Tu es certain qu’on parle qu’au passé quand on parle d’état dépressif ?
La dépression agit comme un frein de secours, c’est un mécanisme de protection qui en ralentissant l'individu, l'amène à être plus prudent et réfléchi sur les situations
Il y a des gènes de la dépression et ceux qui y prédisposent pourraient également conférer des avantages dans des circonstances périlleuses
Tu peux lire l’étude si ça t’intéresse mais l’autre exemple très marquant, c’est également la capacité que ça peut avoir à faire prendre conscience à l’individu que la partie ne peut pas être gagnée
La dépression agit comme un frein de secours, c’est un mécanisme de protection qui en ralentissant l'individu, l'amène à être plus prudent et réfléchi sur les situations
Il y a des gènes de la dépression et ceux qui y prédisposent pourraient également conférer des avantages dans des circonstances périlleuses
Tu peux lire l’étude si ça t’intéresse mais l’autre exemple très marquant, c’est également la capacité que ça peut avoir à faire prendre conscience à l’individu que la partie ne peut pas être gagnée
Effectivement tu ne peux pas être sensible à mes propos dans ces conditions
Très intéressant l'op j'ai aimé la relation entre la dépression et l'évolution même si je trouve que le contre argument de @laVerite est plus censé sauf si l'homme d'avant ne réagissait pas de la même façon à la dépression vu la dangerosité de l'environnement (en gros t'as pas le droit d'être une larve)
La cause d’un état dépressif n’est pas forcément dans le passé
Des déséquilibres chimiques dans le cerveau, des prédispositions génétiques ou des conditions médicales peuvent contribuer à la dépression. Ces facteurs peuvent être indépendants des expériences passées et peuvent déclencher un épisode dépressif même en l'absence de facteurs déclenchants externes
La plupart des gens traversent des états dépressifs un jour dans l’existence, il y a des épisodes et des états plus durables avec une incidence génétique variable
Des déséquilibres chimiques dans le cerveau, des prédispositions génétiques ou des conditions médicales peuvent contribuer à la dépression. Ces facteurs peuvent être indépendants des expériences passées et peuvent déclencher un épisode dépressif même en l'absence de facteurs déclenchants externes
La plupart des gens traversent des états dépressifs un jour dans l’existence, il y a des épisodes et des états plus durables avec une incidence génétique variable
Très intéressant l'op j'ai aimé la relation entre la dépression et l'évolution même si je trouve que le contre argument de @laVerite est plus censé sauf si l'homme d'avant ne réagissait pas de la même façon à la dépression vu la dangerosité de l'environnement (en gros t'as pas le droit d'être une larve)
Il y a des gens dépressifs au point de suicider qui sont parfaitement actifs
Et des périodes d’inactivités qui peuvent jouer un rôle pour une des raisons que j’ai développée ou que tu peux retrouver dans une étude
La psychologie serait un peu trop simple si on pouvait résumer les choses avec un seul modèle
Il y a plusieurs états, plus ou moins durables et profitables ou non
Et des périodes d’inactivités qui peuvent jouer un rôle pour une des raisons que j’ai développée ou que tu peux retrouver dans une étude
La psychologie serait un peu trop simple si on pouvait résumer les choses avec un seul modèle
Il y a plusieurs états, plus ou moins durables et profitables ou non
Bonne nuit les kheys et n’oubliez pas que le soma n’existe pas
La cause d’un état dépressif n’est pas forcément dans le passé
Des déséquilibres chimiques dans le cerveau, des prédispositions génétiques ou des conditions médicales peuvent contribuer à la dépression. Ces facteurs peuvent être indépendants des expériences passées et peuvent déclencher un épisode dépressif même en l'absence de facteurs déclenchants externes
La plupart des gens traversent des états dépressifs un jour dans l’existence, il y a des épisodes et des états plus durables avec une incidence génétique variable
Des déséquilibres chimiques dans le cerveau, des prédispositions génétiques ou des conditions médicales peuvent contribuer à la dépression. Ces facteurs peuvent être indépendants des expériences passées et peuvent déclencher un épisode dépressif même en l'absence de facteurs déclenchants externes
La plupart des gens traversent des états dépressifs un jour dans l’existence, il y a des épisodes et des états plus durables avec une incidence génétique variable
Ça montre juste que l'Homme n'est pas fait pour être heureux dans les choses temporelles.
L'Homme vit pour être heureux. Son but sera, certes, rarement atteint sur cette Terre mais c'est sa boussole.
Le bonheur est le but ultime recherché pour lui-même, sans subordination à un autre but.
L'Homme vit pour être heureux. Son but sera, certes, rarement atteint sur cette Terre mais c'est sa boussole.
Le bonheur est le but ultime recherché pour lui-même, sans subordination à un autre but.
Bac +5, RSA mais je compte évoluer, bientôt l'AAH
Je n’y vois aucune contradiction
Je pense que l'op n'a pas entièrement tord.
Cependant, la plasticité de l'esprit humain lui permet de se positionner de manière très varié.
Avec la philosophie, l'esprit humain a réussi des prouesses, allant jusqu'à modifier sa perception du réel, ou inhiber ses émotions.
La philosophie peut aussi s'approcher au plus près de ce que nous appelons "bonheur". Elle peut nous apprendre la satiété, le contentement, et l'acceptation.
Cependant, la plasticité de l'esprit humain lui permet de se positionner de manière très varié.
Avec la philosophie, l'esprit humain a réussi des prouesses, allant jusqu'à modifier sa perception du réel, ou inhiber ses émotions.
La philosophie peut aussi s'approcher au plus près de ce que nous appelons "bonheur". Elle peut nous apprendre la satiété, le contentement, et l'acceptation.
c'est la réponse typique qu'un golem donnerait
c'est la réponse typique qu'un golem donnerait
Rappel: nous sommes conçus pour survivre et nous reproduire, comme toute autre créature dans la nature
L’industrie du bonheur voudrait nous faire croire que c’est un objectif réaliste mais le bonheur durable n’existe pas
Abd-al-Rahman III, calife au Xe siècle avec deux Harems a compté le nombre de jour où il s’était senti vraiment heureux: résultat = 14
https://www.cambridge.org[...]9758A8C54BB2E993EA1FF4194
Le bonheur durable n’a pas de fondement biologique, ça n’existe pas dans l’expérience humaine
L’industrie du bonheur voudrait nous faire croire que c’est un objectif réaliste mais le bonheur durable n’existe pas
Abd-al-Rahman III, calife au Xe siècle avec deux Harems a compté le nombre de jour où il s’était senti vraiment heureux: résultat = 14
Le bonheur durable n’a pas de fondement biologique, ça n’existe pas dans l’expérience humaine
JE SUIS ANTI SYSTEME DONC PAS D'ENFANTS POUR MOI
16/03/2023-14/07/2024 On espère UwU
En fait je pense que notre plus grosse erreur après la recherche de l'assouvissement de nos désirs de manière quasi absolue (mais c'est un autre débat), c'est la recherche du bonheur permanent, et à n'importe quelle prix.
Comme si le bonheur permanent existait, comme si il était possible, et pire, comme si il était souhaitable. Alors que rappelons le, 1) le bonheur nous plonge dans un état de béatitude agréable certes, mais nous rendant moins alerte et moins présent, et qui peut finir par nous nuire à long terme. 2) la plasticité cérébrale comprends une notion d'habituation si bien qu'il nous en faut toujours plus pour rester dans un état de bonheur identique.
Et de part cette habituation, nos émotions, nos états, et donc ente autres le bonheur, ne sont pas des états stable, mais des dynamiques.
Comme si le bonheur permanent existait, comme si il était possible, et pire, comme si il était souhaitable. Alors que rappelons le, 1) le bonheur nous plonge dans un état de béatitude agréable certes, mais nous rendant moins alerte et moins présent, et qui peut finir par nous nuire à long terme. 2) la plasticité cérébrale comprends une notion d'habituation si bien qu'il nous en faut toujours plus pour rester dans un état de bonheur identique.
Et de part cette habituation, nos émotions, nos états, et donc ente autres le bonheur, ne sont pas des états stable, mais des dynamiques.