Ce sujet a été résolu
Bourré jusques au fond du cœur d'une pinte imprévue aussi bien que mortelle,
Misérable buveur d'une juste mirabelle
Je demeure immobile et mon foie abattu
Cède au verre qui me tue.
Si près de voir ma chope dégobillée
Ô Dieu l'étrange peine !
En cet affront mon foie est l'offensé
Et l'offenseur les shooters à la chaîne.
Que je vide de rudes calvas !
Dans mon profond gosier mon alcool se déverse :
Il faut descendre un verre, et prolonger l'ivresse
L'un vide mon compte en banque, l'autre mon estomac.
Réduit au triste choix ou de boire comme une femme
Ou le bar qui m'acclame.
Dans tous les cas la gnôle n'est pas finie.
Ô Dieu l'étrange peine !
Faut-il se jeter un dernier whisky ?
Faut-il craindre le barman qui s'amène ?
Misérable buveur d'une juste mirabelle
Je demeure immobile et mon foie abattu
Cède au verre qui me tue.
Si près de voir ma chope dégobillée
Ô Dieu l'étrange peine !
En cet affront mon foie est l'offensé
Et l'offenseur les shooters à la chaîne.
Que je vide de rudes calvas !
Dans mon profond gosier mon alcool se déverse :
Il faut descendre un verre, et prolonger l'ivresse
L'un vide mon compte en banque, l'autre mon estomac.
Réduit au triste choix ou de boire comme une femme
Ou le bar qui m'acclame.
Dans tous les cas la gnôle n'est pas finie.
Ô Dieu l'étrange peine !
Faut-il se jeter un dernier whisky ?
Faut-il craindre le barman qui s'amène ?
Bac +5, RSA mais je compte évoluer, bientôt l'AAH
il y a 2 ans
L'originale :
Percé jusques au fond du cœur
D’une atteinte imprévue aussi bien que mortelle,
Misérable vengeur d’une juste querelle,
Et malheureux objet d’une injuste rigueur,
Je demeure immobile, et mon âme abattue
Cède au coup qui me tue.
Si près de voir mon feu récompensé,
Ô Dieu, l’étrange peine !
En cet affront mon père est l’offensé,
Et l’offenseur le père de Chimène !
Que je sens de rudes combats !
Contre mon propre honneur mon amour s’intéresse :
Il faut venger un père, et perdre une maîtresse :
L’un m’anime le cœur, l’autre retient mon bras.
Réduit au triste choix ou de trahir ma flamme,
Ou de vivre en infâme,
Des deux côtés mon mal est infini.
Ô Dieu, l’étrange peine !
Faut-il laisser un affront impuni ?
Faut-il punir le père de Chimène ?
Percé jusques au fond du cœur
D’une atteinte imprévue aussi bien que mortelle,
Misérable vengeur d’une juste querelle,
Et malheureux objet d’une injuste rigueur,
Je demeure immobile, et mon âme abattue
Cède au coup qui me tue.
Si près de voir mon feu récompensé,
Ô Dieu, l’étrange peine !
En cet affront mon père est l’offensé,
Et l’offenseur le père de Chimène !
Que je sens de rudes combats !
Contre mon propre honneur mon amour s’intéresse :
Il faut venger un père, et perdre une maîtresse :
L’un m’anime le cœur, l’autre retient mon bras.
Réduit au triste choix ou de trahir ma flamme,
Ou de vivre en infâme,
Des deux côtés mon mal est infini.
Ô Dieu, l’étrange peine !
Faut-il laisser un affront impuni ?
Faut-il punir le père de Chimène ?
Bac +5, RSA mais je compte évoluer, bientôt l'AAH
il y a 2 ans
Musicien
2 ans
Vous lisez, c'est ça ?
Ça a bidé, donc je le mets parmi la qualitonche
Cela est arrivé
il y a 2 ans
Ça a bidé, donc je le mets parmi la qualitonche
Ahi merci.
Bac +5, RSA mais je compte évoluer, bientôt l'AAH
il y a 2 ans