Ce sujet a été résolu
Qui gagne selon vous entre 100 cavaliers légers Français, chacun portant un fantassin avec lui, contre 14 navires hollandais, (5 vaisseaux de ligne, 3 frégates et 6 corvettes) armés de 850 canons ? 

il y a 2 ans
Tu peux te moquer des hollandais monsieur le catalan, mais eux sont indépendant
🇲🇽 El mexicano del foro 🇲🇽
il y a 2 ans
Mais je suis quand même interressé par le nom de la bataille nonobstant
🇲🇽 El mexicano del foro 🇲🇽
il y a 2 ans
Alfonsodejesus
2 ans
Tu peux te moquer des hollandais monsieur le catalan, mais eux sont indépendant
il y a 2 ans
Branlito
2 ans
il y a 2 ans
Golemax1
2 ans
850 canons
Bah la flotte hollandaise

Bah la flotte hollandaise
il y a 2 ans
C'est la fois où les Français ont profiter que la mer soit geler pour charger les navires immobilisé à cheval?
Franchement bogoss rien a dire
Franchement bogoss rien a dire
il y a 2 ans
NoNameLambda
2 ans
C'est la fois où les Français ont profiter que la mer soit geler pour charger les navires immobilisé à cheval?
Franchement bogoss rien a dire
Franchement bogoss rien a dire
il y a 2 ans
Bien informé, le général apprit qu'une flotte néerlandaise stationnait au Helder, à environ 80 km au nord d'Amsterdam. L'hiver étant extrêmement rigoureux, les fleuves et les côtes étaient pris dans la glace. Le général de brigade Jean-Guillaume de Winter fut dépêché par le Général Pichegru à la tête d'un détachement du 8e régiment de hussards. Ce Néerlandais, qui avait reçu une formation navale, servait la France depuis 1787, et commanda plus tard la flotte hollandaise à la bataille de Camperduin. Il avait pour mission d'empêcher soit l'occupation du Helder par les Britanniques, soit que la flotte hollandaise, comprenant 14 navires de guerre dont 11 gréés et armés et des navires marchands, rejoigne la Grande-Bretagne. Il arriva dans la nuit du 4 pluviôse an III (23 janvier 1795), accompagné de troupes d'infanterie. La flotte hollandaise était bien là, prise dans la glace. Chaque hussard, galopant sur la glace, avait emporté un fantassin du 3e bataillon de chasseurs belges en croupe.
Après avoir pris les précautions nécessaires pour éviter que les sabots des chevaux ne réveillassent les marins, le lieutenant-colonel Louis Joseph Lahure lança l'assaut. La glace ne céda pas, et les navires hollandais se rendirent se croyant entourés par une armée plus puissante. Les navires hollandais ayant été figés inclinés, leur artillerie pointait bien au-dessus de la cavalerie française et ne put servir à défendre les navires.
il y a 2 ans
Il me semble qu'il n'y a eu aucun décès que ce soit dans un camps ou dans l'autre, ce qui est encore plus ouf
il y a 2 ans
NoNameLambda
2 ans
C'est la fois où les Français ont profiter que la mer soit geler pour charger les navires immobilisé à cheval?
Franchement bogoss rien a dire
Franchement bogoss rien a dire
Yep, la légendaire cavalerie francaise
Et ce qui est génial c'est que des anecdotes comme ça, il y en a des dizaines

Et ce qui est génial c'est que des anecdotes comme ça, il y en a des dizaines

il y a 2 ans
Catalan
2 ans
Bien informé, le général apprit qu'une flotte néerlandaise stationnait au Helder, à environ 80 km au nord d'Amsterdam. L'hiver étant extrêmement rigoureux, les fleuves et les côtes étaient pris dans la glace. Le général de brigade Jean-Guillaume de Winter fut dépêché par le Général Pichegru à la tête d'un détachement du 8e régiment de hussards. Ce Néerlandais, qui avait reçu une formation navale, servait la France depuis 1787, et commanda plus tard la flotte hollandaise à la bataille de Camperduin. Il avait pour mission d'empêcher soit l'occupation du Helder par les Britanniques, soit que la flotte hollandaise, comprenant 14 navires de guerre dont 11 gréés et armés et des navires marchands, rejoigne la Grande-Bretagne. Il arriva dans la nuit du 4 pluviôse an III (23 janvier 1795), accompagné de troupes d'infanterie. La flotte hollandaise était bien là, prise dans la glace. Chaque hussard, galopant sur la glace, avait emporté un fantassin du 3e bataillon de chasseurs belges en croupe.
Après avoir pris les précautions nécessaires pour éviter que les sabots des chevaux ne réveillassent les marins, le lieutenant-colonel Louis Joseph Lahure lança l'assaut. La glace ne céda pas, et les navires hollandais se rendirent se croyant entourés par une armée plus puissante. Les navires hollandais ayant été figés inclinés, leur artillerie pointait bien au-dessus de la cavalerie française et ne put servir à défendre les navires.
il y a 2 ans