Ce sujet a été résolu
Imaginer la langue des inconnus qui gigotent dans leur bouche sans trouver de repos
Sus à l'usurpateur
Niakwé matricule 213
4 jours sans feetent
il y a un an
GrosJDG
1 an
Imaginer la langue des inconnus qui gigotent dans leur bouche sans trouver de repos
il y a un an
Tu devrais, c'est rigolo.
Surtout quand il y a une foule entière dans la rue.
Comme une armée de langues baveuses qui bougent dans tous les sens sans jamais s'arrêter
Surtout quand il y a une foule entière dans la rue.
Comme une armée de langues baveuses qui bougent dans tous les sens sans jamais s'arrêter
Sus à l'usurpateur
Niakwé matricule 213
4 jours sans feetent
il y a un an
Anakinetunwooki
1 an
Quand tu passes ta main aux doigts écartés et tordus en crochets à travers la chevelure d'une fille, raclant le cuir chevelu du sommet du crâne jusqu'à sa nuque doucement et que dans son frémissement tu lâches un petit "memento mori" a son oreille qui est la fenêtre conduisant jusqu'à sa cavité crânienne
il y a un an
La sensation quand tu termines de dépecer ta carcasse de poulet et qu'avec les doigts gras écartés tu glisses entre les os
il y a un an
Au cœur de la foule qui grouille en ville,
Se cachent des secrets d'os et de tranquillité,
Des squelettes solides sous des chairs fragiles,
Des structures minérales, loin des regards indiscrets.
Les orbites creusées, les dents rangées en rangs,
Le menton ferme, le nez droit et fier,
Les épaules larges, la colonne droite en élan,
Les hanches solides, les jambes fières.
Dans un ballet incessant, ils avancent tous,
Chacun à sa destinée, sans un regard pour l'autre,
Ils oublient souvent, ces êtres en mouvement,
Que tout ce qui brille n'est pas de l'or.
Car derrière ces corps, ces peaux et ces vêtements,
Se cachent des os durs, une structure éternelle,
Un rappel de notre fragilité éphémère,
Un rappel de notre finitude, cruelle.
Alors peut-être que si l'on se souvient,
Que sous nos peaux fragiles, se cache un squelette puissant,
On se sentira plus forts, plus invincibles,
Face à tous les défis qui viennent à nous, intimidants.
Car au final, nous ne sommes que des êtres de chair,
Périssables et éphémères, en quête d'éternité,
Mais notre squelette, lui, sera toujours là,
Témoin silencieux de notre passage dans l'immensité
Se cachent des secrets d'os et de tranquillité,
Des squelettes solides sous des chairs fragiles,
Des structures minérales, loin des regards indiscrets.
Les orbites creusées, les dents rangées en rangs,
Le menton ferme, le nez droit et fier,
Les épaules larges, la colonne droite en élan,
Les hanches solides, les jambes fières.
Dans un ballet incessant, ils avancent tous,
Chacun à sa destinée, sans un regard pour l'autre,
Ils oublient souvent, ces êtres en mouvement,
Que tout ce qui brille n'est pas de l'or.
Car derrière ces corps, ces peaux et ces vêtements,
Se cachent des os durs, une structure éternelle,
Un rappel de notre fragilité éphémère,
Un rappel de notre finitude, cruelle.
Alors peut-être que si l'on se souvient,
Que sous nos peaux fragiles, se cache un squelette puissant,
On se sentira plus forts, plus invincibles,
Face à tous les défis qui viennent à nous, intimidants.
Car au final, nous ne sommes que des êtres de chair,
Périssables et éphémères, en quête d'éternité,
Mais notre squelette, lui, sera toujours là,
Témoin silencieux de notre passage dans l'immensité
il y a un an
SG1
1 an
Au cœur de la foule qui grouille en ville,
Se cachent des secrets d'os et de tranquillité,
Des squelettes solides sous des chairs fragiles,
Des structures minérales, loin des regards indiscrets.
Les orbites creusées, les dents rangées en rangs,
Le menton ferme, le nez droit et fier,
Les épaules larges, la colonne droite en élan,
Les hanches solides, les jambes fières.
Dans un ballet incessant, ils avancent tous,
Chacun à sa destinée, sans un regard pour l'autre,
Ils oublient souvent, ces êtres en mouvement,
Que tout ce qui brille n'est pas de l'or.
Car derrière ces corps, ces peaux et ces vêtements,
Se cachent des os durs, une structure éternelle,
Un rappel de notre fragilité éphémère,
Un rappel de notre finitude, cruelle.
Alors peut-être que si l'on se souvient,
Que sous nos peaux fragiles, se cache un squelette puissant,
On se sentira plus forts, plus invincibles,
Face à tous les défis qui viennent à nous, intimidants.
Car au final, nous ne sommes que des êtres de chair,
Périssables et éphémères, en quête d'éternité,
Mais notre squelette, lui, sera toujours là,
Témoin silencieux de notre passage dans l'immensité
Se cachent des secrets d'os et de tranquillité,
Des squelettes solides sous des chairs fragiles,
Des structures minérales, loin des regards indiscrets.
Les orbites creusées, les dents rangées en rangs,
Le menton ferme, le nez droit et fier,
Les épaules larges, la colonne droite en élan,
Les hanches solides, les jambes fières.
Dans un ballet incessant, ils avancent tous,
Chacun à sa destinée, sans un regard pour l'autre,
Ils oublient souvent, ces êtres en mouvement,
Que tout ce qui brille n'est pas de l'or.
Car derrière ces corps, ces peaux et ces vêtements,
Se cachent des os durs, une structure éternelle,
Un rappel de notre fragilité éphémère,
Un rappel de notre finitude, cruelle.
Alors peut-être que si l'on se souvient,
Que sous nos peaux fragiles, se cache un squelette puissant,
On se sentira plus forts, plus invincibles,
Face à tous les défis qui viennent à nous, intimidants.
Car au final, nous ne sommes que des êtres de chair,
Périssables et éphémères, en quête d'éternité,
Mais notre squelette, lui, sera toujours là,
Témoin silencieux de notre passage dans l'immensité
il y a un an
C'est rien c'est juste Hannibal le cannibale
Même dans la victoire elle continue inlassablement de se défiler, pathétique. https://youtu.be/RQH8pD5RpmI
il y a un an