Ce sujet a été résolu
la fameuse affaire Maura Murray est bien chelou (une disparition qui paraît assez basique, mais qui a en fait plein d'éléments bizarre)
il y a 2 ans
DUKEDUKE
2 ans
Mais xavier est l'une des histoires les plus mystérieuse.
La méthodologie avec laquelle il a appliqué son plan ne m'a pas tant étonné, c'est un véritable narcissique tordu.
C'est vraiment le fait de sauver les apparences jusqu'au bout.
Cette mise en scène macabre.
Il a été chercher son fils, l'a emmené au restaurant, il l'a reconduit à son appartement.
Il est reparti au domicile familial. Une fois sur place il appelé son fils pour lui dire que sa mère a fait une chute de vélo.
Le gamin est revenu comme si de rien était dans la maison familiale là où sa mère, sa soeur, ses frères et le chien étaient enterrés.
C'est vraiment le fait de sauver les apparences jusqu'au bout.
Cette mise en scène macabre.
Il a été chercher son fils, l'a emmené au restaurant, il l'a reconduit à son appartement.
Il est reparti au domicile familial. Une fois sur place il appelé son fils pour lui dire que sa mère a fait une chute de vélo.
Le gamin est revenu comme si de rien était dans la maison familiale là où sa mère, sa soeur, ses frères et le chien étaient enterrés.
il y a 2 ans
Espiruto
2 ans
Où est Delphine Jubillar bordel OU ?
C'est ça la question.
Le mec rigole car il sait, IL SAIT, mais pas la police.
Ils ont tout fait, tout fouillé, tout cherché, mais ils n'ont pas trouvé.
Il n'a pas pu aller bien loin..... MAIS OU ! ! !
Le mec rigole car il sait, IL SAIT, mais pas la police.
Ils ont tout fait, tout fouillé, tout cherché, mais ils n'ont pas trouvé.
Il n'a pas pu aller bien loin..... MAIS OU ! ! !
il y a 2 ans
C'est ça la question.
Le mec rigole car il sait, IL SAIT, mais pas la police.
Ils ont tout fait, tout fouillé, tout cherché, mais ils n'ont pas trouvé.
Il n'a pas pu aller bien loin..... MAIS OU ! ! !
Le mec rigole car il sait, IL SAIT, mais pas la police.
Ils ont tout fait, tout fouillé, tout cherché, mais ils n'ont pas trouvé.
Il n'a pas pu aller bien loin..... MAIS OU ! ! !
Les erreurs judiciaire y en a un paquet.
Un fumeur de joints qui fait le crime parfait j'y crois pas trop.
Un fumeur de joints qui fait le crime parfait j'y crois pas trop.
il y a 2 ans
il y a 2 ans
Col Dyatlov.
Soi disant ça a été enfin expliquer. Alors que l'explication officielle n'explique pas énormément de choses
Soi disant ça a été enfin expliquer. Alors que l'explication officielle n'explique pas énormément de choses
il y a 2 ans
Thorin
2 ans
Col Dyatlov.
Soi disant ça a été enfin expliquer. Alors que l'explication officielle n'explique pas énormément de choses
Soi disant ça a été enfin expliquer. Alors que l'explication officielle n'explique pas énormément de choses
C'est pas la première fois que j'en entends parler. Je me suis jamais renseigné.
il y a 2 ans
Les erreurs judiciaire y en a un paquet.
Un fumeur de joints qui fait le crime parfait j'y crois pas trop.
Un fumeur de joints qui fait le crime parfait j'y crois pas trop.
La propre mère de Cédric Jubillar pense que c'est également lui. C'est atroce, quand on sait qu'une mère ferait tout pour défendre son enfant.
Mais ce qui est clair, c'est que c'est un fumeur de joint complètement ahuri.
Mais ce qui est clair, c'est que c'est un fumeur de joint complètement ahuri.
il y a 2 ans
C'est pas la première fois que j'en entends parler. Je me suis jamais renseigné.
L'Affaire du col Dyatlov est un événement qui se solda par la mort de neuf skieurs/randonneurs dans le nord de l'Oural (en Union soviétique, aujourd'hui en Russie), dans la nuit du 1er au 2 février 1959.
Le but de l'expédition était d'atteindre Otorten, une montagne située à dix kilomètres au nord du lieu du drame. Cette route, à cette période de l'année, était estimée être « catégorie III », la plus difficile. Tous les membres du groupe étaient expérimentés en matière de longues expéditions de ski de fond et de ski alpin
À première vue, ce qu'on a fini par appeler "l'affaire du col Dyatlov" n'a rien de surprenant : c'est l'histoire a priori banale d'un groupe de dix skieurs, dont neuf ont perdu la vie au cours d'un trek particulièrement difficile par -30°C. Mais les détails de l'affaire, qui proviennent essentiellement de journaux tenus par les protagonistes et de documents produits par des enquêteurs soviétiques, font froid dans le dos : dans la nuit du 2 février 1959, des membres du groupe ont apparemment déchiré leur tente de l'intérieur, avant de se précipiter dans la toundra vêtus de leurs seuls sous-vêtements.
Cinq corps furent retrouvés trois semaines plus tard, plusieurs centaines de mètres en-dessous de là où se trouvait leur camp. Il fallut deux mois supplémentaires aux enquêteurs pour trouver les quatre autres corps qui, inexplicablement, étaient partiellement couverts de vêtements appartenant à ceux dont les cadavres avaient été retrouvés préalablement. Des tests révélèrent que ces vêtements émettaient de fortes radiations. Malgré cela, ainsi que des traumatismes impressionnants observés sur les cadavres (y compris de violentes fractures du crâne et des côtes broyées), les enquêteurs russes déclarèrent qu'ils n'avaient pu trouver aucune trace d'agression, et l'affaire fut rapidement bouclée.
Le groupe était constitué d'étudiants de l'Université de l'Oural, qui avaient tous l'habitude de ce type d'expéditions. Celle-ci, organisée par Igor Dyatlov, 23 ans, avait pour but d'explorer Otorten, une montagne située dans la partie nord de l'Oural, et débuta le 28 janvier 1959. Youri Youdine, l'unique survivant de l'expédition, tomba malade avant que l'équipage ne s'aventure vraiment dans la campagne profonde, et resta se faire soigner dans un village local. Les neuf autres continuèrent leur trek, et selon des photos retrouvées et développées par les enquêteurs, le groupe emmené par Dyatlov établit son campement dans la soirée du 2 février sur la pente d'une montagne proche d'Otorten.
Une tribu indigène locale a donné à la montagne le nom de "Kholat Syakhl", qui se traduit vraisemblablement par "la montagne des morts", même si dans une histoire pareille, ce nom parfaitement flippant paraît un peu gros. Toujours est-il que la décision prise par le groupe de dormir sur la pente de la montagne n'a pas beaucoup de sens. Ils n'étaient qu'à un kilomètre à peine d'une petite forêt, dans laquelle ils auraient certainement trouvé un peu d'abri dans ces conditions extrêmes. Ils n'étaient pas pressés par le temps, et installer son campement sur le flanc d'une montagne plutôt que dans la forêt est pour le moins surprenant.
La tente telle qu'elle a été trouvée le 26 février 1959.
Ce fut leur tout dernier campement. Avant le départ, Dyatlov avait annoncé que l'équipe espérait être de retour le 12 février, mais qu'il était possible que leur expédition dure plus longtemps. L'alerte ne fut vraiment donnée que le 20 février, et le camp fut retrouvé le 26 par des équipes de recherche volontaires.
À leur arrivée, les enquêteurs officiels remarquèrent que les tentes semblaient avoir été déchiquetées de l'intérieur, et trouvèrent des traces de pas de huit ou neuf personnes partant des tentes et se dirigeant vers le bas de la pente, où se trouvaient les arbres. Selon les enquêteurs, les chaussures et le matériel des aventuriers avaient été abandonnés au camp, et les empreintes indiquaient que les individus concernés étaient partis pieds nus ou en chaussettes. Autrement dit, ils étaient partis en déchirant leurs tentes et s'étaient échappés en urgence dans 1m de neige, alors qu'il n'y avait absolument aucune trace de la présence d'autres individus ou de lutte entre membres du groupe.
Les deux premiers corps furent découverts à l'orée du bois, sous un pin géant. Souvenez-vous : les arbres étaient à plus d'un kilomètre du camp. Les enquêteurs rapportèrent que les empreintes de pas s'arrêtaient au tiers du chemin, même si on peut imaginer que les conditions climatiques les aient effacées avant qu'ils n'arrivent. Les deux cadavres trouvés là étaient en sous-vêtements, et pieds nus. Selon certains rapports, des branches avaient été brisées en haut de l'arbre le plus proche, ce qui indiquait que quelqu'un avait tenté d'y grimper. On distinguait les restes d'un feu juste à côté.
Trois autres corps, y compris celui de Dyatlov, furent découverts à différents endroits entre le campement et les bois, et semblaient être morts en tentant de regagner le camp. L'un d'entre eux, Rustem Slobodine, avait le crâne fracturé, même si les médecins estimèrent que cette blessure n'était pas fatale. L'enquête criminelle fut close après que les médecins déclarèrent que les cinq individus étaient morts d'hypothermie.
Deux mois s'écoulèrent avant que l'on découvre les quatre corps restants, ensevelis sous 4 mètres de neige dans un ravin quelques centaines de mètres en-dessous de l'arbre géant. Il avait été très difficile d'expliquer le comportement des cinq premiers, mais ce fut la découverte de ce quatuor qui s'avéra la plus horrifique.
Tous avaient connu des morts très violentes, malgré, précisément, l'absence totale de traces de violence. Trois présentent des blessures mortelles : L'un présente de graves blessures sur le côté et l'arrière de son crâne, 2 autres ont des côtes brisées et ont tout deux subis une hémorragie interne, de plus leurs globes oculaires étaient manquants. Le quatrième membre, avait le nez cassé et le cou déformé mais est mort d'hypothermie comme les cinq premiers randonneurs.
Selon le Dr Boris Vozrojdenny, une très grande force est nécessaire pour infliger de tels dégâts, et la compare à celle d'un accident de voiture. Les corps ne présentent pas de blessures externes correspondant aux fractures relevées, comme s'ils avaient été soumis à une très haute pression. Le corps de Doubinina est celui présentant le plus de traumatismes externes : la langue était manquante, de même que ses yeux, une partie de ses lèvres, du tissu facial et un fragment de son crâne. Cela peut s'expliquer par le fait que son corps aurait été trouvé face contre terre dans un petit courant d'eau passant sous la neige ; ces blessures seraient alors dues à la putréfaction en milieu humide
Il est possible que le groupe ait cherché de l'aide – en dépit du fait qu'ils se trouvaient au milieu de nulle part, sans équipement, par des températures glaciales – et qu'ils soient tombés dans un ravin. Certains, à l'époque, émirent l'hypothèse qu'ils avaient été attaqués par des membres de la tribu Mansi. Mais les médecins légistes affirmèrent que les traumatismes, au vu de leur force, n'avaient pu être causés par des humains, surtout que les corps ne présentaient aucune trace visible de coups.
L'enquete eu lieu pendant la période de L'URSS, dirigé par le policier Lev Ivanov.
Ils arrivent à la conclusion que les membres du groupe sont tous morts d' « une force irrésistible inconnue ». L'enquête est officiellement close en mai 1959.
Mais certains disent que des détails de l'enquete on été volontairement omis par les enqueteurs :
après les funérailles, les parents des morts affirment que la peau des victimes était d'une étrange couleur brune
l'un des anciens enquêteurs dit que son dosimètre avait montré des niveaux de radiation élevés sur le Kholat Syakhl, et que cela explique la radiation trouvée sur les corps ; toutefois, la source de la contamination n'a pas été découverte
un autre groupe de randonneurs se trouvant à environ 50 kilomètres au sud de la montagne affirme avoir vu d'étranges sphères orange dans le ciel au nord — vraisemblablement en direction du Kholat Syakhl — la nuit du drame1
des « sphères » similaires sont continuellement observées à Ivdel et dans ses environs de février à mars 1959, par plusieurs témoins indépendants, y compris le service météorologique et les forces armées
D'aucuns se demandent pourquoi la couverture du dossier d'enquête comporte la date du 6 février 1959, alors que les recherches du groupe n'ont été lancées que dans la deuxième moitié du mois. Selon l'explication du Ministère public de l'oblast de Sverdlovsk, cette datation est celle de la plus ancienne pièce du dossier qui provient vraisemblablement de toute autre affaire et qui n'est pas liée directement à l'affaire Dyatlov
30 après, les secrets refont surfaces. Beaucoup de ceux qui sont restés silencieux pendant trente ans commencent alors à parler de nouveaux détails de l'affaire. Parmi , Lev Ivanov, qui mena l'enquête officielle en 1959. En 1990 il affirme que l'équipe d'enquêteurs n'avait aucune explication rationnelle pour l'accident. Il ajoute qu'il reçut des ordres directs de la haute administration pour arrêter l'enquête et maintenir les éléments secrets, et ce, après qu'il a dit que l'équipe avait vu des « sphères volantes ». Ivanov croit personnellement en une explication paranormale.
L' ancien chef adjoint du département des enquêtes du Ministère public de l'oblast de Sverdlovsk, affirme que le procureur adjoint de la RSFSR a ordonné de classer l'affaire après que les enquêteurs aient cherché à savoir s'il y avait eu des essais militaires dans la région.
Le but de l'expédition était d'atteindre Otorten, une montagne située à dix kilomètres au nord du lieu du drame. Cette route, à cette période de l'année, était estimée être « catégorie III », la plus difficile. Tous les membres du groupe étaient expérimentés en matière de longues expéditions de ski de fond et de ski alpin
À première vue, ce qu'on a fini par appeler "l'affaire du col Dyatlov" n'a rien de surprenant : c'est l'histoire a priori banale d'un groupe de dix skieurs, dont neuf ont perdu la vie au cours d'un trek particulièrement difficile par -30°C. Mais les détails de l'affaire, qui proviennent essentiellement de journaux tenus par les protagonistes et de documents produits par des enquêteurs soviétiques, font froid dans le dos : dans la nuit du 2 février 1959, des membres du groupe ont apparemment déchiré leur tente de l'intérieur, avant de se précipiter dans la toundra vêtus de leurs seuls sous-vêtements.
Cinq corps furent retrouvés trois semaines plus tard, plusieurs centaines de mètres en-dessous de là où se trouvait leur camp. Il fallut deux mois supplémentaires aux enquêteurs pour trouver les quatre autres corps qui, inexplicablement, étaient partiellement couverts de vêtements appartenant à ceux dont les cadavres avaient été retrouvés préalablement. Des tests révélèrent que ces vêtements émettaient de fortes radiations. Malgré cela, ainsi que des traumatismes impressionnants observés sur les cadavres (y compris de violentes fractures du crâne et des côtes broyées), les enquêteurs russes déclarèrent qu'ils n'avaient pu trouver aucune trace d'agression, et l'affaire fut rapidement bouclée.
Le groupe était constitué d'étudiants de l'Université de l'Oural, qui avaient tous l'habitude de ce type d'expéditions. Celle-ci, organisée par Igor Dyatlov, 23 ans, avait pour but d'explorer Otorten, une montagne située dans la partie nord de l'Oural, et débuta le 28 janvier 1959. Youri Youdine, l'unique survivant de l'expédition, tomba malade avant que l'équipage ne s'aventure vraiment dans la campagne profonde, et resta se faire soigner dans un village local. Les neuf autres continuèrent leur trek, et selon des photos retrouvées et développées par les enquêteurs, le groupe emmené par Dyatlov établit son campement dans la soirée du 2 février sur la pente d'une montagne proche d'Otorten.
Une tribu indigène locale a donné à la montagne le nom de "Kholat Syakhl", qui se traduit vraisemblablement par "la montagne des morts", même si dans une histoire pareille, ce nom parfaitement flippant paraît un peu gros. Toujours est-il que la décision prise par le groupe de dormir sur la pente de la montagne n'a pas beaucoup de sens. Ils n'étaient qu'à un kilomètre à peine d'une petite forêt, dans laquelle ils auraient certainement trouvé un peu d'abri dans ces conditions extrêmes. Ils n'étaient pas pressés par le temps, et installer son campement sur le flanc d'une montagne plutôt que dans la forêt est pour le moins surprenant.

La tente telle qu'elle a été trouvée le 26 février 1959.
Ce fut leur tout dernier campement. Avant le départ, Dyatlov avait annoncé que l'équipe espérait être de retour le 12 février, mais qu'il était possible que leur expédition dure plus longtemps. L'alerte ne fut vraiment donnée que le 20 février, et le camp fut retrouvé le 26 par des équipes de recherche volontaires.
À leur arrivée, les enquêteurs officiels remarquèrent que les tentes semblaient avoir été déchiquetées de l'intérieur, et trouvèrent des traces de pas de huit ou neuf personnes partant des tentes et se dirigeant vers le bas de la pente, où se trouvaient les arbres. Selon les enquêteurs, les chaussures et le matériel des aventuriers avaient été abandonnés au camp, et les empreintes indiquaient que les individus concernés étaient partis pieds nus ou en chaussettes. Autrement dit, ils étaient partis en déchirant leurs tentes et s'étaient échappés en urgence dans 1m de neige, alors qu'il n'y avait absolument aucune trace de la présence d'autres individus ou de lutte entre membres du groupe.
Les deux premiers corps furent découverts à l'orée du bois, sous un pin géant. Souvenez-vous : les arbres étaient à plus d'un kilomètre du camp. Les enquêteurs rapportèrent que les empreintes de pas s'arrêtaient au tiers du chemin, même si on peut imaginer que les conditions climatiques les aient effacées avant qu'ils n'arrivent. Les deux cadavres trouvés là étaient en sous-vêtements, et pieds nus. Selon certains rapports, des branches avaient été brisées en haut de l'arbre le plus proche, ce qui indiquait que quelqu'un avait tenté d'y grimper. On distinguait les restes d'un feu juste à côté.
Trois autres corps, y compris celui de Dyatlov, furent découverts à différents endroits entre le campement et les bois, et semblaient être morts en tentant de regagner le camp. L'un d'entre eux, Rustem Slobodine, avait le crâne fracturé, même si les médecins estimèrent que cette blessure n'était pas fatale. L'enquête criminelle fut close après que les médecins déclarèrent que les cinq individus étaient morts d'hypothermie.
Deux mois s'écoulèrent avant que l'on découvre les quatre corps restants, ensevelis sous 4 mètres de neige dans un ravin quelques centaines de mètres en-dessous de l'arbre géant. Il avait été très difficile d'expliquer le comportement des cinq premiers, mais ce fut la découverte de ce quatuor qui s'avéra la plus horrifique.
Tous avaient connu des morts très violentes, malgré, précisément, l'absence totale de traces de violence. Trois présentent des blessures mortelles : L'un présente de graves blessures sur le côté et l'arrière de son crâne, 2 autres ont des côtes brisées et ont tout deux subis une hémorragie interne, de plus leurs globes oculaires étaient manquants. Le quatrième membre, avait le nez cassé et le cou déformé mais est mort d'hypothermie comme les cinq premiers randonneurs.
Selon le Dr Boris Vozrojdenny, une très grande force est nécessaire pour infliger de tels dégâts, et la compare à celle d'un accident de voiture. Les corps ne présentent pas de blessures externes correspondant aux fractures relevées, comme s'ils avaient été soumis à une très haute pression. Le corps de Doubinina est celui présentant le plus de traumatismes externes : la langue était manquante, de même que ses yeux, une partie de ses lèvres, du tissu facial et un fragment de son crâne. Cela peut s'expliquer par le fait que son corps aurait été trouvé face contre terre dans un petit courant d'eau passant sous la neige ; ces blessures seraient alors dues à la putréfaction en milieu humide
Il est possible que le groupe ait cherché de l'aide – en dépit du fait qu'ils se trouvaient au milieu de nulle part, sans équipement, par des températures glaciales – et qu'ils soient tombés dans un ravin. Certains, à l'époque, émirent l'hypothèse qu'ils avaient été attaqués par des membres de la tribu Mansi. Mais les médecins légistes affirmèrent que les traumatismes, au vu de leur force, n'avaient pu être causés par des humains, surtout que les corps ne présentaient aucune trace visible de coups.
L'enquete eu lieu pendant la période de L'URSS, dirigé par le policier Lev Ivanov.
Ils arrivent à la conclusion que les membres du groupe sont tous morts d' « une force irrésistible inconnue ». L'enquête est officiellement close en mai 1959.
Mais certains disent que des détails de l'enquete on été volontairement omis par les enqueteurs :
après les funérailles, les parents des morts affirment que la peau des victimes était d'une étrange couleur brune
l'un des anciens enquêteurs dit que son dosimètre avait montré des niveaux de radiation élevés sur le Kholat Syakhl, et que cela explique la radiation trouvée sur les corps ; toutefois, la source de la contamination n'a pas été découverte
un autre groupe de randonneurs se trouvant à environ 50 kilomètres au sud de la montagne affirme avoir vu d'étranges sphères orange dans le ciel au nord — vraisemblablement en direction du Kholat Syakhl — la nuit du drame1
des « sphères » similaires sont continuellement observées à Ivdel et dans ses environs de février à mars 1959, par plusieurs témoins indépendants, y compris le service météorologique et les forces armées
D'aucuns se demandent pourquoi la couverture du dossier d'enquête comporte la date du 6 février 1959, alors que les recherches du groupe n'ont été lancées que dans la deuxième moitié du mois. Selon l'explication du Ministère public de l'oblast de Sverdlovsk, cette datation est celle de la plus ancienne pièce du dossier qui provient vraisemblablement de toute autre affaire et qui n'est pas liée directement à l'affaire Dyatlov
30 après, les secrets refont surfaces. Beaucoup de ceux qui sont restés silencieux pendant trente ans commencent alors à parler de nouveaux détails de l'affaire. Parmi , Lev Ivanov, qui mena l'enquête officielle en 1959. En 1990 il affirme que l'équipe d'enquêteurs n'avait aucune explication rationnelle pour l'accident. Il ajoute qu'il reçut des ordres directs de la haute administration pour arrêter l'enquête et maintenir les éléments secrets, et ce, après qu'il a dit que l'équipe avait vu des « sphères volantes ». Ivanov croit personnellement en une explication paranormale.
L' ancien chef adjoint du département des enquêtes du Ministère public de l'oblast de Sverdlovsk, affirme que le procureur adjoint de la RSFSR a ordonné de classer l'affaire après que les enquêteurs aient cherché à savoir s'il y avait eu des essais militaires dans la région.
il y a 2 ans
C'est pas la première fois que j'en entends parler. Je me suis jamais renseigné.
Super vidéo, la partie 2 doit toujours être disponible
il y a 2 ans
Les gens pensent que je suis fou, matrixé, totalement golemisé de penser ça.
Mais si on prélevait les empruntes et l'ADN de tous les citoyens d'un pays, combien d'affaires de crimes, de disparitions, de viols d'enfants auraient pu être résolues ?
Il faut toujours attendre des années, par chance, par coïncidence pour que quelqu'un soit confondu par son adn.
J'ai en tête l'exemple d'une greffière qui avait été hantée par une affaire datant de 95 et qui ne voulait pas classer l'affaire. Elle a relancé une dernière fois l'affaire en faisant un match ADN et ça a fonctionné. Le violeur qui avait tué la gosse était un père de famille boomer qui menait une vie tranquille et qui avait simplement été arrêté pour une affaire de bagarre ou d'accident je ne sais plus.
Sans ça, rien n'aurait été résolu.
Mais si on prélevait les empruntes et l'ADN de tous les citoyens d'un pays, combien d'affaires de crimes, de disparitions, de viols d'enfants auraient pu être résolues ?
Il faut toujours attendre des années, par chance, par coïncidence pour que quelqu'un soit confondu par son adn.
J'ai en tête l'exemple d'une greffière qui avait été hantée par une affaire datant de 95 et qui ne voulait pas classer l'affaire. Elle a relancé une dernière fois l'affaire en faisant un match ADN et ça a fonctionné. Le violeur qui avait tué la gosse était un père de famille boomer qui menait une vie tranquille et qui avait simplement été arrêté pour une affaire de bagarre ou d'accident je ne sais plus.
Sans ça, rien n'aurait été résolu.
il y a 2 ans
La propre mère de Cédric Jubillar pense que c'est également lui. C'est atroce, quand on sait qu'une mère ferait tout pour défendre son enfant.
Mais ce qui est clair, c'est que c'est un fumeur de joint complètement ahuri.
Mais ce qui est clair, c'est que c'est un fumeur de joint complètement ahuri.
Oui oui une mère ferait tout pour défendre ses enfants

il y a 2 ans
Oui oui une mère ferait tout pour défendre ses enfants

Ce qui me choque le plus dans toute cette affaire c'est l'état de sa barraque alors que le mec est censé être chef de chantier.

il y a 2 ans
Incroyable cette affaire; il y a tellement de suspects potentiel y compris le survivant.
il y a 2 ans