Je NOTE votre PENSEE la plus PROFONDE

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Ayaaa la source jerry

Bénissez-nous, Seigneur, bénissez ce repas, ceux qui l'ont préparé, et procurez du pain à ceux qui n'en ont pas ! Ainsi soit-il ! » « Bénissez Seigneur la table si bien parée, emplissez aussi nos âmes si affamées, et donnez à tous nos frères de quoi manger. »

?

Il eut fallu que je le susse pour que je le fisse

Non t'as pas compris. Écouter sa volonté de puissance c'est ériger la puissance en valeur. Mais je peux pas m'y résoudre en ayant la connaissance de la non-existence du libre-arbitre, et donc de l'idée que la puissance dont je vais jouir comme celle qui me sera dérobée ou à jamais cachée, n'est le fruit que de ce qu'il est commode d'appeler le hasard. C'est pas dans mon intérêt d'ériger la puissance en valeur, parce que je ne peux rien faire pour la faire advenir si les choses du monde ne vont pas dans ce sens, et je serais détruit si on me prive de c'que j'aurais tenu pour valeur fondamentale. D'ailleurs, on finit toujours par perdre sa puissance, c'est inévitable, et y fonder toute sa vie c'est se condamner à perdre tout.
Je ressens un profond malaise quand je suis puissant comme quand je ne le suis pas. Je suis pris en tenaille par mon instinct primitif, inné, désireux de puissance, et ma connaissance du monde qui casse le mythe de la puissance comme quelque chose à poursuivre.

Notre vie est un voyage dans l'hiver et dans la nuit, nous cherchons notre passage dans le ciel ou rien ne luit.

Dans un premier lieu, la vie semble être une tragédie, mais en y regardant de plus près, elle semble prendre la tournure d'une comédie

C'est quoi ton mètre étalon qui vaut la note maximale ?

Oui je sais je trouve c'est paroles sympa
Même si c'est un manga
Ma note ?

signal gouv

Je vois. Mais je comprends mal comment on peut réfuter la liberté humaine. Je ne parle pas du libre arbitre naïf qui nie les déterminations sociales, physiques, voire même le principe même de la causalité. Mais toutes ces contraintes ne sont pas incompatibles avec la liberté humaine.

Pour le reste, une vie sans puissance est une vie de stagnation. Bien sûr, l'acquisition de la puissance est absolument absurde. Nous allons vieillir, mourir. Mais enfin, ce n'est pas une raison non plus pour refuser d'accroître son être, de devenir davantage que ce que nous étions autrefois. Ca ne sert fondamentalement à rien, mais dans ce cas là, autant se laisser mourir, ou aller picoler tous les soirs après un boulot monotone et sans avenir, ce qui revient au même.

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Lire, c’est refuser de mourir

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