Ce sujet a été résolu
Croiser des travs à perruque talons de 20cm pas pratiques pour marcher, grosse beubar et voix de daron en rentrant chez soi
il y a 2 ans
Sur le chemin du retour, je crois que j'ai compris un truc, j'espère que j'aurai la foi de tout rédiger et de bien le faire parce que je commence à avoir la flemme
En fait tout est une question de volonté dans la dynamique hétérosexuelle. Les trois paramètres fondamentaux que sont le physique, l'argent, et la position dans le groupe social décideront initialement de si la fille veut engager une interaction romantique. Mais ne nous mentons pas, la plupart du temps c'est un véritable "non", et la force des dragueurs tels que comanche ou johnou c'est d'être capable d'outrepasser ce "non" et de réussir à convaincre la fille qu'en fait ce sera "oui". Ils ont sû imposer leur volonté. Et j'ai vraiment l'impression que c'est ce qui se passe dans la bonne majorité des interactions romantiques
Mais pour nous les hommes jetables, on a de base pas la capacité d'être voulu et désiré, et surtout quand on nous affirme "non", alors on comprend "non" et on considère que c'est mort, alors l'interaction se termine. On pourrait nous retorquer qu'il faut alors insister ; sauf que c'est pas parce qu'on le veut que ça se fait, ce n'est absolument pas naturel pour nous, ce qui fait que l'intonation, la gestuelle, et la manière de dire les choses ne fera pas de nous des dragueurs mais des forceurs, et a-t-on déjà vu une dame tomber sous le charme après un gros forçage ?
Et là évidemment qu'on va nous dire que ça s'apprend, mais soyez honnêtes avec vous mêmes, est-ce que vous avez eu besoin de l'apprendre vous ? Non ça a été tout naturel pendant l'adolescence et vous avez pris le truc assez rapidement, nous on a eu les mêmes interactions, les mêmes epreuves, les mêmes échecs mais on en est toujours au même point, parce que c'est pas quelque chose qui se contrôle tout simplement. Y'a pas grand chose de plus simple que de courir, mais pourtant peu de gens atteindront 10 secondes au 100m, peu importe à quel point ils voudront "apprendre" et "s'entrainer", tout ne peut pas se résoudre par la seule volonté ou même par l'acharnement
A partir de là si on admet qu'on ne saura jamais faire changer d'avis une fille et qu'on a pas les caractéristiques naturelle pour chercher d'elle même une relation avec nous, je ne vois que 3 issues possibles :
- Le betabux, où l'on réussit à être toléré dans une relation (qu'on ne peut même pas qualifier de romantique) parce que l'on possède un minimum de finance, stabilité et de force de travail et que la femme n'a plus le temps ou les moyens de chercher chez ça ailleurs. Bien entendu nous mêmes ne sommes ni désirés (et par conséquent pas aimés) ni même considérés, seul l'utilité que l'on peut apporter est valorisée, et le but de la femme sera de faire pile le strict minimum pour profiter de cette utilité. Personnellement je trouve ce genre de relation tout sauf épanouissante et même carrément dégradante, mais pour beaucoup c'est la seule manière qu'ils auront de profiter de ce qu'ils penseront être une relation romantique. Tant mieux pour eux, qu'ils profitent autant qu'ils le peuvent et qu'ils espèrent au maximum retarder le moment où ils ne présenteront plus assez d'utilité pour la femme, car là ça risque d'être assez dur...
- Vivre malgré l'absence de relation. Alors je vais pas faire l'hypocrite en osant sortir que c'est nul, ça sert à rien et c'est surcôté. Bien sûr que c'est d'une importance capitale pour l'équilibre et le bien être, et bien sûr que la solitude te détruit même physiquement. Mais si y'a pas le choix y'a pas le choix, on essaie de faire ce qu'on peut pour trouver tout l'équilibre qu'on peut par ailleurs, de toute façon on sait que ça nous inaccessible, alors arrêtons de nous morfondre sur quelque chose qui dès le départ n'était pas pour nous. Personne ne dirait à un aveugle que la vue n'est pas importante, mais pareil pour lui, il a pas d'autre choix que de vivre avec ce manque, et d'essayer d'être le plus heureux possible avec les paramètres qui le caractérisent, faisons comme lui.
Bon le truc c'est que nous en plus de ça on doit se taper le stigmate d'être des grosses merdes qui se complaignent dans la chouinerie au lieu de se sortir les doigts pour accomplir des tâches basiques qui règleraient notre problème, et que par conséquent on ne mérite rien de plus que les crachats à la face, mais bon on va pas changer la société, c'est comme ça. Encore plus lorsque par définition on ne sait pas modifier la vision de qui que ce soit
- Ou alors juste être incapable de vivre sans. C'est quelque chose que j'aimerais qu'on refuse à tout prix et en toute circonstance, mais c'est malheureusement beaucoup trop fréquent chez les hommes jetables pour que je passe ça sous silence
Voilà, pas un pavé plein d'espoirs je le reconnais, et ma petite sortie n'a pas du tout bouleversé ma vision des choses, mais avec cette histoire de volonté j'ai l'impression d'un peu mieux comprendre pourquoi c'est comme ça. On est pas nés avec les bons gênes, on a peu eu les circonstances qu'il fallait, c'est la vie...
Putain c'était beaucoup mieux expliqué dans ma tête, je peux même dire que c'est un pavé de merde et que j'en suis pas fier. Et ben tant pis vous aurez cette version merdique, fallait m'accompagner sur le chemin du retour et d'être capable de lire dans mes pensées

En fait tout est une question de volonté dans la dynamique hétérosexuelle. Les trois paramètres fondamentaux que sont le physique, l'argent, et la position dans le groupe social décideront initialement de si la fille veut engager une interaction romantique. Mais ne nous mentons pas, la plupart du temps c'est un véritable "non", et la force des dragueurs tels que comanche ou johnou c'est d'être capable d'outrepasser ce "non" et de réussir à convaincre la fille qu'en fait ce sera "oui". Ils ont sû imposer leur volonté. Et j'ai vraiment l'impression que c'est ce qui se passe dans la bonne majorité des interactions romantiques

Mais pour nous les hommes jetables, on a de base pas la capacité d'être voulu et désiré, et surtout quand on nous affirme "non", alors on comprend "non" et on considère que c'est mort, alors l'interaction se termine. On pourrait nous retorquer qu'il faut alors insister ; sauf que c'est pas parce qu'on le veut que ça se fait, ce n'est absolument pas naturel pour nous, ce qui fait que l'intonation, la gestuelle, et la manière de dire les choses ne fera pas de nous des dragueurs mais des forceurs, et a-t-on déjà vu une dame tomber sous le charme après un gros forçage ?
Et là évidemment qu'on va nous dire que ça s'apprend, mais soyez honnêtes avec vous mêmes, est-ce que vous avez eu besoin de l'apprendre vous ? Non ça a été tout naturel pendant l'adolescence et vous avez pris le truc assez rapidement, nous on a eu les mêmes interactions, les mêmes epreuves, les mêmes échecs mais on en est toujours au même point, parce que c'est pas quelque chose qui se contrôle tout simplement. Y'a pas grand chose de plus simple que de courir, mais pourtant peu de gens atteindront 10 secondes au 100m, peu importe à quel point ils voudront "apprendre" et "s'entrainer", tout ne peut pas se résoudre par la seule volonté ou même par l'acharnement
A partir de là si on admet qu'on ne saura jamais faire changer d'avis une fille et qu'on a pas les caractéristiques naturelle pour chercher d'elle même une relation avec nous, je ne vois que 3 issues possibles :
- Le betabux, où l'on réussit à être toléré dans une relation (qu'on ne peut même pas qualifier de romantique) parce que l'on possède un minimum de finance, stabilité et de force de travail et que la femme n'a plus le temps ou les moyens de chercher chez ça ailleurs. Bien entendu nous mêmes ne sommes ni désirés (et par conséquent pas aimés) ni même considérés, seul l'utilité que l'on peut apporter est valorisée, et le but de la femme sera de faire pile le strict minimum pour profiter de cette utilité. Personnellement je trouve ce genre de relation tout sauf épanouissante et même carrément dégradante, mais pour beaucoup c'est la seule manière qu'ils auront de profiter de ce qu'ils penseront être une relation romantique. Tant mieux pour eux, qu'ils profitent autant qu'ils le peuvent et qu'ils espèrent au maximum retarder le moment où ils ne présenteront plus assez d'utilité pour la femme, car là ça risque d'être assez dur...
- Vivre malgré l'absence de relation. Alors je vais pas faire l'hypocrite en osant sortir que c'est nul, ça sert à rien et c'est surcôté. Bien sûr que c'est d'une importance capitale pour l'équilibre et le bien être, et bien sûr que la solitude te détruit même physiquement. Mais si y'a pas le choix y'a pas le choix, on essaie de faire ce qu'on peut pour trouver tout l'équilibre qu'on peut par ailleurs, de toute façon on sait que ça nous inaccessible, alors arrêtons de nous morfondre sur quelque chose qui dès le départ n'était pas pour nous. Personne ne dirait à un aveugle que la vue n'est pas importante, mais pareil pour lui, il a pas d'autre choix que de vivre avec ce manque, et d'essayer d'être le plus heureux possible avec les paramètres qui le caractérisent, faisons comme lui.
Bon le truc c'est que nous en plus de ça on doit se taper le stigmate d'être des grosses merdes qui se complaignent dans la chouinerie au lieu de se sortir les doigts pour accomplir des tâches basiques qui règleraient notre problème, et que par conséquent on ne mérite rien de plus que les crachats à la face, mais bon on va pas changer la société, c'est comme ça. Encore plus lorsque par définition on ne sait pas modifier la vision de qui que ce soit
- Ou alors juste être incapable de vivre sans. C'est quelque chose que j'aimerais qu'on refuse à tout prix et en toute circonstance, mais c'est malheureusement beaucoup trop fréquent chez les hommes jetables pour que je passe ça sous silence
Voilà, pas un pavé plein d'espoirs je le reconnais, et ma petite sortie n'a pas du tout bouleversé ma vision des choses, mais avec cette histoire de volonté j'ai l'impression d'un peu mieux comprendre pourquoi c'est comme ça. On est pas nés avec les bons gênes, on a peu eu les circonstances qu'il fallait, c'est la vie...
Putain c'était beaucoup mieux expliqué dans ma tête, je peux même dire que c'est un pavé de merde et que j'en suis pas fier. Et ben tant pis vous aurez cette version merdique, fallait m'accompagner sur le chemin du retour et d'être capable de lire dans mes pensées

il y a 2 ans