[SONDAGE] Le meilleur chef militaire allemand durant la WW2.

36% pour Rommel contre 23% seulement pour Manstein ahi.

Et un mystérieux autre qui fait 27% bordel.

Les 6 qui ont voté pour l'autre, précisez au moins qui.

L'histoire de la seconde guerre mondiale ne m'intéresse absolument pas personnellement

18 mois à eux 2 exactement.

Himmler

Du coup j’ai voté autre

Himmler ou rien

Qui est donc cet autre? Précise ta pensée.

Mais je le dit deux fois dans mon message précédent VDD

Je pensais à un autre H moi.

Pour faire une présentation des généraux allemands dans leur ensemble.

C'est l'homme qui a orchestré la chute de la France en seulement 6 semaines, révolutionné la guerre blindée allemande avec le Stug III, pris Sébastopol, la « forteresse de l'Europe », et infligé près de 90 000 victimes aux Soviétiques lors de sa célèbre contre-offensive lors de la troisième bataille de Kharkov. Il est clair pour quiconque a étudié la Seconde Guerre mondiale que Manstein était incroyablement efficace. C'est simple. A chaque fois qu'on mentionne la front de l'est, il est impossible de contourner Manstein.
D'ailleurs il était à deux doigts de remporter la bataille de Koursk pour la Wehrmacht du côté de le tenaille sud.

Il est souvent salué comme étant non seulement le meilleur général de guerre d’Allemagne, mais aussi le meilleur général de guerre de toutes les nations (et même le meilleur général de tout le 20e siècle). L’esprit tactique et stratégique de Manstein était sans précédent, étant sans aucun doute le plus grand général à l’offensive et de loin.

Walter Model.


Le maître de la défense, le fanatique de la modernisation de l’armée, l'un des préférés voire le préféré d'Hitler. Tout à la fois. L’homme qui a infligé à Joukov, Rokossovsky, Konev, Vatoutin, Montgommery, Hodges et Bradley leurs pires défaites. L’homme qui n’a jamais été responsable d'une défaite majeure. L’homme qui a infligé à l’armée américaine l'un de ses plus grands revers.

Sans parler de l’homme à qui Hitler avait fait confiance plus que quiconque. Walter Model est l'un des maréchaux les moins connus de la Seconde Guerre mondiale, mais c'est celui qui a eu l'un des plus grands impacts sur celle-ci. Il était connu pour être un officier d'état-major méticuleux au début de la guerre, responsable de nombreux succès d'Ersnt Busch en France avec la 16e armée allemande, ainsi que du IVe corps de Viktor von Schwendler en Pologne. Avec l’invasion de l’URSS, il reçut le commandement de la 3e division panzer formant l’avant-garde de Guderian en URSS, et ici on pouvait voir ses succès offensifs souvent négligés. Il dirigeait l'encadrement et les officiers de manière hyper stricte, ce qui a amené nombre de ses subordonnés à ne pas l'aimer voire à demander d'être muter dans une autre division ou armée. Cependant, ceux qui sont restés à ses côtés ont tous reçu le commandement de division et plus tard dans la guerre, comme Josef Harpe. Aux commandes du 3e Panzer, Model fut impliqué dans le plus grand encerclement de l'histoire militaire (la bataille de Kiev de septembre 1941), avec plus de 700 000 soldats soviétiques piégés dans l'encerclement, lorsque la division Model rencontra le 16e Panzer à l'extérieur de la ville.

Après la bataille, sa division est alors impliquée dans l'opération ratée Typhoon face à Moscou. À partir de ce moment-là, il fut principalement mis sur la défensive, ce qui était sa spécialité. Avec la 9e armée, il remporta de grands succès dans la défense du saillant de Rzhev, infligeant plus de 2,5 millions de victimes aux Soviétiques blessés et morts confondus rien que lors des 3 bataills pour ce saillant, alors qu'il en comptait lui-même un peu plus de 160 000. Son excellence défensive a été prouvée davantage lors de campagnes ultérieures en URSS, telles que la contre-offensive de Léningrad, la bataille de Koursk et l'opération Bagration.

Au cours de ces années, Model était souvent déplacé entre les zones du front de l'Est qui représentaient la plus grande menace pour l'Allemagne. C'est également à cette époque qu'on lui a donné le surnom de « Pompier du Führer », car il « éteignait les incendies » partout où il passait. Finalement, il fut appelé lors de l'été 1944 à l'Ouest, où il battait les Américains dans la forêt de Hurtgen, participait à la bataille des Ardennes, puis s'est donné la mort.

Fedor von Bock.
Von Bock a quand même réussi à commander le Groupes d'Armées Centre et Sud successivement et le plus souvent avec des victoires importantes à la clé.. Fedor von Bock était un grand stratège et tacticien, extrêmement efficace en attaque. En Pologne, il commanda le Groupe d'Armées Nord battant les forces polonaises qui se trouvaient face à lui, et étant également en grande partie responsable de l'encerclement de Varsovie.


Lors de l'invasion de l'Union soviétique, il commandait le groupe d'armées Centre, parvenant à avancer plus loin que les Groupes d'Armées Nord et Sud, même s'il est vrai que le Groupe d'Armées Centre était aussi le mieux doté sachant qu'il bénéficiait d'une certaine forme de protection au niveau de ses flancs. Et en avançant, il n'était parfois pas loin de manquer ses lignes de ravitaillement. En fait, il a si bien réussi qu'il a été contraint de détourner une partie de ses propres forces vers le nord pour aider à la prise de Leningrad (qui s'est soldée par un échec), et une partie vers le sud pour aider à l'encerclement de Kiev.

Cependant, la situation a commencé à se dégrader avec son échec à prendre Moscou avec l'opération Typhoon, au cours de laquelle son Groupe d'Armées Centre, pour ses divisions les plus avancées, ont réussit à s'approcher à 30 kilomètres du centre de Moscou et du Kremlin. Il a même fait rouler quelques chars dans les banlieues de la ville elle-même. Cependant, une vaste contre-attaque soviétique rendue possible par Vassilevski, Rokossovski et surtout Joukov entre autres, condamna l'opération à l'échec. La guerre fut alors relativement calme pour Bock, jusqu'à l'attaque visant à couper les champs pétrolifères du Caucase, à savoir le Plan Blau. Pour cela, Bock commandait le groupe d'armées sud, mais fut de nouveau repoussé par une contre-offensive soviétique puissante. À ce stade, la guerre était terminée pour lui et il prit sa retraite forcée sur ordre d’Hitler. En mai 1945, sa voiture fut mitraillée par un avion britannique et lui et sa famille moururent.

Albert Kesserling.

Albert Kesselring était un généralfeldmarschall allemand de la Luftwaffe pendant la Seconde Guerre mondiale qui fut par la suite reconnu coupable de crimes de guerre. Parfois, ils lui disaient « der lächelnde Albert » (l'Albert souriant). Au cours d'une carrière militaire qui s'est étendue sur les deux guerres mondiales, Kesselring est devenu l'un des commandants les plus décorés de l'Allemagne nazie, étant l'un des 27 soldats à avoir reçu la Croix de Chevalier de la Croix de Fer avec Feuilles de chêne, épées et diamants.

Kesselring a rejoint l'armée bavaroise en tant qu'élève-officier en 1904 et a servi dans la branche d'artillerie. Il termine sa formation en 1912. Pendant la Première Guerre mondiale, il sert sur les fronts de l'Ouest et de l'Est et est affecté à l'état-major, bien qu'il n'ait pas fréquenté l'Académie de guerre. Kesselring resta dans l'armée après la guerre, mais fut démobilisé en 1933 pour devenir chef du département d'administration du Commissariat à l'aviation du Reich, où il s'impliqua dans le rétablissement de l'industrie aéronautique allemande et dans la pose des bases de l'aviation. la Luftwaffe, en tant que chef d'état-major de 1936 à 1938.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, il commanda les forces aériennes lors des invasions de la Pologne et de la France, de la bataille d'Angleterre et de l'opération Barbarossa. En tant que commandant en chef de la Wehrmacht Sud, il était le commandant allemand général sur le théâtre méditerranéen, qui comprenait les opérations en Afrique du Nord. Kesselring mena une campagne défensive contre les forces alliées en Italie jusqu'à ce qu'il soit blessé dans un accident en octobre 1944. Lors de sa dernière campagne de guerre, il commanda les forces allemandes sur le front occidental. Il a gagné le respect de ses adversaires alliés pour ses réalisations militaires, mais son bilan comprend également des massacres commis sur ses ordres en Italie.

Après la guerre, Kesselring a été reconnu coupable de crimes de guerre et condamné à mort pour avoir ordonné le meurtre de 335 civils italiens lors du massacre des Ardéatines, et pour avoir incité et ordonné à ses troupes de tuer des civils en représailles contre le mouvement de résistance italien. La peine a ensuite été commuée en réclusion à perpétuité. Une campagne politique et médiatique aboutit à sa libération en 1952, apparemment pour des raisons de santé. Il publie ses mémoires, Soldat bis zum letzten Tag (« Un soldat jusqu'au dernier jour »), en 1953. Kesselring accepte la présidence d'honneur de trois organisations d'anciens combattants : le Luftwaffenring, composé d'anciens combattants de la Luftwaffe.

Erwin Rommel.

Il acquis sa grand renommée notamment à partir de la bataille de Gazala en juin 1942, au cours de laquelle les Britanniques subiront 18 000 pertes, verront 32 000 capturés et perdront 1 188 chars gravement endommagés ou détruits, contre 3 360 pertes pour Rommel et la perte de seulement 400 chars.

La huitième armée britannique (alors encore celle d'Auchinleck) réussit à se regrouper et finalement à stopper l'avancée de Rommel en juillet, à seulement 162 milles du Caire et à seulement 70 milles du port égyptien d'Alexandrie. C'était la première bataille d'El Alamein et Bernard Montgomery allait bientôt prendre le commandement de la huitième armée. Après 17 mois de combats en dents de scie, Rommel ne sera jamais plus proche de la capture du canal de Suez ni du rêve d’Hitler de percer au Moyen-Orient.

Tout au long de la guerre, Rommel fut mentionné à maintes reprises par ses ennemis avec une admiration surprenante. Auchinleck est devenu tellement frustré par l’adulation de ses propres hommes pour le « Renard du désert » qu’il a émis des ordres spécifiques pour ne pas le mentionner. Rommel était largement connu comme l’un des officiers les plus compétents et professionnels d’Allemagne, et comme un homme audacieux qui dirigeait sans crainte depuis le front et par l’exemple. Il traitait bien ses hommes et même ses prisonniers aussi, leur donnant les mêmes rations et les mêmes soins médicaux qu'il donnait à ses propres troupes.

En fin de compte, souffrant de maladie et d'épuisement extrême, Rommel fut contraint de retourner en Allemagne juste après sa première apparition réussie sur un champ de bataille nord africain lors de la bataille de Kasserine contre les Américains en février 1943. Il dit à Hitler et à l'état-major allemand qu'il avait jamais affronté des troupes aussi mal préparées que les Américains en Tunisie… ni aucune force qui avait appris plus vite.
“Une bataille ne nous dit pas grand-chose. Les Américains disposent de très bons équipements, et en grande quantité, et ils apprennent très rapidement à les utiliser et à les coordonner ».

Les mises en garde de Rommel furent cependant catégoriquement rejetées et ses demandes de renforts importants en hommes, en matériel et en carburant précieux furent ignorées. L'Afrika Korps était condamné. Le 13 mai, le Corps Afrika rendit près de 300 000 soldats de l'Axe en Tunisie, et trois mois plus tard, 100 000 Allemands supplémentaires seraient perdus en Sicile.

Gottthard Heinrici.

Le général Heinrici était un commandant de la Wehrmacht qui ressemblait à un professeur d'école et qui comptait parmi les meilleurs généraux défensifs de la guerre. Le seul qui à mon sens était supérieur à lui dans ce domaine là en Allemagne était Walter Model et de peu.

L’une des choses que les Soviétiques faisaient avant une attaque était de pilonner le front avec une artillerie dévastatrice. Les survivants de ces barrages d'artillerie parlent d’une expérience absolument abrutissante, d'un chaos absolue qui a de quoi rendre fou et faire exploser bien des tympans avec des positions détruites et des unités fortement affaiblies.

Heinrici a appris à calculer le moment où le barrage d'artillerie commencerait et à faire reculer ses hommes. Ils ont complètement évité la terreur causée par les Soviétiques sur les lignes de front abandonnées. Puis, lorsque les Soviétiques ont renoncé à attaquer les positions, il a fait revenir ses hommes à leurs positions, intacts et entièrement approvisionnés et a ainsi pu vaincre ou dévier les Russes à maintes reprises. Il y réussit si bien qu'il fut choisi pour arrêter l'avancée russe sur Berlin à la fin de la guerre, et malgré peu d'hommes, pas d'armes lourdes et peu de munitions, il fut capable de retenir les Russes pendant une semaine sur les hauteurs de Seelow tout en faisant des dizaines de milliers de victimes. Lorsque les Russes réussirent finalement à prendre les hauteurs, il assuma de sa propre autorité la dissolution de la Première Panzer Division et renvoya ses hommes chez eux plutôt que de les faire tuer dans le hachoir à viande qu'était Berlin. C’est en fait assez controversé. Sa division constituait un lien défensif important entre Wenck et Steiner et en libérant ses hommes du service, il ouvrit une énorme brèche dans la ligne et toute la bataille tomba sur Weidling à Berlin. Il est vrai que sa division aurait été balayée par les Russes, mais le fait qu'il se soit retiré et dispersé sans en avertir le haut commandement représente un manque de responsabilité qui le condamne. Cependant, il était aimé et respecté par ses troupes qui feraient à peu près tout pour lui, et il les protégeait des troupes SS cherchant des déserteurs à pendre et du haut commandement allemand qui préférait la brutalité de Shorner comme moyen de motiver ses hommes. Finalement, il rentre chez lui, ôte son uniforme, enfile ses vêtements civils et attend de se faire arrêter par les Américains après avoir évacué ses hommes vers l'ouest pour échapper à la captivité des soviétiques.

Autre

Parce qu'il a fait beaucoup trop, avec rien.

C'est un des rares théâtre d'opération ou l'armée allemande avait pas la supériorité technique. Et même pas toujours numérique.

Guderian car il a brisé la France

Je vote Guderian, parce que certes, Manstein est celui qui a eu l'idée du coup de faucille, mais c'est Guderian qui l'a appliquée, a fait le forcing avec Adolf et son commandement

Hermann Balck était l'un des 27 officiers allemands à recevoir la croix de chevalier avec des feuilles de chêne, des épées et des diamants. Il termine la guerre en tant que General der Panzertrup. Il était largement considéré comme l’un des plus grands commandants militaires allemands de l’époque. Et pourtant, il est pratiquement inconnu de tous, sauf des spécialistes de la Seconde Guerre mondiale. C'était pourtant un génie tactique. Il avait toujours une longueur d'avance sur ses ennemis, même lorsqu'il était initialement surpris.

En décembre 1942, la Sixième Armée allemande se trouve à Stalingrad, encerclée par les troupes soviétiques et privée de renforts.

Le général allemand Erich von Manstein prévoyait de sauver la Sixième Armée grâce à une manœuvre combinée entre elle et le XLVIII Panzerkorps. Mais avant qu'ils puissent se retrouver, la 5ème Armée de tanks Soviétique dirigée par le général P. L. Romanenko s'est rapprochée et a isolé le XLVIII Panzer Corps du reste de la Sixième Armée.

Le XLVIIIème Panzerkorps était encerclé et nettement en infériorité numérique. Leur seul espoir de résister aux Soviétiques résidait dans leur 11e Panzer Division, qui était à ce moment là en route vers Stalingrad après sa dernière mission en Biélorussie. Avec eux se trouvait Hermann Balck, le commandant de la division.

Même lorsque Balck arriva avec la 11e Division, les Allemands étaient désespérément en infériorité numérique et en armes. Les Soviétiques disposaient de 7 fois plus de chars, 11 fois plus de soldats et 20 fois plus d’artillerie que les Allemands.

Alors, qu’a fait Balck contre une armée dix fois plus nombreuse que la sienne ?

Non seulement il a survécu, mais il a aussi gagné.

Il entreprit d'éliminer à lui seul des troupes soviétiques supérieures en nombre, sauvant ainsi la 11e Panzer Division d'une destruction certaine.
Il n'a rien dit à ses soldats. Une fois, avant de diriger la 11e Panzer Division, il fut chargé de diriger un régiment de fantassins (principalement) lors d'une longue marche au-dessus d'une rivière et en gravissant une colline. Cependant, après avoir traversé la rivière, ses soldats s'effondrèrent tous de fatigue. Inébranlable, Balck se dirigea vers l'avant de la colonne, ramassa un fusil et commença à gravir la colline tout seul, disant à ses soldats qu'il prendrait la colline, avec ou sans eux. Les soldats fatigués se relevèrent, le suivirent et finirent par prendre la colline.

Par-dessus tout, Balck détestait ne pas pouvoir commander depuis la ligne de front. Même lorsqu’il fut promu au grade prestigieux d’inspecteur de l’armée, il écrivit immédiatement une lettre au haut commandement pour le supplier de le remettre sur le front.
Même lorsqu’il commandait une unité, Balck essayait de s’impliquer dans le combat plutôt que de rester assis tout le temps dans la tente d’un commandant. Pendant la guerre, le leadership allemand était structuré de manière à promouvoir un leadership face à face plutôt que de vagues ordres écrits. Balck a poussé cela à l'extrême en interdisant tout ordre écrit sous son commandement, préférant donner des ordres à ses troupes en personne.
Hermann Balck.


Un jour, lui et un collègue officier étaient dans une tente et étudiaient une grande carte de bataille qui se trouvait entre eux. Soudain, un avion soviétique a survolé la tente et a criblé de balles. Une pluie de balles s'abattit sur la carte entre eux, les manquant tous les deux de quelques centimètres. L’autre officier était naturellement terrifié et a plongé pour se sauver. Pendant ce temps, Hermann Balck n'a même pas bronché. Il a continué à étudier la carte comme si de rien n'était.

Une autre fois, il se trouvait sur la ligne de front à côté d’un autre officier de haut rang quand soudain un obus d’artillerie a explosé à proximité. L'autre agent s'est effondré au sol ; un éclat d'obus s'était logé dans sa poitrine. Balck, sans broncher, s'est agenouillé à côté de lui et a appelé un médecin, ignorant le fait qu'il avait failli être tué.

Au final, Il a débuté la guerre au grade de lieutenant colonel en 1939 et l'a terminée au grade de général de corps d'armée en commandant la 4ème Armée Panzer en Pologne en 1944 puis le Groupe d'Armées G en Alsace et en Lorraine.

J'ai lu "chef cuisinier". Et après, j'ai vu la liste je me suis dit que l'auteur était ultra cultivé.