pitié n'essaie pas de parler de christianisme alors que tu n'y entends visiblement rien. moi je ne crois pas d'une part que l'art grec n'ait jamais été égalé, je donne bien Zeuxis pour un Botticelli, un Pythoclide de Céos pour un Bach et un Panthéon pour une cathédrale de Strasbourg.
le génie chrétien ce n'est pas celui de la souffrance et de la faiblesse, c'est celui de la force universelle (et la force d'âme est une vertu cardinale est-il besoin de le rappeler ?) qui a la charité d'accorder de la considération à tous dans la mesure qui convient. le christianisme n'a jamais consisté à refuser tout conflit et à se laisser marcher dessus, il y a toute une théologie de la guerre juste et de la sainte colère. tu prends tout le christianisme pour un dolorisme qui n'est que l'apanage de saint Augustin, le vrai fond du christianisme c'est la gloire, va lire saint Irénée, saint Anselme, saint Bonaventure, saint Thomas, les Évangiles même, tu ne trouveras pas la faiblesse mortifère que tu attribues au christianisme. tout le génie de l'Europe médiévale et moderne c'est bien celui de la force et de la vivacité chrétienne, qui dépassait celle du génie païen parce qu'elle était débarrassée de l'ananké grecque et du fatum romain, en vérité la force du christianisme c'est la force de la vérité même. je ne sais pas d'où tu prétends que la vitalité de l'Europe est celle de la résistance face au christianisme quand le christianisme était le coeur et l'esprit même à la fois des génies, des artistes, des savants, des dirigeants et de tout le peuple entier de l'Europe de l'ouest. aujourd'hui on arrive à un moment de faiblesse du christianisme, et ce qu'on constate c'est bien que l'abandon du christianisme coïncide avec la décrépitude. et je dis tout cela en tant que grande amie des grecs. j'aime Platon, Aristote, Parmenide, Homère, Hésiode, Eschyle, Sophocle, Euripide, Aristophane, Longus, Sappho, Pindare, Lysias, Plotin, Proclus, Jamblique, Porphyre, Apollonios de Rhodes, et tout ce que la Grèce a donné de grand, mais pour connaître aussi le christianisme, je ne peux pas te laisser croire les sottises que tu crois et qui ne sont que des préjugés faux
pitié n'essaie pas de parler de christianisme alors que tu n'y entends visiblement rien. moi je ne crois pas d'une part que l'art grec n'ait jamais été égalé, je donne bien Zeuxis pour un Botticelli, un Pythoclide de Céos pour un Bach et un Panthéon pour une cathédrale de Strasbourg.
le génie chrétien ce n'est pas celui de la souffrance et de la faiblesse, c'est celui de la force universelle (et la force d'âme est une vertu cardinale est-il besoin de le rappeler ?) qui a la charité d'accorder de la considération à tous dans la mesure qui convient. le christianisme n'a jamais consisté à refuser tout conflit et à se laisser marcher dessus, il y a toute une théologie de la guerre juste et de la sainte colère. tu prends tout le christianisme pour un dolorisme qui n'est que l'apanage de saint Augustin, le vrai fond du christianisme c'est la gloire, va lire saint Irénée, saint Anselme, saint Bonaventure, saint Thomas, les Évangiles même, tu ne trouveras pas la faiblesse mortifère que tu attribues au christianisme. tout le génie de l'Europe médiévale et moderne c'est bien celui de la force et de la vivacité chrétienne, qui dépassait celle du génie païen parce qu'elle était débarrassée de l'ananké grecque et du fatum romain, en vérité la force du christianisme c'est la force de la vérité même. je ne sais pas d'où tu prétends que la vitalité de l'Europe est celle de la résistance face au christianisme quand le christianisme était le coeur et l'esprit même à la fois des génies, des artistes, des savants, des dirigeants et de tout le peuple entier de l'Europe de l'ouest. aujourd'hui on arrive à un moment de faiblesse du christianisme, et ce qu'on constate c'est bien que l'abandon du christianisme coïncide avec la décrépitude. et je dis tout cela en tant que grande amie des grecs. j'aime Platon, Aristote, Parmenide, Homère, Hésiode, Eschyle, Sophocle, Euripide, Aristophane, Longus, Sappho, Pindare, Lysias, Plotin, Proclus, Jamblique, Porphyre, Apollonios de Rhodes, et tout ce que la Grèce a donné de grand, mais pour connaître aussi le christianisme, je ne peux pas te laisser croire les sottises que tu crois et qui ne sont que des préjugés faux
ça parle beaucoup mais sur le terrain IRL, y'a plus personne
pitié n'essaie pas de parler de christianisme alors que tu n'y entends visiblement rien. moi je ne crois pas d'une part que l'art grec n'ait jamais été égalé, je donne bien Zeuxis pour un Botticelli, un Pythoclide de Céos pour un Bach et un Panthéon pour une cathédrale de Strasbourg.
le génie chrétien ce n'est pas celui de la souffrance et de la faiblesse, c'est celui de la force universelle (et la force d'âme est une vertu cardinale est-il besoin de le rappeler ?) qui a la charité d'accorder de la considération à tous dans la mesure qui convient. le christianisme n'a jamais consisté à refuser tout conflit et à se laisser marcher dessus, il y a toute une théologie de la guerre juste et de la sainte colère. tu prends tout le christianisme pour un dolorisme qui n'est que l'apanage de saint Augustin, le vrai fond du christianisme c'est la gloire, va lire saint Irénée, saint Anselme, saint Bonaventure, saint Thomas, les Évangiles même, tu ne trouveras pas la faiblesse mortifère que tu attribues au christianisme. tout le génie de l'Europe médiévale et moderne c'est bien celui de la force et de la vivacité chrétienne, qui dépassait celle du génie païen parce qu'elle était débarrassée de l'ananké grecque et du fatum romain, en vérité la force du christianisme c'est la force de la vérité même. je ne sais pas d'où tu prétends que la vitalité de l'Europe est celle de la résistance face au christianisme quand le christianisme était le coeur et l'esprit même à la fois des génies, des artistes, des savants, des dirigeants et de tout le peuple entier de l'Europe de l'ouest. aujourd'hui on arrive à un moment de faiblesse du christianisme, et ce qu'on constate c'est bien que l'abandon du christianisme coïncide avec la décrépitude. et je dis tout cela en tant que grande amie des grecs. j'aime Platon, Aristote, Parmenide, Homère, Hésiode, Eschyle, Sophocle, Euripide, Aristophane, Longus, Sappho, Pindare, Lysias, Plotin, Proclus, Jamblique, Porphyre, Apollonios de Rhodes, et tout ce que la Grèce a donné de grand, mais pour connaître aussi le christianisme, je ne peux pas te laisser croire les sottises que tu crois et qui ne sont que des préjugés faux
Ca fait beaucoup de mots, y'a de quoi faire une sacrée salade
