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«C'était un délire d'une génération de féministes wonder woman»: ces femmes qui regrettent de ne pas être mère
Les années passant, des femmes vivent amèrement leur choix de ne pas avoir eu d'enfant. Écartelées entre une volonté d'indépendance et un désir de maternité tardif, elles posent un regard critique sur leur décision.
Quand elle était petite, Julia* adorait les bébés. Née d'une mère féministe et d'un père qui a pris la poudre d'escampette, la fillette passe des heures à coudre des vêtements pour enfants. «J'ai toujours su que je voulais être mère», confie-t-elle. Mais à 20 ans, elle rêve d'émancipation, et entre dans un mouvement féministe «égalitariste». Cheveux courts peints en bleu, Julia se forme à «déconstruire le couple, et à tout faire comme les hommes. On était assez misogynes.»
Que pensait-on des nourrissons dans le milieu ? «Avoir un enfant était associé à la soumission de la femme à son mari, explique cette graphiste de 31 ans, qui a hésité à se faire ligaturer les trompes. Tout était fait pour désacraliser la maternité.» La jeune fille enfouit son désir d'enfant. Quand elle a vingt-trois ans, Julia tombe enceinte. Elle subit un avortement : «J'ai mis beaucoup de temps à m'en remettre. Personne ne m'avait pas dit que ça allait être si dur. Surtout qu'au fond de moi, je pense que je…
il y a 2 ans
dans 10 ans:
"c etait un delire de woke": ces trans qui regrettent leur changement de sexe
"c etait un delire de woke": ces trans qui regrettent leur changement de sexe
il y a 2 ans
Allé les khey hop hop hop on régale un coup
"souvent femme varie, bien fol est qui s'y fie"
il y a 2 ans
issou2000
2 ans
«C'était un délire d'une génération de féministes wonder woman»: ces femmes qui regrettent de ne pas être mère
Les années passant, des femmes vivent amèrement leur choix de ne pas avoir eu d'enfant. Écartelées entre une volonté d'indépendance et un désir de maternité tardif, elles posent un regard critique sur leur décision.
Quand elle était petite, Julia* adorait les bébés. Née d'une mère féministe et d'un père qui a pris la poudre d'escampette, la fillette passe des heures à coudre des vêtements pour enfants. «J'ai toujours su que je voulais être mère», confie-t-elle. Mais à 20 ans, elle rêve d'émancipation, et entre dans un mouvement féministe «égalitariste». Cheveux courts peints en bleu, Julia se forme à «déconstruire le couple, et à tout faire comme les hommes. On était assez misogynes.»
Que pensait-on des nourrissons dans le milieu ? «Avoir un enfant était associé à la soumission de la femme à son mari, explique cette graphiste de 31 ans, qui a hésité à se faire ligaturer les trompes. Tout était fait pour désacraliser la maternité.» La jeune fille enfouit son désir d'enfant. Quand elle a vingt-trois ans, Julia tombe enceinte. Elle subit un avortement : «J'ai mis beaucoup de temps à m'en remettre. Personne ne m'avait pas dit que ça allait être si dur. Surtout qu'au fond de moi, je pense que je…
Méritax
il y a 2 ans