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Mon premier bide
:sad3:
il y a 2 ans
continue khey
il y a 2 ans
C’est sympa
:cafe:
How do you call a Mexican that lost his car ?
Carlos

il y a 2 ans
Ok pas lu
:(
un resumax svp
:)
il y a 2 ans
Post + fav
:NNNhutts1:
il y a 2 ans
ce journal restera dans les annales du forum
il y a 2 ans
La suite demain 18/03/2023
:love:



Jour 2 - Une journée mouvementé


Cher journal de bord,



Le lendemain, au début de la journée, un étrange phénomène se produisit.
Les vagues de l'océan se sont séparées pour laisser passer quelques bateaux de nouveaux migrants.
Les habitants de l'île d'Onche ont observé cette scène avec émerveillement, persuadés que c'était peut-etre, un signe de la bienveillance des dieux forumiales?
:cafe:


Quoi qu’il en soit, parmi les nouveaux arrivants, il y avait des pêcheurs, des artisans stiqueurs, des pronippons, des financiers, … tous cherchaient à se bâtir une nouvelle vie loin de la tyrannie de Webedia et des pro-Webediens. En ma qualité de rédacteur de mon propre journal de bord, j'eus l'opportunité de parler à plusieurs d'entre eux et j'appris leur histoire.
:Journal_risitas:





Il y avait, par exemple, un jeune pêcheur nommé Quatorzecentimetremaisgrand, un nom tout à fait fort long, qui avait tout perdu à cause de l’imposition des classes imposées par Webedia. Il avait entendu parler de l'île d'Onche par un ami et avait décidé de tout abandonner pour tenter sa chance ici.
:risi8:


Une autre migrante, Masakiya, était une artisan qui avait été contrainte de fermer sa boutique en raison de la censure arbitraire de la garde modératoriale en grande partie acquis à la cause de Webedia qui sévissait partout sur Jivécé. Elle était désormais déterminée à reconstruire sa petite entreprise sur l'île d'Onche et à offrir ses services aux habitants de l’ile.
:megumin_confused:




J’ouï-dire que parmi d’autres, en revanche, d’autres en ont aussi profité pour venir sur l’ile, d’un étaient des opportunistes, et d’autres étaient des partisans convaincus de Webedia. Je raconterai par la suite, ce qui devait malencontreusement arrivé, arriva. Un dialogue houleux éclata entre l'un des migrants et l'un de ces pro-Webediens, provoquant des échanges animés et des éclats de voix.
:risi_enerved:




Je décrivis une de leur conversation chahuté:



« Bonjour monsieur, je n'ai pas pu m'empêcher d'entendre vos propos. Vous dites que Webedia était le salut de Jivécé, mais pourtant, ils nous ont imposé une taxe de trop. Vous ne comprenez donc pas notre désarroi ? »
:revolutionnaires_:



Le pro-Webedien répliqua d'un ton sec : « Nous avons besoin de Webedia pour nous guider et nous aider à progresser. Cette taxe est nécessaire pour que la population de Jivécé continue de prospérer. C'est une nécessité absolue, mon cher. »
:JRR_TOLKIEN:




Le migrant le fixa, l'air incrédule : « Mais cette taxe n'est qu'un moyen pour les plus riches d'avoir encore plus de pouvoir et de contrôle sur le reste de la population. Nous ne pouvons plus supporter cette injustice. »
:revolutionnaires_:




« Vous avez tort », rétorqua le pro-Webedien. « Nous devons faire confiance à nos dirigeants. Ils ont notre intérêt à cœur. »
:JRR_TOLKIEN:




Le migrant secoua la tête : « Vous ne comprenez rien, monsieur. Nous sommes en train de perdre notre liberté, notre voix, notre dignité. Nous devons nous battre pour notre avenir. »
:revolutionnaires_:



Les incidents se multiplièrent, ce qui poussa, quant aux chefs de l'île, qu’ils allaient construire une sorte de geôle en bois pour calmer les esprits échauffés, parmi eux bien évidemment, des individus retrouvés dans les bateaux ayant perdu tout sens commun criant une sorte de dieu mystique prénommé « ENT » et des opportunistes que j’ai écrit précédemment pour aller commettre leurs méfaits.
:cafe:




Les chefs exhortèrent alors les partisans de Webedia et les prètres de Jivécé à retourner chez eux, ce qui provoqua un autre échange houleux. Je rapportai leur propos:

"Mes chers amis, vous êtes les bienvenus sur l'île d'Onche. Nous sommes un peuple pacifique et accueillant, mais nous ne tolérons pas les conflits internes. Nous avons donc décidé que vous deviez faire un choix : soit abandonner vos idées pro-Webedia et vous assimiler à notre communauté, soit repartir sur votre bateau et rentrer chez vous."
:DumasCimer:



Un silence pesant s'installa alors. Les pro-Webediens étaient en colère et n'avaient pas envie de quitter l'île. Les prêcheurs de Jivécé, quant à eux, ne voulaient pas abandonner leur combat. C'est alors qu'un des pro-Webediens prit la parole, d'un ton cassant et provocateur :


"Vous nous demandez de renoncer à nos idées ? Mais c'est la liberté d'expression qui est en jeu ! Vous ne pouvez pas nous imposer votre manière de penser !"
:JRR_TOLKIEN:



Un des chef de l'île, imperturbable, répondit :

"Je comprends votre point de vue, mais nous sommes ici sur l'île d'Onche, et c'est notre mode de vie qui prévaut. Si vous souhaitez rester parmi nous, vous devrez vous adapter à nos règles et à notre philosophie. Sinon, vous êtes libres de partir."
:DumasCimer:



Un des prêcheurs de Jivécé intervint alors, d'un ton plus mesuré :

"Mais cher ami, ne voyez-vous pas que notre combat est juste ? Nous ne cherchons pas à imposer notre point de vue, mais simplement à défendre les plus faibles. Nous croyons en une société plus juste et plus équitable."
:Risitas_prie:



Un ces chef de l'île prit alors le temps de réfléchir, avant de répondre d'un ton calme et réfléchi :

"Je comprends votre combat, et je respecte votre engagement. Mais ici, sur l'île d'Onche, nous avons choisi une voie différente. Nous croyons en une société où chacun a sa place, où les plus faibles sont protégés, mais sans pour autant brimer les libertés individuelles. Si vous pouvez vous y adapter, vous êtes les bienvenus. Sinon, je suis désolé, mais vous devrez partir."
:DumasPointe4:



Les pro-Webediens et les prètres, furieux, décidèrent alors de rentrer chez eux. Mais un des prêcheurs de Jivécé, Reformateur847, touché par les arguments des chefs de l'île, décida d'abandonner ses propres idées, de rester et de s'engager pour cette nouvelle vision de la société. C'est ainsi que commença une nouvelle vie pour tous les migrants sur l'île d'Onche.
:Priere:




Malgré quelque secousses periodiques sur l'ile, les migrants n'ont pas flanché, ni meme moi, et nous étions sain et saufs dans notre abri sous terrain, et chaque secousse annonçait quelque chose de nouveau sur l'ile
:sueur:




Le soir venu, un comptable se proposa spontanément de comptabiliser le nombre d'entrants et de sortants de l'île.
:larry1:

À la fin de la soirée, il exclama que huit cents personnes étaient arrivées sur l'île.
Les migrants firent la fête, heureux d'être arrivés sains et saufs sur leur nouvelle terre d'accueil.
:dj_risitas:
Et depuis ?
il y a 2 ans