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Freya
Freya
2 ans
Je retiens juste que c'est la première fois que je te vois énervée
:mimsitude:
Oublie faut pas se rappeler de ça je ne m'énerve jamais d'habitude
:chuu_mcdo:
il y a 2 ans
Blablabla tous le monde a compris que c'était de la poésie + allégorie sauf que c'est pas que ça
:chat_lunettes:


ça en serait un complètement si Zeus, Athéna, Apollon, Dyonisos etc n'était PAS des dieux GRECS divinisés, idolatrés, sauf qu'ils en sont et avaient des temples
:chat_lunettes:
Nous luttons pour l'Europe et la liberté
:nazi_16:
Notre honneur s'appelle fidélité
il y a 2 ans
Versali
Versali
2 ans
Blablabla tous le monde a compris que c'était de la poésie + allégorie sauf que c'est pas que ça
:chat_lunettes:


ça en serait un complètement si Zeus, Athéna, Apollon, Dyonisos etc n'était PAS des dieux GRECS divinisés, idolatrés, sauf qu'ils en sont et avaient des temples
:chat_lunettes:
Exact, dans la mentalité pré-moderne, l'histoire est souvent symbolique et le symbole est souvent historique. On connaît le divin à travers l'expérience du sacré (paroxysme du sens), et l'intelligence va spontanément mythologiser cette expérience du sacré pour la rendre intelligible à l'échelle de la culture. Cette mythologisation, comme elle s'opère en s'appuyant sur un système symbolique propre à la culture dans laquelle elle se produit, va nécessairement être une historicisation et s'inscrire dans une forme symbolico-narrative qui sert de donné révélé à la civilisation qu'elle va féconder. Il faut donc a priori nécessairement que le donné spirituel prenne dans sa génèse une forme historique pour pouvoir se mettre à la portée de la capacité exégétique du peuple auquel il s'adresse. Dans le mythe, il faut toujours concilier histoire et symbole parce que le caractère historique est le cadre nécessaire de la transmission du donné spirituel porté par les symboles qu'il contient et ordonne. Dans un paradigme (traditionnel) pour lequel le monde manifeste et contient du surnaturel, la dimension historique du mythe ne dépare pas, et dans une culture sans critique historique, il n'y a a priori pas de raison de refuser l'historicité du mythe. Chez les grecs comme chez les européens, la remise en question de la dimension historique de la mythologie est le fruit d'une critique historique plus ou moins rationaliste. Pour un grec, élever un temple à Mars, c'est indifféremment louer Mars et vénérer la manifestation du sacré dans le champ des attributs propres à ce Dieu, la figure mythologique du Dieu est d'une certaine façon le canal qui rend sensible et intelligible le divin et par lequel on peut l'adorer en pratique.
il y a 2 ans
Versali
Versali
2 ans
Du coup toi tu vis en Ouzbékistan ? J'imagine vu que tu n'es contrôlé par aucun juif
Y'a des juifs en Ouzbékistan. A boukhara
il y a 2 ans
C'est déjà pas mal
il y a 2 ans