Ce sujet a été résolu
"Il savait qu’il poussait Gabriel, qu’il testait son consentement, sa participation, mais Gabriel ne l’a pas repoussé ni n’a protesté. Il avait vraiment un sacré penchant pour être soumis de cette façon, pour être privé de tout contrôle. Désormais, Jordan avait la preuve ultime que, peu importe les efforts d’Attal pour garder le contrôle et jouer la supériorité, sa nature profonde était celle d’un soumis.."
il y a 3 jours
"Il savait qu’il poussait Gabriel, qu’il testait son consentement, sa participation, mais Gabriel ne l’a pas repoussé ni n’a protesté. Il avait vraiment un sacré penchant pour être soumis de cette façon, pour être privé de tout contrôle. Désormais, Jordan avait la preuve ultime que, peu importe les efforts d’Attal pour garder le contrôle et jouer la supériorité, sa nature profonde était celle d’un soumis.."
Je préfère ne pas trop lire leur biographie
il y a 3 jours
Une fille, j'ai trouvé son TikTok et en fait elle dit qu'elle a supprimé la fanfiction car elle compte en publier un vrai livre en changeant juste les noms de Bardella et Attal pour ne pas se faire traîner en justice par l'un des deux
Un livre va être publié inspiré de leur tension
Un livre va être publié inspiré de leur tension
Quel age elle a ?
Jeanne OSKOUR !
il y a 3 jours
Quel age elle a ?
J'en sais rien du tout, il n'a pas cette info sur son TikTok, elle n'est pas vieille en tout cas en juger par sa tête
Apparemment le livre est censé sortir ce mois-ci et ça fait des mois qu'il est en préparation mais ça fait 2 mois qu'elle ne poste plus
Heureusement que le site russe a gardé la fanfic
Je sens qu'elle ne reviendra pas
Apparemment le livre est censé sortir ce mois-ci et ça fait des mois qu'il est en préparation mais ça fait 2 mois qu'elle ne poste plus
Heureusement que le site russe a gardé la fanfic
il y a 3 jours
Mais pourquoi une biographie
C'est de la fiction
Je ne pense pas que ce soit de la fiction justement
il y a 3 jours
Je ne pense pas que ce soit de la fiction justement
Qu'est-ce qui te fait dire ça ?
Je doute de l'hétérosexualité de Bardella depuis longtemps mais beaucoup me disent qu'il est 100% hétéro mais j'ai encore des doutes
Dans tous les cas, ils ne peuvent pas avoir tenté quelque chose, c'est... trop risqué... je suppose
Mais ça flirte discrètement lors des débats
Dans tous les cas, ils ne peuvent pas avoir tenté quelque chose, c'est... trop risqué... je suppose
Mais ça flirte discrètement lors des débats
il y a 3 jours
Qu'est-ce qui te fait dire ça ?
Je doute de l'hétérosexualité de Bardella depuis longtemps mais beaucoup me disent qu'il est 100% hétéro mais j'ai encore des doutes
Dans tous les cas, ils ne peuvent pas avoir tenté quelque chose, c'est... trop risqué... je suppose
Mais ça flirte discrètement lors des débats
Dans tous les cas, ils ne peuvent pas avoir tenté quelque chose, c'est... trop risqué... je suppose
Mais ça flirte discrètement lors des débats
Je pense que ça baise de dingue les homos à l’assemblée
https://tetu.com/2024/12/[...]-ministre-gay-sur-grindr/
il y a 3 jours
Burning
4j
La fanfiction "le poids du monde" aurait été retirée de wattpad pour des raisons mystérieuses (demande du gouvernement ?) mais les rumeurs de couloir disent que c'était l'une des plus incroyables sur Bardella et Attal
quelqu'un l'aurait en PDF ? no fake
Je clique pas de lien bizarre
quelqu'un l'aurait en PDF ? no fake
J'ai été méprisé, humilié, traqué comme un chien. Et pourtant je continue d'écrire, parce que c'est ma façon de hurler.
il y a 3 jours
Je pense que ça baise de dingue les homos à l’assemblée
https://tetu.com/2024/12/[...]-ministre-gay-sur-grindr/
Aya
Je me demande c'est qui
"puis, c'est excitant parfois de mélanger sexe et boulot : un député nous a d'ailleurs confié porter une cage de chasteté lors de ses discours au perchoir."
il y a 3 jours
Aya
Je me demande c'est qui
"puis, c'est excitant parfois de mélanger sexe et boulot : un député nous a d'ailleurs confié porter une cage de chasteté lors de ses discours au perchoir."
Le B
il y a 3 jours
ça m'intéresse aussi
Acerrimus ex omnibus nostris sensibus est sensus vivendi
il y a 3 jours
Marcille
3j
ça m'intéresse aussi
Voici le premier chapitre retraduit de la traduction russe avec l'ia
déso je parle pas russe
https://ficbook.net/readf[...]439/38277888#part_content
Ce n'est pas aussi bien que les rumeurs le prétendent, mais bon, ce sont les premières lignes
Personnellement je pense que ce moment fait référence à cette photo:
Par contre pour le Attal/Macron j'étais pas au courant
Ce n'est pas aussi bien que les rumeurs le prétendent, mais bon, ce sont les premières lignes
— C’est un non-sens total, et vous le savez aussi bien que moi.
Quand tout cela a-t-il commencé ? Même eux ne sauraient répondre à cette question.
— Mes idées sont loin d’être absurdes, et je vous prie instamment de rester respectueux, Monsieur Attal.
Les désaccords ont-ils donné lieu à une atmosphère aussi intense entre deux hommes ?
— Comment pouvez-vous parler de respect ?
Les regards et les légers sourires qu'ils s'échangeaient ont fini par devenir le socle de leur relation, une relation née à leur insu.
— Très bien, messieurs, nous en avons terminé. Félicitations à tous les deux pour la fin de ce débat et merci à tous ceux qui nous ont suivis depuis le début.
Pendant quelques secondes, les deux hommes ne se quittèrent pas des yeux, s'observant intensément comme s'ils n'entendaient plus les paroles de l’animateur.
Jordan fit le premier pas, s'approchant lentement de son adversaire pour s'arrêter juste devant lui. Sa grande taille lui permettait de toiser l'autre homme de haut en lui tendant la main.
— Bravo, Monsieur Attal.
Gabriel jeta un regard à la main tendue, hésitant quelques secondes avant de répondre à la poignée de main.
— De même, Monsieur Bardella.
Alors que Gabriel s’apprêtait à relâcher sa main, la poigne de Jordan se resserra. Ses doigts glissèrent légèrement sur son poignet, sous la manche de sa chemise, un geste si discret qu’il aurait pu croire qu’il n’était pas intentionnel, s’il n’y avait pas eu ce sourire narquois exprimant la satisfaction de voir Gabriel perdre son sang-froid, ne serait-ce qu’un instant. Puis Jordan l'attira légèrement vers lui pour lui murmurer à l’oreille :
— À la prochaine, Gabriel.
Gabriel se figea, sentant un frisson involontaire parcourir son corps, tandis que Jordan se redressait et, sans lui accorder un regard de plus, passait devant lui pour rejoindre son équipe. Il fallut plusieurs longues secondes à Gabriel pour se remettre de ce qui, pour la plupart, n’aurait semblé être qu’un détail. « Un détail », se répétait-il, mais le ton qu'avait employé Jordan Bardella, la façon dont sa voix avait baissé de quelques octaves en murmurant, ce sourire esquissé une fraction de seconde au coin de ses lèvres... tout cela était loin d'être un détail, du moins aux yeux de Gabriel.
La sonnerie de son téléphone l’extirpa de ses pensées. Il cligna des yeux plusieurs fois avant de sortir l'appareil de sa poche et s'anima instantanément en voyant le nom du contact s’afficher à l’écran.
— Monsieur ? Qu’est-ce qu’il y a ? demanda-t-il en se dirigeant vers la table du personnel pour saisir un verre d’eau.
— Gabriel, salut. Je sais que tu es occupé. J'ai regardé le débat, et tu as été brillant. Félicitations.
Ces mots le firent sourire. Il ressentait toujours une satisfaction particulière lorsque cet homme lui faisait des compliments. Gabriel faisait tout son possible pour que celui-ci soit fier de lui, et entendre des éloges pour ses efforts lui était vraiment agréable.
— Merci, Monsieur le Président, bien que je pense que j'aurais pu faire mieux.
Il entendit l’homme à l’autre bout du fil rire. Gabriel pouvait imaginer l'expression de son visage et sourit, ne remarquant pas, à cet instant, le regard braqué sur lui.
— Je t'ai déjà demandé de m'appeler par mon prénom quand nous sommes en tête-à-tête. S'il te plaît, fais-le.
— Désolé, Emmanuel, j'oublie toujours. Je suis trop habitué à rester professionnel.
Ils rirent tous les deux et Gabriel se tourna pour reposer son verre sur la table après avoir pris une grande gorgée. Il se retrouva face à Jordan, qui se tenait devant lui et l'observait simplement, sans dire un mot.
— Gabriel ? Tu m'entends ? Est-ce que tu pourras venir ce soir ?
La voix d'Emmanuel ramena Gabriel à la réalité. Il cligna des yeux à plusieurs reprises, sans détacher son regard de Jordan.
— Hein ? Oui, oui, bien sûr, je... je passerai. Excusez-moi, je dois raccrocher. On se voit plus tard.
Il mit fin à l’appel rapidement, troublé par la proximité de Jordan, et le fixa quelques secondes avant de prendre la parole.
— Monsieur Bardella.
Jordan ne reprit pas son sourire habituel et suffisant ; il se contenta de regarder fixement Gabriel, comme s'il lisait dans ses pensées. Un nouveau silence s'installa avant que Jordan ne parle enfin.
— Attal.
Gabriel ne put s'empêcher de hausser les sourcils devant ce ton si familier. Il ne parvenait pas à en saisir le sens et restait sur ses gardes en sa présence, bien que Jordan soit plus jeune que lui.
— Puis-je vous aider ? Sinon, je vous prie de m'excuser, j'ai des affaires urgentes.
Il entreprit de contourner l'homme, mais une main se referma sur son poignet, comme tout à l'heure, mais avec plus de force. Gabriel leva les yeux, bien décidé à le réprimander pour son impolitesse, mais le regard de Jordan le cloua sur place. La mâchoire serrée, les muscles tendus, son expression était indescriptible.
— Qu’est-ce que vous—
— Vous devriez être plus professionnel.
Gabriel fronça les sourcils, ne comprenant pas où il voulait en venir.
— Pardon ?
— Il y a des reporters partout. On ne peut pas se permettre une telle familiarité lors d’une conversation téléphonique avec le Président en public.
Gabriel n'en croyait pas ses oreilles. Recevait-il vraiment une leçon de morale de la part de Jordan Bardella ? Ses sourcils se froncèrent davantage et il dégagea son poignet de son emprise.
— Laissez-moi être clair. Premièrement, la façon dont je communique avec Monsieur le Président ne vous regarde pas. Deuxièmement, je n’apprécie pas que vous espionniez mes conversations. Mêlez-vous de vos affaires, Bardella.
À ces mots, Jordan sembla reprendre ses esprits. Sa mâchoire se décrispa, sa langue passa sur l'intérieur de sa joue et son regard redevint celui, malicieux, qui agaçait tant Gabriel.
— Je vous prie de m’excuser pour ma rudesse. N'oubliez pas de souhaiter une bonne soirée au Président de ma part.
Gabriel hocha la tête, sans chercher à comprendre les sautes d'humeur de son adversaire.
— Oh, et, Monsieur Attal ?
Le fixant droit dans les yeux, les coins des lèvres légèrement relevés en un sourire narquois, Jordan baissa la voix pour que seul Gabriel puisse l'entendre.
— N'hésitez pas à m'inviter, moi aussi, à vos rendez-vous nocturnes dans les jours à venir. Je serais ravi de discuter.
Sur ce, il fit volte-face et rejoignit son groupe, laissant Gabriel debout au milieu de la pièce, se demandant s'il n'avait pas rêvé ce ton lourd de sous-entendus.
Quand tout cela a-t-il commencé ? Même eux ne sauraient répondre à cette question.
— Mes idées sont loin d’être absurdes, et je vous prie instamment de rester respectueux, Monsieur Attal.
Les désaccords ont-ils donné lieu à une atmosphère aussi intense entre deux hommes ?
— Comment pouvez-vous parler de respect ?
Les regards et les légers sourires qu'ils s'échangeaient ont fini par devenir le socle de leur relation, une relation née à leur insu.
— Très bien, messieurs, nous en avons terminé. Félicitations à tous les deux pour la fin de ce débat et merci à tous ceux qui nous ont suivis depuis le début.
Pendant quelques secondes, les deux hommes ne se quittèrent pas des yeux, s'observant intensément comme s'ils n'entendaient plus les paroles de l’animateur.
Jordan fit le premier pas, s'approchant lentement de son adversaire pour s'arrêter juste devant lui. Sa grande taille lui permettait de toiser l'autre homme de haut en lui tendant la main.
— Bravo, Monsieur Attal.
Gabriel jeta un regard à la main tendue, hésitant quelques secondes avant de répondre à la poignée de main.
— De même, Monsieur Bardella.
Alors que Gabriel s’apprêtait à relâcher sa main, la poigne de Jordan se resserra. Ses doigts glissèrent légèrement sur son poignet, sous la manche de sa chemise, un geste si discret qu’il aurait pu croire qu’il n’était pas intentionnel, s’il n’y avait pas eu ce sourire narquois exprimant la satisfaction de voir Gabriel perdre son sang-froid, ne serait-ce qu’un instant. Puis Jordan l'attira légèrement vers lui pour lui murmurer à l’oreille :
— À la prochaine, Gabriel.
Gabriel se figea, sentant un frisson involontaire parcourir son corps, tandis que Jordan se redressait et, sans lui accorder un regard de plus, passait devant lui pour rejoindre son équipe. Il fallut plusieurs longues secondes à Gabriel pour se remettre de ce qui, pour la plupart, n’aurait semblé être qu’un détail. « Un détail », se répétait-il, mais le ton qu'avait employé Jordan Bardella, la façon dont sa voix avait baissé de quelques octaves en murmurant, ce sourire esquissé une fraction de seconde au coin de ses lèvres... tout cela était loin d'être un détail, du moins aux yeux de Gabriel.
La sonnerie de son téléphone l’extirpa de ses pensées. Il cligna des yeux plusieurs fois avant de sortir l'appareil de sa poche et s'anima instantanément en voyant le nom du contact s’afficher à l’écran.
— Monsieur ? Qu’est-ce qu’il y a ? demanda-t-il en se dirigeant vers la table du personnel pour saisir un verre d’eau.
— Gabriel, salut. Je sais que tu es occupé. J'ai regardé le débat, et tu as été brillant. Félicitations.
Ces mots le firent sourire. Il ressentait toujours une satisfaction particulière lorsque cet homme lui faisait des compliments. Gabriel faisait tout son possible pour que celui-ci soit fier de lui, et entendre des éloges pour ses efforts lui était vraiment agréable.
— Merci, Monsieur le Président, bien que je pense que j'aurais pu faire mieux.
Il entendit l’homme à l’autre bout du fil rire. Gabriel pouvait imaginer l'expression de son visage et sourit, ne remarquant pas, à cet instant, le regard braqué sur lui.
— Je t'ai déjà demandé de m'appeler par mon prénom quand nous sommes en tête-à-tête. S'il te plaît, fais-le.
— Désolé, Emmanuel, j'oublie toujours. Je suis trop habitué à rester professionnel.
Ils rirent tous les deux et Gabriel se tourna pour reposer son verre sur la table après avoir pris une grande gorgée. Il se retrouva face à Jordan, qui se tenait devant lui et l'observait simplement, sans dire un mot.
— Gabriel ? Tu m'entends ? Est-ce que tu pourras venir ce soir ?
La voix d'Emmanuel ramena Gabriel à la réalité. Il cligna des yeux à plusieurs reprises, sans détacher son regard de Jordan.
— Hein ? Oui, oui, bien sûr, je... je passerai. Excusez-moi, je dois raccrocher. On se voit plus tard.
Il mit fin à l’appel rapidement, troublé par la proximité de Jordan, et le fixa quelques secondes avant de prendre la parole.
— Monsieur Bardella.
Jordan ne reprit pas son sourire habituel et suffisant ; il se contenta de regarder fixement Gabriel, comme s'il lisait dans ses pensées. Un nouveau silence s'installa avant que Jordan ne parle enfin.
— Attal.
Gabriel ne put s'empêcher de hausser les sourcils devant ce ton si familier. Il ne parvenait pas à en saisir le sens et restait sur ses gardes en sa présence, bien que Jordan soit plus jeune que lui.
— Puis-je vous aider ? Sinon, je vous prie de m'excuser, j'ai des affaires urgentes.
Il entreprit de contourner l'homme, mais une main se referma sur son poignet, comme tout à l'heure, mais avec plus de force. Gabriel leva les yeux, bien décidé à le réprimander pour son impolitesse, mais le regard de Jordan le cloua sur place. La mâchoire serrée, les muscles tendus, son expression était indescriptible.
— Qu’est-ce que vous—
— Vous devriez être plus professionnel.
Gabriel fronça les sourcils, ne comprenant pas où il voulait en venir.
— Pardon ?
— Il y a des reporters partout. On ne peut pas se permettre une telle familiarité lors d’une conversation téléphonique avec le Président en public.
Gabriel n'en croyait pas ses oreilles. Recevait-il vraiment une leçon de morale de la part de Jordan Bardella ? Ses sourcils se froncèrent davantage et il dégagea son poignet de son emprise.
— Laissez-moi être clair. Premièrement, la façon dont je communique avec Monsieur le Président ne vous regarde pas. Deuxièmement, je n’apprécie pas que vous espionniez mes conversations. Mêlez-vous de vos affaires, Bardella.
À ces mots, Jordan sembla reprendre ses esprits. Sa mâchoire se décrispa, sa langue passa sur l'intérieur de sa joue et son regard redevint celui, malicieux, qui agaçait tant Gabriel.
— Je vous prie de m’excuser pour ma rudesse. N'oubliez pas de souhaiter une bonne soirée au Président de ma part.
Gabriel hocha la tête, sans chercher à comprendre les sautes d'humeur de son adversaire.
— Oh, et, Monsieur Attal ?
Le fixant droit dans les yeux, les coins des lèvres légèrement relevés en un sourire narquois, Jordan baissa la voix pour que seul Gabriel puisse l'entendre.
— N'hésitez pas à m'inviter, moi aussi, à vos rendez-vous nocturnes dans les jours à venir. Je serais ravi de discuter.
Sur ce, il fit volte-face et rejoignit son groupe, laissant Gabriel debout au milieu de la pièce, se demandant s'il n'avait pas rêvé ce ton lourd de sous-entendus.
Par contre pour le Attal/Macron j'étais pas au courant
il y a 3 jours
























