Ce sujet a été résolu
Il suffisait de tapé pascal op sur google pour voir ou elles mettaient les pieds.
il y a 2 ans
la meuf a littéralement tué ses propres enfants par son refus de procréer
c'est un cadavre en sursis inadéquat à la réalité de la vie
il y a 2 ans
Woodman qui film ses actrices consentante en leurs faisant signer les documents je crois pour que ces putes restent à leurs places
il y a 2 ans
A partir du moment tu files tes papiers à des mecs qui tournent du porn en tant qu'immigré faut réfléchir.
Elles ont voulu la solution facile, elles assument les conséquences.
Elles veulent le beurre et l'argent du beurre
Elles ont voulu la solution facile, elles assument les conséquences.
Elles veulent le beurre et l'argent du beurre
il y a 2 ans
Bordel, chaque phrase est a son maximum de potentiel comique
"Sofia ne supporte plus les publicités pour la marque de lunettes de soleil que portait Pascal Ollitrault."
Salut, je suis Boboola, votre beau boula !
il y a 2 ans
Se faire éjaculer sur le visage des litres de foutre mélangé et penser que cela va bien se passer
il y a 2 ans
qui aurait crû que se faire passer dessus par 58 sous-races pourrait laissé un souvenir négatif ? :Benze_Narquois:
il y a 2 ans
Un viol pour lequel elle a signé un contrat et reçu de l'argent :zizou_phone:
il y a 2 ans
Ayaaaa, mais bordel ces meufs :
- Elles ont signé comme quoi elle était d'accord
- Elles ont été payés
- Elles étaient consentante au moment des faits
Bref, elles assument simplement plus ce qu'elles ont fait et veulent s'auto-convaincre d'un viol, en réalité. N'importe quelle meufs consentante peut donc porter plainte après un pratique hard 10 ans après, alors qu'elles étaient consentante au moment des faits ...
- Elles ont signé comme quoi elle était d'accord
- Elles ont été payés
- Elles étaient consentante au moment des faits
Bref, elles assument simplement plus ce qu'elles ont fait et veulent s'auto-convaincre d'un viol, en réalité. N'importe quelle meufs consentante peut donc porter plainte après un pratique hard 10 ans après, alors qu'elles étaient consentante au moment des faits ...
Mon propos est imaginaire et fictif, il n'implique donc aucun fait ou élément réel et toute ressemblance serait fortuite
il y a 2 ans
Putes.... elles ont signé pour se faire défoncé la chatte.... donc elles sont en tord de la ramené.....
il y a un an
Blanka
2 ans
Chaque matin, à peine a-t-elle ouvert les yeux qu’Emilie (tous les prénoms des jeunes femmes ont été modifiés afin de les protéger) attrape le pilulier sur sa table de nuit. Elle enlève les boules Quies qui la protègent de son hyperacousie, puis avale des bêtabloquants pour calmer sa tachycardie et des anxiolytiques contre son angoisse généralisée. Ensuite, elle attend que les molécules fassent effet pour se lever.
La trentenaire souffre aussi de bruxisme : la crispation involontaire de ses dents est telle qu’elle a dû se faire injecter près de 700 euros de botox dans la mâchoire pour compenser. « J’en suis à 12 000 euros de soins pour gérer les symptômes des viols que j’ai subis dans l’affaire French Bukkake et, après, la justice vient nous expliquer que c’est pas de la torture ? », exprime, énervée, celle qui est partie civile dans l’une des plus grandes affaires de violences sexuelles de l’histoire judiciaire française, le dossier dit « French Bukkake », du nom de ce réseau qui a filmé, puis diffusé des centaines de vidéos pornographiques de jeunes femmes agressées.
Ouverte au printemps 2020 et menée par la section de recherches de la gendarmerie de Paris, cette immense enquête a abouti à la rédaction d’une ordonnance de mise en accusation devant la cour criminelle départementale de Paris, fin août 2023. Les deux juges d’instruction du dossier demandent qu’au nom d’une « pratique systémique », dix-sept hommes soient mis en accusation pour « viols en réunion », « traite d’êtres humains en bande organisée » ou encore « proxénétisme aggravé » sur une cinquantaine de parties civiles.
Les jeunes femmes, aux prises avec les conséquences très lourdes des blessures imposées par le réseau, ont demandé à leurs avocats de faire appel de l’ordonnance devant la chambre de l’instruction, afin d’obtenir la reconnaissance d’un certain nombre de circonstances aggravantes qui déclencheraient la tenue du procès devant une cour d’assises et l’augmentation des peines encourues pour les auteurs.
« On ne peut pas se permettre une sous-justice »
« Des dossiers comme ça, il n’y en a pas beaucoup dans l’histoire, et on ne peut pas se permettre une sous-justice », argumente Me Vanina Meplain, avocate de Sofia. Ainsi, la quarantaine de représentants des parties civiles plaide pour l’ajout dans les chefs de mise en accusation de la « particulière vulnérabilité » des victimes, connue des auteurs, des motifs de « sexisme » et de « racisme » – le dossier foisonne de qualificatifs comme « beurette » ou « vide-couilles » – et surtout d’« actes de torture et de barbarie ».
« En droit pénal, ce qui différencie les actes de torture et de barbarie des autres types d’atteinte aux personnes repose matériellement dans la gravité exceptionnelle des faits et dans les souffrances aiguës causées à la victime. Ils doivent avoir été effectués dans la volonté de nier à la victime la dignité de la personne humaine, défend Me Seydi Ba, avocat de Fanny. En l’espèce, tout y est, dans ce dossier, les femmes ont souffert intensément, physiquement et moralement, et ont été traitées comme des objets au dernier degré. » Dans l’attente de la décision qui doit être rendue par la chambre de l’instruction, le 14 décembre, cinq d’entre elles ont souhaité raconter pour la première fois au Monde comment elles vivent avec cette affaire.
A peine en retard, Soraya s’en excuse trois fois. La nuit précédente, la jeune femme, qui termine un master de finance en alternance, n’a pas dormi. Les insomnies, la fatigue, les pleurs le matin même au bureau et donc le retard le jour du rendez-vous. Elle appréhendait de parler encore une fois de la pire chose de sa vie : comment, à 24 ans, elle est tombée sous la coupe du réseau French Bukkake. Veste ceintrée, maquillage ajusté, ongles faits, Soraya maîtrise son apparence. « J’ai toujours l’air forte et propre sur moi. J’ai besoin que les gens soient surpris, que je n’aie pas la tête d’une victime pour qu’on m’écoute », justifie-t-elle, avant de sortir de son sac à main des feuilles volantes sur lesquelles elle a griffonné au stylo noir les éléments qu’elle ne voulait pas oublier de dire au cours de l’entretien.
Elle décrit d’abord un banc, celui contre lequel son dos râpait quand une vingtaine d’hommes, le sexe apparent, la secouaient dans tous les sens en 2016, « comme une poupée gonflable ». Elle est forcée à faire une fellation à chacun d’entre eux. « J’arrive à peine à en faire une en temps normal, comment j’aurais pu vouloir en faire vingt d’un coup ? » A un moment de la séquence, un participant demande s’il peut en plus lui cracher dessus. Elle proteste. « On ne te demande pas ton avis », lui rétorque Pascal Ollitrault, considéré comme la tête du réseau French Bukkake, producteur et réalisateur de vidéos pornographiques.
« L’un des participants a crié : “Achève-la !” »
Les chiffres des violences qu’elle a subies sont massifs. En tout, elle a compté : « J’ai été violée 240 fois, ce n’est pas de la torture ça ? Quatre-vingt-huit fois sur le Bukkake, quarante-quatre fois en une heure. Je sais que j’ai été violée, ce n’est pas ça le sujet, le sujet c’est la torture. Aucun humain n’est capable d’absorber quarante-quatre pénétrations en une heure. Ce qu’on nous a fait, c’est ce que les barbares faisaient aux femmes dans l’Antiquité, on n’a pas plus évolué que ça ? », interroge-t-elle.
Fanny, recrutée par French Bukkake en 2016, prononce les mêmes mots que Soraya : « Je n’ai pas juste été violée. J’ai eu mal, j’ai saigné, l’un des participants a crié : “Achève-la !” J’ai passé un week-end en enfer. On était échangées comme des cartes Pokémon, on se croirait revenues aux temps de l’esclavage. » Les accusés sont mis en accusation pour « traite d’êtres humains » rappelle cette gestionnaire de paie dans la fonction publique, estimant que leur bataille pour la reconnaissance de la torture n’est pas une « coquetterie » des victimes, mais un « combat contre la destruction des femmes ».
Quelque part en banlieue parisienne, des poissons tournent dans un aquarium, des chats se roulent sur un canapé moelleux : Elsa a fait de l’appartement qu’elle partage avec son compagnon un cocon rassérénant. « Les plantes et la déco, c’est pour mettre de la beauté dans un endroit où je fais que pleurer », prévient la secrétaire de direction. Blottie sous un plaid, elle décrit l’enfant de 8 ans qu’elle était et qui jouait à la boîte aux questions dans son école primaire. « Là, j’ai posé des questions sexuelles. Alors la maîtresse a convoqué ma mère, j’ai dit ce que mon père me faisait. On s’est rendues au commissariat. Il a été condamné pour ça. Puis il s’est suicidé, j’avais 11 ans. Le porno repère les filles abîmées et gagne de l’argent avec », commence-t-elle. En 2018, elle passe par la plate-forme pornographique French Bukkake, y vit des claques, des étranglements, des étouffements, des crachats. Elle termine le tournage avec une maladie sexuellement transmissible.
Idem pour Emilie, qui finit à l’hôpital avec une gonorrhée et des infections à chlamydia, malgré ses nombreux refus, dès le début du tournage, de participer à la séquence au cours de laquelle elle ne fait que pleurer. Elle pense avoir été droguée. Sofia aussi se souvient d’avoir tellement pleuré que la scène est interrompue. Elle doit nettoyer le mascara qui lui coule sur le visage. A la fin du tournage, Emilie ne touche que 200 euros contre les 4 000 promis. Pascal Ollitrault refuse de lui rembourser le plein d’essence pour rentrer chez elle, arguant du fait qu’elle « avait été plus nulle qu’une débutante ». Dans le dossier, deux autres plaignantes ont beaucoup saigné après les tournages : leur col de l’utérus était fissuré, à tel point que l’une d’entre elles a été opérée pour cautériser les lésions.
« Meurtre social »
« Un viol mis sur Internet, c’est un meurtre social », poursuit Emilie. Car, selon les victimes, à la « torture » du tournage s’ajoute celle de la publication des vidéos. A toutes, le réseau avait promis une diffusion confidentielle sur un site privé au Canada. En réalité, quelques jours plus tard, tout Internet est contaminé des images des viols. En 2018, Emilie reçoit des centaines de messages, clique sur le lien, en état de choc, vomit, puis se précipite au commissariat. Les policiers ne la prennent pas au sérieux. Aucune suite judiciaire n’est donnée à sa plainte.
A l’époque, Fanny travaille en alternance dans une boulangerie. Lors de la diffusion, sa période d’essai s’interrompt sans explication de la part de son patron. Elle tombe dans la prostitution, convaincue qu’elle ne sait faire que ça, « donner son cul », être un objet sexuel, et que, dans un boulot traditionnel, elle finira toujours par être reconnue.
Dans sa boîte aux lettres, elle trouve des lettres de menace : « Sale pute on va te violer », lui écrit-on. Un jour, dans le tramway de sa ville, un inconnu d’une vingtaine d’années s’approche d’elle et lui susurre à l’oreille : « T’es Kenza ? » Elle répond non. « Si, t’es elle, et on va te séquestrer dans une cave parce que tu aimes bien ça. » Un autre jour, on lui crache aux pieds. Fanny ne supporte plus les foules, elle ne peut pas emmener sa fille de 6 ans au marché de Noël, de peur d’y croiser un homme qui se serait masturbé sur sa vidéo et la harcèlerait.
CHAUD
Quelqu'un a l article en entier ?
Bah elle savait pour quoi elle signait non ?
il y a un an
CapitaineKrabs
2 ans
J'ai pas suivi cette affaire mais elles sont pas consentantes de base quand il s'agit de tourner un film porno? BMG
BTG ,il les attrapait le matin dans les bois pdt leur footing
il y a un an