Arrêter de parler de religion

Mais si quelqu'un ne sait absolument rien le mieux est de ne rien affirmer

et comme dit, l'un empêche pas l'autre

Je travaille aujourd'hui.

N'y va pas

Tu voulais que tout le monde se taise. C'est pas la même chose que seulement ceux qui ne savent absolument rien. Et même ceux qui ne savent rien, en participant, peuvent apprendre des choses

Mon premier post n'était pas premier degré premier degré

Ce qui me dérange c'est ceux qui affirment des choses sans le savoir et qui ont des conversations dans le vide en se sentant d'un intellect rare

Tout en prenant l'autre camp pour des idiots

Oui je pense que dans ce cas là, la posture de l'humilité est une bonne chose, qui n'empêche pas de poser des questions

N'Y VA PAS JE TE DIT

Je suis d'accord, MON ZINZIN

Mais qui pour me sauver de mes nuits de peur ? Si j'y pense trop, c'est sûr, je meurs.

Des fois, faire des affirmations fausses ou interprétables différemment, ça appelle à la contradiction et permet de corriger son point de vue

C'est un véritable problème de prendre la connaissance pour la première et seule mesure

Des valeurs, les robots en connaissent des milliers

Mais il n'y a pourtant aucun lien à Dieu dans ces pierres mortes

Ben t'as ton doudou

Pour beaucoup leurs point de vue n'a pas comme objectif d'être changé

Oui, c'est vrai.

Je suis entièrement d'accord

C'est pour ça que j'apprécie Blaise Pascal, il affirme que " prouver Dieu " est impossible mais surtout d'une grande inutilité

Il en va de même pour prouver sa non existence

Ils ont troqués leurs vies avec des faux savoirs

Il y a une valeur qui doit être plus haute que la foi

C'est celle du cœur

Et quand c'est le cas, c'est par elle que l'on se met à compter

Et non plus par notre estomac

Ça peut les faire réfléchir quand même

Oui, comme le silence peut faire réfléchir aussi, et les hommes sont plus propices au bruit, je pense que, du silence, ferait un peu de bien, ça serait presque une nouveauté, nous ne faisons que parler parler, ne me fais pas croire que nous ne parlons pas assez