Ce sujet a été résolu
Introduction
Charles De Gaulle était un faux héros qui avait une idée centriste et cosmopolite de la France.
D'ailleurs, son propre fils Philippe l'admettait quand il justifiait son vote de 2022 pour Valérie Pécresse au premier tour, et Emmanuel Macron au second tour.
Charles De Gaulle est souvent idolâtré par les médias et des foules de schizophrènes pseudo "patriotes" et "résistants" en 2023, mais une simple recherche dans l'historique des traités et des lois permet de le discréditer.
De 1959 à 1969, soit la période où De Gaulle a eu officiellement les quasi pleins pouvoirs, le chômage a quadruplé en France, l'immigration a doublé, l'insécurité a explosé, le peuple s'est peu à peu américanisé, l'influence diplomatique Française sur le monde a été réduite à l'Afrique,...
De Gaulle était conscient que tous ces événements allaient se produire, car il l'a voulu. En privé, il était opposé aux politiques qu'il menait, mais ça ne l'empêchait pas de faire le contraire de ce qu'il croyait être juste.
Étant déjà un lâche de par son passé de résistant planqué à Londres qui s'attribuait les mérites des autres en juin 1940, c'était évident qu'il ferait un mauvais chef de l'Etat. De nombreuses personnes considèrent que ses successeurs ont été pire, mais c'est oublier que De Gaulle est responsable des catastrophes que Pompidou et Giscard ont dû subir.
De Gaulle a soutenu l'indépendance de l'Algérie en 1962, perdant ainsi le contrôle sur le pétrole. Il a également autorisé le regroupement familial des immigrés algériens en 1968 et leur intégration économique. Aussi, De Gaulle était soumis à la Communauté Economique Européenne, en ayant concrétisé plusieurs accords diplomatiques franco-allemands favorisant les travailleurs détachés allemands dès 1959.
En 1965, sa "politique de la chaise vide" n'était qu'une pièce de théâtre visant à cacher sa soumission économique à l'Allemagne, ses petites délocalisations, et sa frustration de n'avoir jamais été accepté dans la ligue des nations non-alignées.
Au final, ce qu'on peut reprocher aux présidents Pompidou, Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron, on peut le faire pour De Gaulle aussi. C'est toute la Cinquième République.
Charles De Gaulle était un faux héros qui avait une idée centriste et cosmopolite de la France.
D'ailleurs, son propre fils Philippe l'admettait quand il justifiait son vote de 2022 pour Valérie Pécresse au premier tour, et Emmanuel Macron au second tour.
Charles De Gaulle est souvent idolâtré par les médias et des foules de schizophrènes pseudo "patriotes" et "résistants" en 2023, mais une simple recherche dans l'historique des traités et des lois permet de le discréditer.
De 1959 à 1969, soit la période où De Gaulle a eu officiellement les quasi pleins pouvoirs, le chômage a quadruplé en France, l'immigration a doublé, l'insécurité a explosé, le peuple s'est peu à peu américanisé, l'influence diplomatique Française sur le monde a été réduite à l'Afrique,...
De Gaulle était conscient que tous ces événements allaient se produire, car il l'a voulu. En privé, il était opposé aux politiques qu'il menait, mais ça ne l'empêchait pas de faire le contraire de ce qu'il croyait être juste.
Étant déjà un lâche de par son passé de résistant planqué à Londres qui s'attribuait les mérites des autres en juin 1940, c'était évident qu'il ferait un mauvais chef de l'Etat. De nombreuses personnes considèrent que ses successeurs ont été pire, mais c'est oublier que De Gaulle est responsable des catastrophes que Pompidou et Giscard ont dû subir.
De Gaulle a soutenu l'indépendance de l'Algérie en 1962, perdant ainsi le contrôle sur le pétrole. Il a également autorisé le regroupement familial des immigrés algériens en 1968 et leur intégration économique. Aussi, De Gaulle était soumis à la Communauté Economique Européenne, en ayant concrétisé plusieurs accords diplomatiques franco-allemands favorisant les travailleurs détachés allemands dès 1959.
En 1965, sa "politique de la chaise vide" n'était qu'une pièce de théâtre visant à cacher sa soumission économique à l'Allemagne, ses petites délocalisations, et sa frustration de n'avoir jamais été accepté dans la ligue des nations non-alignées.
Au final, ce qu'on peut reprocher aux présidents Pompidou, Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron, on peut le faire pour De Gaulle aussi. C'est toute la Cinquième République.
il y a 2 ans
Oui oui, c’était mieux avant, on sait
En attendant c’est toujours la même lignée qui est élue, quand les français voudront changer, ils changeront
En attendant c’est toujours la même lignée qui est élue, quand les français voudront changer, ils changeront
il y a 2 ans
Pendant la Seconde Guerre Mondiale
Lors de la conférence de Casablanca du 14 au 24 janvier 1943 afin de préparer la stratégie des alliés après la guerre à l'égard de l'Europe, les américains étaient prêts à débarquer en France à la condition que cette dernière accepte non seulement d'ouvrir ses colonies au commerce américain, mais en plus de les décoloniser dans les trente prochaines années.
Giraud refusa la demande du président Roosevelt et partit, mais De Gaulle resta.
Le 12 septembre 1943, De Gaulle accepta le "billet du trésor", la monnaie française (le franc) qui était imprimé par les britanniques. Mais il refusa l'imprimerie par les américains en 1944, alors que ces derniers voulaient lutter contre le marché noir.
De Gaulle voulait remplacer les fonctionnaires d'Indochine. Offensée, la colonie se rebella.
En France, les historiens Stéphane Simonnet et Joêl Cornette ont démontré que les résistants, appelés "maquis" ne combattaient pas au nom de Charles De Gaulle.
Les maquisards sont nés dans l'hiver 1942-1943, de l'initiative de réfractaires ayant décidé de se cacher pour fuir le départ en Allemagne au titre de la Relève, puis en février 1943, pour échapper au Service du Travail Obligatoire.
A Londres, De Gaulle craint que ces maquis ne reconnaissent jamais son "autorité" (ce qui est normal puisque De Gaulle n'était pas le chef de l'État, c'était le Maréchal Pétain).
Henri Frenay envoya à Londres un premier texte proposant la formation de réduits dans les massifs montagneux, puis un second rapport en avril 1943, précisant sa stratégie concernant la transformation des réfractaires en maquisards combattants, mais De Gaulle refusa de les soutenir.
Il cherchait seulement à coordonner une minorité de maquisards qui reconnaissaient son autorité.
En 1942, l'Amiral Darlan, en mission secrète par le Maréchal Pétain et l'Amiral Auphan, a coordoné l'armée d'Afrique aux américains.
Les historiens Hervé Couteau-Bégarie et Robert Paxton l'ont confirmé, De Gaulle n'avait aucun lien.
En 1944, De Gaulle n'était ni au courant de la date du débarquement de Normandie, ni de Provence.
Bien que s'étant autoproclamé libérateur de la France à Paris le 15 août 1944 et que son gouvernement provisoire promulguait des lois, De Gaulle a été exclu de nombreuses conférences et entrevues diplomatiques.
En fait, De Gaulle n'était pas reconnu "chef de l'État" par les puissances étrangères car il n'a tout simplement jamais été élu par le peuple Français et ses représentants. Il était un inconnu sans légitimité politique et sans influence.
Le 27 octobre 1946, la Quatrième République fut créée sous la forme d'un régime parlementaire, l'opposé de ce que De Gaulle proposait lors de son discours à Bayeux en juin de la même année.
Les élections législatives se déroulèrent le 10 novembre 1946, aucun mouvement gaulliste n'y figurait.
En 1947, De Gaulle fonda le parti RPF. Son parti politiques gagna les élections municipales dans les grandes villes bourgeoises, mais se vit refuser la proposition de dissolution de l'Assemblée Nationale.
Lors des élections législatives du 17 juin 1951, les gaullistes gagnèrent seulement 121 sièges sur les 625.
En 1953, le RPF perdit plusieurs mairies et la moitié de leurs voix. Le 6 mai de cette année, De Gaulle abandonna son parti.
Lors de la conférence de Casablanca du 14 au 24 janvier 1943 afin de préparer la stratégie des alliés après la guerre à l'égard de l'Europe, les américains étaient prêts à débarquer en France à la condition que cette dernière accepte non seulement d'ouvrir ses colonies au commerce américain, mais en plus de les décoloniser dans les trente prochaines années.
Giraud refusa la demande du président Roosevelt et partit, mais De Gaulle resta.
Le 12 septembre 1943, De Gaulle accepta le "billet du trésor", la monnaie française (le franc) qui était imprimé par les britanniques. Mais il refusa l'imprimerie par les américains en 1944, alors que ces derniers voulaient lutter contre le marché noir.
De Gaulle voulait remplacer les fonctionnaires d'Indochine. Offensée, la colonie se rebella.
En France, les historiens Stéphane Simonnet et Joêl Cornette ont démontré que les résistants, appelés "maquis" ne combattaient pas au nom de Charles De Gaulle.
Les maquisards sont nés dans l'hiver 1942-1943, de l'initiative de réfractaires ayant décidé de se cacher pour fuir le départ en Allemagne au titre de la Relève, puis en février 1943, pour échapper au Service du Travail Obligatoire.
A Londres, De Gaulle craint que ces maquis ne reconnaissent jamais son "autorité" (ce qui est normal puisque De Gaulle n'était pas le chef de l'État, c'était le Maréchal Pétain).
Henri Frenay envoya à Londres un premier texte proposant la formation de réduits dans les massifs montagneux, puis un second rapport en avril 1943, précisant sa stratégie concernant la transformation des réfractaires en maquisards combattants, mais De Gaulle refusa de les soutenir.
Il cherchait seulement à coordonner une minorité de maquisards qui reconnaissaient son autorité.
En 1942, l'Amiral Darlan, en mission secrète par le Maréchal Pétain et l'Amiral Auphan, a coordoné l'armée d'Afrique aux américains.
Les historiens Hervé Couteau-Bégarie et Robert Paxton l'ont confirmé, De Gaulle n'avait aucun lien.
En 1944, De Gaulle n'était ni au courant de la date du débarquement de Normandie, ni de Provence.
Bien que s'étant autoproclamé libérateur de la France à Paris le 15 août 1944 et que son gouvernement provisoire promulguait des lois, De Gaulle a été exclu de nombreuses conférences et entrevues diplomatiques.
En fait, De Gaulle n'était pas reconnu "chef de l'État" par les puissances étrangères car il n'a tout simplement jamais été élu par le peuple Français et ses représentants. Il était un inconnu sans légitimité politique et sans influence.
Le 27 octobre 1946, la Quatrième République fut créée sous la forme d'un régime parlementaire, l'opposé de ce que De Gaulle proposait lors de son discours à Bayeux en juin de la même année.
Les élections législatives se déroulèrent le 10 novembre 1946, aucun mouvement gaulliste n'y figurait.
En 1947, De Gaulle fonda le parti RPF. Son parti politiques gagna les élections municipales dans les grandes villes bourgeoises, mais se vit refuser la proposition de dissolution de l'Assemblée Nationale.
Lors des élections législatives du 17 juin 1951, les gaullistes gagnèrent seulement 121 sièges sur les 625.
En 1953, le RPF perdit plusieurs mairies et la moitié de leurs voix. Le 6 mai de cette année, De Gaulle abandonna son parti.
il y a 2 ans
Le coup d'État de 1958 !
Les américains et le président René Coty propulsèrent De Gaulle au pouvoir. Son retour suscitait une vive opposition, car il n'avait jamais été majoritaire dans les élections et son rôle dans la résistance à l'occupation allemande de la France de 1940 à 1945 était insignifiant.
De Gaulle est investi président du Conseil et obtient les pleins pouvoirs constituants en juin 1958.
Il nomme aussitôt une commission chargée de rédiger une nouvelle constitution, cherchant à instaurer un régime présidentiel.
Le 28 septembre 1958, De Gaulle consulta le peuple par référendum avec comme question : "Approuvez vous la Constitution qui vous est proposée par le Gouvernement de la République ?".
Dans un discours du 29 août 1958, De Gaulle avait promis que l'Algérie resterait française si les Français et les Algériens répondaient "oui". C'était un mensonge de sa part car il a donné l'indépendance à l'Algérie quatre ans plus tard, avec les conséquences que l'ont connaît.
Évidemment, il a conservé les institutions autoritaires de la Cinquième République.
Le 9 décembre 1958, seuls 206 députés soutenaient ce nouveau régime.
Les américains et le président René Coty propulsèrent De Gaulle au pouvoir. Son retour suscitait une vive opposition, car il n'avait jamais été majoritaire dans les élections et son rôle dans la résistance à l'occupation allemande de la France de 1940 à 1945 était insignifiant.
De Gaulle est investi président du Conseil et obtient les pleins pouvoirs constituants en juin 1958.
Il nomme aussitôt une commission chargée de rédiger une nouvelle constitution, cherchant à instaurer un régime présidentiel.
Le 28 septembre 1958, De Gaulle consulta le peuple par référendum avec comme question : "Approuvez vous la Constitution qui vous est proposée par le Gouvernement de la République ?".
Dans un discours du 29 août 1958, De Gaulle avait promis que l'Algérie resterait française si les Français et les Algériens répondaient "oui". C'était un mensonge de sa part car il a donné l'indépendance à l'Algérie quatre ans plus tard, avec les conséquences que l'ont connaît.
Évidemment, il a conservé les institutions autoritaires de la Cinquième République.
Le 9 décembre 1958, seuls 206 députés soutenaient ce nouveau régime.
il y a 2 ans
gwendal56
2 ans
Introduction
Charles De Gaulle était un faux héros qui avait une idée centriste et cosmopolite de la France.
D'ailleurs, son propre fils Philippe l'admettait quand il justifiait son vote de 2022 pour Valérie Pécresse au premier tour, et Emmanuel Macron au second tour.
Charles De Gaulle est souvent idolâtré par les médias et des foules de schizophrènes pseudo "patriotes" et "résistants" en 2023, mais une simple recherche dans l'historique des traités et des lois permet de le discréditer.
De 1959 à 1969, soit la période où De Gaulle a eu officiellement les quasi pleins pouvoirs, le chômage a quadruplé en France, l'immigration a doublé, l'insécurité a explosé, le peuple s'est peu à peu américanisé, l'influence diplomatique Française sur le monde a été réduite à l'Afrique,...
De Gaulle était conscient que tous ces événements allaient se produire, car il l'a voulu. En privé, il était opposé aux politiques qu'il menait, mais ça ne l'empêchait pas de faire le contraire de ce qu'il croyait être juste.
Étant déjà un lâche de par son passé de résistant planqué à Londres qui s'attribuait les mérites des autres en juin 1940, c'était évident qu'il ferait un mauvais chef de l'Etat. De nombreuses personnes considèrent que ses successeurs ont été pire, mais c'est oublier que De Gaulle est responsable des catastrophes que Pompidou et Giscard ont dû subir.
De Gaulle a soutenu l'indépendance de l'Algérie en 1962, perdant ainsi le contrôle sur le pétrole. Il a également autorisé le regroupement familial des immigrés algériens en 1968 et leur intégration économique. Aussi, De Gaulle était soumis à la Communauté Economique Européenne, en ayant concrétisé plusieurs accords diplomatiques franco-allemands favorisant les travailleurs détachés allemands dès 1959.
En 1965, sa "politique de la chaise vide" n'était qu'une pièce de théâtre visant à cacher sa soumission économique à l'Allemagne, ses petites délocalisations, et sa frustration de n'avoir jamais été accepté dans la ligue des nations non-alignées.
Au final, ce qu'on peut reprocher aux présidents Pompidou, Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron, on peut le faire pour De Gaulle aussi. C'est toute la Cinquième République.
Charles De Gaulle était un faux héros qui avait une idée centriste et cosmopolite de la France.
D'ailleurs, son propre fils Philippe l'admettait quand il justifiait son vote de 2022 pour Valérie Pécresse au premier tour, et Emmanuel Macron au second tour.
Charles De Gaulle est souvent idolâtré par les médias et des foules de schizophrènes pseudo "patriotes" et "résistants" en 2023, mais une simple recherche dans l'historique des traités et des lois permet de le discréditer.
De 1959 à 1969, soit la période où De Gaulle a eu officiellement les quasi pleins pouvoirs, le chômage a quadruplé en France, l'immigration a doublé, l'insécurité a explosé, le peuple s'est peu à peu américanisé, l'influence diplomatique Française sur le monde a été réduite à l'Afrique,...
De Gaulle était conscient que tous ces événements allaient se produire, car il l'a voulu. En privé, il était opposé aux politiques qu'il menait, mais ça ne l'empêchait pas de faire le contraire de ce qu'il croyait être juste.
Étant déjà un lâche de par son passé de résistant planqué à Londres qui s'attribuait les mérites des autres en juin 1940, c'était évident qu'il ferait un mauvais chef de l'Etat. De nombreuses personnes considèrent que ses successeurs ont été pire, mais c'est oublier que De Gaulle est responsable des catastrophes que Pompidou et Giscard ont dû subir.
De Gaulle a soutenu l'indépendance de l'Algérie en 1962, perdant ainsi le contrôle sur le pétrole. Il a également autorisé le regroupement familial des immigrés algériens en 1968 et leur intégration économique. Aussi, De Gaulle était soumis à la Communauté Economique Européenne, en ayant concrétisé plusieurs accords diplomatiques franco-allemands favorisant les travailleurs détachés allemands dès 1959.
En 1965, sa "politique de la chaise vide" n'était qu'une pièce de théâtre visant à cacher sa soumission économique à l'Allemagne, ses petites délocalisations, et sa frustration de n'avoir jamais été accepté dans la ligue des nations non-alignées.
Au final, ce qu'on peut reprocher aux présidents Pompidou, Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron, on peut le faire pour De Gaulle aussi. C'est toute la Cinquième République.
L’op dit les termes
Règle 21 '' Ne jamais s'éloigner du chemin'' Par le kj le plus détesté parmi les kj
il y a 2 ans
De Gaulle au pouvoir
Ayant emporté les élections présidentielles du 21 décembre 1958, De Gaulle a pu diriger la France tout en muselant l'opposition. Voyons voir ce bilan étape par étape !
1) Le chômage s'est remis à augmenter depuis 1958.
Selon la professeure d'histoire contemporaine Jenny Raffik, il y'avait 81 000 chômeurs cette année là.
Selon l'économiste Gaël Giraud, il y'avait 200 000 chômeurs en 1962.
Selon l'historien Marc Ferro, il y'avait 500 000 chômeurs en 1967.
Pour répondre au problème, De Gaulle avait créé l'assurance chômage dès 1958, c'est à dire payer les gens à ne rien faire, mais bien entendu, cela n'a absolument pas changé la situation
2) étant membre de la Communauté Économique Européenne (CEE, l'ancêtre de l'Union Européenne) depuis le 25 mars 1967, la France devait ouvrir son économie à l'Allemagne. De Gaulle ne défendait pas les intérêts de la France. Il a fait signer la convention franco-allemande du 21 juillet 1958 qui autorisait les travailleurs détachés allemands à ne plus être discriminés en France.
3) Selon les analyses du diplomate Xavier Driencourt et l'historien Éric Roussel sur l'histoire de la politique migratoire vis-à-vis de l'Algérie, De Gaulle a ouvert les portes à l'immigration de masse.
Du 26 octobre 1961 au 28 avril 1969, la, population algérienne en France a doublé. E
Elle était constituée de seulement 400 000 immigrés Nord-Africains en 1961, hors Pieds-Noirs.
Les accords d'Evian étaient très clairs, et De Gaulle le savait : l'article 2 des dispositions générales de la Déclaration des garanties ("Sauf décision de justice, tout Algérien muni d'une carte d'identité française est libre de circuler entre l'Algérie et la France") et l'article 7 de la Déclaration relative à la coopération économique et financière ("les ressortissants algériens résidants en France, notamment les travailleurs, auront les mêmes droits que les nationaux français, à l'exception des droits politiques").
Ces dispositions particulièrement généreuses d'Evian ne furent paradoxalement pas appliquées aux harkis, les Nord-Africains ayant combattu pour la France, les historiens évaluent à 70 000 morts sacrifiés par De Gaulle à la République Algérienne, ennemie de la France.
Concrètement, De Gaulle refuse ainsi l'entrée en France à ceux qui ont pris les armes pour la défendre au profit de ceux qui ont été ses ennemis.
Au nom de la pseudo politique "d'État à État", De Gaulle a volontairement décidé de rendre vulnérable la présence militaire française en mer Méditerranée, pour satisfaire l'Algérie.
Dans les mémoires "Fils de la Nation" en 2018, Jean-Marie Le Pen écrivit "De Gaulle reste une horrible source de souffrance pour la France. En apparence il y a deux De Gaulle, le rebelle de 1940 et le chasseur de rebelles en 1961. Mais tout les deux, ensemble, forment pour moi un faux grand homme dont le destin fut d'aider la France à devenir petite."
4) De Gaulle a sacrifié une grande partie de l'armée française, et même de très grands officiers.
Le général Bourachot et le Colonel Ortholan, ainsi que de nombreux vrais français, ont témoigné et écrit que De Gaulle avait jeté des milliers de militaires en prison, et renvoyé de dizaines de milliers d'autres.
Il apparaissait évident que l'armée française n'était pas gaulliste, donc De Gaulle s'en est débarrassé.
A partir de 1966, les nouvelles recrues furent majoritairement endoctrinées.
Ayant emporté les élections présidentielles du 21 décembre 1958, De Gaulle a pu diriger la France tout en muselant l'opposition. Voyons voir ce bilan étape par étape !
1) Le chômage s'est remis à augmenter depuis 1958.
Selon la professeure d'histoire contemporaine Jenny Raffik, il y'avait 81 000 chômeurs cette année là.
Selon l'économiste Gaël Giraud, il y'avait 200 000 chômeurs en 1962.
Selon l'historien Marc Ferro, il y'avait 500 000 chômeurs en 1967.
Pour répondre au problème, De Gaulle avait créé l'assurance chômage dès 1958, c'est à dire payer les gens à ne rien faire, mais bien entendu, cela n'a absolument pas changé la situation

2) étant membre de la Communauté Économique Européenne (CEE, l'ancêtre de l'Union Européenne) depuis le 25 mars 1967, la France devait ouvrir son économie à l'Allemagne. De Gaulle ne défendait pas les intérêts de la France. Il a fait signer la convention franco-allemande du 21 juillet 1958 qui autorisait les travailleurs détachés allemands à ne plus être discriminés en France.
3) Selon les analyses du diplomate Xavier Driencourt et l'historien Éric Roussel sur l'histoire de la politique migratoire vis-à-vis de l'Algérie, De Gaulle a ouvert les portes à l'immigration de masse.
Du 26 octobre 1961 au 28 avril 1969, la, population algérienne en France a doublé. E
Elle était constituée de seulement 400 000 immigrés Nord-Africains en 1961, hors Pieds-Noirs.
Les accords d'Evian étaient très clairs, et De Gaulle le savait : l'article 2 des dispositions générales de la Déclaration des garanties ("Sauf décision de justice, tout Algérien muni d'une carte d'identité française est libre de circuler entre l'Algérie et la France") et l'article 7 de la Déclaration relative à la coopération économique et financière ("les ressortissants algériens résidants en France, notamment les travailleurs, auront les mêmes droits que les nationaux français, à l'exception des droits politiques").
Ces dispositions particulièrement généreuses d'Evian ne furent paradoxalement pas appliquées aux harkis, les Nord-Africains ayant combattu pour la France, les historiens évaluent à 70 000 morts sacrifiés par De Gaulle à la République Algérienne, ennemie de la France.
Concrètement, De Gaulle refuse ainsi l'entrée en France à ceux qui ont pris les armes pour la défendre au profit de ceux qui ont été ses ennemis.
Au nom de la pseudo politique "d'État à État", De Gaulle a volontairement décidé de rendre vulnérable la présence militaire française en mer Méditerranée, pour satisfaire l'Algérie.
Dans les mémoires "Fils de la Nation" en 2018, Jean-Marie Le Pen écrivit "De Gaulle reste une horrible source de souffrance pour la France. En apparence il y a deux De Gaulle, le rebelle de 1940 et le chasseur de rebelles en 1961. Mais tout les deux, ensemble, forment pour moi un faux grand homme dont le destin fut d'aider la France à devenir petite."
4) De Gaulle a sacrifié une grande partie de l'armée française, et même de très grands officiers.
Le général Bourachot et le Colonel Ortholan, ainsi que de nombreux vrais français, ont témoigné et écrit que De Gaulle avait jeté des milliers de militaires en prison, et renvoyé de dizaines de milliers d'autres.
Il apparaissait évident que l'armée française n'était pas gaulliste, donc De Gaulle s'en est débarrassé.
A partir de 1966, les nouvelles recrues furent majoritairement endoctrinées.
il y a 2 ans
5) De Gaulle n'était pas un président de "droite.
De 1958 à 1969, soit pendant ses mandats, il se considérait centriste, collaborant avec les européistes (socialistes, indépendants, centre) excluant les communistes (extrême-gauche) et les pétainistes (nationalistes et royalistes).
D'après l'Insee et l'homme d'affaires Pierre-François Gouiffès, les impôts ont fortement augmenté depuis 1960, passant de 30,5% du PIB à 34,5% en 1969. Une augmentation de 4% est très irrégulière.
6) Le 8 janvier 1964, De Gaulle reconnaît la légitimité du dictateur communiste Mao Zedong sur la Chine.
Nuance important, De Gaulle a reconnu un dictateur et non un régime politique.
Dès 1913, la Troisième République Française, par les diplomates Alexandre Robert Conty et Philippe Berthelot, avait reconnu la République de Chine.
Au final, De Gaulle n'a rien pu obtenir de la Chine et aucune coopération n'eut lieu.
Mao Zedong était le chef des nations non alignées durant la Guerre Froide, et il avait le soutien politique et industriel de nombreux pays africains. De Gaulle n'a jamais été accepté par les nations non-alignées.
7) Le 22 janvier 1963, De Gaulle et le chancelier allemand de la RFA signèrent le "traité de l'Élysée", instaurant un couple franco-allemand, une série de coopérations économiques et militaires.
Le 15 juin 1963, le Parlement allemand de la RFA ajouta un préambule rappelant que l'OTAN coopère à égalité avec la France. Par la suite, De Gaulle n'a jamais invoqué la nullité de ce traité.
8) Le 7 mars 1966, De Gaulle sortit la France du commandement intégré de l'OTAN, mais il ne parvint pas à nouer des relations fortes avec les nations non-alignées.
9) En mai 1968 eut lieu d'immenses émeutes antigaullistes. Emeutes dont on connaît les conséquences sur le monde en 2023
10) Le 27 décembre 1968, De Gaulle conclut l'accord franco-algérien du regroupement familial et de la facilité de l'embauche, encourageant de plus en plus d'algériens à s'installer en France.
11) Le 29 avril 1968, De Gaulle annonça sa démission, il quitta la scène politique et médiatique pour ne pas être questionné sur son bilan dramatique.
De 1958 à 1969, soit pendant ses mandats, il se considérait centriste, collaborant avec les européistes (socialistes, indépendants, centre) excluant les communistes (extrême-gauche) et les pétainistes (nationalistes et royalistes).
D'après l'Insee et l'homme d'affaires Pierre-François Gouiffès, les impôts ont fortement augmenté depuis 1960, passant de 30,5% du PIB à 34,5% en 1969. Une augmentation de 4% est très irrégulière.
6) Le 8 janvier 1964, De Gaulle reconnaît la légitimité du dictateur communiste Mao Zedong sur la Chine.
Nuance important, De Gaulle a reconnu un dictateur et non un régime politique.
Dès 1913, la Troisième République Française, par les diplomates Alexandre Robert Conty et Philippe Berthelot, avait reconnu la République de Chine.
Au final, De Gaulle n'a rien pu obtenir de la Chine et aucune coopération n'eut lieu.
Mao Zedong était le chef des nations non alignées durant la Guerre Froide, et il avait le soutien politique et industriel de nombreux pays africains. De Gaulle n'a jamais été accepté par les nations non-alignées.
7) Le 22 janvier 1963, De Gaulle et le chancelier allemand de la RFA signèrent le "traité de l'Élysée", instaurant un couple franco-allemand, une série de coopérations économiques et militaires.
Le 15 juin 1963, le Parlement allemand de la RFA ajouta un préambule rappelant que l'OTAN coopère à égalité avec la France. Par la suite, De Gaulle n'a jamais invoqué la nullité de ce traité.
8) Le 7 mars 1966, De Gaulle sortit la France du commandement intégré de l'OTAN, mais il ne parvint pas à nouer des relations fortes avec les nations non-alignées.
9) En mai 1968 eut lieu d'immenses émeutes antigaullistes. Emeutes dont on connaît les conséquences sur le monde en 2023

10) Le 27 décembre 1968, De Gaulle conclut l'accord franco-algérien du regroupement familial et de la facilité de l'embauche, encourageant de plus en plus d'algériens à s'installer en France.
11) Le 29 avril 1968, De Gaulle annonça sa démission, il quitta la scène politique et médiatique pour ne pas être questionné sur son bilan dramatique.
il y a 2 ans
Conclusion
Le 28 avril 1969, le président Charles De Gaulle donna sa démission. La France était enfin libérée d'une dizaine d'années d'impostures et d'ingérence.
Du mythe à la réalité, Charles De Gaulle fut un imposteur, un usurpateur et un traître. Ses talents de stratège étaient tellement pitoyables qu'il s'est fait écraser pendant la Première Guerre Mondiale. On notera à cet effet que cet homme s'est vu propulser au grade de colonel en ayant finalement jamais rapporté d'exploits, et également en ayant jamais travaillé de sa vie.
Lors de la Seconde guerre mondiale, le lamentable Charles De Gaulle a perdu plusieurs batailles, alors même qu'il bénéficiait des plus hauts moyens que l'armée française lui avait confié. S'il a quitté Bordeaux pour Londres en juin 1940, c'est parce que Philippe Pétain avait refusé de lui accorder un ministère.
En réalité, Charles De Gaulle a déserté par pur égocentrisme, bien que plusieurs de ses lettres montrent qu'il reconnaissait la légitimité du régime de Vichy. Lors de son appel du "18 juin", il n'a finalement été écouté que par une infime minorité de français. Ses tentatives d'insurrections résistantes se sont révélées pathétiques, puisque les occupants allemands les ont facilement écrasées.
Son incapacité à établir une réelle stratégie militaire l'a poussé à critiquer l'armistice, qui était pourtant la seule solution efficace de Philippe Pétain pour limiter les souffrances des français. Charles De Gaulle négocia le débarquement américain de Normandie en échange de l'abandon des colonies françaises. Ceci explique pourquoi il a établi une dictature en 1958, que l'on nomme "Cinquième République", pour finaliser l'abandon de l'Algérie, laissant mourir plus de cent mille combattants français, et faisant augmenter dramatiquement le chômage en abandonnant les industries.
En 1965, Charles De Gaulle refusa de restaurer la monarchie.
En 1968, cet incapable a mis le pays dans un climat de guerre civile, et a laissé se former un ras de marrée de gauchistes.
Le 28 avril 1969, le président Charles De Gaulle donna sa démission. La France était enfin libérée d'une dizaine d'années d'impostures et d'ingérence.
Du mythe à la réalité, Charles De Gaulle fut un imposteur, un usurpateur et un traître. Ses talents de stratège étaient tellement pitoyables qu'il s'est fait écraser pendant la Première Guerre Mondiale. On notera à cet effet que cet homme s'est vu propulser au grade de colonel en ayant finalement jamais rapporté d'exploits, et également en ayant jamais travaillé de sa vie.
Lors de la Seconde guerre mondiale, le lamentable Charles De Gaulle a perdu plusieurs batailles, alors même qu'il bénéficiait des plus hauts moyens que l'armée française lui avait confié. S'il a quitté Bordeaux pour Londres en juin 1940, c'est parce que Philippe Pétain avait refusé de lui accorder un ministère.
En réalité, Charles De Gaulle a déserté par pur égocentrisme, bien que plusieurs de ses lettres montrent qu'il reconnaissait la légitimité du régime de Vichy. Lors de son appel du "18 juin", il n'a finalement été écouté que par une infime minorité de français. Ses tentatives d'insurrections résistantes se sont révélées pathétiques, puisque les occupants allemands les ont facilement écrasées.
Son incapacité à établir une réelle stratégie militaire l'a poussé à critiquer l'armistice, qui était pourtant la seule solution efficace de Philippe Pétain pour limiter les souffrances des français. Charles De Gaulle négocia le débarquement américain de Normandie en échange de l'abandon des colonies françaises. Ceci explique pourquoi il a établi une dictature en 1958, que l'on nomme "Cinquième République", pour finaliser l'abandon de l'Algérie, laissant mourir plus de cent mille combattants français, et faisant augmenter dramatiquement le chômage en abandonnant les industries.
En 1965, Charles De Gaulle refusa de restaurer la monarchie.
En 1968, cet incapable a mis le pays dans un climat de guerre civile, et a laissé se former un ras de marrée de gauchistes.
il y a 2 ans
En attendant c'était pas sous de gaulle que des françaises se faisaient empaler et massacrer par des barbares ou passer violemment à tabac pour une jupe ou encore poignardé pour une clope, la vérité étant que de gaulle était un cadeau que les français ont refusé, dès sa démission les politiques ont mis la main sur le pays et voilà l'état actuel des choses aujourd'hui, mais selon l'op c'est de gaulle le traître et non pas les politiques de merdes qui saccagent tout ces efforts pour lutter contre tout ce qu'on connaît aujourd'hui
Vive la France, Vive la République, Vive l'empire, non au roi
il y a 2 ans
Très intéressant l’op, j’ai appris énormément de choses. Cependant il aurait été pertinent d’aussi s’intéresser aux points positifs du régime gaulliste, pour apporter un peu de nuance à ton propos.
« L’argent public n’existe pas, il n’y a que l’argent des contribuables. »
il y a 2 ans
gwendal56
2 ans
Il a vendu les Resistants aux Nazis car il voulait pas des Gens Libres
Avec @Delawarde à Notre Dame de la Salette
il y a 2 ans
VonReuenthal
2 ans
Il faut être un sacré demeuré ou un nazi pour penser que c'est un traitre
Certainement pas un autre oui
https://www.sudradio.fr/c[...]repond-que-cest-de-gaulle
Alors pourquoi il a vendu Jean Moulin à Barbie ?

Alors pourquoi il a vendu Jean Moulin à Barbie ?
il y a 2 ans