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Qui rampe inutilement sur la surface de la Terre. Ecrasez-moi; vous ne laisserez qu'une vile tâche de mes sucs et verrez le bout de mes bras s'agiter vainement dans le vide.
Derrièrre toutes les noblesses, toutes les vertus, il n'y a eu que la méchanceté et les vices, et je ne suis qu'un insecte parmi les autres.
il y a 3 jours
T'écris bien toi
:chao1:
Et c'est signé "Z" comme "Harry se lève" !
il y a 3 jours
T'écris bien toi
:chao1:
Je suis trop désespéré et fatigué pour écrire
il y a 3 jours
Non t'es pas un insecte toi t'es cool
:Frieren_boisson_chaude:
il y a 3 jours
Post ou punaise de lit
:chatetalemerde:
il y a 3 jours
Post ou punaise de lit
:chatetalemerde:
tu viendras manger mon corps
il y a 3 jours
Qui rampe inutilement sur la surface de la Terre. Ecrasez-moi; vous ne laisserez qu'une vile tâche de mes sucs et verrez le bout de mes bras s'agiter vainement dans le vide.
Derrièrre toutes les noblesses, toutes les vertus, il n'y a eu que la méchanceté et les vices, et je ne suis qu'un insecte parmi les autres.
Le cafard de Frank Kafka c'est toi ?
:Frieren_noel:
il y a 3 jours
Le cafard de Frank Kafka c'est toi ?
:Frieren_noel:
C'est moi et beaucoup d'autres
il y a 3 jours
C'est moi et beaucoup d'autres
Coupain coupain
:Frieren_noel:
il y a 3 jours
Coupain coupain
:Frieren_noel:
Que le grand enfant capricieux qui gouverne l'univers m'écrase
il y a 3 jours
Plutôt cafard ou mille-pattes ?
Grande Revue des plus beaux Vaginopodes https://onche.org/topic/8[...]-beaux-vaginopodes-part-1
il y a 3 jours
si t'es vraiment un trap oui
il y a 3 jours
si t'es vraiment un trap oui
Mieux vaut cela que le genre d'animal monstrueux que tu es
il y a 3 jours
Mieux vaut cela que le genre d'animal monstrueux que tu es
Francis Parker Yockey, Imperium (Pages 80-81)
« En quoi l’homme en tant qu’espèce est-il distinct des autres formes de vie, comme les plantes et les animaux ? Simplement par sa possession d’une âme humaine. Cette âme montre à l’homme un monde différent du monde des autres formes de vie. Le monde de l’homme est un monde de symboles. Des choses qui pour les animaux ne contiennent aucun sens et aucun mystère ont pour l’homme une signification symbolique. En-dehors d’une Haute Culture, ce besoin de symboles apparait dans la formation de la culture primitive. De telles cultures ont une religion animiste, une éthique du tabou et du totem, et des formes sociopolitiques du même niveau. De telles cultures ne sont pas une unité, c’est-à-dire qu’il n’y à pas de symbole principal réalisé dans toutes les formes de la culture. Ces cultures sont de simples sommes, collections de motifs et de tendances. Il n’y a nulle part d’homme primitif sans une culture primitive de ce type. L’homme en tant qu’animal pur n’existe pas. Tous les animaux ont une existence purement économique-reproductive : toutes leurs vies individuelles consistent à se nourrir et à se reproduire, leurs vies n’ont pas de superstructure spirituelle au-dessus de ce plan. »

Vincent Reynouard, Plaidoyer pour le racisme (Pages 16-18)
« Afin d’éviter toute équivoque, je définirai tout d’abord ce qu’est l’Homme. D’un point de vue strictement zoologique, trois principales différences extérieures le séparent des animaux : il vient au monde très inachevé (bien plus inachevé que tous les autres mammifères), mais plus tard, il se tient debout (dans une posture parfaitement droite) et parle. La possession du langage évolué, rendu possible par la production d’une gamme très étendue de modulations sonores (contrairement aux animaux qui possèdent un gosier trop grossier pour cela), prouve son aptitude à recourir aux concepts. L’Homme est donc doué d’intelligence, une intelligence rendue possible, au niveau physique, par une encéphalisation importante lors de la gestation (contrairement aux animaux dont le développement embryonnaire du cerveau cesse plus ou moins précocement, rendant impossible tout apprentissage étendu). Il ne cesse d’ailleurs de découvrir et de créer, ce qui entraîne en retour l’évolution des langues, évolution que l’on n’a jamais mis en évidence chez les espèces animales douées, elles aussi, d’une certaine forme de langage, comme les abeilles par exemple.
Cette capacité à découvrir et à créer amène une autre remarque capitale contrairement aux animaux, l’Homme n’a pas d’instinct ; j’entends par là qu’il n’est pas irrémédiablement programmé pour faire telle ou telle chose de génération en génération. Ce qu’il fait, il doit préalablement l’apprendre et il peut ensuite l’améliorer (contrairement aux oiseaux, aux castors ou aux abeilles qui construiront toujours les mêmes nids, les mêmes barrages et les mêmes alvéoles). Cette absence d’instinct se constate, sur un autre plan, dans le fait qu’un être humain peut, par sa simple volonté, se priver de relations sexuelles, de nourriture, de boisson, voire se tuer. Il possède donc le libre arbitre.
J’en déduis que l’Homme est une créature marchant debout, intelligente et douée du libre arbitre. »
il y a 3 jours
tu viendras manger mon corps
Y’a que la peau et des nerfs
:Crunchy:
il y a 3 jours
Y’a que la peau et des nerfs
:Crunchy:
Pas mal de graisses, dont le cerveau, mais je crois qu'il est plein de scories
il y a 3 jours
En ce moment je lis les fourmis de Bernard Werber
:Kohaku:
il y a 3 jours
Francis Parker Yockey, Imperium (Pages 80-81)
« En quoi l’homme en tant qu’espèce est-il distinct des autres formes de vie, comme les plantes et les animaux ? Simplement par sa possession d’une âme humaine. Cette âme montre à l’homme un monde différent du monde des autres formes de vie. Le monde de l’homme est un monde de symboles. Des choses qui pour les animaux ne contiennent aucun sens et aucun mystère ont pour l’homme une signification symbolique. En-dehors d’une Haute Culture, ce besoin de symboles apparait dans la formation de la culture primitive. De telles cultures ont une religion animiste, une éthique du tabou et du totem, et des formes sociopolitiques du même niveau. De telles cultures ne sont pas une unité, c’est-à-dire qu’il n’y à pas de symbole principal réalisé dans toutes les formes de la culture. Ces cultures sont de simples sommes, collections de motifs et de tendances. Il n’y a nulle part d’homme primitif sans une culture primitive de ce type. L’homme en tant qu’animal pur n’existe pas. Tous les animaux ont une existence purement économique-reproductive : toutes leurs vies individuelles consistent à se nourrir et à se reproduire, leurs vies n’ont pas de superstructure spirituelle au-dessus de ce plan. »

Vincent Reynouard, Plaidoyer pour le racisme (Pages 16-18)
« Afin d’éviter toute équivoque, je définirai tout d’abord ce qu’est l’Homme. D’un point de vue strictement zoologique, trois principales différences extérieures le séparent des animaux : il vient au monde très inachevé (bien plus inachevé que tous les autres mammifères), mais plus tard, il se tient debout (dans une posture parfaitement droite) et parle. La possession du langage évolué, rendu possible par la production d’une gamme très étendue de modulations sonores (contrairement aux animaux qui possèdent un gosier trop grossier pour cela), prouve son aptitude à recourir aux concepts. L’Homme est donc doué d’intelligence, une intelligence rendue possible, au niveau physique, par une encéphalisation importante lors de la gestation (contrairement aux animaux dont le développement embryonnaire du cerveau cesse plus ou moins précocement, rendant impossible tout apprentissage étendu). Il ne cesse d’ailleurs de découvrir et de créer, ce qui entraîne en retour l’évolution des langues, évolution que l’on n’a jamais mis en évidence chez les espèces animales douées, elles aussi, d’une certaine forme de langage, comme les abeilles par exemple.
Cette capacité à découvrir et à créer amène une autre remarque capitale contrairement aux animaux, l’Homme n’a pas d’instinct ; j’entends par là qu’il n’est pas irrémédiablement programmé pour faire telle ou telle chose de génération en génération. Ce qu’il fait, il doit préalablement l’apprendre et il peut ensuite l’améliorer (contrairement aux oiseaux, aux castors ou aux abeilles qui construiront toujours les mêmes nids, les mêmes barrages et les mêmes alvéoles). Cette absence d’instinct se constate, sur un autre plan, dans le fait qu’un être humain peut, par sa simple volonté, se priver de relations sexuelles, de nourriture, de boisson, voire se tuer. Il possède donc le libre arbitre.
J’en déduis que l’Homme est une créature marchant debout, intelligente et douée du libre arbitre. »
Et surtout, l'homme est doué de bêtise et de cruauté
il y a 3 jours
Pas mal de graisses, dont le cerveau, mais je crois qu'il est plein de scories
Pas envie de chopper une maladie à prions en gobant ta cervelle malade
:Crunchy:
il y a 3 jours
Et surtout, l'homme est doué de bêtise et de cruauté
sa fé rreflechir
il y a 3 jours