Ce sujet a été résolu
Si seulement mon pseudo pouvait servir de nom à un nouveau pokémon
Je suis le donut du forum
il y a 2 ans
Ok donc c'est pas toi... J'aimerais trop savoir qui c'est...
Je suis le donut du forum
il y a 2 ans
Après ça va le mot puceau est pas vraiment obscene, si ils font un pokémon puce esseulé peut être qu'il s'appelle puçolitaire ça serait la même prononciation
Je suis le donut du forum
il y a 2 ans
T'as fait quoi comme dinguerie sous benzo+ alcool ?
Persoent je fais que dormir quand je prends le xan avec c'est bien pratique pour un insomniaque
Persoent je fais que dormir quand je prends le xan avec c'est bien pratique pour un insomniaque
https://youtu.be/-eQAZldAsmM?si=BM3Ma6c8mdX3jU7b
il y a 2 ans
Je me posais la question t'as vraiment eu des dons sur ton PayPal ?
C'est de la sorcellerie ton lien à force de le voir j'ai limite envie de faire un don
C'est de la sorcellerie ton lien à force de le voir j'ai limite envie de faire un don
Je suis le donut du forum
il y a 2 ans
Ça dépend de beaucoup de chose ça. Les stocks à l’ouverture c’est une galère. Les produits frais, pour certains, ne se stockent pas. Genre les viandes, les poissons, c’est de la date courte, t’es sur de l’approvisionnement quotidien, et quand tu ouvres tu sais pas ce que tu vas vendre ou pas. Les produits secs pour certains c’est moins prise de tête, si ça se vend pas ça se stock, et ça finira par s’écouler. T’as des produits un peu particulier aussi, comme la truffe. Si tu prépares de la truffe tu peux la conditionner toi-même et ça se conserve jusqu’à 5 ans. A contrario par contre de la truffe fraîche non préparée t’es sur une semaine max. Ça donne un exemple d’amplitudes différentes pour un même produit brut.
A une époque j’ai travaillé sur de la resto rapide, c’était plus simple. Beaucoup de conditionnements avec DLC longues, tu peux stocker pour la semaine, voire le mois, c’est beaucoup moins prise de tête.
En resto classique le mieux pour garantir des produits frais c’est de bosser avec de la réservation, tu sais combien tu feras de couverts, donc tu sais combien tu commandes.
Et après bah moi dans mon domaine, des produits comme de la mozzarella, du parmigiano ou du pecorino c’est des produits que je peux stocker en bonnes quantités en étant sûre que ça s’écoulera.
Là c’est la première fois que je suis à la tête d’un restaurant pour une ouverture et je stresse énormément. Déjà les travaux qui n’avancent pas ça me met à bout, ensuite j’arrive pas à être satisfaite de ce que je compte proposer à ma carte, et ensuite j’ai tellement peur de l’ouverture, de pas gérer mon stock. Je sais faire pour un restaurant qui tourne et qui est rodé, mais là pour une ouverture je stresse de fou j’ai peur de tout foirer c’est terrible j’ai l’impression c’est à nouveau mon premier jour comme si j’avais zéro expérience.
Mon objectif c’est d’essayer de proposer une carte qui permet d’approcher le zéro gaspi, voire de l’assurer si j’y arrive. J’ai trop souvent bossé dans des endroits où on jette des chutes, on jette des os, des épluchures, parfois même ça jette les blancs d’œufs. Je veux pas proposer ça, je trouve que c’est important que ce que l’on produit ne génère pas ou peu de déchets, et que les déchets aient été extrait de tout ce qu’ils pouvaient produire (bouillons et sauces avec tes graisses, tes os, tes épluchures, par exemple)
A une époque j’ai travaillé sur de la resto rapide, c’était plus simple. Beaucoup de conditionnements avec DLC longues, tu peux stocker pour la semaine, voire le mois, c’est beaucoup moins prise de tête.
En resto classique le mieux pour garantir des produits frais c’est de bosser avec de la réservation, tu sais combien tu feras de couverts, donc tu sais combien tu commandes.
Et après bah moi dans mon domaine, des produits comme de la mozzarella, du parmigiano ou du pecorino c’est des produits que je peux stocker en bonnes quantités en étant sûre que ça s’écoulera.
Là c’est la première fois que je suis à la tête d’un restaurant pour une ouverture et je stresse énormément. Déjà les travaux qui n’avancent pas ça me met à bout, ensuite j’arrive pas à être satisfaite de ce que je compte proposer à ma carte, et ensuite j’ai tellement peur de l’ouverture, de pas gérer mon stock. Je sais faire pour un restaurant qui tourne et qui est rodé, mais là pour une ouverture je stresse de fou j’ai peur de tout foirer c’est terrible j’ai l’impression c’est à nouveau mon premier jour comme si j’avais zéro expérience.
Mon objectif c’est d’essayer de proposer une carte qui permet d’approcher le zéro gaspi, voire de l’assurer si j’y arrive. J’ai trop souvent bossé dans des endroits où on jette des chutes, on jette des os, des épluchures, parfois même ça jette les blancs d’œufs. Je veux pas proposer ça, je trouve que c’est important que ce que l’on produit ne génère pas ou peu de déchets, et que les déchets aient été extrait de tout ce qu’ils pouvaient produire (bouillons et sauces avec tes graisses, tes os, tes épluchures, par exemple)
Voilà j’ai enlevé
il y a 2 ans
Bordelent t'as le pire des trips
Je te plains ma craie
Je te plains ma craie
https://youtu.be/-eQAZldAsmM?si=BM3Ma6c8mdX3jU7b
il y a 2 ans
Et quand tu changes juste une carte, hors ouverture d’un nouveau restaurant, ça dépend de si tu fais un ajout, une modif, ou de si tu changes totalement ta carte.
Mais dans l’idée c’est soit ton produit est déjà un produit qui marche (tu adoptes une recette à la mode qui fonctionne très bien et qui attire la clientèle), soit ton produit est original, nouveau, et tu ne sais pas si ça se vendra ou non. Donc normalement t’as plus ou moins eu accès à des infos sur les quantités qui s’écoulent et tu commandes en conséquence, comme si ton produit avait toujours été à ta carte en fait, avec peut-être quelques réserves au cas où (des fois tu sais pas pourquoi le même produit se vendra pas pareil juste entre deux rues parallèles sans aucune raison apparente c’est parfois un peu absurde les modes de consommation des gens) soit faut y aller vraiment sur du flux tendu, tu prends une petite quantité, tu fais ton test sur quelques jours, quelques semaines comme ça, et en fonction de si tu te retrouves en rupture ou non, tu adaptes tes prochaines commandes au fur et à mesure.
Voilà en gros
Mais dans l’idée c’est soit ton produit est déjà un produit qui marche (tu adoptes une recette à la mode qui fonctionne très bien et qui attire la clientèle), soit ton produit est original, nouveau, et tu ne sais pas si ça se vendra ou non. Donc normalement t’as plus ou moins eu accès à des infos sur les quantités qui s’écoulent et tu commandes en conséquence, comme si ton produit avait toujours été à ta carte en fait, avec peut-être quelques réserves au cas où (des fois tu sais pas pourquoi le même produit se vendra pas pareil juste entre deux rues parallèles sans aucune raison apparente c’est parfois un peu absurde les modes de consommation des gens) soit faut y aller vraiment sur du flux tendu, tu prends une petite quantité, tu fais ton test sur quelques jours, quelques semaines comme ça, et en fonction de si tu te retrouves en rupture ou non, tu adaptes tes prochaines commandes au fur et à mesure.
Voilà en gros
Voilà j’ai enlevé
il y a 2 ans
Bah il me pose une question je réponds
Et encore t’as pas vu l’autre pavé j’avais pas fini
Et encore t’as pas vu l’autre pavé j’avais pas fini
Voilà j’ai enlevé
il y a 2 ans
Bon va falloir que je rentre chez moi.
Question. Noctilien ou uber ?
Question. Noctilien ou uber ?
Voilà j’ai enlevé
il y a 2 ans
LaFrimeuse
2 ans
Bon va falloir que je rentre chez moi.
Question. Noctilien ou uber ?
Question. Noctilien ou uber ?
demande à un migrant de te porter sur son dos
il y a 2 ans

















