je l’ai également entendu proférer des insultes mentionnant l’hypothétique activité professionnelle de rue de ma maman.
Je lui lancé exactement cette expression
Je l’ai vu plus loin lever son doigt crochu vers moi
Le rebeu qui fait le mec face à un babtou mais qui ferme sa gueule quand un renoi lui parle
Putain
Il est important d'aborder ce type de contenu avec une réflexion critique, en reconnaissant les préjudices que de telles paroles et attitudes peuvent causer aux individus et aux groupes visés. La littérature et les récits, sous toutes leurs formes, ont le pouvoir d'influencer la perception des gens et de façonner le discours social. Il est donc crucial d'être conscient de l'impact des mots et des histoires que nous partageons et promouvons dans l'espace public.
Je te jure. Il n’y a pas meilleur sticker pour illustrer mon expression
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Pogo le clown
