SUITE n°2
Mes parents mon ramené à la maison. Sans un mot j'ai quitté le domicile de ma voisine. Pas un regard, elle était encore sous le choc. Mes parents n'ont rien remarqué de particulier.
"Eh bah dit donc vous avez bosser plus que d'habitude ce soir" m'a lancé mon daron
Je lui réponds par des banalités, je bégayais comme un porc, j'essaye de masquer ces bégaiements par des onomatopées et des bouts de mots forts et prononcés du genre "Oh bah..... mouais"
moins je disais de chose, mieux ca ira
Le diner de ce soir m'était particulièrement insupportable. J'étais totalement bouleversé par le cours de ce soir. Je pouvais pas penser à autre choses. Je revois ses yeux brillant de tendresse, son corps mature. La nuit même, je me suis finit cash comme jamais. Le lendemain à l'école et les jours suivant ont été douloureux. J'étais complètement flingué du cerveau, je pensais qu'à elle.
Le Week end mes parents ont décidé de partir quelques heures à la mer cantine (dans le Jura pour ceux qui connaisse pas). j'avais pas la tête a me baigner. Je me suis posé sur fortnite en solo vs squad (j'tais un vrai golem à l'époque). Puis la sonnette de l'entrée à retenti dans toute la maison. Osef flemme d'ouvrir j'ai continué à jouer. Puis du coin de l'œil, je vois passé par la fenêtre ma voisine rentrer chez elle. Je comprends qu'elle voulait venir chez moi. J'ai bondit, j'ai couru chez elle, j'ai toqué, elle m'a ouvert d'un air très gêné.
Elle ne m'a pas automatiquement laissé entré, j'ai forcé un peu pour rentrer. Une fois la porte refermé elle a éclaté en sanglot. Elle disait qu'elle avait eu la peur de sa vie. J'essaye de la rassurer par des banalité, mais mes intentions était traitre, j'en avais rien à foutre d'elle, je voulais juste la toucher a nouveaux. Elle m'invite à m'assoir boire un verre avec elle. On se pose sur le canapé, commence à parler de ce qu'il s'est passé le fameux soir, ce que j'ai ressenti. Elle était vraiment dévasté. Avec l'alcool, et la fatigue, ses muscles se relâche, et elle laisse effondrer son corps sur le dossier du canapé. Sa tête penchait de mon coté. Elle semblait vouloir se reposer pour calmer son stresse. Ses yeux se ferme, je me penche vers elle, je pose ma main sur son bassin, puis la décale sur sa hanche. Sa peau, a travers son chemisier, était chaude, son stresse était bien réel. Je remonte légèrement ma main pour toucher la respiration lourde de son ventre.
Je ressens à travers sa peau des frissons et tremblement timide, les mêmes que ceux du fameux soir. Elle ne réagit pas à mes caresses, elle se laisse faire sans aucune résistance. Par mimétisme, je pose ma tête sur son sein gauche. Elle passe sa main dans mes cheveux.
On est resté comme ça surement 10 minutes avant de s'endormir tous les 2. Je m'éveille dans une plénitude 1h plus tard. Elle dormait encore. Elle suait légèrement. Je lève ma tête jusqu'à son cou, je respire à plein nez son parfum mêlé à ses phéromones. La j'ai le retour de la giga trique. J'en peu plus a ce moment, je veux la défourailler. Avec le sommeil ma main est retombé sur ces hanches. Je la souleve jusqu'à son chemisier, je passe mon autre main derrière sa taille, de telle sorte à l'avoir dans mes bras. Je pose ma main délicatement sur son chemisier, et le déboutonne lentement. Elle n'avait pas de soutien gorge. Une fois avoir déboutonné entièrement son chemisier, je suis resté paralysé. Ses seins n'était pas encore visible. Je suis restais statique, j'avais peur de lui retirer son chemisier. Nofake les clé j'avais tellement peur que j'ai rien fait, je n'ai pas retirer son haut, j'ai juste reposé ma tête contre son sein et je me suis rendormit, bercé par ses respirations et ses souffles chaud sur mes cheveux.
Elle s'est éveillé 2h et demi plus tard. Je dormais toujours. Son chemisier était toujours déboutonné sans pour autant laisser apparaitre ses seins. Elle m'a raconté plus tard qu'elle avait sourit en voyant son chemisier déboutonné et en imaginant ce que j'avais pu faire à son corps pendant qu'elle dormait (sauf que j'avais littéralement rien fait tellement je me chiait dessus ahi). Je dormais encore. Pour me réveiller en douceur, elle m'a repassé sa main dans mes cheveux et m'a massé la tête.
Je me réveille sans pour autant bouger. Je fais mine de dormir pour profiter encore un peu de ses caresses. Y'avait vraiment une tension spéciale entre nous. Je représentais pour elle ce qu'elle n'avait pas et ce qu'elle désirait : un mari et un fils. dans nos contacts, il y avait un mélange de tendresse maternelle et de pulsions et de désir sexuel. C'était vraiment une relation complète.
Apres 5 minutes, je bouge doucement ma tête pour lui signalé que je suis réveillé. Elle délasse ses bras de moi, puis je me relève. Et la on savait pas quoi dire. Le silence est soudainement brisé par une notif de mon tel. Je le déverrouille et la je vois 7 appels, 10 messages de mes parents. Le soir était tombé, mes parents était rentré, et je n'étais pas à la maison.
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