« Je me suis aperçu de leur disparition vers midi, raconte le papa. Elles avaient mis des oreillers et des couvertures pour masquer leur absence. » Il ouvre les volets et attend qu’elles se lèvent. « Trois quarts d’heure après, j’ai trouvé ça bizarre qu’elles ne viennent pas », ajoute-t-il. Il comprend alors ce qui s’est passé et file prévenir la gendarmerie.
Elles vont mettre quatre heures pour rejoindre à pied la gare de Troyes, qui se trouve à plus de 15 km. Elles prennent un billet pour Paris que le guichetier leur vend sans difficulté.
« Je savais qu’elle se salissait sur les réseaux sociaux, raconte Arnaud. J’ai beaucoup parlé avec elle pour l’en empêcher. Je lui disais qu’il y avait des prédateurs. Mais je n’aurais jamais pu imaginer qu’elle fasse ça », confie-t-il. Alice est en surpoids, elle cherche à plaire, quitte à se mettre en danger. Elle multiplie les messages provocants pour obtenir l’attention des hommes. Huit mois avant les faits, à 12 ans8, elle avait accepté un rendez-vous avec l’une de ses relations virtuelles sur Snapchat. « Au moment de l’acte, elle a dit non », explique Arnaud. Il ne l’a su que six mois plus tard.
Alice et Maylis rêvaient sans doute de voir les lumières de la capitale. En arrivant, elles pensent rencontrer l’homme qui correspond à distance avec elles depuis deux semaines, surnommé « Fumier ». Le dossier comporte 127 pages de ces échanges parfois extrêmement crus, mêlés à des images et des vidéos intimes. « Tout ce qui a été échangé, ça reste du virtuel. Oui, elle disait des choses choquantes, mais ce n’était pas réel. Elle a 13 ans », martèle Arnaud. Deux hommes viennent les chercher en voiture à la gare.
Au bout de quelques minutes, Alice comprend qu’aucun d’eux n’est Fumier. Ce dernier est quant à lui jugé pour complicité de viol, pour les avoir attirées sciemment à Paris. Elles acceptent ensuite de prendre le RER pour se rendre à Sarcelles. Elles n’ont pas compris ce qui les attendait. Les deux filles ont pris le soin de prendre leur doudou dans leur sac. Elles ont aussi pris des préservatifs et du lubrifiant.
Les deux jeunes filles sont restées de 13 heures à 19 heures dans cette cave au 1, allée Paul-Léautaud, dans le quartier de Vignes-Blanches. Les deux hommes ont fait passer le message dans le quartier. D’autres les ont rejoints. La plupart assurent aujourd’hui qu’ils ne savaient pas qu’elles n’étaient pas consentantes, estimant qu’elles avaient autour de 16 ans.
« Là, il faut replonger dans l’horreur. Se retrouver mis en cause par la défense », souligne Arnaud. Dès qu’il n’a plus rien à faire, les pensées sombres l’envahissent, son pouls s’emballe. Il s’isole, mange peu et enchaîne les nuits de cauchemars. « Je fais une thérapie. Je vois mon médecin tous les mois pour les somnifères », témoigne-t-il. Il s’inquiète pour sa fille, chez qui il observe de la boulimie et des scarifications.
Le verdict est attendu vendredi 22 mars.
https://www.leparisien.fr[...]XANBREXZLS2XACPTFEKPQ.php
Elles vont mettre quatre heures pour rejoindre à pied la gare de Troyes, qui se trouve à plus de 15 km. Elles prennent un billet pour Paris que le guichetier leur vend sans difficulté.
« Je savais qu’elle se salissait sur les réseaux sociaux, raconte Arnaud. J’ai beaucoup parlé avec elle pour l’en empêcher. Je lui disais qu’il y avait des prédateurs. Mais je n’aurais jamais pu imaginer qu’elle fasse ça », confie-t-il. Alice est en surpoids, elle cherche à plaire, quitte à se mettre en danger. Elle multiplie les messages provocants pour obtenir l’attention des hommes. Huit mois avant les faits, à 12 ans8, elle avait accepté un rendez-vous avec l’une de ses relations virtuelles sur Snapchat. « Au moment de l’acte, elle a dit non », explique Arnaud. Il ne l’a su que six mois plus tard.
Alice et Maylis rêvaient sans doute de voir les lumières de la capitale. En arrivant, elles pensent rencontrer l’homme qui correspond à distance avec elles depuis deux semaines, surnommé « Fumier ». Le dossier comporte 127 pages de ces échanges parfois extrêmement crus, mêlés à des images et des vidéos intimes. « Tout ce qui a été échangé, ça reste du virtuel. Oui, elle disait des choses choquantes, mais ce n’était pas réel. Elle a 13 ans », martèle Arnaud. Deux hommes viennent les chercher en voiture à la gare.
Au bout de quelques minutes, Alice comprend qu’aucun d’eux n’est Fumier. Ce dernier est quant à lui jugé pour complicité de viol, pour les avoir attirées sciemment à Paris. Elles acceptent ensuite de prendre le RER pour se rendre à Sarcelles. Elles n’ont pas compris ce qui les attendait. Les deux filles ont pris le soin de prendre leur doudou dans leur sac. Elles ont aussi pris des préservatifs et du lubrifiant.
Les deux jeunes filles sont restées de 13 heures à 19 heures dans cette cave au 1, allée Paul-Léautaud, dans le quartier de Vignes-Blanches. Les deux hommes ont fait passer le message dans le quartier. D’autres les ont rejoints. La plupart assurent aujourd’hui qu’ils ne savaient pas qu’elles n’étaient pas consentantes, estimant qu’elles avaient autour de 16 ans.
« Là, il faut replonger dans l’horreur. Se retrouver mis en cause par la défense », souligne Arnaud. Dès qu’il n’a plus rien à faire, les pensées sombres l’envahissent, son pouls s’emballe. Il s’isole, mange peu et enchaîne les nuits de cauchemars. « Je fais une thérapie. Je vois mon médecin tous les mois pour les somnifères », témoigne-t-il. Il s’inquiète pour sa fille, chez qui il observe de la boulimie et des scarifications.
Le verdict est attendu vendredi 22 mars.
Bordel
Deux jeunes ados devenus raciste ... Je suis étonné ...
Mon propos est imaginaire et fictif, il n'implique donc aucun fait ou élément réel et toute ressemblance serait fortuite
Aucun rapport avec l'immigration, la grande menace des fronssais c'est la russie
« Je me suis aperçu de leur disparition vers midi, raconte le papa. Elles avaient mis des oreillers et des couvertures pour masquer leur absence. » Il ouvre les volets et attend qu’elles se lèvent. « Trois quarts d’heure après, j’ai trouvé ça bizarre qu’elles ne viennent pas », ajoute-t-il. Il comprend alors ce qui s’est passé et file prévenir la gendarmerie.
Elles vont mettre quatre heures pour rejoindre à pied la gare de Troyes, qui se trouve à plus de 15 km. Elles prennent un billet pour Paris que le guichetier leur vend sans difficulté.
« Je savais qu’elle se salissait sur les réseaux sociaux, raconte Arnaud. J’ai beaucoup parlé avec elle pour l’en empêcher. Je lui disais qu’il y avait des prédateurs. Mais je n’aurais jamais pu imaginer qu’elle fasse ça », confie-t-il. Alice est en surpoids, elle cherche à plaire, quitte à se mettre en danger. Elle multiplie les messages provocants pour obtenir l’attention des hommes. Huit mois avant les faits, à 12 ans8, elle avait accepté un rendez-vous avec l’une de ses relations virtuelles sur Snapchat. « Au moment de l’acte, elle a dit non », explique Arnaud. Il ne l’a su que six mois plus tard.
Alice et Maylis rêvaient sans doute de voir les lumières de la capitale. En arrivant, elles pensent rencontrer l’homme qui correspond à distance avec elles depuis deux semaines, surnommé « Fumier ». Le dossier comporte 127 pages de ces échanges parfois extrêmement crus, mêlés à des images et des vidéos intimes. « Tout ce qui a été échangé, ça reste du virtuel. Oui, elle disait des choses choquantes, mais ce n’était pas réel. Elle a 13 ans », martèle Arnaud. Deux hommes viennent les chercher en voiture à la gare.
Au bout de quelques minutes, Alice comprend qu’aucun d’eux n’est Fumier. Ce dernier est quant à lui jugé pour complicité de viol, pour les avoir attirées sciemment à Paris. Elles acceptent ensuite de prendre le RER pour se rendre à Sarcelles. Elles n’ont pas compris ce qui les attendait. Les deux filles ont pris le soin de prendre leur doudou dans leur sac. Elles ont aussi pris des préservatifs et du lubrifiant.
Les deux jeunes filles sont restées de 13 heures à 19 heures dans cette cave au 1, allée Paul-Léautaud, dans le quartier de Vignes-Blanches. Les deux hommes ont fait passer le message dans le quartier. D’autres les ont rejoints. La plupart assurent aujourd’hui qu’ils ne savaient pas qu’elles n’étaient pas consentantes, estimant qu’elles avaient autour de 16 ans.
« Là, il faut replonger dans l’horreur. Se retrouver mis en cause par la défense », souligne Arnaud. Dès qu’il n’a plus rien à faire, les pensées sombres l’envahissent, son pouls s’emballe. Il s’isole, mange peu et enchaîne les nuits de cauchemars. « Je fais une thérapie. Je vois mon médecin tous les mois pour les somnifères », témoigne-t-il. Il s’inquiète pour sa fille, chez qui il observe de la boulimie et des scarifications.
Le verdict est attendu vendredi 22 mars.
https://www.leparisien.fr[...]XANBREXZLS2XACPTFEKPQ.php
Elles vont mettre quatre heures pour rejoindre à pied la gare de Troyes, qui se trouve à plus de 15 km. Elles prennent un billet pour Paris que le guichetier leur vend sans difficulté.
« Je savais qu’elle se salissait sur les réseaux sociaux, raconte Arnaud. J’ai beaucoup parlé avec elle pour l’en empêcher. Je lui disais qu’il y avait des prédateurs. Mais je n’aurais jamais pu imaginer qu’elle fasse ça », confie-t-il. Alice est en surpoids, elle cherche à plaire, quitte à se mettre en danger. Elle multiplie les messages provocants pour obtenir l’attention des hommes. Huit mois avant les faits, à 12 ans8, elle avait accepté un rendez-vous avec l’une de ses relations virtuelles sur Snapchat. « Au moment de l’acte, elle a dit non », explique Arnaud. Il ne l’a su que six mois plus tard.
Alice et Maylis rêvaient sans doute de voir les lumières de la capitale. En arrivant, elles pensent rencontrer l’homme qui correspond à distance avec elles depuis deux semaines, surnommé « Fumier ». Le dossier comporte 127 pages de ces échanges parfois extrêmement crus, mêlés à des images et des vidéos intimes. « Tout ce qui a été échangé, ça reste du virtuel. Oui, elle disait des choses choquantes, mais ce n’était pas réel. Elle a 13 ans », martèle Arnaud. Deux hommes viennent les chercher en voiture à la gare.
Au bout de quelques minutes, Alice comprend qu’aucun d’eux n’est Fumier. Ce dernier est quant à lui jugé pour complicité de viol, pour les avoir attirées sciemment à Paris. Elles acceptent ensuite de prendre le RER pour se rendre à Sarcelles. Elles n’ont pas compris ce qui les attendait. Les deux filles ont pris le soin de prendre leur doudou dans leur sac. Elles ont aussi pris des préservatifs et du lubrifiant.
Les deux jeunes filles sont restées de 13 heures à 19 heures dans cette cave au 1, allée Paul-Léautaud, dans le quartier de Vignes-Blanches. Les deux hommes ont fait passer le message dans le quartier. D’autres les ont rejoints. La plupart assurent aujourd’hui qu’ils ne savaient pas qu’elles n’étaient pas consentantes, estimant qu’elles avaient autour de 16 ans.
« Là, il faut replonger dans l’horreur. Se retrouver mis en cause par la défense », souligne Arnaud. Dès qu’il n’a plus rien à faire, les pensées sombres l’envahissent, son pouls s’emballe. Il s’isole, mange peu et enchaîne les nuits de cauchemars. « Je fais une thérapie. Je vois mon médecin tous les mois pour les somnifères », témoigne-t-il. Il s’inquiète pour sa fille, chez qui il observe de la boulimie et des scarifications.
Le verdict est attendu vendredi 22 mars.
Vivre entouré de sale races
SÉLÉCTION
SÉLÉCTION
J'ai bandé
« Je me suis aperçu de leur disparition vers midi, raconte le papa. Elles avaient mis des oreillers et des couvertures pour masquer leur absence. » Il ouvre les volets et attend qu’elles se lèvent. « Trois quarts d’heure après, j’ai trouvé ça bizarre qu’elles ne viennent pas », ajoute-t-il. Il comprend alors ce qui s’est passé et file prévenir la gendarmerie.
Elles vont mettre quatre heures pour rejoindre à pied la gare de Troyes, qui se trouve à plus de 15 km. Elles prennent un billet pour Paris que le guichetier leur vend sans difficulté.
« Je savais qu’elle se salissait sur les réseaux sociaux, raconte Arnaud. J’ai beaucoup parlé avec elle pour l’en empêcher. Je lui disais qu’il y avait des prédateurs. Mais je n’aurais jamais pu imaginer qu’elle fasse ça », confie-t-il. Alice est en surpoids, elle cherche à plaire, quitte à se mettre en danger. Elle multiplie les messages provocants pour obtenir l’attention des hommes. Huit mois avant les faits, à 12 ans8, elle avait accepté un rendez-vous avec l’une de ses relations virtuelles sur Snapchat. « Au moment de l’acte, elle a dit non », explique Arnaud. Il ne l’a su que six mois plus tard.
Alice et Maylis rêvaient sans doute de voir les lumières de la capitale. En arrivant, elles pensent rencontrer l’homme qui correspond à distance avec elles depuis deux semaines, surnommé « Fumier ». Le dossier comporte 127 pages de ces échanges parfois extrêmement crus, mêlés à des images et des vidéos intimes. « Tout ce qui a été échangé, ça reste du virtuel. Oui, elle disait des choses choquantes, mais ce n’était pas réel. Elle a 13 ans », martèle Arnaud. Deux hommes viennent les chercher en voiture à la gare.
Au bout de quelques minutes, Alice comprend qu’aucun d’eux n’est Fumier. Ce dernier est quant à lui jugé pour complicité de viol, pour les avoir attirées sciemment à Paris. Elles acceptent ensuite de prendre le RER pour se rendre à Sarcelles. Elles n’ont pas compris ce qui les attendait. Les deux filles ont pris le soin de prendre leur doudou dans leur sac. Elles ont aussi pris des préservatifs et du lubrifiant.
Les deux jeunes filles sont restées de 13 heures à 19 heures dans cette cave au 1, allée Paul-Léautaud, dans le quartier de Vignes-Blanches. Les deux hommes ont fait passer le message dans le quartier. D’autres les ont rejoints. La plupart assurent aujourd’hui qu’ils ne savaient pas qu’elles n’étaient pas consentantes, estimant qu’elles avaient autour de 16 ans.
« Là, il faut replonger dans l’horreur. Se retrouver mis en cause par la défense », souligne Arnaud. Dès qu’il n’a plus rien à faire, les pensées sombres l’envahissent, son pouls s’emballe. Il s’isole, mange peu et enchaîne les nuits de cauchemars. « Je fais une thérapie. Je vois mon médecin tous les mois pour les somnifères », témoigne-t-il. Il s’inquiète pour sa fille, chez qui il observe de la boulimie et des scarifications.
Le verdict est attendu vendredi 22 mars.
https://www.leparisien.fr[...]XANBREXZLS2XACPTFEKPQ.php
Elles vont mettre quatre heures pour rejoindre à pied la gare de Troyes, qui se trouve à plus de 15 km. Elles prennent un billet pour Paris que le guichetier leur vend sans difficulté.
« Je savais qu’elle se salissait sur les réseaux sociaux, raconte Arnaud. J’ai beaucoup parlé avec elle pour l’en empêcher. Je lui disais qu’il y avait des prédateurs. Mais je n’aurais jamais pu imaginer qu’elle fasse ça », confie-t-il. Alice est en surpoids, elle cherche à plaire, quitte à se mettre en danger. Elle multiplie les messages provocants pour obtenir l’attention des hommes. Huit mois avant les faits, à 12 ans8, elle avait accepté un rendez-vous avec l’une de ses relations virtuelles sur Snapchat. « Au moment de l’acte, elle a dit non », explique Arnaud. Il ne l’a su que six mois plus tard.
Alice et Maylis rêvaient sans doute de voir les lumières de la capitale. En arrivant, elles pensent rencontrer l’homme qui correspond à distance avec elles depuis deux semaines, surnommé « Fumier ». Le dossier comporte 127 pages de ces échanges parfois extrêmement crus, mêlés à des images et des vidéos intimes. « Tout ce qui a été échangé, ça reste du virtuel. Oui, elle disait des choses choquantes, mais ce n’était pas réel. Elle a 13 ans », martèle Arnaud. Deux hommes viennent les chercher en voiture à la gare.
Au bout de quelques minutes, Alice comprend qu’aucun d’eux n’est Fumier. Ce dernier est quant à lui jugé pour complicité de viol, pour les avoir attirées sciemment à Paris. Elles acceptent ensuite de prendre le RER pour se rendre à Sarcelles. Elles n’ont pas compris ce qui les attendait. Les deux filles ont pris le soin de prendre leur doudou dans leur sac. Elles ont aussi pris des préservatifs et du lubrifiant.
Les deux jeunes filles sont restées de 13 heures à 19 heures dans cette cave au 1, allée Paul-Léautaud, dans le quartier de Vignes-Blanches. Les deux hommes ont fait passer le message dans le quartier. D’autres les ont rejoints. La plupart assurent aujourd’hui qu’ils ne savaient pas qu’elles n’étaient pas consentantes, estimant qu’elles avaient autour de 16 ans.
« Là, il faut replonger dans l’horreur. Se retrouver mis en cause par la défense », souligne Arnaud. Dès qu’il n’a plus rien à faire, les pensées sombres l’envahissent, son pouls s’emballe. Il s’isole, mange peu et enchaîne les nuits de cauchemars. « Je fais une thérapie. Je vois mon médecin tous les mois pour les somnifères », témoigne-t-il. Il s’inquiète pour sa fille, chez qui il observe de la boulimie et des scarifications.
Le verdict est attendu vendredi 22 mars.
"Les deux filles ont pris le soin de prendre leur doudou dans leur sac. Elles ont aussi pris des préservatifs et du lubrifiant."
Une mort bien trop douce pour ce genre de déchet
Moi je ferais de la place dans les prisons en faisant des exécutions sur la place publique de tous les déchets irrécupérables, ça ferait beaucoup baisser le nombre de récidivistes et je réserve le même sort à ceux qui font du trouble a l'ordre public suite aux exécutions
Moi je ferais de la place dans les prisons en faisant des exécutions sur la place publique de tous les déchets irrécupérables, ça ferait beaucoup baisser le nombre de récidivistes et je réserve le même sort à ceux qui font du trouble a l'ordre public suite aux exécutions
Des jeux Steam pas cher https://www.instant-gaming.com/?igr=gamer-cb611db
" Les deux filles ont pris le soin de prendre leur doudou dans leur sac. "
validé par les kheyettes et toi ? https://voca.ro/1mj5MK2x5gmc
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Elles vont mettre quatre heures pour rejoindre à pied la gare de Troyes, qui se trouve à plus de 15 km. Elles prennent un billet pour Paris que le guichetier leur vend sans difficulté.
« Je savais qu’elle se salissait sur les réseaux sociaux, raconte Arnaud. J’ai beaucoup parlé avec elle pour l’en empêcher. Je lui disais qu’il y avait des prédateurs. Mais je n’aurais jamais pu imaginer qu’elle fasse ça », confie-t-il. Alice est en surpoids, elle cherche à plaire, quitte à se mettre en danger. Elle multiplie les messages provocants pour obtenir l’attention des hommes. Huit mois avant les faits, à 12 ans8, elle avait accepté un rendez-vous avec l’une de ses relations virtuelles sur Snapchat. « Au moment de l’acte, elle a dit non », explique Arnaud. Il ne l’a su que six mois plus tard.
Alice et Maylis rêvaient sans doute de voir les lumières de la capitale. En arrivant, elles pensent rencontrer l’homme qui correspond à distance avec elles depuis deux semaines, surnommé « Fumier ». Le dossier comporte 127 pages de ces échanges parfois extrêmement crus, mêlés à des images et des vidéos intimes. « Tout ce qui a été échangé, ça reste du virtuel. Oui, elle disait des choses choquantes, mais ce n’était pas réel. Elle a 13 ans », martèle Arnaud. Deux hommes viennent les chercher en voiture à la gare.
Au bout de quelques minutes, Alice comprend qu’aucun d’eux n’est Fumier. Ce dernier est quant à lui jugé pour complicité de viol, pour les avoir attirées sciemment à Paris. Elles acceptent ensuite de prendre le RER pour se rendre à Sarcelles. Elles n’ont pas compris ce qui les attendait. Les deux filles ont pris le soin de prendre leur doudou dans leur sac. Elles ont aussi pris des préservatifs et du lubrifiant.
Les deux jeunes filles sont restées de 13 heures à 19 heures dans cette cave au 1, allée Paul-Léautaud, dans le quartier de Vignes-Blanches. Les deux hommes ont fait passer le message dans le quartier. D’autres les ont rejoints. La plupart assurent aujourd’hui qu’ils ne savaient pas qu’elles n’étaient pas consentantes, estimant qu’elles avaient autour de 16 ans.
« Là, il faut replonger dans l’horreur. Se retrouver mis en cause par la défense », souligne Arnaud. Dès qu’il n’a plus rien à faire, les pensées sombres l’envahissent, son pouls s’emballe. Il s’isole, mange peu et enchaîne les nuits de cauchemars. « Je fais une thérapie. Je vois mon médecin tous les mois pour les somnifères », témoigne-t-il. Il s’inquiète pour sa fille, chez qui il observe de la boulimie et des scarifications.
Le verdict est attendu vendredi 22 mars.
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Elles vont mettre quatre heures pour rejoindre à pied la gare de Troyes, qui se trouve à plus de 15 km. Elles prennent un billet pour Paris que le guichetier leur vend sans difficulté.
« Je savais qu’elle se salissait sur les réseaux sociaux, raconte Arnaud. J’ai beaucoup parlé avec elle pour l’en empêcher. Je lui disais qu’il y avait des prédateurs. Mais je n’aurais jamais pu imaginer qu’elle fasse ça », confie-t-il. Alice est en surpoids, elle cherche à plaire, quitte à se mettre en danger. Elle multiplie les messages provocants pour obtenir l’attention des hommes. Huit mois avant les faits, à 12 ans8, elle avait accepté un rendez-vous avec l’une de ses relations virtuelles sur Snapchat. « Au moment de l’acte, elle a dit non », explique Arnaud. Il ne l’a su que six mois plus tard.
Alice et Maylis rêvaient sans doute de voir les lumières de la capitale. En arrivant, elles pensent rencontrer l’homme qui correspond à distance avec elles depuis deux semaines, surnommé « Fumier ». Le dossier comporte 127 pages de ces échanges parfois extrêmement crus, mêlés à des images et des vidéos intimes. « Tout ce qui a été échangé, ça reste du virtuel. Oui, elle disait des choses choquantes, mais ce n’était pas réel. Elle a 13 ans », martèle Arnaud. Deux hommes viennent les chercher en voiture à la gare.
Au bout de quelques minutes, Alice comprend qu’aucun d’eux n’est Fumier. Ce dernier est quant à lui jugé pour complicité de viol, pour les avoir attirées sciemment à Paris. Elles acceptent ensuite de prendre le RER pour se rendre à Sarcelles. Elles n’ont pas compris ce qui les attendait. Les deux filles ont pris le soin de prendre leur doudou dans leur sac. Elles ont aussi pris des préservatifs et du lubrifiant.
Les deux jeunes filles sont restées de 13 heures à 19 heures dans cette cave au 1, allée Paul-Léautaud, dans le quartier de Vignes-Blanches. Les deux hommes ont fait passer le message dans le quartier. D’autres les ont rejoints. La plupart assurent aujourd’hui qu’ils ne savaient pas qu’elles n’étaient pas consentantes, estimant qu’elles avaient autour de 16 ans.
« Là, il faut replonger dans l’horreur. Se retrouver mis en cause par la défense », souligne Arnaud. Dès qu’il n’a plus rien à faire, les pensées sombres l’envahissent, son pouls s’emballe. Il s’isole, mange peu et enchaîne les nuits de cauchemars. « Je fais une thérapie. Je vois mon médecin tous les mois pour les somnifères », témoigne-t-il. Il s’inquiète pour sa fille, chez qui il observe de la boulimie et des scarifications.
Le verdict est attendu vendredi 22 mars.
Y'a aucun viol, elles font les putes et ramassent
Le daron est un irresponsable judéo-maconnisé
Le daron est un irresponsable judéo-maconnisé
" Les deux filles ont pris le soin de prendre leur doudou dans leur sac. "
Lien?
Si en plus c'est des noires elles sont salies à jamais
Lien?
une pauvre ptiote orpheline dans un foyer, qui s'est faites kidnapper par des wesh qui l'ont enfermé dans une cave, ensuite ils faisaient payer les gens du quartier pour l'a baiser. Tout le quartier savait. Et les " clients " frappaient la petite car elle faisait mal un truc selon eux, donc ils passaient leurs nerfs dessus. Maintenant elle ne parle plus, elle serre juste son doudou contre elle toute la journée.
bien entendu, personne prendra rien, les auteurs sont mineurs et les clients seront jamais retrouvés et sont couverts. Dans un monde normal la police descendrait dans le quartier pour fusiller 50 hommes au hasard
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https://www.lefigaro.fr/f[...]er-dans-une-cave-20220310
Mardi midi, la police municipale de Nîmes est intervenue rue Claude-Nicolas-Ledoux pour une rixe entre plusieurs individus.
Sur place, les forces de l'ordre ont mis fin à la bagarre générale. En séparant les jeunes, ils ont découvert une fillette 12 ans un peu à l'écart. Craintive et le regard perdu, elle avait le visage tuméfié et déformé par les coups
La victime a été transportée à l'hôpital. En octobre dernier, cette fillette de 12 ans issue d'un foyer social, a été kidnappée et retenue prisonnière par un groupe de quatre jeunes hommes, tous mineurs entre 15 et 17 ans.
Elle a été ligotée durant des mois dans une cave où elle a été violemment frappée voire torturée. Elle était régulièrement violée par ses ravisseurs.
Elle a été contrainte de se prostituer et d'enchaîner les passes.
Certains clients mécontents de l'inexpérience sexuelle de la jeune fille l'ont passée à tabac. Elle racontera aux policiers que les clients s'énervaient lorsqu'elle pleurait pendant le rapport sexuel tarifé ou ne savait pas exactement faire ce qu'ils réclamaient.
"Elle est blessée de la tête au pied. Elle va rester plus d’une semaine à l’hôpital" a souligné une source judiciaire. "Elle a été attachée et frappée, fracassée dans un cave de la ZUP" a déclaré un autre témoin.
Elle va rester au moins une semaine à l'hôpital sous étroite surveillance médicale et policière. Léa, 12 ans, a été évacuée aux urgences par les pompiers mardi après-midi. C'est une intervention de la police municipale de Nîmes qui a mis fin à son calvaire comme nous l'avons révélé ce mardi.
https://www.objectifgard.[...]tier-de-pissevin-4111.php
"Elle aura malheureusement des séquelles à vie dans la sphère génitale et des cicatrices indélébiles des tortures que ce soit sur le corps ou sur le visage".
D'après l'unité psychiatrique de l'hôpital de Nîmes : "la fillette présente un grave stress post traumatique qui l'enferme dans un mutisme pendant parfois plusieurs jours"
"Elle a confié à son psychiatre souhaiter mourir"
"Elle ne parvient pas à dormir dans le noir et passe la journée avec son doudou dans les bras"
Une zone d'ombre reste à combler :
Pourquoi dans ce quartier de Nîmes où les habitants sont extrêmement proches les uns des autres, personne n'a dénoncé ces agissement ayant durés plus de 6 mois ?
«Au regard de la violence des faits, des peines fermes seront appliquées», pointe Frédéric Kocher, le procureur adjoint de la République de Nîmes.
-----------
à noter que cest un pur hasard que la police soit tombée dessus, dans le quartier tout le monde voyait la gamine et son état, aucun a balancé ou s'est posé des questions
bien entendu, personne prendra rien, les auteurs sont mineurs et les clients seront jamais retrouvés et sont couverts. Dans un monde normal la police descendrait dans le quartier pour fusiller 50 hommes au hasard
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Mardi midi, la police municipale de Nîmes est intervenue rue Claude-Nicolas-Ledoux pour une rixe entre plusieurs individus.
Sur place, les forces de l'ordre ont mis fin à la bagarre générale. En séparant les jeunes, ils ont découvert une fillette 12 ans un peu à l'écart. Craintive et le regard perdu, elle avait le visage tuméfié et déformé par les coups
La victime a été transportée à l'hôpital. En octobre dernier, cette fillette de 12 ans issue d'un foyer social, a été kidnappée et retenue prisonnière par un groupe de quatre jeunes hommes, tous mineurs entre 15 et 17 ans.
Elle a été ligotée durant des mois dans une cave où elle a été violemment frappée voire torturée. Elle était régulièrement violée par ses ravisseurs.
Elle a été contrainte de se prostituer et d'enchaîner les passes.
Certains clients mécontents de l'inexpérience sexuelle de la jeune fille l'ont passée à tabac. Elle racontera aux policiers que les clients s'énervaient lorsqu'elle pleurait pendant le rapport sexuel tarifé ou ne savait pas exactement faire ce qu'ils réclamaient.
"Elle est blessée de la tête au pied. Elle va rester plus d’une semaine à l’hôpital" a souligné une source judiciaire. "Elle a été attachée et frappée, fracassée dans un cave de la ZUP" a déclaré un autre témoin.
Elle va rester au moins une semaine à l'hôpital sous étroite surveillance médicale et policière. Léa, 12 ans, a été évacuée aux urgences par les pompiers mardi après-midi. C'est une intervention de la police municipale de Nîmes qui a mis fin à son calvaire comme nous l'avons révélé ce mardi.
"Elle aura malheureusement des séquelles à vie dans la sphère génitale et des cicatrices indélébiles des tortures que ce soit sur le corps ou sur le visage".
D'après l'unité psychiatrique de l'hôpital de Nîmes : "la fillette présente un grave stress post traumatique qui l'enferme dans un mutisme pendant parfois plusieurs jours"
"Elle a confié à son psychiatre souhaiter mourir"
"Elle ne parvient pas à dormir dans le noir et passe la journée avec son doudou dans les bras"
Une zone d'ombre reste à combler :
Pourquoi dans ce quartier de Nîmes où les habitants sont extrêmement proches les uns des autres, personne n'a dénoncé ces agissement ayant durés plus de 6 mois ?
«Au regard de la violence des faits, des peines fermes seront appliquées», pointe Frédéric Kocher, le procureur adjoint de la République de Nîmes.
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à noter que cest un pur hasard que la police soit tombée dessus, dans le quartier tout le monde voyait la gamine et son état, aucun a balancé ou s'est posé des questions
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"Les deux filles ont pris le soin de prendre leur doudou dans leur sac. Elles ont aussi pris des préservatifs et du lubrifiant."
bon heu moteur... moteur.... Moteeeur, moteur. Moooooteeeeeur. Aller moteur. MOOOOOOOTEEEEEUUUUR!!!!
une pauvre ptiote orpheline dans un foyer, qui s'est faites kidnapper par des wesh qui l'ont enfermé dans une cave, ensuite ils faisaient payer les gens du quartier pour l'a baiser. Tout le quartier savait. Et les " clients " frappaient la petite car elle faisait mal un truc selon eux, donc ils passaient leurs nerfs dessus. Maintenant elle ne parle plus, elle serre juste son doudou contre elle toute la journée.
bien entendu, personne prendra rien, les auteurs sont mineurs et les clients seront jamais retrouvés et sont couverts. Dans un monde normal la police descendrait dans le quartier pour fusiller 50 hommes au hasard
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https://www.lefigaro.fr/f[...]er-dans-une-cave-20220310
Mardi midi, la police municipale de Nîmes est intervenue rue Claude-Nicolas-Ledoux pour une rixe entre plusieurs individus.
Sur place, les forces de l'ordre ont mis fin à la bagarre générale. En séparant les jeunes, ils ont découvert une fillette 12 ans un peu à l'écart. Craintive et le regard perdu, elle avait le visage tuméfié et déformé par les coups
La victime a été transportée à l'hôpital. En octobre dernier, cette fillette de 12 ans issue d'un foyer social, a été kidnappée et retenue prisonnière par un groupe de quatre jeunes hommes, tous mineurs entre 15 et 17 ans.
Elle a été ligotée durant des mois dans une cave où elle a été violemment frappée voire torturée. Elle était régulièrement violée par ses ravisseurs.
Elle a été contrainte de se prostituer et d'enchaîner les passes.
Certains clients mécontents de l'inexpérience sexuelle de la jeune fille l'ont passée à tabac. Elle racontera aux policiers que les clients s'énervaient lorsqu'elle pleurait pendant le rapport sexuel tarifé ou ne savait pas exactement faire ce qu'ils réclamaient.
"Elle est blessée de la tête au pied. Elle va rester plus d’une semaine à l’hôpital" a souligné une source judiciaire. "Elle a été attachée et frappée, fracassée dans un cave de la ZUP" a déclaré un autre témoin.
Elle va rester au moins une semaine à l'hôpital sous étroite surveillance médicale et policière. Léa, 12 ans, a été évacuée aux urgences par les pompiers mardi après-midi. C'est une intervention de la police municipale de Nîmes qui a mis fin à son calvaire comme nous l'avons révélé ce mardi.
https://www.objectifgard.[...]tier-de-pissevin-4111.php
"Elle aura malheureusement des séquelles à vie dans la sphère génitale et des cicatrices indélébiles des tortures que ce soit sur le corps ou sur le visage".
D'après l'unité psychiatrique de l'hôpital de Nîmes : "la fillette présente un grave stress post traumatique qui l'enferme dans un mutisme pendant parfois plusieurs jours"
"Elle a confié à son psychiatre souhaiter mourir"
"Elle ne parvient pas à dormir dans le noir et passe la journée avec son doudou dans les bras"
Une zone d'ombre reste à combler :
Pourquoi dans ce quartier de Nîmes où les habitants sont extrêmement proches les uns des autres, personne n'a dénoncé ces agissement ayant durés plus de 6 mois ?
«Au regard de la violence des faits, des peines fermes seront appliquées», pointe Frédéric Kocher, le procureur adjoint de la République de Nîmes.
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à noter que cest un pur hasard que la police soit tombée dessus, dans le quartier tout le monde voyait la gamine et son état, aucun a balancé ou s'est posé des questions
bien entendu, personne prendra rien, les auteurs sont mineurs et les clients seront jamais retrouvés et sont couverts. Dans un monde normal la police descendrait dans le quartier pour fusiller 50 hommes au hasard
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Mardi midi, la police municipale de Nîmes est intervenue rue Claude-Nicolas-Ledoux pour une rixe entre plusieurs individus.
Sur place, les forces de l'ordre ont mis fin à la bagarre générale. En séparant les jeunes, ils ont découvert une fillette 12 ans un peu à l'écart. Craintive et le regard perdu, elle avait le visage tuméfié et déformé par les coups
La victime a été transportée à l'hôpital. En octobre dernier, cette fillette de 12 ans issue d'un foyer social, a été kidnappée et retenue prisonnière par un groupe de quatre jeunes hommes, tous mineurs entre 15 et 17 ans.
Elle a été ligotée durant des mois dans une cave où elle a été violemment frappée voire torturée. Elle était régulièrement violée par ses ravisseurs.
Elle a été contrainte de se prostituer et d'enchaîner les passes.
Certains clients mécontents de l'inexpérience sexuelle de la jeune fille l'ont passée à tabac. Elle racontera aux policiers que les clients s'énervaient lorsqu'elle pleurait pendant le rapport sexuel tarifé ou ne savait pas exactement faire ce qu'ils réclamaient.
"Elle est blessée de la tête au pied. Elle va rester plus d’une semaine à l’hôpital" a souligné une source judiciaire. "Elle a été attachée et frappée, fracassée dans un cave de la ZUP" a déclaré un autre témoin.
Elle va rester au moins une semaine à l'hôpital sous étroite surveillance médicale et policière. Léa, 12 ans, a été évacuée aux urgences par les pompiers mardi après-midi. C'est une intervention de la police municipale de Nîmes qui a mis fin à son calvaire comme nous l'avons révélé ce mardi.
"Elle aura malheureusement des séquelles à vie dans la sphère génitale et des cicatrices indélébiles des tortures que ce soit sur le corps ou sur le visage".
D'après l'unité psychiatrique de l'hôpital de Nîmes : "la fillette présente un grave stress post traumatique qui l'enferme dans un mutisme pendant parfois plusieurs jours"
"Elle a confié à son psychiatre souhaiter mourir"
"Elle ne parvient pas à dormir dans le noir et passe la journée avec son doudou dans les bras"
Une zone d'ombre reste à combler :
Pourquoi dans ce quartier de Nîmes où les habitants sont extrêmement proches les uns des autres, personne n'a dénoncé ces agissement ayant durés plus de 6 mois ?
«Au regard de la violence des faits, des peines fermes seront appliquées», pointe Frédéric Kocher, le procureur adjoint de la République de Nîmes.
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à noter que cest un pur hasard que la police soit tombée dessus, dans le quartier tout le monde voyait la gamine et son état, aucun a balancé ou s'est posé des questions
Et ces fdp doivent parler des verrues de l'islam H24