Ce sujet a été résolu
Tocka
3j
C'est comment ? je parle pas du côté social, plutôt du fait que ça soit chiant ou non, de faire la même chose tout les jours, dans des conditions de merde ect ect
Ça dépend grandement du domaine d'études.
Mais 9 fois sur 10 le contexte actuel ne pousse pas vers une emancipation sinusoïdale de l'anachorète hypocondriaque.
Pour cela il faut que tu te prépares à laminer tes rancœurs dialectiques.
Et vice et versa
Mais 9 fois sur 10 le contexte actuel ne pousse pas vers une emancipation sinusoïdale de l'anachorète hypocondriaque.
Pour cela il faut que tu te prépares à laminer tes rancœurs dialectiques.
Et vice et versa
il y a 3 jours
Ça dépend grandement du domaine d'études.
Mais 9 fois sur 10 le contexte actuel ne pousse pas vers une emancipation sinusoïdale de l'anachorète hypocondriaque.
Pour cela il faut que tu te prépares à laminer tes rancœurs dialectiques.
Et vice et versa
Mais 9 fois sur 10 le contexte actuel ne pousse pas vers une emancipation sinusoïdale de l'anachorète hypocondriaque.
Pour cela il faut que tu te prépares à laminer tes rancœurs dialectiques.
Et vice et versa
j'ai pû rien compris après " sinusoïdale "
LE DESSIN TROP BEAU DE @FRIEREN 🐑 : https://onche.org/topic/1[...]e-demain#message_19847964
il y a 3 jours
Quelle indignité
tu pourrais traduire
LE DESSIN TROP BEAU DE @FRIEREN 🐑 : https://onche.org/topic/1[...]e-demain#message_19847964
il y a 3 jours
La redpill c'est que tu réalise que ta jeunesse et les meilleurs moments sont derrières
Bon, j'exagère, il y a toujours les pizzas dominos
Bon, j'exagère, il y a toujours les pizzas dominos
Quand t'as eu une jeunesse de merde....
il y a 3 jours
La notion du temps qui change et qui file à une sacrée vitesse.
Les amis qu'on voit moins.
Les meufs qui se ressemblent toutes de plus en plus
Les putes
Le constat que ce qu'on a appris aux études qui servent au mieux pas à grand chose et au pire à rien qui devient de plus en plus patent.
Mais surtout : si t'as pas de bon réseau, t'es mort.
Les amis qu'on voit moins.
Les meufs qui se ressemblent toutes de plus en plus
Les putes
Le constat que ce qu'on a appris aux études qui servent au mieux pas à grand chose et au pire à rien qui devient de plus en plus patent.
Mais surtout : si t'as pas de bon réseau, t'es mort.
Si ma réponse est dépourvue de stickers, c'est qu'elle est à prendre au premier degré.
il y a 3 jours
T'as vidéo marche pas tu fais aucun effort
LE DESSIN TROP BEAU DE @FRIEREN 🐑 : https://onche.org/topic/1[...]e-demain#message_19847964
il y a 3 jours
Valium
3j
La notion du temps qui change et qui file à une sacrée vitesse.
Les amis qu'on voit moins.
Les meufs qui se ressemblent toutes de plus en plus
Les putes
Le constat que ce qu'on a appris aux études qui servent au mieux pas à grand chose et au pire à rien qui devient de plus en plus patent.
Mais surtout : si t'as pas de bon réseau, t'es mort.
Les amis qu'on voit moins.
Les meufs qui se ressemblent toutes de plus en plus
Les putes
Le constat que ce qu'on a appris aux études qui servent au mieux pas à grand chose et au pire à rien qui devient de plus en plus patent.
Mais surtout : si t'as pas de bon réseau, t'es mort.
Vous donner pas envie de vivre hein
LE DESSIN TROP BEAU DE @FRIEREN 🐑 : https://onche.org/topic/1[...]e-demain#message_19847964
il y a 3 jours
La question est minée. Elle suppose que la vie après les études serait un tronc unique, un chemin linéaire qui va des études au travail pour mener à la répétition et à l’ennui.
Pourtant, il n’y a pas de début clair, pas de fin, pas de trajectoire unique. On entre par un point et on ressort par un autre. On bosse, on change, on s’écarte, on combine. Il y a des lignes qui se figent, oui, mais tout reste mouvement. Il y a aussi des lignes de fuite : des projets parallèles, des passions, des reconversions, des rencontres imprévues, ou des périodes étranges qui amènent le changement.
Faire la même chose tous les jours, c’est surtout quand on se laisse coincer dans l’arbre hiérarchique : le poste, les horaires, le rôle, l’identité figée. Rien n’oblige à rester là, ni à en rester là. Même dans un boulot banal, il existe des micro-déplacements possibles : apprendre autre chose, changer de rythme, investir ailleurs, préparer un saut. Déterritorialisation, reterritorialisation, sanction et braconnage.
Le passage des études au travail, c’est surtout le moment où il n’y a plus de rails préinstallés. Une zone d’incertitude. Plus de syllabus, plus de progression balisée. Et ça fait peur, parce que la liberté ressemble d’abord à du vide, à une perte, parfois à un abandon. On ne nous dit plus ce que l’on est. Pourtant, on est toujours là, et pas seulement ce que l’on se représentait de nous dans un environnement plus calibré.
Est-ce que c'est chiant ? Je propose une autre question : est-ce que tu laisses ta vie se rigidifier ou est-ce que tu la fais proliférer. J’ai vu hier, en rentrant chez moi, que les plantes poussent même dans le béton. Naître et évoluer dans un cadre rigide, c’est possible. Il faut juste trouver l’espace, et retrouver l’imagination des chemins possibles. Des terres minées dans une virtualité d'être et devenir.

Pourtant, il n’y a pas de début clair, pas de fin, pas de trajectoire unique. On entre par un point et on ressort par un autre. On bosse, on change, on s’écarte, on combine. Il y a des lignes qui se figent, oui, mais tout reste mouvement. Il y a aussi des lignes de fuite : des projets parallèles, des passions, des reconversions, des rencontres imprévues, ou des périodes étranges qui amènent le changement.
Faire la même chose tous les jours, c’est surtout quand on se laisse coincer dans l’arbre hiérarchique : le poste, les horaires, le rôle, l’identité figée. Rien n’oblige à rester là, ni à en rester là. Même dans un boulot banal, il existe des micro-déplacements possibles : apprendre autre chose, changer de rythme, investir ailleurs, préparer un saut. Déterritorialisation, reterritorialisation, sanction et braconnage.
Le passage des études au travail, c’est surtout le moment où il n’y a plus de rails préinstallés. Une zone d’incertitude. Plus de syllabus, plus de progression balisée. Et ça fait peur, parce que la liberté ressemble d’abord à du vide, à une perte, parfois à un abandon. On ne nous dit plus ce que l’on est. Pourtant, on est toujours là, et pas seulement ce que l’on se représentait de nous dans un environnement plus calibré.
Est-ce que c'est chiant ? Je propose une autre question : est-ce que tu laisses ta vie se rigidifier ou est-ce que tu la fais proliférer. J’ai vu hier, en rentrant chez moi, que les plantes poussent même dans le béton. Naître et évoluer dans un cadre rigide, c’est possible. Il faut juste trouver l’espace, et retrouver l’imagination des chemins possibles. Des terres minées dans une virtualité d'être et devenir.

il y a 3 jours
Tocka
3j
C'est comment ? je parle pas du côté social, plutôt du fait que ça soit chiant ou non, de faire la même chose tout les jours, dans des conditions de merde ect ect
Côté social et opportunités de rencontre c'est moins fun que pendant les études. Surtout quand t'as été étudiant à la fac.
Tu te rends compte après coup que c'était les meilleurs années de ta vie.
Être à la fac en sciences sociales dans les années 2010-2015 (avant l'arrivée du wokisme) + être BG et avoir la tchatch = epic win.
Quand t'es dans cette situation, ta vie est un film de cul version réel.
Tu vis dans un monde parallèle, c'est magnifique.
Moi ça a été mon cas et c'était mes meilleurs années de vie.
Tu te rends compte après coup que c'était les meilleurs années de ta vie.
Être à la fac en sciences sociales dans les années 2010-2015 (avant l'arrivée du wokisme) + être BG et avoir la tchatch = epic win.
Quand t'es dans cette situation, ta vie est un film de cul version réel.
Tu vis dans un monde parallèle, c'est magnifique.
Moi ça a été mon cas et c'était mes meilleurs années de vie.
F.R.A.N.C.E.= Fédération des Réfugiés Arabes Nourris par les Caisses de l'État
il y a 3 jours
Vous donner pas envie de vivre hein
Si tu préfères qu'on te soufle dans le cul c'est ton choix
Si ma réponse est dépourvue de stickers, c'est qu'elle est à prendre au premier degré.
il y a 3 jours
C'est hyper bien on s'éclate, on a des douleurs chroniques, des gosses à gérer, on gagne du pognon mais ca suffit jamais et les femmes sont toutes des gauchistes
Alain au bar !
il y a 3 jours

























