Ce sujet a été résolu
Y'a plus de puceaux tardifs et d'eternels célibataires au Japon qu'en France non ?
Puis bon en dépit de leur image mignonne pas mal de japonaises se font rémunérer des services (des fois juste de la compagnie ou des câlins) parfois des l'âge du collège et du lycée donc ça montre déjà un rapport assez particulier entre les hommes et les femme où le fait de monnayer ses charmes est banalisé.
Et y'a le délire ultra cringe des Idols là bas... Heureusement qu'ils ont créé des Idols totalement fictives comme Hatsune Miku c'est toujours mieux au final
Puis bon en dépit de leur image mignonne pas mal de japonaises se font rémunérer des services (des fois juste de la compagnie ou des câlins) parfois des l'âge du collège et du lycée donc ça montre déjà un rapport assez particulier entre les hommes et les femme où le fait de monnayer ses charmes est banalisé.
Et y'a le délire ultra cringe des Idols là bas... Heureusement qu'ils ont créé des Idols totalement fictives comme Hatsune Miku c'est toujours mieux au final
Je suis le donut du forum
il y a 2 ans
c'est quand que tu lui troues la chatte ça commence à bien faire la
Page 5000
il y a 2 ans
il ne faut pas avoir honte de ce que l'on est et surtout il faut GR ces putains de babtous fragiles
il y a 2 ans
"Enjo kōsai
L' enjo kōsai est une pratique typiquement japonaise où des jeunes filles sont payées par des hommes plus âgés pour les accompagner (escort girl) et parfois pour se prostituer. Une partie non négligeable des étudiantes japonaises (voire lycéennes et collégiennes, notamment parmi les kogaru) sont amenées à se prostituer occasionnellement, soit volontairement, soit à la suite de requêtes d'hommes qui les abordent. D'après un rapport de la National Police Agency en 1996[28], « un tiers des cas de prostitution connus impliquent des adolescents. (…) Environ un quart des étudiantes japonaises entre 12 et 15 ans auraient participé à des conversations téléphoniques roses. Les conversations sont prévues à des dates fixées à l'avance et sont généralement sujettes à un accord préalable pour un service sexuel particulier, au prix fixé. »
Les relations qu'entretiennent ces jeunes filles avec les hommes qui les payent suscitent de vives critiques[29] à l'encontre du statu quo (l’enjo kōsai est parfaitement légal au Japon) entretenu par les autorités et eu égard à l'ampleur du phénomène[30]. La faible médiatisation du phénomène au sein de la société japonaise rend d'autant plus difficile son analyse à l'étranger."
L' enjo kōsai est une pratique typiquement japonaise où des jeunes filles sont payées par des hommes plus âgés pour les accompagner (escort girl) et parfois pour se prostituer. Une partie non négligeable des étudiantes japonaises (voire lycéennes et collégiennes, notamment parmi les kogaru) sont amenées à se prostituer occasionnellement, soit volontairement, soit à la suite de requêtes d'hommes qui les abordent. D'après un rapport de la National Police Agency en 1996[28], « un tiers des cas de prostitution connus impliquent des adolescents. (…) Environ un quart des étudiantes japonaises entre 12 et 15 ans auraient participé à des conversations téléphoniques roses. Les conversations sont prévues à des dates fixées à l'avance et sont généralement sujettes à un accord préalable pour un service sexuel particulier, au prix fixé. »
Les relations qu'entretiennent ces jeunes filles avec les hommes qui les payent suscitent de vives critiques[29] à l'encontre du statu quo (l’enjo kōsai est parfaitement légal au Japon) entretenu par les autorités et eu égard à l'ampleur du phénomène[30]. La faible médiatisation du phénomène au sein de la société japonaise rend d'autant plus difficile son analyse à l'étranger."
Je suis le donut du forum
il y a 2 ans
tema c'est comme sur fifa quand tu t'amuses à faire ton joueur tu lui écartes les yeux au minimum ça te fait un peu rire bah lui il est comme ça IRL
il y a 2 ans
"Enjo kōsai
L' enjo kōsai est une pratique typiquement japonaise où des jeunes filles sont payées par des hommes plus âgés pour les accompagner (escort girl) et parfois pour se prostituer. Une partie non négligeable des étudiantes japonaises (voire lycéennes et collégiennes, notamment parmi les kogaru) sont amenées à se prostituer occasionnellement, soit volontairement, soit à la suite de requêtes d'hommes qui les abordent. D'après un rapport de la National Police Agency en 1996[28], « un tiers des cas de prostitution connus impliquent des adolescents. (…) Environ un quart des étudiantes japonaises entre 12 et 15 ans auraient participé à des conversations téléphoniques roses. Les conversations sont prévues à des dates fixées à l'avance et sont généralement sujettes à un accord préalable pour un service sexuel particulier, au prix fixé. »
Les relations qu'entretiennent ces jeunes filles avec les hommes qui les payent suscitent de vives critiques[29] à l'encontre du statu quo (l’enjo kōsai est parfaitement légal au Japon) entretenu par les autorités et eu égard à l'ampleur du phénomène[30]. La faible médiatisation du phénomène au sein de la société japonaise rend d'autant plus difficile son analyse à l'étranger."
L' enjo kōsai est une pratique typiquement japonaise où des jeunes filles sont payées par des hommes plus âgés pour les accompagner (escort girl) et parfois pour se prostituer. Une partie non négligeable des étudiantes japonaises (voire lycéennes et collégiennes, notamment parmi les kogaru) sont amenées à se prostituer occasionnellement, soit volontairement, soit à la suite de requêtes d'hommes qui les abordent. D'après un rapport de la National Police Agency en 1996[28], « un tiers des cas de prostitution connus impliquent des adolescents. (…) Environ un quart des étudiantes japonaises entre 12 et 15 ans auraient participé à des conversations téléphoniques roses. Les conversations sont prévues à des dates fixées à l'avance et sont généralement sujettes à un accord préalable pour un service sexuel particulier, au prix fixé. »
Les relations qu'entretiennent ces jeunes filles avec les hommes qui les payent suscitent de vives critiques[29] à l'encontre du statu quo (l’enjo kōsai est parfaitement légal au Japon) entretenu par les autorités et eu égard à l'ampleur du phénomène[30]. La faible médiatisation du phénomène au sein de la société japonaise rend d'autant plus difficile son analyse à l'étranger."
J'espère qu'un jour les blancs commenceront à balayer devant leur porte
il y a 2 ans
tu vas surtout te la faire chourave par un marocain deter si ça continue

il y a 2 ans