Ce sujet a été résolu
Mohana, 39 ans
« La première fois que je l’ai rencontré, il m’a fait froid dans le dos. Il avait jeté son dévolu sur moi et cela me mettait mal à l’aise. Je le croisais tous les jours au travail mais j’ai gardé mes distances pendant quatre ans. Puis, après une déception amoureuse, nous avons commencé à discuter. J’étais jeune, quelqu’un s’intéressait à moi, il m’a beaucoup fait parler. Je me suis ensuite aperçue qu’il avait utilisé ce que je lui avais confié. C’est comme s’il avait mis un masque et calqué son personnage sur ce que je lui avais décrit du partenaire idéal. Avec cet homme, nous sommes restés ensemble six ans. Six ans de violence psychologique. C’est très insidieux, je compare ça à une perfusion de poison administré au quotidien. Au départ, c’est juste de l’humour glacial. Puis, des réflexions assassines, des SMS jour et nuit et la sensation d’être en permanence jugée et épiée. J’en parlais à mes proches mais je passais pour la râleuse : "T’exagères, il est sympa". Puis, il y a eu les insultes, un travail de sape, d’humiliation, de plus en plus violent au fil des mois et des années. Jusqu’à ces mots : "Je veux que tu crèves". Je venais de perdre mon père et j’allais accoucher de mon deuxième enfant : ça a été le déclic. Un instinct de survie. Deux semaines après, j’ai quitté mon travail, ma maison, Paris, et je suis partie avec mes deux enfants à Toulouse. Il n’y a que la distance qui permet de sortir la tête de l’eau. J’avais porté plainte, mon dossier était tellement gros que je le trimballais dans un sac de voyage, mais il y en avait pour 3 à 7 ans de lutte judiciaire acharnée et j’ai décidé d’abandonner. Je me suis dit que ça allait être l’horreur pour mes enfants et que je préférais les élever dans la musique et la bonne humeur. J’ai repris des études : avoir mon bac à 37 ans, ça m’a aidée à reprendre confiance en moi. Je ne suis pas la débile pour qui il me faisait passer. »
Source :
https://www.elle.fr/Socie[...]femmes-temoignent-2864062
« La première fois que je l’ai rencontré, il m’a fait froid dans le dos. Il avait jeté son dévolu sur moi et cela me mettait mal à l’aise. Je le croisais tous les jours au travail mais j’ai gardé mes distances pendant quatre ans. Puis, après une déception amoureuse, nous avons commencé à discuter. J’étais jeune, quelqu’un s’intéressait à moi, il m’a beaucoup fait parler. Je me suis ensuite aperçue qu’il avait utilisé ce que je lui avais confié. C’est comme s’il avait mis un masque et calqué son personnage sur ce que je lui avais décrit du partenaire idéal. Avec cet homme, nous sommes restés ensemble six ans. Six ans de violence psychologique. C’est très insidieux, je compare ça à une perfusion de poison administré au quotidien. Au départ, c’est juste de l’humour glacial. Puis, des réflexions assassines, des SMS jour et nuit et la sensation d’être en permanence jugée et épiée. J’en parlais à mes proches mais je passais pour la râleuse : "T’exagères, il est sympa". Puis, il y a eu les insultes, un travail de sape, d’humiliation, de plus en plus violent au fil des mois et des années. Jusqu’à ces mots : "Je veux que tu crèves". Je venais de perdre mon père et j’allais accoucher de mon deuxième enfant : ça a été le déclic. Un instinct de survie. Deux semaines après, j’ai quitté mon travail, ma maison, Paris, et je suis partie avec mes deux enfants à Toulouse. Il n’y a que la distance qui permet de sortir la tête de l’eau. J’avais porté plainte, mon dossier était tellement gros que je le trimballais dans un sac de voyage, mais il y en avait pour 3 à 7 ans de lutte judiciaire acharnée et j’ai décidé d’abandonner. Je me suis dit que ça allait être l’horreur pour mes enfants et que je préférais les élever dans la musique et la bonne humeur. J’ai repris des études : avoir mon bac à 37 ans, ça m’a aidée à reprendre confiance en moi. Je ne suis pas la débile pour qui il me faisait passer. »
Source :
il y a 2 ans
À ce que je sache PERSONNE n'oblige ni recommande aux femmes de se tourner vers ce genre d'individus manifestement dangereux.
On essaie même de les en dissuader mais elles n'écoutent pas.
La sélection est donc 100% NA-TU-RELLE.
On essaie même de les en dissuader mais elles n'écoutent pas.
La sélection est donc 100% NA-TU-RELLE.
il y a 2 ans
normal qu'il ait un masque si c'était pendant le covid
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il y a 2 ans
Les femmes sont vraiment pas futées...
Elles ne font jamais les bons choix c'est incroybles, ce sont vraiment des enfants
Elles ne font jamais les bons choix c'est incroybles, ce sont vraiment des enfants
il y a 2 ans
Les femmes aiment ce genre de mec
Elles s'en rendent compte qu'il faut l'éviter mais elles se mettent quand même avec.
Elles s'en rendent compte qu'il faut l'éviter mais elles se mettent quand même avec.
il y a 2 ans
Tristin
2 ans
Les femmes aiment ce genre de mec
Elles s'en rendent compte qu'il faut l'éviter mais elles se mettent quand même avec.
Elles s'en rendent compte qu'il faut l'éviter mais elles se mettent quand même avec.
Dis leur que t'étais en hp mais ne dis pas pourquoi, ça te donnera un air mysterieux et dangereux, troublé comme Dicaprio
il y a 2 ans
Attendez mais où c'est que c'est marqué que cette pute se faisait cogner ? Car là tout ce wu'on lit c'est que ce gentleman lui disait d'un peu bouger son gros cul et de cesser de ne rien faire de ses journées
Et en dehors de ses propres mots a-t-on le droit de demander plus de preuves ou ça ira ?
Et en dehors de ses propres mots a-t-on le droit de demander plus de preuves ou ça ira ?
il y a 2 ans
BernardMoquette
2 ans
Les femmes sont vraiment pas futées...
Elles ne font jamais les bons choix c'est incroybles, ce sont vraiment des enfants
Elles ne font jamais les bons choix c'est incroybles, ce sont vraiment des enfants
il y a 2 ans
"Six ans de violence psychologique."
Je me suis arrêté la, el famoso "pervers narcissique"
Pute c'est tout.
Je me suis arrêté la, el famoso "pervers narcissique"
Pute c'est tout.
il y a 2 ans
Chad>chad non blanc>riches normal>riches moches>mec normal>assassins>chiens>celestins
il y a 2 ans
Je me suis trompé dans le titre
J'aurais du mettre "maltraitée" au lieu de "battue" excusez moi
J'aurais du mettre "maltraitée" au lieu de "battue" excusez moi
il y a 2 ans