Ce sujet a été résolu
à me faire croit que c'était du pur hasard
genre tu trouves par hasard un compte tiktok avec moins de 5000 vues et 1 abonnée sur le compte
tout a été signalé à pharos à nouveau

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🇨🇭 Un pour tous, tous pour un ⚔️ https://twitter.com/ATonyBaudelaire
il y a un an
Tu peux tout résumer depuis le début stp on comprend rien
Anthony Meunier Baudelaire a partagé une histoire complexe impliquant des menaces et manipulations de la part de groupes néo-nazis, d'une organisation mafieuse, et de personnes liées à un château avec une longue histoire et aussi associé à occupation allemande et aussi à Klaus Barbie. Les attaques semblent motivées par des affiliations idéologiques et des intérêts politiques. Anthony a contacté Interpol pour demander une enquête sur ces groupes et solliciter une protection Une autre dimension de l'histoire concerne son soutien à Robert Kennedy Jr. et son projet de créer une communauté de soutien francophone. En parallèle, Anthony a été confronté à des allégations de trolling, diffamation, et abus de faiblesse sur Internet, auxquelles il cherche à faire face en sollicitant l'aide de Interpol et de Pharos.
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il y a un an
ElBouclador
1 an
Qui pour resumax ?
Le témoignage de mon père au défenseur des droits, je permets de tag @Diamant
Toutefois, avant de conclure définitivement, c’est un autre événement qui va survenir à peu près à la même date, et qui dépasse tout ce qui m’était arrivé jusque-là — du moins, depuis la tentative d’assassinat à mon encontre en 2013. Une histoire, dont à vrai dire je n’ai pas encore tout compris, et dont j’ignore en partie tout ce qui s’est réellement passé. Une question fort complexe et dont, dans un premier temps, je n’avais pas vraiment envie de parler, tellement cette histoire est invraisemblable. Moi-même, je me suis demandé si c’était bien vrai, que ce n’était pas une blague de mauvais plaisantins, ou bien alors si ce n’était pas encore une affaire dans l’affaire et que cette dernière ne continuait pas par une manœuvre particulièrement vicieuse pour s’en prendre à moi autrement. Ce nouvel épisode se résume en quelque sorte par un nouvel angle d’attaque, qui consiste à vouloir enfermer mon fils Anthony en hôpital psychiatrique. Celui-ci, qui est mon plus jeune fils, vit encore avec moi, où notamment il m’aidait avec une grande efficacité dans l’avancement de mes dossiers, afin de trouver une sortie à la situation présente. Précisément, il excelle sur les questions juridiques, où il démontre de véritable capacité dans ce domaine. D’ailleurs, sans sa présence et son aide, je ne pourrai que difficilement vivre ici tout seul. Et ce qui arrive n’est certainement pas un hasard, comme nous allons le voir un peu plus loin...
Je n’entrerai pas dans le détail de toute cette histoire, ni même je ne tenterai d’en faire un résumé, ce qui serait bien trop compliqué pour expliciter tout ce qui s’est passé. Cependant, je remarquerai pour commencer que mon fils Anthony a toujours eu différents troubles psychiques ou neurologiques, qui se révèlent pris tous ensembles très handicapant, (hyperactivité, dyslexie, dyspraxie ou jambes sans repos), qui fait qu’il est suivi pour cela depuis son plus jeune âge par des psychiatres. Depuis, heureusement, les différents traitements qu’il a dû prendre ont considérablement atténué ces désordres, au point de se porter désormais à peu près normalement. Jamais, malgré tous les psychiatres qui l’ont suivi, il n’avait jamais été question, de près ou de loin, de la nécessité d’être suivi en hôpital psychiatrique et encore moins celle de s’y faire enfermer pour un temps indéterminé.
Seulement, tout a commencé suite à mes-usage de l’une de ses substances, dont je n’étais pas du tout chaud pour qu’il en prenne, considérant ce produit comme pouvant s’avérer dangereux. Bien évidemment, comme il est majeur, je ne peux donner que mon avis, et je ne peux pas l’obliger à prendre tel ou tel traitement. Puis, particulièrement remonté par les effets de cette substance, qui vous rend hyper-rationnel jusqu’à l’absurde et qui faisait suite dans le même temps à un conflit avec des individus qu’il a rencontré sur internet, où il a profité de mon absence (pour aller faire quelques coures), et a disparu sans que je ne sache où il était parti. Ce que je sais, c’est que précisément il a eu sur le moment un sentiment de persécution, où en vérité il s’était fait harceler toute la journée, autant par le téléphone que sur internet, par de drôles d’oiseaux, qui lui tenaient notamment des propos antisémites. Et comme il a recopié tous ces messages de haines, j’ai bien pu voir que ce qu’il m’en disait était bien vrai. C’est ce qui l’a finalement tellement énervé — comme je le suppose — au point qu’il est parti à pied, en pleine nuit et par un froid glacial, vers le centre de Genève (entre 10 à 15 km) où il a tourné ensuite dans tout le centre ville, comme un défi lancé contre ceux qui le harcelaient. Comme ce périple l’avait particulièrement éprouvé, à un moment donné, à la gare Cornavin, il a demandé à se faire aider et c’est ainsi qu’il s’est retrouvé à l’Hôpital Cantonal. Mais au lieu de le soigner, notamment au niveau des pieds, ils n’en ont rien fait, par contre comme il protestait de ce manque de soin, ils n’ont pas hésité à lui faire un plaquage ventrale, bien décidé (pour les responsables de l’hôpital) de s’en débarrasser au plus vite auprès de l’hôpital psychiatrique de Bourg-en-Bresse. Pour cela, ils m’ont prévenu très tardivement, interdisant au passage à Anthony de me téléphoner. En entendant cela, je leur ai tout de suite dit mon opposition catégorique à ce qu’il soit transféré à Bourg-en-Bresse, dont la réputation n’a jamais été bonne, comme ils me l’ont tout de suite proposé. Au contraire, j’ai fait savoir immédiatement que j’étais prêt à venir le chercher, mais entre-temps, il l’avait transféré auprès de l’hôpital psychiatrique de Thoney (canton de Genève), où là il a été bien traité. De nouveau, je leur ai fait savoir que je viendrai le chercher dès le lendemain, mais au lieu de ça, ceux-ci l’avaient transféré directement à Bourg-en-Bresse, malgré son opposition et sans que je ne sois évidemment prévenu. Et là, plus question de le relâcher, car d’après le médecin-chef, Anthony souffrirait de graves délires schizophréniques et paranoïaques, au point d’être dangereux pour lui-même, pour les autres et pour la société. Pas moins ! Ce que j’ai bien sûr contesté vigoureusement. C’est pour ces raisons mensongères, que le médecin-chef refusait de le relâcher, alors que son diagnostic avait été réalisé à le vitesse de l’éclair, probablement sur un coin de table (en fait sur le siège d’une voiture à l’arrêt), et ajoutait-il, qu’il se faisait fort de convaincre son psychiatre habituel que son cas serait si grave, qu’il ne pourrait pas s’y opposer. Malheureusement, ce dernier était en congé...
Finalement, je suis arrivé à le rechercher, malgré l’insistance appuyée de ceux qui m’ont reçu pour que j’accepte de le laisser sur place. Bien sûr, je ne me suis pas laisser faire, ayant pu constater qu’Anthony n’était pas si différent que d’habitude, malgré lui avoir fait prendre des médicaments de force et l’avoir maintenu ligoté pendant plus d’une douzaine d’heures, malgré ses jambes sans repos, ce qui constitue une véritable torture. En plus, l’un de ces médicaments est une véritable camisole chimique, qui lui avait déjà été prescrit à faible dose, et qu’il avait dû abandonner, tellement il se sentait mal avec. Ainsi, ils ont refusé de lui donner son traitement habituel et préféré le mettre dans un état second, en le forçant à prendre à forte dose de cette substance destinée au cas les plus graves, et auquel s’ajoutait des injections d’on ne sait quoi.
Cependant, comme j’avais prévenu que je venais le chercher, le médecin-chef avait préféré prendre la tangente avant mon arrivée, alors qu’il menaçait dès le lendemain de faire venir un juge des libertés, pour donner un aspect légal à un enfermement sans aucune réelle nécessité médicale. D’ailleurs, le médecin-chef lui a bien explicité que c’était pour des raisons politiques qu’il devait être enfermé, alors que l’on accuse la Russie de faire de même avec ses opposants politiques, ce qui est à juste titre fortement condamné. Ses prises de position sur internet n’étaient semble-t-il pas de leur goûts. Par exemple, dans son soutien au peuple Palestinien, mais aussi au camp de la Paix israélien, mais encore parce qu’il a décidé de soutenir activement la candidature à la présidence des Etats-Unis de Robert Kennedy Jr. Un candidat indépendant qui est victime d’un véritable boycott dans les médias, malgré son nom et son pedigree, alors qu’il suscite une adhésion de plus en plus massive parmi les électeurs étasuniens, au point qu’il pourrait rebattre les cartes dans un remake malvenu entre Trump et Biden.
Il y avait aussi une autre raison plus inavouable, c’était celle de me retrouver tout seul au château, ce qui aurait abouti à ce qu’il me soit presqu’impossible de rester sur place, surtout en plein hiver, sans la moindre aide. Ce qui n’était pas pour déplaire à tous ceux qui complotent contre moi pour m’en chasser et qui ne pouvaient rêver à meilleure situation.
Après avoir récupéré mon fils, l’histoire aurait dû être finie, mais il semble qu’à Bourg-en-Bresse, de ce qu’ils ont dit à mon fils, ils attendent qu’Anthony ait vu son psy ce mois-ci, pour relancer une éventuelle décision d’internement, si celui-ci devait se plier à leur desiderata. Une perspective qui a heureusement peu de chance d’arriver, car je sais qu’il sera difficile de faire changer d’avis son psy, d’autant qu’il entretien une excellente relation avec Anthony, comme j’ai pu le voir à maintes occasions, et qu’il le considère comme très intelligent et comme quelqu’un avec qui il est agréable de converser sur toutes sortes de sujets. Ce qui est le cas aussi de notre ami avocat, qui a fait lui-aussi des interventions pour le sortir de là, et qui m’a souvent fait des compliments sur sa dextérité intellectuelle, jusqu’à remarquer ses étonnantes compétences en matière de droit. Toutefois, je remarque que de telles capacités intellectuelles sont incompatibles avec les prétendus délires paranoïaques et autres divagations schizophréniques, que les psychiatres de Bourg-en-Bresse veulent lui mettre sur le dos.
Quoiqu’il en soi, Anthony a décidé de ne pas en rester-là et vient de commencer à porter plainte contre ceux qui ont organisé cette tentative de séquestration, et qu’il pense déposer lui-aussi un dossier auprès de la Défenseur des droits. Bien sûr, il a tout mon soutien pour toutes ses démarches, qu’il a entamé sitôt son retour à la maison, où tellement scandalisé par ce qui lui est arrivé, qu’il fait désormais feu de tout bois.
Enfin, un dernier point, qui nous ramène directement au sujet même de ma démarche, donc à toutes les affaires qui tournent autour du château. J’ai déjà signalé ci-dessus qu’il était harcelé par une bande de gens forts peu recommandables, que l’on peut qualifier aisément de néo-nazis. Malheureusement, depuis son retour, bien qu’il a coupé tous le ponts avec ces gens-là, ils ont adopté une nouvelle stratégie
Toutefois, avant de conclure définitivement, c’est un autre événement qui va survenir à peu près à la même date, et qui dépasse tout ce qui m’était arrivé jusque-là — du moins, depuis la tentative d’assassinat à mon encontre en 2013. Une histoire, dont à vrai dire je n’ai pas encore tout compris, et dont j’ignore en partie tout ce qui s’est réellement passé. Une question fort complexe et dont, dans un premier temps, je n’avais pas vraiment envie de parler, tellement cette histoire est invraisemblable. Moi-même, je me suis demandé si c’était bien vrai, que ce n’était pas une blague de mauvais plaisantins, ou bien alors si ce n’était pas encore une affaire dans l’affaire et que cette dernière ne continuait pas par une manœuvre particulièrement vicieuse pour s’en prendre à moi autrement. Ce nouvel épisode se résume en quelque sorte par un nouvel angle d’attaque, qui consiste à vouloir enfermer mon fils Anthony en hôpital psychiatrique. Celui-ci, qui est mon plus jeune fils, vit encore avec moi, où notamment il m’aidait avec une grande efficacité dans l’avancement de mes dossiers, afin de trouver une sortie à la situation présente. Précisément, il excelle sur les questions juridiques, où il démontre de véritable capacité dans ce domaine. D’ailleurs, sans sa présence et son aide, je ne pourrai que difficilement vivre ici tout seul. Et ce qui arrive n’est certainement pas un hasard, comme nous allons le voir un peu plus loin...
Je n’entrerai pas dans le détail de toute cette histoire, ni même je ne tenterai d’en faire un résumé, ce qui serait bien trop compliqué pour expliciter tout ce qui s’est passé. Cependant, je remarquerai pour commencer que mon fils Anthony a toujours eu différents troubles psychiques ou neurologiques, qui se révèlent pris tous ensembles très handicapant, (hyperactivité, dyslexie, dyspraxie ou jambes sans repos), qui fait qu’il est suivi pour cela depuis son plus jeune âge par des psychiatres. Depuis, heureusement, les différents traitements qu’il a dû prendre ont considérablement atténué ces désordres, au point de se porter désormais à peu près normalement. Jamais, malgré tous les psychiatres qui l’ont suivi, il n’avait jamais été question, de près ou de loin, de la nécessité d’être suivi en hôpital psychiatrique et encore moins celle de s’y faire enfermer pour un temps indéterminé.
Seulement, tout a commencé suite à mes-usage de l’une de ses substances, dont je n’étais pas du tout chaud pour qu’il en prenne, considérant ce produit comme pouvant s’avérer dangereux. Bien évidemment, comme il est majeur, je ne peux donner que mon avis, et je ne peux pas l’obliger à prendre tel ou tel traitement. Puis, particulièrement remonté par les effets de cette substance, qui vous rend hyper-rationnel jusqu’à l’absurde et qui faisait suite dans le même temps à un conflit avec des individus qu’il a rencontré sur internet, où il a profité de mon absence (pour aller faire quelques coures), et a disparu sans que je ne sache où il était parti. Ce que je sais, c’est que précisément il a eu sur le moment un sentiment de persécution, où en vérité il s’était fait harceler toute la journée, autant par le téléphone que sur internet, par de drôles d’oiseaux, qui lui tenaient notamment des propos antisémites. Et comme il a recopié tous ces messages de haines, j’ai bien pu voir que ce qu’il m’en disait était bien vrai. C’est ce qui l’a finalement tellement énervé — comme je le suppose — au point qu’il est parti à pied, en pleine nuit et par un froid glacial, vers le centre de Genève (entre 10 à 15 km) où il a tourné ensuite dans tout le centre ville, comme un défi lancé contre ceux qui le harcelaient. Comme ce périple l’avait particulièrement éprouvé, à un moment donné, à la gare Cornavin, il a demandé à se faire aider et c’est ainsi qu’il s’est retrouvé à l’Hôpital Cantonal. Mais au lieu de le soigner, notamment au niveau des pieds, ils n’en ont rien fait, par contre comme il protestait de ce manque de soin, ils n’ont pas hésité à lui faire un plaquage ventrale, bien décidé (pour les responsables de l’hôpital) de s’en débarrasser au plus vite auprès de l’hôpital psychiatrique de Bourg-en-Bresse. Pour cela, ils m’ont prévenu très tardivement, interdisant au passage à Anthony de me téléphoner. En entendant cela, je leur ai tout de suite dit mon opposition catégorique à ce qu’il soit transféré à Bourg-en-Bresse, dont la réputation n’a jamais été bonne, comme ils me l’ont tout de suite proposé. Au contraire, j’ai fait savoir immédiatement que j’étais prêt à venir le chercher, mais entre-temps, il l’avait transféré auprès de l’hôpital psychiatrique de Thoney (canton de Genève), où là il a été bien traité. De nouveau, je leur ai fait savoir que je viendrai le chercher dès le lendemain, mais au lieu de ça, ceux-ci l’avaient transféré directement à Bourg-en-Bresse, malgré son opposition et sans que je ne sois évidemment prévenu. Et là, plus question de le relâcher, car d’après le médecin-chef, Anthony souffrirait de graves délires schizophréniques et paranoïaques, au point d’être dangereux pour lui-même, pour les autres et pour la société. Pas moins ! Ce que j’ai bien sûr contesté vigoureusement. C’est pour ces raisons mensongères, que le médecin-chef refusait de le relâcher, alors que son diagnostic avait été réalisé à le vitesse de l’éclair, probablement sur un coin de table (en fait sur le siège d’une voiture à l’arrêt), et ajoutait-il, qu’il se faisait fort de convaincre son psychiatre habituel que son cas serait si grave, qu’il ne pourrait pas s’y opposer. Malheureusement, ce dernier était en congé...
Finalement, je suis arrivé à le rechercher, malgré l’insistance appuyée de ceux qui m’ont reçu pour que j’accepte de le laisser sur place. Bien sûr, je ne me suis pas laisser faire, ayant pu constater qu’Anthony n’était pas si différent que d’habitude, malgré lui avoir fait prendre des médicaments de force et l’avoir maintenu ligoté pendant plus d’une douzaine d’heures, malgré ses jambes sans repos, ce qui constitue une véritable torture. En plus, l’un de ces médicaments est une véritable camisole chimique, qui lui avait déjà été prescrit à faible dose, et qu’il avait dû abandonner, tellement il se sentait mal avec. Ainsi, ils ont refusé de lui donner son traitement habituel et préféré le mettre dans un état second, en le forçant à prendre à forte dose de cette substance destinée au cas les plus graves, et auquel s’ajoutait des injections d’on ne sait quoi.
Cependant, comme j’avais prévenu que je venais le chercher, le médecin-chef avait préféré prendre la tangente avant mon arrivée, alors qu’il menaçait dès le lendemain de faire venir un juge des libertés, pour donner un aspect légal à un enfermement sans aucune réelle nécessité médicale. D’ailleurs, le médecin-chef lui a bien explicité que c’était pour des raisons politiques qu’il devait être enfermé, alors que l’on accuse la Russie de faire de même avec ses opposants politiques, ce qui est à juste titre fortement condamné. Ses prises de position sur internet n’étaient semble-t-il pas de leur goûts. Par exemple, dans son soutien au peuple Palestinien, mais aussi au camp de la Paix israélien, mais encore parce qu’il a décidé de soutenir activement la candidature à la présidence des Etats-Unis de Robert Kennedy Jr. Un candidat indépendant qui est victime d’un véritable boycott dans les médias, malgré son nom et son pedigree, alors qu’il suscite une adhésion de plus en plus massive parmi les électeurs étasuniens, au point qu’il pourrait rebattre les cartes dans un remake malvenu entre Trump et Biden.
Il y avait aussi une autre raison plus inavouable, c’était celle de me retrouver tout seul au château, ce qui aurait abouti à ce qu’il me soit presqu’impossible de rester sur place, surtout en plein hiver, sans la moindre aide. Ce qui n’était pas pour déplaire à tous ceux qui complotent contre moi pour m’en chasser et qui ne pouvaient rêver à meilleure situation.
Après avoir récupéré mon fils, l’histoire aurait dû être finie, mais il semble qu’à Bourg-en-Bresse, de ce qu’ils ont dit à mon fils, ils attendent qu’Anthony ait vu son psy ce mois-ci, pour relancer une éventuelle décision d’internement, si celui-ci devait se plier à leur desiderata. Une perspective qui a heureusement peu de chance d’arriver, car je sais qu’il sera difficile de faire changer d’avis son psy, d’autant qu’il entretien une excellente relation avec Anthony, comme j’ai pu le voir à maintes occasions, et qu’il le considère comme très intelligent et comme quelqu’un avec qui il est agréable de converser sur toutes sortes de sujets. Ce qui est le cas aussi de notre ami avocat, qui a fait lui-aussi des interventions pour le sortir de là, et qui m’a souvent fait des compliments sur sa dextérité intellectuelle, jusqu’à remarquer ses étonnantes compétences en matière de droit. Toutefois, je remarque que de telles capacités intellectuelles sont incompatibles avec les prétendus délires paranoïaques et autres divagations schizophréniques, que les psychiatres de Bourg-en-Bresse veulent lui mettre sur le dos.
Quoiqu’il en soi, Anthony a décidé de ne pas en rester-là et vient de commencer à porter plainte contre ceux qui ont organisé cette tentative de séquestration, et qu’il pense déposer lui-aussi un dossier auprès de la Défenseur des droits. Bien sûr, il a tout mon soutien pour toutes ses démarches, qu’il a entamé sitôt son retour à la maison, où tellement scandalisé par ce qui lui est arrivé, qu’il fait désormais feu de tout bois.
Enfin, un dernier point, qui nous ramène directement au sujet même de ma démarche, donc à toutes les affaires qui tournent autour du château. J’ai déjà signalé ci-dessus qu’il était harcelé par une bande de gens forts peu recommandables, que l’on peut qualifier aisément de néo-nazis. Malheureusement, depuis son retour, bien qu’il a coupé tous le ponts avec ces gens-là, ils ont adopté une nouvelle stratégie
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il y a un an
Le témoignage de mon père au défenseur des droits, je permets de tag @Diamant
Toutefois, avant de conclure définitivement, c’est un autre événement qui va survenir à peu près à la même date, et qui dépasse tout ce qui m’était arrivé jusque-là — du moins, depuis la tentative d’assassinat à mon encontre en 2013. Une histoire, dont à vrai dire je n’ai pas encore tout compris, et dont j’ignore en partie tout ce qui s’est réellement passé. Une question fort complexe et dont, dans un premier temps, je n’avais pas vraiment envie de parler, tellement cette histoire est invraisemblable. Moi-même, je me suis demandé si c’était bien vrai, que ce n’était pas une blague de mauvais plaisantins, ou bien alors si ce n’était pas encore une affaire dans l’affaire et que cette dernière ne continuait pas par une manœuvre particulièrement vicieuse pour s’en prendre à moi autrement. Ce nouvel épisode se résume en quelque sorte par un nouvel angle d’attaque, qui consiste à vouloir enfermer mon fils Anthony en hôpital psychiatrique. Celui-ci, qui est mon plus jeune fils, vit encore avec moi, où notamment il m’aidait avec une grande efficacité dans l’avancement de mes dossiers, afin de trouver une sortie à la situation présente. Précisément, il excelle sur les questions juridiques, où il démontre de véritable capacité dans ce domaine. D’ailleurs, sans sa présence et son aide, je ne pourrai que difficilement vivre ici tout seul. Et ce qui arrive n’est certainement pas un hasard, comme nous allons le voir un peu plus loin...
Je n’entrerai pas dans le détail de toute cette histoire, ni même je ne tenterai d’en faire un résumé, ce qui serait bien trop compliqué pour expliciter tout ce qui s’est passé. Cependant, je remarquerai pour commencer que mon fils Anthony a toujours eu différents troubles psychiques ou neurologiques, qui se révèlent pris tous ensembles très handicapant, (hyperactivité, dyslexie, dyspraxie ou jambes sans repos), qui fait qu’il est suivi pour cela depuis son plus jeune âge par des psychiatres. Depuis, heureusement, les différents traitements qu’il a dû prendre ont considérablement atténué ces désordres, au point de se porter désormais à peu près normalement. Jamais, malgré tous les psychiatres qui l’ont suivi, il n’avait jamais été question, de près ou de loin, de la nécessité d’être suivi en hôpital psychiatrique et encore moins celle de s’y faire enfermer pour un temps indéterminé.
Seulement, tout a commencé suite à mes-usage de l’une de ses substances, dont je n’étais pas du tout chaud pour qu’il en prenne, considérant ce produit comme pouvant s’avérer dangereux. Bien évidemment, comme il est majeur, je ne peux donner que mon avis, et je ne peux pas l’obliger à prendre tel ou tel traitement. Puis, particulièrement remonté par les effets de cette substance, qui vous rend hyper-rationnel jusqu’à l’absurde et qui faisait suite dans le même temps à un conflit avec des individus qu’il a rencontré sur internet, où il a profité de mon absence (pour aller faire quelques coures), et a disparu sans que je ne sache où il était parti. Ce que je sais, c’est que précisément il a eu sur le moment un sentiment de persécution, où en vérité il s’était fait harceler toute la journée, autant par le téléphone que sur internet, par de drôles d’oiseaux, qui lui tenaient notamment des propos antisémites. Et comme il a recopié tous ces messages de haines, j’ai bien pu voir que ce qu’il m’en disait était bien vrai. C’est ce qui l’a finalement tellement énervé — comme je le suppose — au point qu’il est parti à pied, en pleine nuit et par un froid glacial, vers le centre de Genève (entre 10 à 15 km) où il a tourné ensuite dans tout le centre ville, comme un défi lancé contre ceux qui le harcelaient. Comme ce périple l’avait particulièrement éprouvé, à un moment donné, à la gare Cornavin, il a demandé à se faire aider et c’est ainsi qu’il s’est retrouvé à l’Hôpital Cantonal. Mais au lieu de le soigner, notamment au niveau des pieds, ils n’en ont rien fait, par contre comme il protestait de ce manque de soin, ils n’ont pas hésité à lui faire un plaquage ventrale, bien décidé (pour les responsables de l’hôpital) de s’en débarrasser au plus vite auprès de l’hôpital psychiatrique de Bourg-en-Bresse. Pour cela, ils m’ont prévenu très tardivement, interdisant au passage à Anthony de me téléphoner. En entendant cela, je leur ai tout de suite dit mon opposition catégorique à ce qu’il soit transféré à Bourg-en-Bresse, dont la réputation n’a jamais été bonne, comme ils me l’ont tout de suite proposé. Au contraire, j’ai fait savoir immédiatement que j’étais prêt à venir le chercher, mais entre-temps, il l’avait transféré auprès de l’hôpital psychiatrique de Thoney (canton de Genève), où là il a été bien traité. De nouveau, je leur ai fait savoir que je viendrai le chercher dès le lendemain, mais au lieu de ça, ceux-ci l’avaient transféré directement à Bourg-en-Bresse, malgré son opposition et sans que je ne sois évidemment prévenu. Et là, plus question de le relâcher, car d’après le médecin-chef, Anthony souffrirait de graves délires schizophréniques et paranoïaques, au point d’être dangereux pour lui-même, pour les autres et pour la société. Pas moins ! Ce que j’ai bien sûr contesté vigoureusement. C’est pour ces raisons mensongères, que le médecin-chef refusait de le relâcher, alors que son diagnostic avait été réalisé à le vitesse de l’éclair, probablement sur un coin de table (en fait sur le siège d’une voiture à l’arrêt), et ajoutait-il, qu’il se faisait fort de convaincre son psychiatre habituel que son cas serait si grave, qu’il ne pourrait pas s’y opposer. Malheureusement, ce dernier était en congé...
Finalement, je suis arrivé à le rechercher, malgré l’insistance appuyée de ceux qui m’ont reçu pour que j’accepte de le laisser sur place. Bien sûr, je ne me suis pas laisser faire, ayant pu constater qu’Anthony n’était pas si différent que d’habitude, malgré lui avoir fait prendre des médicaments de force et l’avoir maintenu ligoté pendant plus d’une douzaine d’heures, malgré ses jambes sans repos, ce qui constitue une véritable torture. En plus, l’un de ces médicaments est une véritable camisole chimique, qui lui avait déjà été prescrit à faible dose, et qu’il avait dû abandonner, tellement il se sentait mal avec. Ainsi, ils ont refusé de lui donner son traitement habituel et préféré le mettre dans un état second, en le forçant à prendre à forte dose de cette substance destinée au cas les plus graves, et auquel s’ajoutait des injections d’on ne sait quoi.
Cependant, comme j’avais prévenu que je venais le chercher, le médecin-chef avait préféré prendre la tangente avant mon arrivée, alors qu’il menaçait dès le lendemain de faire venir un juge des libertés, pour donner un aspect légal à un enfermement sans aucune réelle nécessité médicale. D’ailleurs, le médecin-chef lui a bien explicité que c’était pour des raisons politiques qu’il devait être enfermé, alors que l’on accuse la Russie de faire de même avec ses opposants politiques, ce qui est à juste titre fortement condamné. Ses prises de position sur internet n’étaient semble-t-il pas de leur goûts. Par exemple, dans son soutien au peuple Palestinien, mais aussi au camp de la Paix israélien, mais encore parce qu’il a décidé de soutenir activement la candidature à la présidence des Etats-Unis de Robert Kennedy Jr. Un candidat indépendant qui est victime d’un véritable boycott dans les médias, malgré son nom et son pedigree, alors qu’il suscite une adhésion de plus en plus massive parmi les électeurs étasuniens, au point qu’il pourrait rebattre les cartes dans un remake malvenu entre Trump et Biden.
Il y avait aussi une autre raison plus inavouable, c’était celle de me retrouver tout seul au château, ce qui aurait abouti à ce qu’il me soit presqu’impossible de rester sur place, surtout en plein hiver, sans la moindre aide. Ce qui n’était pas pour déplaire à tous ceux qui complotent contre moi pour m’en chasser et qui ne pouvaient rêver à meilleure situation.
Après avoir récupéré mon fils, l’histoire aurait dû être finie, mais il semble qu’à Bourg-en-Bresse, de ce qu’ils ont dit à mon fils, ils attendent qu’Anthony ait vu son psy ce mois-ci, pour relancer une éventuelle décision d’internement, si celui-ci devait se plier à leur desiderata. Une perspective qui a heureusement peu de chance d’arriver, car je sais qu’il sera difficile de faire changer d’avis son psy, d’autant qu’il entretien une excellente relation avec Anthony, comme j’ai pu le voir à maintes occasions, et qu’il le considère comme très intelligent et comme quelqu’un avec qui il est agréable de converser sur toutes sortes de sujets. Ce qui est le cas aussi de notre ami avocat, qui a fait lui-aussi des interventions pour le sortir de là, et qui m’a souvent fait des compliments sur sa dextérité intellectuelle, jusqu’à remarquer ses étonnantes compétences en matière de droit. Toutefois, je remarque que de telles capacités intellectuelles sont incompatibles avec les prétendus délires paranoïaques et autres divagations schizophréniques, que les psychiatres de Bourg-en-Bresse veulent lui mettre sur le dos.
Quoiqu’il en soi, Anthony a décidé de ne pas en rester-là et vient de commencer à porter plainte contre ceux qui ont organisé cette tentative de séquestration, et qu’il pense déposer lui-aussi un dossier auprès de la Défenseur des droits. Bien sûr, il a tout mon soutien pour toutes ses démarches, qu’il a entamé sitôt son retour à la maison, où tellement scandalisé par ce qui lui est arrivé, qu’il fait désormais feu de tout bois.
Enfin, un dernier point, qui nous ramène directement au sujet même de ma démarche, donc à toutes les affaires qui tournent autour du château. J’ai déjà signalé ci-dessus qu’il était harcelé par une bande de gens forts peu recommandables, que l’on peut qualifier aisément de néo-nazis. Malheureusement, depuis son retour, bien qu’il a coupé tous le ponts avec ces gens-là, ils ont adopté une nouvelle stratégie
Toutefois, avant de conclure définitivement, c’est un autre événement qui va survenir à peu près à la même date, et qui dépasse tout ce qui m’était arrivé jusque-là — du moins, depuis la tentative d’assassinat à mon encontre en 2013. Une histoire, dont à vrai dire je n’ai pas encore tout compris, et dont j’ignore en partie tout ce qui s’est réellement passé. Une question fort complexe et dont, dans un premier temps, je n’avais pas vraiment envie de parler, tellement cette histoire est invraisemblable. Moi-même, je me suis demandé si c’était bien vrai, que ce n’était pas une blague de mauvais plaisantins, ou bien alors si ce n’était pas encore une affaire dans l’affaire et que cette dernière ne continuait pas par une manœuvre particulièrement vicieuse pour s’en prendre à moi autrement. Ce nouvel épisode se résume en quelque sorte par un nouvel angle d’attaque, qui consiste à vouloir enfermer mon fils Anthony en hôpital psychiatrique. Celui-ci, qui est mon plus jeune fils, vit encore avec moi, où notamment il m’aidait avec une grande efficacité dans l’avancement de mes dossiers, afin de trouver une sortie à la situation présente. Précisément, il excelle sur les questions juridiques, où il démontre de véritable capacité dans ce domaine. D’ailleurs, sans sa présence et son aide, je ne pourrai que difficilement vivre ici tout seul. Et ce qui arrive n’est certainement pas un hasard, comme nous allons le voir un peu plus loin...
Je n’entrerai pas dans le détail de toute cette histoire, ni même je ne tenterai d’en faire un résumé, ce qui serait bien trop compliqué pour expliciter tout ce qui s’est passé. Cependant, je remarquerai pour commencer que mon fils Anthony a toujours eu différents troubles psychiques ou neurologiques, qui se révèlent pris tous ensembles très handicapant, (hyperactivité, dyslexie, dyspraxie ou jambes sans repos), qui fait qu’il est suivi pour cela depuis son plus jeune âge par des psychiatres. Depuis, heureusement, les différents traitements qu’il a dû prendre ont considérablement atténué ces désordres, au point de se porter désormais à peu près normalement. Jamais, malgré tous les psychiatres qui l’ont suivi, il n’avait jamais été question, de près ou de loin, de la nécessité d’être suivi en hôpital psychiatrique et encore moins celle de s’y faire enfermer pour un temps indéterminé.
Seulement, tout a commencé suite à mes-usage de l’une de ses substances, dont je n’étais pas du tout chaud pour qu’il en prenne, considérant ce produit comme pouvant s’avérer dangereux. Bien évidemment, comme il est majeur, je ne peux donner que mon avis, et je ne peux pas l’obliger à prendre tel ou tel traitement. Puis, particulièrement remonté par les effets de cette substance, qui vous rend hyper-rationnel jusqu’à l’absurde et qui faisait suite dans le même temps à un conflit avec des individus qu’il a rencontré sur internet, où il a profité de mon absence (pour aller faire quelques coures), et a disparu sans que je ne sache où il était parti. Ce que je sais, c’est que précisément il a eu sur le moment un sentiment de persécution, où en vérité il s’était fait harceler toute la journée, autant par le téléphone que sur internet, par de drôles d’oiseaux, qui lui tenaient notamment des propos antisémites. Et comme il a recopié tous ces messages de haines, j’ai bien pu voir que ce qu’il m’en disait était bien vrai. C’est ce qui l’a finalement tellement énervé — comme je le suppose — au point qu’il est parti à pied, en pleine nuit et par un froid glacial, vers le centre de Genève (entre 10 à 15 km) où il a tourné ensuite dans tout le centre ville, comme un défi lancé contre ceux qui le harcelaient. Comme ce périple l’avait particulièrement éprouvé, à un moment donné, à la gare Cornavin, il a demandé à se faire aider et c’est ainsi qu’il s’est retrouvé à l’Hôpital Cantonal. Mais au lieu de le soigner, notamment au niveau des pieds, ils n’en ont rien fait, par contre comme il protestait de ce manque de soin, ils n’ont pas hésité à lui faire un plaquage ventrale, bien décidé (pour les responsables de l’hôpital) de s’en débarrasser au plus vite auprès de l’hôpital psychiatrique de Bourg-en-Bresse. Pour cela, ils m’ont prévenu très tardivement, interdisant au passage à Anthony de me téléphoner. En entendant cela, je leur ai tout de suite dit mon opposition catégorique à ce qu’il soit transféré à Bourg-en-Bresse, dont la réputation n’a jamais été bonne, comme ils me l’ont tout de suite proposé. Au contraire, j’ai fait savoir immédiatement que j’étais prêt à venir le chercher, mais entre-temps, il l’avait transféré auprès de l’hôpital psychiatrique de Thoney (canton de Genève), où là il a été bien traité. De nouveau, je leur ai fait savoir que je viendrai le chercher dès le lendemain, mais au lieu de ça, ceux-ci l’avaient transféré directement à Bourg-en-Bresse, malgré son opposition et sans que je ne sois évidemment prévenu. Et là, plus question de le relâcher, car d’après le médecin-chef, Anthony souffrirait de graves délires schizophréniques et paranoïaques, au point d’être dangereux pour lui-même, pour les autres et pour la société. Pas moins ! Ce que j’ai bien sûr contesté vigoureusement. C’est pour ces raisons mensongères, que le médecin-chef refusait de le relâcher, alors que son diagnostic avait été réalisé à le vitesse de l’éclair, probablement sur un coin de table (en fait sur le siège d’une voiture à l’arrêt), et ajoutait-il, qu’il se faisait fort de convaincre son psychiatre habituel que son cas serait si grave, qu’il ne pourrait pas s’y opposer. Malheureusement, ce dernier était en congé...
Finalement, je suis arrivé à le rechercher, malgré l’insistance appuyée de ceux qui m’ont reçu pour que j’accepte de le laisser sur place. Bien sûr, je ne me suis pas laisser faire, ayant pu constater qu’Anthony n’était pas si différent que d’habitude, malgré lui avoir fait prendre des médicaments de force et l’avoir maintenu ligoté pendant plus d’une douzaine d’heures, malgré ses jambes sans repos, ce qui constitue une véritable torture. En plus, l’un de ces médicaments est une véritable camisole chimique, qui lui avait déjà été prescrit à faible dose, et qu’il avait dû abandonner, tellement il se sentait mal avec. Ainsi, ils ont refusé de lui donner son traitement habituel et préféré le mettre dans un état second, en le forçant à prendre à forte dose de cette substance destinée au cas les plus graves, et auquel s’ajoutait des injections d’on ne sait quoi.
Cependant, comme j’avais prévenu que je venais le chercher, le médecin-chef avait préféré prendre la tangente avant mon arrivée, alors qu’il menaçait dès le lendemain de faire venir un juge des libertés, pour donner un aspect légal à un enfermement sans aucune réelle nécessité médicale. D’ailleurs, le médecin-chef lui a bien explicité que c’était pour des raisons politiques qu’il devait être enfermé, alors que l’on accuse la Russie de faire de même avec ses opposants politiques, ce qui est à juste titre fortement condamné. Ses prises de position sur internet n’étaient semble-t-il pas de leur goûts. Par exemple, dans son soutien au peuple Palestinien, mais aussi au camp de la Paix israélien, mais encore parce qu’il a décidé de soutenir activement la candidature à la présidence des Etats-Unis de Robert Kennedy Jr. Un candidat indépendant qui est victime d’un véritable boycott dans les médias, malgré son nom et son pedigree, alors qu’il suscite une adhésion de plus en plus massive parmi les électeurs étasuniens, au point qu’il pourrait rebattre les cartes dans un remake malvenu entre Trump et Biden.
Il y avait aussi une autre raison plus inavouable, c’était celle de me retrouver tout seul au château, ce qui aurait abouti à ce qu’il me soit presqu’impossible de rester sur place, surtout en plein hiver, sans la moindre aide. Ce qui n’était pas pour déplaire à tous ceux qui complotent contre moi pour m’en chasser et qui ne pouvaient rêver à meilleure situation.
Après avoir récupéré mon fils, l’histoire aurait dû être finie, mais il semble qu’à Bourg-en-Bresse, de ce qu’ils ont dit à mon fils, ils attendent qu’Anthony ait vu son psy ce mois-ci, pour relancer une éventuelle décision d’internement, si celui-ci devait se plier à leur desiderata. Une perspective qui a heureusement peu de chance d’arriver, car je sais qu’il sera difficile de faire changer d’avis son psy, d’autant qu’il entretien une excellente relation avec Anthony, comme j’ai pu le voir à maintes occasions, et qu’il le considère comme très intelligent et comme quelqu’un avec qui il est agréable de converser sur toutes sortes de sujets. Ce qui est le cas aussi de notre ami avocat, qui a fait lui-aussi des interventions pour le sortir de là, et qui m’a souvent fait des compliments sur sa dextérité intellectuelle, jusqu’à remarquer ses étonnantes compétences en matière de droit. Toutefois, je remarque que de telles capacités intellectuelles sont incompatibles avec les prétendus délires paranoïaques et autres divagations schizophréniques, que les psychiatres de Bourg-en-Bresse veulent lui mettre sur le dos.
Quoiqu’il en soi, Anthony a décidé de ne pas en rester-là et vient de commencer à porter plainte contre ceux qui ont organisé cette tentative de séquestration, et qu’il pense déposer lui-aussi un dossier auprès de la Défenseur des droits. Bien sûr, il a tout mon soutien pour toutes ses démarches, qu’il a entamé sitôt son retour à la maison, où tellement scandalisé par ce qui lui est arrivé, qu’il fait désormais feu de tout bois.
Enfin, un dernier point, qui nous ramène directement au sujet même de ma démarche, donc à toutes les affaires qui tournent autour du château. J’ai déjà signalé ci-dessus qu’il était harcelé par une bande de gens forts peu recommandables, que l’on peut qualifier aisément de néo-nazis. Malheureusement, depuis son retour, bien qu’il a coupé tous le ponts avec ces gens-là, ils ont adopté une nouvelle stratégie
où ils postent des messages en public qui me concernent directement. Parce que, ce qui est beaucoup plus inquiétant dans leurs démarches, c’est qu’ils ne se contentent plus de s’en prendre juste à Anthony, mais désormais c’est contre moi qu’ils ont la dent la plus dure, au point d’envoyer des messages où ils prétendent qu’ils vont « me faire pisser le sang » et autres amabilités du même genre. Ce qui pourrait s’assimiler à des menaces de mort, alors que ces gens-là, que je connais pas, que je n’ai jamais eu le moindre contact avec eux et avec qui je n’ai rien à voir, alors qu’ils ne sont pas censés me connaître. Le problème, c’est que ces individus semblent bien trop au courant de ce qui passe au niveau du château et des arcanes de la succession, au point de savoir les noms de mes frères et sœur et des relations qu’il y aurait entre nous, au point de faire des commentaires désobligeants où ils me font mon procès, avec un parti pris appuyé contre moi. Ils prétendent par exemple que c’est Hugues qui aurait raison, ou alors que je me suis acoquiné avec mon frère Jean-Marc pour l’escroquer ou bien encore que je frauderais le fisc ! Ils savant même comment je fais pour prendre mon argent tous les mois ! Toutes choses qui sont certes plus qu’inexactes, mais qui sont trop précises pour des choses qu’ils ne sont pas censées savoir.
Est-ce vraiment sérieux ? Je n’en sais rien, mais désormais, ils divulguent publiquement ces fausses informations, ce qui s’appelle clairement de la diffamation publique, avec des menaces de me faire la peau. Mais surtout, ce qui m’inquiète le plus, c’est que je demande qui peut les avoir informé de la sorte ? Ils ne peuvent pas avoir tiré tout cela de leur chapeau, d’autant plus que je suis personnellement très discret sur internet, et jusqu’à tout récemment l’essentiel de ces informations ne sont pas publiques. Mystères...
Je n’ai pas de réponse, mais ce que je sais c’est que je vais devoir encore porter plainte contre ces individus, même si, en l’état actuel et comme je l’ai déjà longuement expliqué, je ne peux pas faire confiance à des autorités locales qui sont censés nous protéger, moi et mon fils, alors que celles-ci ont toujours pris faits et causes en faveur de ceux qui nous persécutent.
J’ajouterai une dernière information qui semblerait que quelque chose se soit passé, suite aux plaintes qu’à fait Anthony auprès d’Interpol et l’organe de régulation d’Internet Pharos. Depuis, en quelques jours, il semble que les principaux membres de cette bande se soit fait interpeller et auraient été placés en garde-à vue. Et cela doit être probablement vrai, étant donné que depuis ils sont devenus extrêmement discrets au point de ne plus apparaître sur les réseaux sociaux. Tout ceci est encore au conditionnel, mais il est bien probable qu’il y aura des suites, dont je vous tiendrai bien évidemment informé.
Vous comprendrez qu’après de telles épreuves, je n’ai pas pu finaliser pendant ce temps un dossier complexe qui demandait toute mon attention. C’était d’autant plus malheureux qu’il ne restait plus grand chose à faire, mais qui pour moi est l’étape la plus difficile à mettre en œuvre, que sans aide j’aurai eu du mal à me retrouver au milieu de tous ces papiers. J’ai donc préféré raconter toute cette étrange histoire, qui semble vouloir s’imbriquer dans les questions que je vous soumets tout au cours de ce volumineux dossier.
Je vous remercie d’avance pour votre attention et de tout ce que pourrez faire ou me conseiller de faire, devant une situation qui dépasse l’entendement et je vous joins mes sentiments les plus sincères.
Alain Meunier-Baudelaire
Est-ce vraiment sérieux ? Je n’en sais rien, mais désormais, ils divulguent publiquement ces fausses informations, ce qui s’appelle clairement de la diffamation publique, avec des menaces de me faire la peau. Mais surtout, ce qui m’inquiète le plus, c’est que je demande qui peut les avoir informé de la sorte ? Ils ne peuvent pas avoir tiré tout cela de leur chapeau, d’autant plus que je suis personnellement très discret sur internet, et jusqu’à tout récemment l’essentiel de ces informations ne sont pas publiques. Mystères...
Je n’ai pas de réponse, mais ce que je sais c’est que je vais devoir encore porter plainte contre ces individus, même si, en l’état actuel et comme je l’ai déjà longuement expliqué, je ne peux pas faire confiance à des autorités locales qui sont censés nous protéger, moi et mon fils, alors que celles-ci ont toujours pris faits et causes en faveur de ceux qui nous persécutent.
J’ajouterai une dernière information qui semblerait que quelque chose se soit passé, suite aux plaintes qu’à fait Anthony auprès d’Interpol et l’organe de régulation d’Internet Pharos. Depuis, en quelques jours, il semble que les principaux membres de cette bande se soit fait interpeller et auraient été placés en garde-à vue. Et cela doit être probablement vrai, étant donné que depuis ils sont devenus extrêmement discrets au point de ne plus apparaître sur les réseaux sociaux. Tout ceci est encore au conditionnel, mais il est bien probable qu’il y aura des suites, dont je vous tiendrai bien évidemment informé.
Vous comprendrez qu’après de telles épreuves, je n’ai pas pu finaliser pendant ce temps un dossier complexe qui demandait toute mon attention. C’était d’autant plus malheureux qu’il ne restait plus grand chose à faire, mais qui pour moi est l’étape la plus difficile à mettre en œuvre, que sans aide j’aurai eu du mal à me retrouver au milieu de tous ces papiers. J’ai donc préféré raconter toute cette étrange histoire, qui semble vouloir s’imbriquer dans les questions que je vous soumets tout au cours de ce volumineux dossier.
Je vous remercie d’avance pour votre attention et de tout ce que pourrez faire ou me conseiller de faire, devant une situation qui dépasse l’entendement et je vous joins mes sentiments les plus sincères.
Alain Meunier-Baudelaire
🇨🇭 Un pour tous, tous pour un ⚔️ https://twitter.com/ATonyBaudelaire
il y a un an
L'auteur est taré et a probablement arrêté son traitement
J'ai déjà vu des cas comme ça en HP, ils se sentent persécutés et tu comprends rien à l'histoire qui est toujours vachement complexe
J'ai déjà vu des cas comme ça en HP, ils se sentent persécutés et tu comprends rien à l'histoire qui est toujours vachement complexe
il y a un an
KylianMfaloxxxx
1 an
L'auteur est taré et a probablement arrêté son traitement
J'ai déjà vu des cas comme ça en HP, ils se sentent persécutés et tu comprends rien à l'histoire qui est toujours vachement complexe
J'ai déjà vu des cas comme ça en HP, ils se sentent persécutés et tu comprends rien à l'histoire qui est toujours vachement complexe
nah je continue mon traitement, et je ne suis jamais allez en hp avant l'affaire ca n'as même jamais été question
🇨🇭 Un pour tous, tous pour un ⚔️ https://twitter.com/ATonyBaudelaire
il y a un an
nah je continue mon traitement, et je ne suis jamais allez en hp avant l'affaire ca n'as même jamais été question
Ok bah parle en au psychiatre parce que ça a pas l'air de bien marcher
il y a un an
Anthony Meunier Baudelaire a partagé une histoire complexe impliquant des menaces et manipulations de la part de groupes néo-nazis, d'une organisation mafieuse, et de personnes liées à un château avec une longue histoire et aussi associé à occupation allemande et aussi à Klaus Barbie. Les attaques semblent motivées par des affiliations idéologiques et des intérêts politiques. Anthony a contacté Interpol pour demander une enquête sur ces groupes et solliciter une protection Une autre dimension de l'histoire concerne son soutien à Robert Kennedy Jr. et son projet de créer une communauté de soutien francophone. En parallèle, Anthony a été confronté à des allégations de trolling, diffamation, et abus de faiblesse sur Internet, auxquelles il cherche à faire face en sollicitant l'aide de Interpol et de Pharos.
Aya chat gpt encore
il y a un an
Ok bah parle en au psychiatre parce que ça a pas l'air de bien marcher
j'ai déjà parler avec lui, il me connait bien, il sait parfaitement que si je fais tout ça c'est qu'il y a quelque chose de pas normal
🇨🇭 Un pour tous, tous pour un ⚔️ https://twitter.com/ATonyBaudelaire
il y a un an