Pourquoi ça ?
Nan, je n'ai pas envie que les traps zinzolax du +18 se disent "chouette, plein de kheyettes pour admirer nos bengalas"...
M'voyez ?
M'voyez ?
Pourquoi ça ?
deuxièmement ça m'aide
troisièmement j'attends mon rdv avec ma psychiatre qui va m'aider, et qui m'aidera pour le sevrage aussi
quatrièmement le valium a une longue demi-vie donc ça devrait aller pour le sevrage, je l'ai déjà fait deux fois
deuxièmement ça m'aide
troisièmement j'attends mon rdv avec ma psychiatre qui va m'aider, et qui m'aidera pour le sevrage aussi
quatrièmement le valium a une longue demi-vie donc ça devrait aller pour le sevrage, je l'ai déjà fait deux fois
Ah okay !
Ah okay !
Bon je vais dodo, je remet le blabla sur le général !
Bon je vais dodo, je remet le blabla sur le général !
Encore lui
La mélancolie, des soleils couchant
Never Stop #FREELABOSS
Pendant que certain ragent moi je fais des topics sur Verlaine mais évidemment les droitards inculte et les attardés psychiatrique n'en disent rien
Évidemment en réalité Verlaine ça ne doit surement rien te dire, tu connais sans doute mieux Zemour que Verlaine, c'est dire
J'en ai posté un il y a 2 ou 3 jours
constante apologie de la légèreté
J'en ai posté un il y a 2 ou 3 jours
Dueil Angoisseus, rage démesurée
Grief désespoir, plein de forcenement
Langour sanz fin et vie maleurée
Pleine de plour, d'angoisse et de tourment;
Cuer doloreux, qui vit obscurément
Ténébreux corps sur le point de partir
Ay, sanz cesser, continuellement;
Et si ne puis ne garir ne morir
Grief désespoir, plein de forcenement
Langour sanz fin et vie maleurée
Pleine de plour, d'angoisse et de tourment;
Cuer doloreux, qui vit obscurément
Ténébreux corps sur le point de partir
Ay, sanz cesser, continuellement;
Et si ne puis ne garir ne morir
Pendant que certain ragent moi je fais des topics sur Verlaine mais évidemment les droitards inculte et les attardés psychiatrique n'en disent rien
Verlaine > Rimbaud, j'ose madame
Dueil Angoisseus, rage démesurée
Grief désespoir, plein de forcenement
Langour sanz fin et vie maleurée
Pleine de plour, d'angoisse et de tourment;
Cuer doloreux, qui vit obscurément
Ténébreux corps sur le point de partir
Ay, sanz cesser, continuellement;
Et si ne puis ne garir ne morir
Grief désespoir, plein de forcenement
Langour sanz fin et vie maleurée
Pleine de plour, d'angoisse et de tourment;
Cuer doloreux, qui vit obscurément
Ténébreux corps sur le point de partir
Ay, sanz cesser, continuellement;
Et si ne puis ne garir ne morir
Tu crois au marc de café,
Aux présages, aux grands jeux :
Moi je ne crois qu’en tes grands yeux.
Tu crois aux contes de fées,
Aux jours néfastes, aux songes,
Moi je ne crois qu’en tes mensonges.
Tu crois en un vague Dieu
En quelque saint spécial,
En tel Ave contre tel mal.
Je ne crois qu’aux heures bleues
Et roses que tu m’épanches
Dans la volupté des nuits blanches !
Et si profonde est ma foi
Envers tout ce que je crois
Que je ne vis plus que pour toi.
Aux présages, aux grands jeux :
Moi je ne crois qu’en tes grands yeux.
Tu crois aux contes de fées,
Aux jours néfastes, aux songes,
Moi je ne crois qu’en tes mensonges.
Tu crois en un vague Dieu
En quelque saint spécial,
En tel Ave contre tel mal.
Je ne crois qu’aux heures bleues
Et roses que tu m’épanches
Dans la volupté des nuits blanches !
Et si profonde est ma foi
Envers tout ce que je crois
Que je ne vis plus que pour toi.
constante apologie de la légèreté
Verlaine > Rimbaud, j'ose madame
À fond
constante apologie de la légèreté