Ce sujet a été résolu
L'homosexualité est une addiction comme une autre.
Les homosexuels sont des addicts à une pratique sale et nocive. Certains ont honte de cette addiction et essayent de lutter contre, alors que certains prennent un malin plaisir à essayer de convertir d'autres gens à cette addiction, comme par exemple Gabriel Anal qui s'attaque aux gosses afin de leur inculquer cette addiction dès le plus jeune âge, lorsqu'ils n'ont pas encore les mots pour refuser (cf. cette abomination qu'est le "programme EVARS").
Comme toute addiction, le seul moyen de s'en debarasser c'est surtout le sevrage, et à la limite un peu de psychothérapie pour comprendre l'origine de cette addiction, et quelle place cette addiction vient boucher.
Même si la psychothérapie ne va jamais faire disparaitre l'addiction par magie: il faut forcément que l'addict se fasse violence pour se sevrer, dans un premier temps.
Mais dire que quelqu'un est homosexuel de nature, c'est aussi absurde que de dire que quelqu'un est héroïnomane de nature.
Les petits garçons qui, adolescents, se retrouvent portés vers l'homosexualité, c'est parce qu'ils ont subi des sévices et des humiliations au cours de leur enfance, qui les a rendus addicts au pic de jouissance que procure le fait d'être humilié ou de se vautrer dans le mal. Ou alors souvent, ils ont été groomés par leur mère, qui voulait que son petit garçon ne se lie jamais à une autre femme qu'elle.
Il y a une dimension narcissique aussi dans l'homosexualité : l'homosexuel est resté fixé sur l'image du petit garçon fétiche qu'il était pour sa mère.
C'est pour ça que les homosexuels sont souvent lisses, juvéniles, trop propres et trop polis (ils sont restés le petit garçon parfait, gode vivant de sa mère, "bouche-féminité" de sa mère).
C'est aussi pour ça que les gays sont les meilleurs amis des femmes. Il reproduisent avec leurs "amies" femmes la même relation de petit fétiche qu'ils avaient, enfant, avec leur mère. Mais c'est au fond une relation extrêmement perverse: l'homosexuel se fait gode vivant de ses amies femmes, et tant que ces amies ont ce gode vivant qui les parasite en restant à boucher leur chatte, elle n'ont pas la place pour accueillir un homme (tout ceci est à prendre au sens métaphorique).
Ils sont portés vers d'autres hommes qui présentent cette même image, justement dans la mesure où ces autres hommes sont leurs clones. Au fond, l'homosexualité, c'est l'angoisse face à l'autre, face à la différence, face à l'autre le plus radical qui soit, à savoir la femme (ou le juif). Par exemple, dans l'islam, il y a une dimension d'angoisse face à l'autre:: d'où une dimension antisémite, misogyne et homosexuelle dans l'islam (très bien décrite par Claude Lévi-Strauss dans "Tristes tropiques" http://kiosquenet.free.fr[...]ss-Tristes-tropiques.html).
Cette forme d'homosexualité que je décris (narcissisme, fétichisme de sa propre image, "bouchage" opportuniste du trou de la femme pour la séparer de l'homme) est une homosexualité de type "pervers".
Il y a une autre forme d'homosexualité de type "psychotique" mais c'est encore plus bizarre. C'est par exemple les homosexuels qui iront jusqu'à se castrer (on en a un exemple sur le forum). Pour le coup, il ne s'agit pas de perversion mais véritablement de psychose. Ce type d'homosexuels n'est pas maléfique comme le "gay meilleur ami des femmes", mais est tout simplement fou, et son délire le pousse à la déréalisation parfois jusqu'à l'auto-castration (puisque la fonction du phallus incarne justement le principe de réalité). Pour un exemple très éloquent de ce type, vous pouvez lire les Mémoires de Daniel Paul Schreber ("Denkwürdigkeiten eines Nervenkranken"), où un psychotique du 19ème décrit de manière extrêmement riche ses délires ou il subit une féminisation de la part de Dieu (il se décrit comme devenant la femelle, voire presque le vide-couilles de Dieu).
D'ailleurs, le terme de "hétérosexuel" a été inventé par des homosexuels et est à proscrire, car il contribue a placer l'homosexualité et l'hétérosexualité sur un même plan, comme le choix d'une classe dans un RPG.
Ce qui est faux car tous les hommes sont faits pour une femme, et un homosexuel n'est qu'un homme appelé à épouser une femme mais tombé (temporairement) dans une aliénation.
C'est comme si on inventait le terme "énélicophile" pour désigner les adultes attirés sexuellement par des adultes. D'office, ça ferait apparaître l'énélicophilie comme une option parmi d'autres et ça tendrait à normaliser la pédophilie.
Les homosexuels sont des addicts à une pratique sale et nocive. Certains ont honte de cette addiction et essayent de lutter contre, alors que certains prennent un malin plaisir à essayer de convertir d'autres gens à cette addiction, comme par exemple Gabriel Anal qui s'attaque aux gosses afin de leur inculquer cette addiction dès le plus jeune âge, lorsqu'ils n'ont pas encore les mots pour refuser (cf. cette abomination qu'est le "programme EVARS").
Comme toute addiction, le seul moyen de s'en debarasser c'est surtout le sevrage, et à la limite un peu de psychothérapie pour comprendre l'origine de cette addiction, et quelle place cette addiction vient boucher.
Même si la psychothérapie ne va jamais faire disparaitre l'addiction par magie: il faut forcément que l'addict se fasse violence pour se sevrer, dans un premier temps.
Mais dire que quelqu'un est homosexuel de nature, c'est aussi absurde que de dire que quelqu'un est héroïnomane de nature.
Les petits garçons qui, adolescents, se retrouvent portés vers l'homosexualité, c'est parce qu'ils ont subi des sévices et des humiliations au cours de leur enfance, qui les a rendus addicts au pic de jouissance que procure le fait d'être humilié ou de se vautrer dans le mal. Ou alors souvent, ils ont été groomés par leur mère, qui voulait que son petit garçon ne se lie jamais à une autre femme qu'elle.
Il y a une dimension narcissique aussi dans l'homosexualité : l'homosexuel est resté fixé sur l'image du petit garçon fétiche qu'il était pour sa mère.
C'est pour ça que les homosexuels sont souvent lisses, juvéniles, trop propres et trop polis (ils sont restés le petit garçon parfait, gode vivant de sa mère, "bouche-féminité" de sa mère).
C'est aussi pour ça que les gays sont les meilleurs amis des femmes. Il reproduisent avec leurs "amies" femmes la même relation de petit fétiche qu'ils avaient, enfant, avec leur mère. Mais c'est au fond une relation extrêmement perverse: l'homosexuel se fait gode vivant de ses amies femmes, et tant que ces amies ont ce gode vivant qui les parasite en restant à boucher leur chatte, elle n'ont pas la place pour accueillir un homme (tout ceci est à prendre au sens métaphorique).
Ils sont portés vers d'autres hommes qui présentent cette même image, justement dans la mesure où ces autres hommes sont leurs clones. Au fond, l'homosexualité, c'est l'angoisse face à l'autre, face à la différence, face à l'autre le plus radical qui soit, à savoir la femme (ou le juif). Par exemple, dans l'islam, il y a une dimension d'angoisse face à l'autre:: d'où une dimension antisémite, misogyne et homosexuelle dans l'islam (très bien décrite par Claude Lévi-Strauss dans "Tristes tropiques" http://kiosquenet.free.fr[...]ss-Tristes-tropiques.html).
Cette forme d'homosexualité que je décris (narcissisme, fétichisme de sa propre image, "bouchage" opportuniste du trou de la femme pour la séparer de l'homme) est une homosexualité de type "pervers".
Il y a une autre forme d'homosexualité de type "psychotique" mais c'est encore plus bizarre. C'est par exemple les homosexuels qui iront jusqu'à se castrer (on en a un exemple sur le forum). Pour le coup, il ne s'agit pas de perversion mais véritablement de psychose. Ce type d'homosexuels n'est pas maléfique comme le "gay meilleur ami des femmes", mais est tout simplement fou, et son délire le pousse à la déréalisation parfois jusqu'à l'auto-castration (puisque la fonction du phallus incarne justement le principe de réalité). Pour un exemple très éloquent de ce type, vous pouvez lire les Mémoires de Daniel Paul Schreber ("Denkwürdigkeiten eines Nervenkranken"), où un psychotique du 19ème décrit de manière extrêmement riche ses délires ou il subit une féminisation de la part de Dieu (il se décrit comme devenant la femelle, voire presque le vide-couilles de Dieu).
D'ailleurs, le terme de "hétérosexuel" a été inventé par des homosexuels et est à proscrire, car il contribue a placer l'homosexualité et l'hétérosexualité sur un même plan, comme le choix d'une classe dans un RPG.
Ce qui est faux car tous les hommes sont faits pour une femme, et un homosexuel n'est qu'un homme appelé à épouser une femme mais tombé (temporairement) dans une aliénation.
C'est comme si on inventait le terme "énélicophile" pour désigner les adultes attirés sexuellement par des adultes. D'office, ça ferait apparaître l'énélicophilie comme une option parmi d'autres et ça tendrait à normaliser la pédophilie.
C'est que de l'amour putain !
il y a un jour
Tu n'es pas loin de leur proposer la chaise électrique comme ultime remède
Vēritās līberābit vōs
il y a un jour
Yoneda
1j
Tu n'es pas loin de leur proposer la chaise électrique comme ultime remède
Bah non où t'as vu ça ?
C'est que de l'amour putain !
il y a un jour
Oui effectivement, c'est un autre aspect.
On pourrait dire que ça rejoint le côté "petit garçon (trop) parfait à sa maman":
Un tel individu découvre qu'il a de la merde dans son psychisme... Mais plutôt que de prendre en compte cette part de merde et de lutter contre (sans forcément s'y réduire... au contraire, essayer de garder la tête hors de l'eau comme un nageur), il préfèrera proclamer de manière forcée que cette merde est délicieuse et s'y vautrera pour essayer de se convaincre lui-même (et le reste du monde) que cette merde n'est pas de la merde tellement elle est délicieuse, et donc qu'il n'a bien aucune merde en lui, et donc qu'il est bien le petit garçon parfait.
On pourrait dire que ça rejoint le côté "petit garçon (trop) parfait à sa maman":
Un tel individu découvre qu'il a de la merde dans son psychisme... Mais plutôt que de prendre en compte cette part de merde et de lutter contre (sans forcément s'y réduire... au contraire, essayer de garder la tête hors de l'eau comme un nageur), il préfèrera proclamer de manière forcée que cette merde est délicieuse et s'y vautrera pour essayer de se convaincre lui-même (et le reste du monde) que cette merde n'est pas de la merde tellement elle est délicieuse, et donc qu'il n'a bien aucune merde en lui, et donc qu'il est bien le petit garçon parfait.
C'est que de l'amour putain !
il y a un jour
L'homosexualité est une addiction comme une autre.
Les homosexuels sont des addicts à une pratique sale et nocive. Certains ont honte de cette addiction et essayent de lutter contre, alors que certains prennent un malin plaisir à essayer de convertir d'autres gens à cette addiction, comme par exemple Gabriel Anal qui s'attaque aux gosses afin de leur inculquer cette addiction dès le plus jeune âge, lorsqu'ils n'ont pas encore les mots pour refuser (cf. cette abomination qu'est le "programme EVARS").
Comme toute addiction, le seul moyen de s'en debarasser c'est surtout le sevrage, et à la limite un peu de psychothérapie pour comprendre l'origine de cette addiction, et quelle place cette addiction vient boucher.
Même si la psychothérapie ne va jamais faire disparaitre l'addiction par magie: il faut forcément que l'addict se fasse violence pour se sevrer, dans un premier temps.
Mais dire que quelqu'un est homosexuel de nature, c'est aussi absurde que de dire que quelqu'un est héroïnomane de nature.
Les petits garçons qui, adolescents, se retrouvent portés vers l'homosexualité, c'est parce qu'ils ont subi des sévices et des humiliations au cours de leur enfance, qui les a rendus addicts au pic de jouissance que procure le fait d'être humilié ou de se vautrer dans le mal. Ou alors souvent, ils ont été groomés par leur mère, qui voulait que son petit garçon ne se lie jamais à une autre femme qu'elle.
Il y a une dimension narcissique aussi dans l'homosexualité : l'homosexuel est resté fixé sur l'image du petit garçon fétiche qu'il était pour sa mère.
C'est pour ça que les homosexuels sont souvent lisses, juvéniles, trop propres et trop polis (ils sont restés le petit garçon parfait, gode vivant de sa mère, "bouche-féminité" de sa mère).
C'est aussi pour ça que les gays sont les meilleurs amis des femmes. Il reproduisent avec leurs "amies" femmes la même relation de petit fétiche qu'ils avaient, enfant, avec leur mère. Mais c'est au fond une relation extrêmement perverse: l'homosexuel se fait gode vivant de ses amies femmes, et tant que ces amies ont ce gode vivant qui les parasite en restant à boucher leur chatte, elle n'ont pas la place pour accueillir un homme (tout ceci est à prendre au sens métaphorique).
Ils sont portés vers d'autres hommes qui présentent cette même image, justement dans la mesure où ces autres hommes sont leurs clones. Au fond, l'homosexualité, c'est l'angoisse face à l'autre, face à la différence, face à l'autre le plus radical qui soit, à savoir la femme (ou le juif). Par exemple, dans l'islam, il y a une dimension d'angoisse face à l'autre:: d'où une dimension antisémite, misogyne et homosexuelle dans l'islam (très bien décrite par Claude Lévi-Strauss dans "Tristes tropiques" http://kiosquenet.free.fr[...]ss-Tristes-tropiques.html).
Cette forme d'homosexualité que je décris (narcissisme, fétichisme de sa propre image, "bouchage" opportuniste du trou de la femme pour la séparer de l'homme) est une homosexualité de type "pervers".
Il y a une autre forme d'homosexualité de type "psychotique" mais c'est encore plus bizarre. C'est par exemple les homosexuels qui iront jusqu'à se castrer (on en a un exemple sur le forum). Pour le coup, il ne s'agit pas de perversion mais véritablement de psychose. Ce type d'homosexuels n'est pas maléfique comme le "gay meilleur ami des femmes", mais est tout simplement fou, et son délire le pousse à la déréalisation parfois jusqu'à l'auto-castration (puisque la fonction du phallus incarne justement le principe de réalité). Pour un exemple très éloquent de ce type, vous pouvez lire les Mémoires de Daniel Paul Schreber ("Denkwürdigkeiten eines Nervenkranken"), où un psychotique du 19ème décrit de manière extrêmement riche ses délires ou il subit une féminisation de la part de Dieu (il se décrit comme devenant la femelle, voire presque le vide-couilles de Dieu).
D'ailleurs, le terme de "hétérosexuel" a été inventé par des homosexuels et est à proscrire, car il contribue a placer l'homosexualité et l'hétérosexualité sur un même plan, comme le choix d'une classe dans un RPG.
Ce qui est faux car tous les hommes sont faits pour une femme, et un homosexuel n'est qu'un homme appelé à épouser une femme mais tombé (temporairement) dans une aliénation.
C'est comme si on inventait le terme "énélicophile" pour désigner les adultes attirés sexuellement par des adultes. D'office, ça ferait apparaître l'énélicophilie comme une option parmi d'autres et ça tendrait à normaliser la pédophilie.
Les homosexuels sont des addicts à une pratique sale et nocive. Certains ont honte de cette addiction et essayent de lutter contre, alors que certains prennent un malin plaisir à essayer de convertir d'autres gens à cette addiction, comme par exemple Gabriel Anal qui s'attaque aux gosses afin de leur inculquer cette addiction dès le plus jeune âge, lorsqu'ils n'ont pas encore les mots pour refuser (cf. cette abomination qu'est le "programme EVARS").
Comme toute addiction, le seul moyen de s'en debarasser c'est surtout le sevrage, et à la limite un peu de psychothérapie pour comprendre l'origine de cette addiction, et quelle place cette addiction vient boucher.
Même si la psychothérapie ne va jamais faire disparaitre l'addiction par magie: il faut forcément que l'addict se fasse violence pour se sevrer, dans un premier temps.
Mais dire que quelqu'un est homosexuel de nature, c'est aussi absurde que de dire que quelqu'un est héroïnomane de nature.
Les petits garçons qui, adolescents, se retrouvent portés vers l'homosexualité, c'est parce qu'ils ont subi des sévices et des humiliations au cours de leur enfance, qui les a rendus addicts au pic de jouissance que procure le fait d'être humilié ou de se vautrer dans le mal. Ou alors souvent, ils ont été groomés par leur mère, qui voulait que son petit garçon ne se lie jamais à une autre femme qu'elle.
Il y a une dimension narcissique aussi dans l'homosexualité : l'homosexuel est resté fixé sur l'image du petit garçon fétiche qu'il était pour sa mère.
C'est pour ça que les homosexuels sont souvent lisses, juvéniles, trop propres et trop polis (ils sont restés le petit garçon parfait, gode vivant de sa mère, "bouche-féminité" de sa mère).
C'est aussi pour ça que les gays sont les meilleurs amis des femmes. Il reproduisent avec leurs "amies" femmes la même relation de petit fétiche qu'ils avaient, enfant, avec leur mère. Mais c'est au fond une relation extrêmement perverse: l'homosexuel se fait gode vivant de ses amies femmes, et tant que ces amies ont ce gode vivant qui les parasite en restant à boucher leur chatte, elle n'ont pas la place pour accueillir un homme (tout ceci est à prendre au sens métaphorique).
Ils sont portés vers d'autres hommes qui présentent cette même image, justement dans la mesure où ces autres hommes sont leurs clones. Au fond, l'homosexualité, c'est l'angoisse face à l'autre, face à la différence, face à l'autre le plus radical qui soit, à savoir la femme (ou le juif). Par exemple, dans l'islam, il y a une dimension d'angoisse face à l'autre:: d'où une dimension antisémite, misogyne et homosexuelle dans l'islam (très bien décrite par Claude Lévi-Strauss dans "Tristes tropiques" http://kiosquenet.free.fr[...]ss-Tristes-tropiques.html).
Cette forme d'homosexualité que je décris (narcissisme, fétichisme de sa propre image, "bouchage" opportuniste du trou de la femme pour la séparer de l'homme) est une homosexualité de type "pervers".
Il y a une autre forme d'homosexualité de type "psychotique" mais c'est encore plus bizarre. C'est par exemple les homosexuels qui iront jusqu'à se castrer (on en a un exemple sur le forum). Pour le coup, il ne s'agit pas de perversion mais véritablement de psychose. Ce type d'homosexuels n'est pas maléfique comme le "gay meilleur ami des femmes", mais est tout simplement fou, et son délire le pousse à la déréalisation parfois jusqu'à l'auto-castration (puisque la fonction du phallus incarne justement le principe de réalité). Pour un exemple très éloquent de ce type, vous pouvez lire les Mémoires de Daniel Paul Schreber ("Denkwürdigkeiten eines Nervenkranken"), où un psychotique du 19ème décrit de manière extrêmement riche ses délires ou il subit une féminisation de la part de Dieu (il se décrit comme devenant la femelle, voire presque le vide-couilles de Dieu).
D'ailleurs, le terme de "hétérosexuel" a été inventé par des homosexuels et est à proscrire, car il contribue a placer l'homosexualité et l'hétérosexualité sur un même plan, comme le choix d'une classe dans un RPG.
Ce qui est faux car tous les hommes sont faits pour une femme, et un homosexuel n'est qu'un homme appelé à épouser une femme mais tombé (temporairement) dans une aliénation.
C'est comme si on inventait le terme "énélicophile" pour désigner les adultes attirés sexuellement par des adultes. D'office, ça ferait apparaître l'énélicophilie comme une option parmi d'autres et ça tendrait à normaliser la pédophilie.
ça vient de la chute originelle en Eden, nous avons hérité de l'imperfection
il y a un jour
Oui tu le décris très bien, mais c'est ça que j'appelle "faire le mal pour faire le mal". Parce qu'au fond, ils veulent montrer qu'ils ont la "liberté" de détruire l'ordre des choses, qu'ils ont la "liberté" d'enculer le monde et l'ordre des choses s'ils en ont envie... en quelque part, que leur égo (ce qu'ils croient vouloir) est tout-puissant, plus puissant que leur inconscient (ce qu'ils veulent vraiment, indépendamment de leur volonté consciente de pouvoir "choisir" ce qu'ils veulent / ce que "Dieu" veut / ce qui est conforme à l'ordre de la création).
C'est que de l'amour putain !
il y a un jour
L'homosexualité est une addiction comme une autre.
Les homosexuels sont des addicts à une pratique sale et nocive. Certains ont honte de cette addiction et essayent de lutter contre, alors que certains prennent un malin plaisir à essayer de convertir d'autres gens à cette addiction, comme par exemple Gabriel Anal qui s'attaque aux gosses afin de leur inculquer cette addiction dès le plus jeune âge, lorsqu'ils n'ont pas encore les mots pour refuser (cf. cette abomination qu'est le "programme EVARS").
Comme toute addiction, le seul moyen de s'en debarasser c'est surtout le sevrage, et à la limite un peu de psychothérapie pour comprendre l'origine de cette addiction, et quelle place cette addiction vient boucher.
Même si la psychothérapie ne va jamais faire disparaitre l'addiction par magie: il faut forcément que l'addict se fasse violence pour se sevrer, dans un premier temps.
Mais dire que quelqu'un est homosexuel de nature, c'est aussi absurde que de dire que quelqu'un est héroïnomane de nature.
Les petits garçons qui, adolescents, se retrouvent portés vers l'homosexualité, c'est parce qu'ils ont subi des sévices et des humiliations au cours de leur enfance, qui les a rendus addicts au pic de jouissance que procure le fait d'être humilié ou de se vautrer dans le mal. Ou alors souvent, ils ont été groomés par leur mère, qui voulait que son petit garçon ne se lie jamais à une autre femme qu'elle.
Il y a une dimension narcissique aussi dans l'homosexualité : l'homosexuel est resté fixé sur l'image du petit garçon fétiche qu'il était pour sa mère.
C'est pour ça que les homosexuels sont souvent lisses, juvéniles, trop propres et trop polis (ils sont restés le petit garçon parfait, gode vivant de sa mère, "bouche-féminité" de sa mère).
C'est aussi pour ça que les gays sont les meilleurs amis des femmes. Il reproduisent avec leurs "amies" femmes la même relation de petit fétiche qu'ils avaient, enfant, avec leur mère. Mais c'est au fond une relation extrêmement perverse: l'homosexuel se fait gode vivant de ses amies femmes, et tant que ces amies ont ce gode vivant qui les parasite en restant à boucher leur chatte, elle n'ont pas la place pour accueillir un homme (tout ceci est à prendre au sens métaphorique).
Ils sont portés vers d'autres hommes qui présentent cette même image, justement dans la mesure où ces autres hommes sont leurs clones. Au fond, l'homosexualité, c'est l'angoisse face à l'autre, face à la différence, face à l'autre le plus radical qui soit, à savoir la femme (ou le juif). Par exemple, dans l'islam, il y a une dimension d'angoisse face à l'autre:: d'où une dimension antisémite, misogyne et homosexuelle dans l'islam (très bien décrite par Claude Lévi-Strauss dans "Tristes tropiques" http://kiosquenet.free.fr[...]ss-Tristes-tropiques.html).
Cette forme d'homosexualité que je décris (narcissisme, fétichisme de sa propre image, "bouchage" opportuniste du trou de la femme pour la séparer de l'homme) est une homosexualité de type "pervers".
Il y a une autre forme d'homosexualité de type "psychotique" mais c'est encore plus bizarre. C'est par exemple les homosexuels qui iront jusqu'à se castrer (on en a un exemple sur le forum). Pour le coup, il ne s'agit pas de perversion mais véritablement de psychose. Ce type d'homosexuels n'est pas maléfique comme le "gay meilleur ami des femmes", mais est tout simplement fou, et son délire le pousse à la déréalisation parfois jusqu'à l'auto-castration (puisque la fonction du phallus incarne justement le principe de réalité). Pour un exemple très éloquent de ce type, vous pouvez lire les Mémoires de Daniel Paul Schreber ("Denkwürdigkeiten eines Nervenkranken"), où un psychotique du 19ème décrit de manière extrêmement riche ses délires ou il subit une féminisation de la part de Dieu (il se décrit comme devenant la femelle, voire presque le vide-couilles de Dieu).
D'ailleurs, le terme de "hétérosexuel" a été inventé par des homosexuels et est à proscrire, car il contribue a placer l'homosexualité et l'hétérosexualité sur un même plan, comme le choix d'une classe dans un RPG.
Ce qui est faux car tous les hommes sont faits pour une femme, et un homosexuel n'est qu'un homme appelé à épouser une femme mais tombé (temporairement) dans une aliénation.
C'est comme si on inventait le terme "énélicophile" pour désigner les adultes attirés sexuellement par des adultes. D'office, ça ferait apparaître l'énélicophilie comme une option parmi d'autres et ça tendrait à normaliser la pédophilie.
Les homosexuels sont des addicts à une pratique sale et nocive. Certains ont honte de cette addiction et essayent de lutter contre, alors que certains prennent un malin plaisir à essayer de convertir d'autres gens à cette addiction, comme par exemple Gabriel Anal qui s'attaque aux gosses afin de leur inculquer cette addiction dès le plus jeune âge, lorsqu'ils n'ont pas encore les mots pour refuser (cf. cette abomination qu'est le "programme EVARS").
Comme toute addiction, le seul moyen de s'en debarasser c'est surtout le sevrage, et à la limite un peu de psychothérapie pour comprendre l'origine de cette addiction, et quelle place cette addiction vient boucher.
Même si la psychothérapie ne va jamais faire disparaitre l'addiction par magie: il faut forcément que l'addict se fasse violence pour se sevrer, dans un premier temps.
Mais dire que quelqu'un est homosexuel de nature, c'est aussi absurde que de dire que quelqu'un est héroïnomane de nature.
Les petits garçons qui, adolescents, se retrouvent portés vers l'homosexualité, c'est parce qu'ils ont subi des sévices et des humiliations au cours de leur enfance, qui les a rendus addicts au pic de jouissance que procure le fait d'être humilié ou de se vautrer dans le mal. Ou alors souvent, ils ont été groomés par leur mère, qui voulait que son petit garçon ne se lie jamais à une autre femme qu'elle.
Il y a une dimension narcissique aussi dans l'homosexualité : l'homosexuel est resté fixé sur l'image du petit garçon fétiche qu'il était pour sa mère.
C'est pour ça que les homosexuels sont souvent lisses, juvéniles, trop propres et trop polis (ils sont restés le petit garçon parfait, gode vivant de sa mère, "bouche-féminité" de sa mère).
C'est aussi pour ça que les gays sont les meilleurs amis des femmes. Il reproduisent avec leurs "amies" femmes la même relation de petit fétiche qu'ils avaient, enfant, avec leur mère. Mais c'est au fond une relation extrêmement perverse: l'homosexuel se fait gode vivant de ses amies femmes, et tant que ces amies ont ce gode vivant qui les parasite en restant à boucher leur chatte, elle n'ont pas la place pour accueillir un homme (tout ceci est à prendre au sens métaphorique).
Ils sont portés vers d'autres hommes qui présentent cette même image, justement dans la mesure où ces autres hommes sont leurs clones. Au fond, l'homosexualité, c'est l'angoisse face à l'autre, face à la différence, face à l'autre le plus radical qui soit, à savoir la femme (ou le juif). Par exemple, dans l'islam, il y a une dimension d'angoisse face à l'autre:: d'où une dimension antisémite, misogyne et homosexuelle dans l'islam (très bien décrite par Claude Lévi-Strauss dans "Tristes tropiques" http://kiosquenet.free.fr[...]ss-Tristes-tropiques.html).
Cette forme d'homosexualité que je décris (narcissisme, fétichisme de sa propre image, "bouchage" opportuniste du trou de la femme pour la séparer de l'homme) est une homosexualité de type "pervers".
Il y a une autre forme d'homosexualité de type "psychotique" mais c'est encore plus bizarre. C'est par exemple les homosexuels qui iront jusqu'à se castrer (on en a un exemple sur le forum). Pour le coup, il ne s'agit pas de perversion mais véritablement de psychose. Ce type d'homosexuels n'est pas maléfique comme le "gay meilleur ami des femmes", mais est tout simplement fou, et son délire le pousse à la déréalisation parfois jusqu'à l'auto-castration (puisque la fonction du phallus incarne justement le principe de réalité). Pour un exemple très éloquent de ce type, vous pouvez lire les Mémoires de Daniel Paul Schreber ("Denkwürdigkeiten eines Nervenkranken"), où un psychotique du 19ème décrit de manière extrêmement riche ses délires ou il subit une féminisation de la part de Dieu (il se décrit comme devenant la femelle, voire presque le vide-couilles de Dieu).
D'ailleurs, le terme de "hétérosexuel" a été inventé par des homosexuels et est à proscrire, car il contribue a placer l'homosexualité et l'hétérosexualité sur un même plan, comme le choix d'une classe dans un RPG.
Ce qui est faux car tous les hommes sont faits pour une femme, et un homosexuel n'est qu'un homme appelé à épouser une femme mais tombé (temporairement) dans une aliénation.
C'est comme si on inventait le terme "énélicophile" pour désigner les adultes attirés sexuellement par des adultes. D'office, ça ferait apparaître l'énélicophilie comme une option parmi d'autres et ça tendrait à normaliser la pédophilie.
Patoche
il y a un jour




















