des kheys poètes?

Hello, Ougi
Nice to meet U
Nice to meet me
Je suis toi
Tu es moi
Tu c'est
Choses
Qui viennent de nous
Tu sais
Je sais
Ça peut être n'importe qui
N'importe quelle vie
N'importe quelle vis
N'importe quel outil
Je prends le pari
Prenons ce pari
Vu que je choisis
Mon chemin pour la vie
Vous voulez être qui ?
Vo Mo
Sont nos maux
Tous ces jolis mots
Ils n'en demordent pas un mot
Ils ne sont plus sous ces eaux
Plus rien n'est faux
Plus rien n'est trop haut
Tu peux changer
De voie lactée
C'est si aisé
Une fois qu'on l'a accepté
Tout ces gens que j'ai vu
N'ont que très peu de différences avec ce que j'ai vécu
Ça nous a plu
Faites tel vos volontés
Si vous le voulez volontier
Chaque personne était un pilier
D'un souffle pouvait changer des voies toutes liés
D'un zanpakuto
À Naruto
Choisissez vos maux
Entremêlés ces mots
Il n'y a que peu de différences entre leurs mots et nos jolis
Mots

Mes boules sur ton menton.
Je te pèle le trouffion.
Nous regardons poindre l'aube
Au printemps, tu goberas mon zob.

J’avais écrit un sonnet (sans alexandrins par compte) qui s’inspire d’un de mes voyages dans le sud

Dans un parc non loin de Valence,
Où le vert s’associe avec l’orange,
Les corolles virevoltent avec élégance,
Et tous les profils se mélangent.

Minot, séniors et jeunes travailleurs s’y rendent,
Le bambin sous la surveillance de ses parents,
La maman au séduisant parfum de lavande,
L’ancien observant les piverts et les cormorans.

Quant au ruisseau ondoyant,
Qui longe l’aire de jeu et ses toboggans,
Comment pourrait-il être ennuyant ?

Il n’y a rien à dire,
C’est un coin qui rassemble et que j’admire,
Tant il est la racine même du plaisir.

Il y a aussi celui-là




Entre douce mélodie et chute du Niagara
N’y a t-il pas qu’un seul plongeon dans le vide ?
Au rythme de la musique ma vie feint à être rigide
Avancez, avancez, qu’ils disaient ! C’est bien las

Je rentre plein d’espoir dans le typhon mental
C’est un méli-mélo de pensées qui font rage
Scaphandre sur la tête en piteuse état, je nage
Surgit un accident de décompression royal !

Quand on regarde scrupuleusement au grès du vent
Venir les navires fantômes du captain Gangplank
On s’aperçoit que les gens effleurent la calanque

Mais quand vont-ils dédaigner le mal de la mer ?
Cestuy-là qui a détruit mon âme, ma fortune !
Pourtant le Soleil est bien plus gros que la Lune…

Sur la branche fleurie,
Une ejac faciale,
Soudain plus rien.

Haïku japonais

Ouais, un champion dont j’aime beaucoup le Lore

vous êtes tous de supers poètes en vrai

c’est génial!!! je pense que tu pourrais carrément reprendre

J’en ai fais une mais elle est trop ratée

"Apollon, venu du nord, sur ton cygne blanc
Tu n'existes plus, dans le cœur des pauvres gens
Ils recherchent l'ivresse et les plaisirs du corps
Se noient dans les rires et les jeux de mon fort"

"Ah Dionysos, Dieu des vignes et du vin
Ces âmes subissent, le nier serait vain
Malgré cela, entre bouteilles et amphores
Ils se perdront tous, en n'en exigent encore"

allez tente!! je suis sûr que c’est bien

rahhh j’adore la mythologie grecque c’est vraiment super

Ils grimpent, sur l'axe du monde
Puis ils collectent le vert gui
Enfin ! Sur cette terre blonde
Les fauchés embrassent la vie

Ô mon bel amour, disparue
Depuis des printemps et des cycles
Que nos âmes ne s'étaient jointes
Je te sens; là ! Dans mes bras nus

Dis moi ce qu'il y a là-bas
Dans ce tout, nommé l'au delà
Et quand reviendras tu ici ?
Me voir, moi ! Ma morte chérie

Les torches, maintenant éteintes
Les savants, maintenant sont tus
L'automne, est aujourd'hui fini
Ainsi que nos douces étreintes

Alors, j'ouvre mes deux yeux gris
Que je dépose sur la lune
En espérant t'y voir, langui
Heureuse, sur ce lit de plume

Merci khey

C'était l'été,
Lorsque nous nous sommes rencontrées
De suite nous nous sommes enjailler
Contre le mur je t'ai collé

9 mois après,
De trois coup bref a ma porte tu as toqué.
Des allocations ou une pension tu ma réclamé
Mais de couleur noir était le bébé

Tu peux me dire ce que je devrais corriger ?
Il est un homme qui, frappé par la vie, attend
Tristement, sans espoir, il laisse couler le temps
Le visage marqué et le coeur assombrit
Les anges ont trop pleuré, l'ont laissé démuni

Son coeur ne bat plus au rythme de l'enfance
Il a perdu en lui cette douce romance
Jamais à Dieu, il n'a adressé de prière
La bête sournoisement carresse ses paupières

Poussé par son malêtre, il se noit d'artifices
Mais l'on ne guérit pas d'une thérapie factice
Maladie moderne, flottant dans le gris des villes

Seule pour calmer son trouble, une lumière au loin
Lui paraît, chaleuresement ses rayons brillent
C'est la grâce, pauvre homme, accueil en toi le divin

alors pour ce qui est du mètre du vers, c’est très correct! mais je te conseillerais d’alterner un peu plus entre les rimes masculines et féminines. j’aime beaucoup la troisième strophe mais le reste parait un ptit peu maladroit, c’est pas très fluide et je sais pas pourquoi.
en somme j’aime beaucoup, tu maîtrises la versification et ton message est clair

Merci pour les conseils

J'ai un long pénis
Avec des poils très lisses
De temps en temps je pisse
Oh hisse oh hisse oh hisse

pas de problème j’adore comment tu écris

merveilleux