Ce sujet a été résolu
Pierre-Nicolas Nups, Secrétaire général du Parti de la France, a enchaîné les masterclass devant les médias à Verdun samedi 15 novembre. Voici un florilège de punchlines que vous ne verrez sans doute pas à la télé:
A chaque problème sa solution
il y a un jour
"Je ne m'étendrais pas à ce sujet parce que les débats ne sont pas libres."
"Je ne conteste absolument rien, je respecte la loi
"
Ca me fait penser au 18-25
"Je ne conteste absolument rien, je respecte la loi
Ca me fait penser au 18-25
A chaque problème sa solution
il y a un jour
il y a un jour
Le génial Nups ne compte pas laisser Hazard tranquille
Il ne bluff pas

Lettre ouverte à Samuel Hazard qui, le 16 novembre 2025, a mis en cause le Parti de la France dont je suis un représentant.
Monsieur le Maire,
La Cour européenne des droits de l’homme, dans l’arrêt Lehideux et Isorni c. France du 23 septembre 1998, a jugé que la condamnation pénale d’un article prenant la défense du maréchal Pétain violait l’article 10 de la Convention européenne.
Elle a considéré que ce texte, qui ne niait ni ne minimisait les crimes nazis, s’inscrivait dans un débat historique sur le rôle de Pétain et relevait, à ce titre, de la liberté d’expression dans une société démocratique.
Autrement dit, la CEDH a rappelé que le fait de défendre ou de discuter la politique du maréchal Pétain, dès lors que l’on ne tombe pas dans la négation ou l’apologie des crimes nazis, relève du débat démocratique et de la recherche de la vérité historique, et ne peut, en soi, être criminalisé.
S’agissant du chant « Maréchal, nous voilà », il n'est pas interdit de le chanter.
Vous avez tenté d’interdire un office religieux pour le repos de l’âme d’un défunt. Votre arrêté a été suspendu par le tribunal administratif de Nancy, qui a rappelé la protection de la liberté de culte et enjoint au préfet et à toutes autorités compétentes de faire respecter sa décision.
En dépit de cela, un dispositif de police a été mis en place de telle sorte qu’il m’a été - ainsi qu'à une dizaine d'autres personnes dont j'ai requis les témoignages - matériellement impossible d’accéder à la messe en passant par les accès habituels.
Vous avez, de votre côté, appelé à vous rendre sur place et déclaré à la presse que vous seriez présent pour, je vous cite, « faire barrage de votre corps ».
Vous avez également qualifié de « lâches » les personnes qui, n’ayant pu passer par les portes principales d’une église close, ont rejoint la cérémonie par le presbytère.
Je ne vous prends pas en traître et j’avance à visage découvert.
Je vous informe donc que j’ai saisi l’Inspection générale de la Police nationale (IGPN) d’un signalement détaillé sur le dispositif de police mis en place à Verdun le 15 novembre 2025, afin que soient précisées les circonstances et la chaîne de décision ayant conduit à ce dispositif. J'ai relevé les matricules.
Un commissaire divisionnaire bloquant la rue Félix-Liénard donnant accès au presbytère m’a indiqué, à 11h47, agir sur « instruction hiérarchique », sans autre précision. Est-ce vous qui avez donné ces instructions ? Ou bien le préfet ? Cette question, aujourd’hui, est posée officiellement.
Je me permets de rappeler à ce sujet l’article 432-1 du code pénal :
« Le fait, par une personne dépositaire de l’autorité publique, agissant dans l’exercice de ses fonctions, de prendre des mesures destinées à faire échec à l’exécution de la loi est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende. »
Parmi les personnes à qui l’accès à la messe a été refusé, figurait notamment un citoyen belge et israélite, venu de l'étranger avec son épouse, dont j’ai recueilli le témoignage et les coordonnées.
Est-ce parce qu’ils étaient belges, parce qu’ils étaient juifs, ou simplement parce qu’ils entendaient assister à cet office, qu’ils se sont vu interdire l’entrée par le dispositif mis en place ?
Je n’en sais rien, mais la question de l’éventuel caractère discriminatoire de ces mesures se posera.
Les événements dont je me plains ont été intégralement filmés, à la fois par plusieurs médias nationaux et régionaux présents sur place, et par mon adjoint, qui m’a accompagné durant toute la séquence.
Ces enregistrements montrent que, tout au long de mes échanges avec les fonctionnaires de police, je suis demeuré parfaitement courtois et calme, me bornant à leur demander s’il m’était possible d’accéder à l’église, puis à solliciter des précisions sur l’autorité ayant donné l’instruction de barrer le passage. J'ai fourni ces enregistrements à l'IGPN.
J’ai, par ailleurs, saisi le préfet de la Meuse d’une demande indemnitaire, fondée notamment sur l’ordonnance de référé du tribunal administratif de Nancy du 14 novembre 2025, qui a suspendu votre arrêté d’interdiction, et sur l’atteinte portée, en pratique, à ma liberté de culte par le dispositif de police du 15 novembre.
Vous revendiquez la défense de la République.
Je revendique, pour ma part, le respect des décisions de justice, la liberté de culte, et le droit, reconnu par la Cour européenne, de débattre librement de l’histoire de notre pays, y compris lorsque ce débat vous déplaît.
Pierre-Nicolas NUPS,
Secrétaire général du Parti de la France.
Monsieur le Maire,
La Cour européenne des droits de l’homme, dans l’arrêt Lehideux et Isorni c. France du 23 septembre 1998, a jugé que la condamnation pénale d’un article prenant la défense du maréchal Pétain violait l’article 10 de la Convention européenne.
Elle a considéré que ce texte, qui ne niait ni ne minimisait les crimes nazis, s’inscrivait dans un débat historique sur le rôle de Pétain et relevait, à ce titre, de la liberté d’expression dans une société démocratique.
Autrement dit, la CEDH a rappelé que le fait de défendre ou de discuter la politique du maréchal Pétain, dès lors que l’on ne tombe pas dans la négation ou l’apologie des crimes nazis, relève du débat démocratique et de la recherche de la vérité historique, et ne peut, en soi, être criminalisé.
S’agissant du chant « Maréchal, nous voilà », il n'est pas interdit de le chanter.
Vous avez tenté d’interdire un office religieux pour le repos de l’âme d’un défunt. Votre arrêté a été suspendu par le tribunal administratif de Nancy, qui a rappelé la protection de la liberté de culte et enjoint au préfet et à toutes autorités compétentes de faire respecter sa décision.
En dépit de cela, un dispositif de police a été mis en place de telle sorte qu’il m’a été - ainsi qu'à une dizaine d'autres personnes dont j'ai requis les témoignages - matériellement impossible d’accéder à la messe en passant par les accès habituels.
Vous avez, de votre côté, appelé à vous rendre sur place et déclaré à la presse que vous seriez présent pour, je vous cite, « faire barrage de votre corps ».
Vous avez également qualifié de « lâches » les personnes qui, n’ayant pu passer par les portes principales d’une église close, ont rejoint la cérémonie par le presbytère.
Je ne vous prends pas en traître et j’avance à visage découvert.
Je vous informe donc que j’ai saisi l’Inspection générale de la Police nationale (IGPN) d’un signalement détaillé sur le dispositif de police mis en place à Verdun le 15 novembre 2025, afin que soient précisées les circonstances et la chaîne de décision ayant conduit à ce dispositif. J'ai relevé les matricules.
Un commissaire divisionnaire bloquant la rue Félix-Liénard donnant accès au presbytère m’a indiqué, à 11h47, agir sur « instruction hiérarchique », sans autre précision. Est-ce vous qui avez donné ces instructions ? Ou bien le préfet ? Cette question, aujourd’hui, est posée officiellement.
Je me permets de rappeler à ce sujet l’article 432-1 du code pénal :
« Le fait, par une personne dépositaire de l’autorité publique, agissant dans l’exercice de ses fonctions, de prendre des mesures destinées à faire échec à l’exécution de la loi est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende. »
Parmi les personnes à qui l’accès à la messe a été refusé, figurait notamment un citoyen belge et israélite, venu de l'étranger avec son épouse, dont j’ai recueilli le témoignage et les coordonnées.
Est-ce parce qu’ils étaient belges, parce qu’ils étaient juifs, ou simplement parce qu’ils entendaient assister à cet office, qu’ils se sont vu interdire l’entrée par le dispositif mis en place ?
Je n’en sais rien, mais la question de l’éventuel caractère discriminatoire de ces mesures se posera.
Les événements dont je me plains ont été intégralement filmés, à la fois par plusieurs médias nationaux et régionaux présents sur place, et par mon adjoint, qui m’a accompagné durant toute la séquence.
Ces enregistrements montrent que, tout au long de mes échanges avec les fonctionnaires de police, je suis demeuré parfaitement courtois et calme, me bornant à leur demander s’il m’était possible d’accéder à l’église, puis à solliciter des précisions sur l’autorité ayant donné l’instruction de barrer le passage. J'ai fourni ces enregistrements à l'IGPN.
J’ai, par ailleurs, saisi le préfet de la Meuse d’une demande indemnitaire, fondée notamment sur l’ordonnance de référé du tribunal administratif de Nancy du 14 novembre 2025, qui a suspendu votre arrêté d’interdiction, et sur l’atteinte portée, en pratique, à ma liberté de culte par le dispositif de police du 15 novembre.
Vous revendiquez la défense de la République.
Je revendique, pour ma part, le respect des décisions de justice, la liberté de culte, et le droit, reconnu par la Cour européenne, de débattre librement de l’histoire de notre pays, y compris lorsque ce débat vous déplaît.
Pierre-Nicolas NUPS,
Secrétaire général du Parti de la France.
A chaque problème sa solution
il y a un jour
Vous pensez qu'ils font mouiller les meufs les mecs du pdf
parce qu'ils méritent
il y a un jour
Vous pensez qu'ils font mouiller les meufs les mecs du pdf
parce qu'ils méritent
Askip le Nups a déjà fait des trucs avec la douce Epona
A chaque problème sa solution
il y a un jour
-Les gens qui ne sont pas content, je vais parler un peu vulgairement mais ils n'ont qu'à aller chier dans leur caisse.
https://www.facebook.com/reel/1354799988864777
Ayaaaaa
Ayaaaaa
A chaque problème sa solution
il y a un jour
Doctorant en FACESITTING
il y a un jour
"Quand on voit ce que 80 ans de victoire des Autres ont donné, je n'ai qu'un sentiment, un immense REGRET
"
A chaque problème sa solution
il y a un jour
C'est plus une balle, c'est un strapon volant
Si ma réponse est dépourvue de stickers, c'est qu'elle est à prendre au premier degré.
il y a un jour
Askip le Nups a déjà fait des trucs avec la douce Epona
il y a 20 heures
"Quand on voit ce que 80 ans de victoire des Autres ont donné, je n'ai qu'un sentiment, un immense REGRET
"
Je ne cautionne évidemment pas
PAYSAN-chan
qui pompe 200k€ de PAC, mieux que ton RSA
il y a 20 heures
Pierre-Nicolas Nups, Secrétaire général du Parti de la France, a enchaîné les masterclass devant les médias à Verdun samedi 15 novembre. Voici un florilège de punchlines que vous ne verrez sans doute pas à la télé:
Mais c’est quoi la version de la chanson à la fin de la vidéo ?
FREE
il y a 20 heures
Il a écrit une nouvelle lettre au maire
" ( je dors 4 heures par nuit ) "
Ayaaaaa c'est Tyler Durden le mec
Lettre ouverte à Monsieur Samuel Hazard, Maire de Verdun.
Monsieur le Maire,
Je ne vous prends pas en traître.
Je vous écris cette lettre ouverte, faisant suite à la précédente où je vous annonçais avoir saisi l’IGPN pour des faits survenus samedi dans votre commune, afin que vous soyez parfaitement informé de ce qui va arriver.
Vous considérez manifestement que toute contestation de votre action municipale relèverait de la "nostalgie de Vichy" ou d’une “extrême droite” illégitime. Je vous annonce que vous allez découvrir, pour la première fois de votre vie, ce qu’est une véritable opposition municipale.
Dans les prochains mois, je lancerai une campagne de recrutement d’opposants locaux. Je diffuserai, sur les supports autorisés, un visuel reprenant une photographie de vous, libre de droit, associée au slogan :
« Ton maire est mauvais ? Deviens maire à sa place en scannant le QR code ! »
Ce QR code renverra vers un formulaire permettant aux habitants de s’engager pour constituer une liste d’opposition municipale. Je me chargerai personnellement de la direction et de la coordination de cette campagne.
La même démarche sera engagée à Neuves-Maisons à l’égard de votre collègue socialiste.
Que vous soyez réélus ou non, vous aurez désormais en face de vous des élus d’opposition déterminés, présents en séance, et parfaitement au courant de leurs droits. J'y veillerai et je rédigerai personnellement leurs fiches.
Je vous indique très clairement que, si nous siégeons dans les conseils municipaux, je ferai ABSOLUMENT TOUT ce que le droit offre à une opposition pour vous contrôler et vous contester, dans le strict cadre de la loi :
- intervenir systématiquement en séance sur les délibérations importantes, pour exiger des explications précises sur vos choix ;
- demander, dès que possible, des votes nominatifs, afin que chaque élu de votre majorité assume publiquement ses positions ;
- déposer des amendements sur les délibérations clés (budget, subventions, conventions) pour vous obliger à vous justifier point par point ;
- utiliser à fond le débat budgétaire pour contester vos priorités, en examinant et en discutant les dépenses ligne par ligne ( je dors 4 heures par nuit ) ;
- déposer des vœux et motions d’opposition sur les questions de sécurité, de fiscalité, d’urbanisme ou de politique locale, afin de vous obliger à vous positionner clairement ;
- exercer pleinement le droit à l’information des conseillers municipaux (article L.2121-13 du CGCT), en demandant communication de tous les documents nécessaires : contrats, marchés publics, études, conventions, rapports ;
- obtenir et analyser les marchés publics et contrats importants (communication, études, délégations de service public), pour en révéler les faiblesses, les coûts excessifs ou les incohérences ;
- déposer des questions écrites régulières pour obtenir des réponses sur la sécurité, les dépenses, les subventions, la gestion du personnel et les choix d’urbanisme ;
- demander l’inscription de points à l’ordre du jour, chaque fois que le droit le permet, pour contraindre la majorité à débattre de sujets qu’elle préfère éviter ;
- saisir le préfet chaque fois qu’une délibération ou une décision semblera irrégulière, en lui demandant d’exercer son contrôle de légalité ;
- engager des recours devant le tribunal administratif contre les délibérations et décisions que nous estimerons contraires au droit, pour les faire annuler ou retarder ;
- alerter la Chambre régionale des comptes sur les irrégularités de gestion ou les dérives financières que nous constaterions ;
- surveiller la communication municipale (journal, site, réseaux) pour dénoncer toute dérive de propagande financée par l’argent public ;
- exiger et utiliser pleinement les espaces d’expression réservés à l’opposition dans les supports municipaux, afin d’y exposer, noir sur blanc, tout ce que votre majorité ne veut pas voir discuté ;
- rendre publiques, à chaque fois, toutes les informations gênantes que nous aurons obtenues : rapports, études, chiffres, décisions, par le biais de communiqués, de réunions publiques et des réseaux sociaux ;
- être présents à toutes les réunions publiques, inaugurations et manifestations officielles pour poser les questions embarrassantes que personne ne vous pose ;
- rencontrer régulièrement les habitants, commerçants, associations, pour recueillir leurs doléances et les porter officiellement en conseil municipal ;
- structurer une véritable équipe d’opposition, avec des référents par thème (finances, urbanisme, écoles, sécurité, culture) qui suivront vos dossiers à la trace ;
- utiliser les réseaux sociaux locaux pour rendre compte de chaque séance, de chaque vote, de chaque dépense contestable, afin que les électeurs sachent précisément comment vous gérez leur commune ;
- contester les irrégularités de forme (délais, documents incomplets, convocations) en les signalant en séance, en les consignant au procès-verbal et, si nécessaire, en les attaquant devant le juge ;
- refuser les unanimités de confort : nous n’accorderons ni blanc-seing ni approbation de principe à vos choix ; chaque vote de notre part sera réfléchi, expliqué, assumé ;
- demander la captation vidéo et la diffusion intégrale des conseils municipaux, et dénoncer publiquement tout refus de transparence en la matière.
La première chose que nous exigerons sera un audit précis des finances communales et des principaux contrats : nous demanderons des explications publiques, ligne par ligne, sur l’usage de l’argent des contribuables.
Et, par principe, nous utiliserons pleinement notre droit de vote et de parole pour nous opposer à vos choix politiques chaque fois que nous les jugerons contraires à l’intérêt de la commune et de ses habitants.
Vous revendiquez la défense de la République. Nous revendiquerons, nous, l’usage intégral des droits que la République reconnaît à l’opposition municipale : contrôle, transparence, contradiction et préparation d’une alternance.
Je n’ai pas l’intention de vous insulter ; j’ai l’intention de vous opposer une résistance politique méthodique, jusqu’au bout de ce que la loi permet.
Plus familièrement, vous gouterez à votre propre médecine... républicaine.
Pierre-Nicolas Nups - Secrétaire général du Parti de la France
PS : bien sûr, c'est en admettant que vous soyez réélu.
Monsieur le Maire,
Je ne vous prends pas en traître.
Je vous écris cette lettre ouverte, faisant suite à la précédente où je vous annonçais avoir saisi l’IGPN pour des faits survenus samedi dans votre commune, afin que vous soyez parfaitement informé de ce qui va arriver.
Vous considérez manifestement que toute contestation de votre action municipale relèverait de la "nostalgie de Vichy" ou d’une “extrême droite” illégitime. Je vous annonce que vous allez découvrir, pour la première fois de votre vie, ce qu’est une véritable opposition municipale.
Dans les prochains mois, je lancerai une campagne de recrutement d’opposants locaux. Je diffuserai, sur les supports autorisés, un visuel reprenant une photographie de vous, libre de droit, associée au slogan :
« Ton maire est mauvais ? Deviens maire à sa place en scannant le QR code ! »
Ce QR code renverra vers un formulaire permettant aux habitants de s’engager pour constituer une liste d’opposition municipale. Je me chargerai personnellement de la direction et de la coordination de cette campagne.
La même démarche sera engagée à Neuves-Maisons à l’égard de votre collègue socialiste.
Que vous soyez réélus ou non, vous aurez désormais en face de vous des élus d’opposition déterminés, présents en séance, et parfaitement au courant de leurs droits. J'y veillerai et je rédigerai personnellement leurs fiches.
Je vous indique très clairement que, si nous siégeons dans les conseils municipaux, je ferai ABSOLUMENT TOUT ce que le droit offre à une opposition pour vous contrôler et vous contester, dans le strict cadre de la loi :
- intervenir systématiquement en séance sur les délibérations importantes, pour exiger des explications précises sur vos choix ;
- demander, dès que possible, des votes nominatifs, afin que chaque élu de votre majorité assume publiquement ses positions ;
- déposer des amendements sur les délibérations clés (budget, subventions, conventions) pour vous obliger à vous justifier point par point ;
- utiliser à fond le débat budgétaire pour contester vos priorités, en examinant et en discutant les dépenses ligne par ligne ( je dors 4 heures par nuit ) ;
- déposer des vœux et motions d’opposition sur les questions de sécurité, de fiscalité, d’urbanisme ou de politique locale, afin de vous obliger à vous positionner clairement ;
- exercer pleinement le droit à l’information des conseillers municipaux (article L.2121-13 du CGCT), en demandant communication de tous les documents nécessaires : contrats, marchés publics, études, conventions, rapports ;
- obtenir et analyser les marchés publics et contrats importants (communication, études, délégations de service public), pour en révéler les faiblesses, les coûts excessifs ou les incohérences ;
- déposer des questions écrites régulières pour obtenir des réponses sur la sécurité, les dépenses, les subventions, la gestion du personnel et les choix d’urbanisme ;
- demander l’inscription de points à l’ordre du jour, chaque fois que le droit le permet, pour contraindre la majorité à débattre de sujets qu’elle préfère éviter ;
- saisir le préfet chaque fois qu’une délibération ou une décision semblera irrégulière, en lui demandant d’exercer son contrôle de légalité ;
- engager des recours devant le tribunal administratif contre les délibérations et décisions que nous estimerons contraires au droit, pour les faire annuler ou retarder ;
- alerter la Chambre régionale des comptes sur les irrégularités de gestion ou les dérives financières que nous constaterions ;
- surveiller la communication municipale (journal, site, réseaux) pour dénoncer toute dérive de propagande financée par l’argent public ;
- exiger et utiliser pleinement les espaces d’expression réservés à l’opposition dans les supports municipaux, afin d’y exposer, noir sur blanc, tout ce que votre majorité ne veut pas voir discuté ;
- rendre publiques, à chaque fois, toutes les informations gênantes que nous aurons obtenues : rapports, études, chiffres, décisions, par le biais de communiqués, de réunions publiques et des réseaux sociaux ;
- être présents à toutes les réunions publiques, inaugurations et manifestations officielles pour poser les questions embarrassantes que personne ne vous pose ;
- rencontrer régulièrement les habitants, commerçants, associations, pour recueillir leurs doléances et les porter officiellement en conseil municipal ;
- structurer une véritable équipe d’opposition, avec des référents par thème (finances, urbanisme, écoles, sécurité, culture) qui suivront vos dossiers à la trace ;
- utiliser les réseaux sociaux locaux pour rendre compte de chaque séance, de chaque vote, de chaque dépense contestable, afin que les électeurs sachent précisément comment vous gérez leur commune ;
- contester les irrégularités de forme (délais, documents incomplets, convocations) en les signalant en séance, en les consignant au procès-verbal et, si nécessaire, en les attaquant devant le juge ;
- refuser les unanimités de confort : nous n’accorderons ni blanc-seing ni approbation de principe à vos choix ; chaque vote de notre part sera réfléchi, expliqué, assumé ;
- demander la captation vidéo et la diffusion intégrale des conseils municipaux, et dénoncer publiquement tout refus de transparence en la matière.
La première chose que nous exigerons sera un audit précis des finances communales et des principaux contrats : nous demanderons des explications publiques, ligne par ligne, sur l’usage de l’argent des contribuables.
Et, par principe, nous utiliserons pleinement notre droit de vote et de parole pour nous opposer à vos choix politiques chaque fois que nous les jugerons contraires à l’intérêt de la commune et de ses habitants.
Vous revendiquez la défense de la République. Nous revendiquerons, nous, l’usage intégral des droits que la République reconnaît à l’opposition municipale : contrôle, transparence, contradiction et préparation d’une alternance.
Je n’ai pas l’intention de vous insulter ; j’ai l’intention de vous opposer une résistance politique méthodique, jusqu’au bout de ce que la loi permet.
Plus familièrement, vous gouterez à votre propre médecine... républicaine.
Pierre-Nicolas Nups - Secrétaire général du Parti de la France
PS : bien sûr, c'est en admettant que vous soyez réélu.
" ( je dors 4 heures par nuit ) "
Ayaaaaa c'est Tyler Durden le mec
A chaque problème sa solution
il y a 19 heures
La dégaine du type
Pourquoi c'est toujours des gros cochon obèse avec une coupe de vieux bourge un peu beauf?
Pourquoi c'est toujours des gros cochon obèse avec une coupe de vieux bourge un peu beauf?
il y a 19 heures
GrandeGrange
19h
La dégaine du type
Pourquoi c'est toujours des gros cochon obèse avec une coupe de vieux bourge un peu beauf?
Pourquoi c'est toujours des gros cochon obèse avec une coupe de vieux bourge un peu beauf?
C’est la condition sine qua non pour être dans le parti de la France
il y a 19 heures
Je veille sur Onche City !
il y a 19 heures
C’est la condition sine qua non pour être dans le parti de la France
Comment tu veux être pris au sérieux comme ça ?
il y a 19 heures



























