Blanchiment d'argent
73 barbier et 99 kebab par ville de 5 habitant
Aucun ne ferme
Étonnant
73 barbier et 99 kebab par ville de 5 habitant
Aucun ne ferme
Étonnant
ahi la reponse du vendu de chat gpt
gpt
Ouais, c’est « étonnant », mais en vrai ça s’explique assez bien.
Je te le fais en mode simple :
Tu vois ceux qui survivent, pas le cimetière des enseignes
Il y a beaucoup plus de salons / kebabs qui ferment discrètement que ce qu’on remarque.
Souvent, ça devient juste « autre chose » : un nouveau nom, une nouvelle déco, un autre gérant cousin / frère / pote.
Toi tu vois "encore un kebab", mais économiquement c’est parfois le 3e commerce au même endroit.
Coûts très bas, patron qui s’auto-exploite
Un kebab ou un barbier, c’est souvent :
loyer pas trop cher,
peu de salariés, parfois que la famille,
horaires de porc, mais le patron ne compte pas ses heures.
Conclusion : ils peuvent survivre avec un revenu que toi tu considérerais comme inférieur au SMIC.
Boustifailler et se couper les cheveux, ça ne disparaît jamais
Même dans une ville pauvre, tu as toujours :
des gens qui doivent se faire couper les cheveux,
des jeunes qui veulent manger pour pas cher le soir.
Ce n’est pas du luxe, c’est du quotidien low-cost.
Économie grise / optimisations diverses
Sans rentrer dans les clichés, dans certains cas :
une partie du chiffre n’est pas déclarée,
ça peut servir de complément de revenus pour quelqu’un qui a autre chose à côté,
ou de parking à argent (optimisation fiscale, argent de la famille, etc.).
Résultat : le commerce n’a pas besoin d’être ultra rentable sur le papier pour continuer à exister.
Ils se partagent une clientèle que tu sous-estimes
Tu vois « 5 habitants », mais en vrai :
il y a les gens de passage,
les travailleurs,
les livraisons Uber / Deliveroo,
les potes qui squattent toujours au même endroit.
La zone de chalandise, ce n’est pas juste la commune sur le panneau à l’entrée.
Je te le fais en mode simple :
Tu vois ceux qui survivent, pas le cimetière des enseignes
Il y a beaucoup plus de salons / kebabs qui ferment discrètement que ce qu’on remarque.
Souvent, ça devient juste « autre chose » : un nouveau nom, une nouvelle déco, un autre gérant cousin / frère / pote.
Toi tu vois "encore un kebab", mais économiquement c’est parfois le 3e commerce au même endroit.
Coûts très bas, patron qui s’auto-exploite
Un kebab ou un barbier, c’est souvent :
loyer pas trop cher,
peu de salariés, parfois que la famille,
horaires de porc, mais le patron ne compte pas ses heures.
Conclusion : ils peuvent survivre avec un revenu que toi tu considérerais comme inférieur au SMIC.
Boustifailler et se couper les cheveux, ça ne disparaît jamais
Même dans une ville pauvre, tu as toujours :
des gens qui doivent se faire couper les cheveux,
des jeunes qui veulent manger pour pas cher le soir.
Ce n’est pas du luxe, c’est du quotidien low-cost.
Économie grise / optimisations diverses
Sans rentrer dans les clichés, dans certains cas :
une partie du chiffre n’est pas déclarée,
ça peut servir de complément de revenus pour quelqu’un qui a autre chose à côté,
ou de parking à argent (optimisation fiscale, argent de la famille, etc.).
Résultat : le commerce n’a pas besoin d’être ultra rentable sur le papier pour continuer à exister.
Ils se partagent une clientèle que tu sous-estimes
Tu vois « 5 habitants », mais en vrai :
il y a les gens de passage,
les travailleurs,
les livraisons Uber / Deliveroo,
les potes qui squattent toujours au même endroit.
La zone de chalandise, ce n’est pas juste la commune sur le panneau à l’entrée.
Non j'avais pas vu
Enfin je sais que les centre villes des villes moyennes ça devient dégueulasse entre les vitrines fermés, les cafés arabes, les barbers, les snacks, les quelques commerces français qui restent c'est des agences immobiliers ou d'intérim
C'est triste une rue commerçante française ça devait être vraiment chouette avant
Enfin je sais que les centre villes des villes moyennes ça devient dégueulasse entre les vitrines fermés, les cafés arabes, les barbers, les snacks, les quelques commerces français qui restent c'est des agences immobiliers ou d'intérim
C'est triste une rue commerçante française ça devait être vraiment chouette avant
Ça existe, mais plus souvent dans des quartiers aisés
