Ce sujet a été résolu
PiegeTriste
14j
Avant je faisais quelques pavés exaltés sur ma tristresse, certains kheys m'appréciaent pour ça. Je ne sais plus comment j'ai pu trouver la force de les faire. Je n'ai plus l'envie que de cueillir les fruits déjà tombé à mes pieds, trop mûrs et pourris.
Je ne fais que multiplier les topics et les posts déprimants, quelques lignes tout au plus, puis répondre en boucle les mêmes messages aux kheys qui perdent leur temps avec moi.
Il faudrait m'envoyer au Purgatoire, que j'attende mon jugement sans m'humilier plus.
Je ne fais que multiplier les topics et les posts déprimants, quelques lignes tout au plus, puis répondre en boucle les mêmes messages aux kheys qui perdent leur temps avec moi.
Il faudrait m'envoyer au Purgatoire, que j'attende mon jugement sans m'humilier plus.
il y a 14 jours
Est-ce que tu te travestis toujours ?
il y a 14 jours
Je vais ignorer cette question
Si tu ne veux pas y répondre c'est peut-être parce que c'est une question importante.
C'est que de l'amour putain !
il y a 14 jours
Si tu ne veux pas y répondre c'est peut-être parce que c'est une question importante.
Non c'est juste que je sais que tu vas te focaliser sur ça et que je préfère me l'épargner
il y a 14 jours
Non c'est juste que je sais que tu vas te focaliser sur ça et que je préfère me l'épargner
Non mais je pense que tu vas peut-être dire que tu te travestis parce que "ça te plaît".
Alors que les activités que tu entreprends, tu les abandonnes parce qu'elles ne te "plaisent pas".
Peut-être que ton problème est lié à ce critère : faire quelque chose parce que "ça te plaît" ou non.
Alors que les activités que tu entreprends, tu les abandonnes parce qu'elles ne te "plaisent pas".
Peut-être que ton problème est lié à ce critère : faire quelque chose parce que "ça te plaît" ou non.
C'est que de l'amour putain !
il y a 14 jours
Par exemple, pour parler de mon cas, je fais de la musique ou j'étudie des trucs... C'est pas tellement parce que ça me plaît ou non. C'est surtout pour survivre.
C'est que de l'amour putain !
il y a 14 jours
Par exemple, pour parler de mon cas, je fais de la musique ou j'étudie des trucs... C'est pas tellement parce que ça me plaît ou non. C'est surtout pour survivre.
Je pense que la musique te plait et que les choses que tu étudies te plaisent, clé, sauf si tu me parles d'études universitaires ou de formation en cours qui te déplaît fortement mais que tu fais pour travailler dans un quelconque boulot après. Tu joues simplement sur les mots.
J'ai conscience de deux ou trois choses qui m'ont plu par moment et qui reviennent de temps à autres, la littérature surtout. Pour ce qui est de la survie pure, les minima sociaux me le permettent pour l'instant.
J'ai conscience de deux ou trois choses qui m'ont plu par moment et qui reviennent de temps à autres, la littérature surtout. Pour ce qui est de la survie pure, les minima sociaux me le permettent pour l'instant.
il y a 14 jours
Je pense que la musique te plait et que les choses que tu étudies te plaisent, clé, sauf si tu me parles d'études universitaires ou de formation en cours qui te déplaît fortement mais que tu fais pour travailler dans un quelconque boulot après. Tu joues simplement sur les mots.
J'ai conscience de deux ou trois choses qui m'ont plu par moment et qui reviennent de temps à autres, la littérature surtout. Pour ce qui est de la survie pure, les minima sociaux me le permettent pour l'instant.
J'ai conscience de deux ou trois choses qui m'ont plu par moment et qui reviennent de temps à autres, la littérature surtout. Pour ce qui est de la survie pure, les minima sociaux me le permettent pour l'instant.
Je ne parle pas de survie au sens de gagner de l'argent.
Je parle de survie au sens: rester actif pour ne pas tomber dans la dépression et pour ne pas devenir impuissant sexuellement.
En plus, j'ai zéro femme, zéro famille, aucun support , aucune bouée, donc la musique etc... c'est comme des coups de nage que je donne pour garder la tête hors de l'eau.
Du coup je ne le fais pas tellement parce que "ça me plaît" mais c'est par nécessité de survie. Que ça me plaise ou non, je serais obligé de le faire. Et je le fais souvent même si ça ne me plaît pas... Parfois travailler des exercices de solfège ce n'est pas un plaisir, ça demande de me faire violence, tout comme nager dans des courants tumultueux peut être fatigant.
Je parle de survie au sens: rester actif pour ne pas tomber dans la dépression et pour ne pas devenir impuissant sexuellement.
En plus, j'ai zéro femme, zéro famille, aucun support , aucune bouée, donc la musique etc... c'est comme des coups de nage que je donne pour garder la tête hors de l'eau.
Du coup je ne le fais pas tellement parce que "ça me plaît" mais c'est par nécessité de survie. Que ça me plaise ou non, je serais obligé de le faire. Et je le fais souvent même si ça ne me plaît pas... Parfois travailler des exercices de solfège ce n'est pas un plaisir, ça demande de me faire violence, tout comme nager dans des courants tumultueux peut être fatigant.
C'est que de l'amour putain !
il y a 14 jours
Branlito
14j
Retourne a l'HP pas le choix mon kheyou
il y a 14 jours
Je ne parle pas de survie au sens de gagner de l'argent.
Je parle de survie au sens: rester actif pour ne pas tomber dans la dépression et pour ne pas devenir impuissant sexuellement.
En plus, j'ai zéro femme, zéro famille, aucun support , aucune bouée, donc la musique etc... c'est comme des coups de nage que je donne pour garder la tête hors de l'eau.
Du coup je ne le fais pas tellement parce que "ça me plaît" mais c'est par nécessité de survie. Que ça me plaise ou non, je serais obligé de le faire. Et je le fais souvent même si ça ne me plaît pas... Parfois travailler des exercices de solfège ce n'est pas un plaisir, ça demande de me faire violence, tout comme nager dans des courants tumultueux peut être fatigant.
Je parle de survie au sens: rester actif pour ne pas tomber dans la dépression et pour ne pas devenir impuissant sexuellement.
En plus, j'ai zéro femme, zéro famille, aucun support , aucune bouée, donc la musique etc... c'est comme des coups de nage que je donne pour garder la tête hors de l'eau.
Du coup je ne le fais pas tellement parce que "ça me plaît" mais c'est par nécessité de survie. Que ça me plaise ou non, je serais obligé de le faire. Et je le fais souvent même si ça ne me plaît pas... Parfois travailler des exercices de solfège ce n'est pas un plaisir, ça demande de me faire violence, tout comme nager dans des courants tumultueux peut être fatigant.
Tu as débuté cette activité soit par tes parents, soit par toi-même parce qu'elle te plaisait. Je comprends bien que le mot de "plaire" et la notion de jouissance rebute aujourd'hui, et qu'on serait porté à imputer la source de mon malheur à une recherche vaine de cette jouissance, les désirs n'étant jamais comblés en permanence, et les plus grands plaisirs ne tombant qu'après des sacrifices et du travail ; enfin, dans ton cas tu rejettes dans ta description toute notion de plaisir à l'activité.
Mon problème est que j'ai perdu tout élan, depuis fort longtemps, vers une quelconque activité. L'élan qui est une forme d'enthousiasme, de plaisir pour une certaine activité, est comme l'aiguille qui pointe vers un but, une passion, et les récompenses en bonheur, en contemplation de choses plus belles ou bonnes derrière les sacrifices et le travail auxquels on s'astreindra dans cette activité.
Or cet élan, je ne l'ai pour rien, tout est fade, sans saveur, je ne me sens d'aptitude à rien, je suis plus proche d'un fantôme ou d'une chose morte, sans élan vital, que d'un être humain, créature animée de désirs sentimentaux et rationnels.
Mon problème est que j'ai perdu tout élan, depuis fort longtemps, vers une quelconque activité. L'élan qui est une forme d'enthousiasme, de plaisir pour une certaine activité, est comme l'aiguille qui pointe vers un but, une passion, et les récompenses en bonheur, en contemplation de choses plus belles ou bonnes derrière les sacrifices et le travail auxquels on s'astreindra dans cette activité.
Or cet élan, je ne l'ai pour rien, tout est fade, sans saveur, je ne me sens d'aptitude à rien, je suis plus proche d'un fantôme ou d'une chose morte, sans élan vital, que d'un être humain, créature animée de désirs sentimentaux et rationnels.
il y a 14 jours
Tu as débuté cette activité soit par tes parents, soit par toi-même parce qu'elle te plaisait. Je comprends bien que le mot de "plaire" et la notion de jouissance rebute aujourd'hui, et qu'on serait porté à imputer la source de mon malheur à une recherche vaine de cette jouissance, les désirs n'étant jamais comblés en permanence, et les plus grands plaisirs ne tombant qu'après des sacrifices et du travail ; enfin, dans ton cas tu rejettes dans ta description toute notion de plaisir à l'activité.
Mon problème est que j'ai perdu tout élan, depuis fort longtemps, vers une quelconque activité. L'élan qui est une forme d'enthousiasme, de plaisir pour une certaine activité, est comme l'aiguille qui pointe vers un but, une passion, et les récompenses en bonheur, en contemplation de choses plus belles ou bonnes derrière les sacrifices et le travail auxquels on s'astreindra dans cette activité.
Or cet élan, je ne l'ai pour rien, tout est fade, sans saveur, je ne me sens d'aptitude à rien, je suis plus proche d'un fantôme ou d'une chose morte, sans élan vital, que d'un être humain, créature animée de désirs sentimentaux et rationnels.
Mon problème est que j'ai perdu tout élan, depuis fort longtemps, vers une quelconque activité. L'élan qui est une forme d'enthousiasme, de plaisir pour une certaine activité, est comme l'aiguille qui pointe vers un but, une passion, et les récompenses en bonheur, en contemplation de choses plus belles ou bonnes derrière les sacrifices et le travail auxquels on s'astreindra dans cette activité.
Or cet élan, je ne l'ai pour rien, tout est fade, sans saveur, je ne me sens d'aptitude à rien, je suis plus proche d'un fantôme ou d'une chose morte, sans élan vital, que d'un être humain, créature animée de désirs sentimentaux et rationnels.
Oui tu décris très bien la chose.
Et effectivement, j'exagère lorsque je dis que je ne ressens pas de plaisir. C'est une conception dévoyée et excessivement puritaine de voir le plaisir et la jouissance comme quelque chose d'intrinsèquement mauvais. Mais disons que le plaisir que je trouve dans la musique, c'est justement parce que cette activité ne se réduit pas au plaisir qu'y prend ma petite personne... Mais c'est parce que ce faisant, je fais honneur à la volonté de mes parents de m'avoir inscrit à des cours de musique, et je fais honneur au Créateur d'avoir choisi de me placer dans une famille qui me ferait faire de la musique, de m'avoir donné la mission d'être musicien.
Pour faire plus court: le plaisir que je prends à la musique vient du fait que ce faisant, j'accomplis une mission qui m'a été donnée par quelqu'un de plus haut que moi. Je sais que le fait de faire de la musique accomplit la volonté de mon supérieur hiérarchique, et ce faisant, je ressens le plaisir du travail bien fait, comme un chevalier qui a plaisir à servir son roi.
Peut-être alors que ce qui te manque, c'est cette notion de "supérieur hiérarchique". Il ne suffit pas d'avoir une activité... Encore faut-il que cette activité ait un sens, et ce sens ne peut venir que de quelqu'un qui est "plus haut" que toi ou qui te précède, toi n'étant que le prochain maillon dans la chaine.
Et effectivement, j'exagère lorsque je dis que je ne ressens pas de plaisir. C'est une conception dévoyée et excessivement puritaine de voir le plaisir et la jouissance comme quelque chose d'intrinsèquement mauvais. Mais disons que le plaisir que je trouve dans la musique, c'est justement parce que cette activité ne se réduit pas au plaisir qu'y prend ma petite personne... Mais c'est parce que ce faisant, je fais honneur à la volonté de mes parents de m'avoir inscrit à des cours de musique, et je fais honneur au Créateur d'avoir choisi de me placer dans une famille qui me ferait faire de la musique, de m'avoir donné la mission d'être musicien.
Pour faire plus court: le plaisir que je prends à la musique vient du fait que ce faisant, j'accomplis une mission qui m'a été donnée par quelqu'un de plus haut que moi. Je sais que le fait de faire de la musique accomplit la volonté de mon supérieur hiérarchique, et ce faisant, je ressens le plaisir du travail bien fait, comme un chevalier qui a plaisir à servir son roi.
Peut-être alors que ce qui te manque, c'est cette notion de "supérieur hiérarchique". Il ne suffit pas d'avoir une activité... Encore faut-il que cette activité ait un sens, et ce sens ne peut venir que de quelqu'un qui est "plus haut" que toi ou qui te précède, toi n'étant que le prochain maillon dans la chaine.
C'est que de l'amour putain !
il y a 14 jours
Oui tu décris très bien la chose.
Et effectivement, j'exagère lorsque je dis que je ne ressens pas de plaisir. C'est une conception dévoyée et excessivement puritaine de voir le plaisir et la jouissance comme quelque chose d'intrinsèquement mauvais. Mais disons que le plaisir que je trouve dans la musique, c'est justement parce que cette activité ne se réduit pas au plaisir qu'y prend ma petite personne... Mais c'est parce que ce faisant, je fais honneur à la volonté de mes parents de m'avoir inscrit à des cours de musique, et je fais honneur au Créateur d'avoir choisi de me placer dans une famille qui me ferait faire de la musique, de m'avoir donné la mission d'être musicien.
Pour faire plus court: le plaisir que je prends à la musique vient du fait que ce faisant, j'accomplis une mission qui m'a été donnée par quelqu'un de plus haut que moi. Je sais que le fait de faire de la musique accomplit la volonté de mon supérieur hiérarchique, et ce faisant, je ressens le plaisir du travail bien fait, comme un chevalier qui a plaisir à servir son roi.
Peut-être alors que ce qui te manque, c'est cette notion de "supérieur hiérarchique". Il ne suffit pas d'avoir une activité... Encore faut-il que cette activité ait un sens, et ce sens ne peut venir que de quelqu'un qui est "plus haut" que toi ou qui te précède, toi n'étant que le prochain maillon dans la chaine.
Et effectivement, j'exagère lorsque je dis que je ne ressens pas de plaisir. C'est une conception dévoyée et excessivement puritaine de voir le plaisir et la jouissance comme quelque chose d'intrinsèquement mauvais. Mais disons que le plaisir que je trouve dans la musique, c'est justement parce que cette activité ne se réduit pas au plaisir qu'y prend ma petite personne... Mais c'est parce que ce faisant, je fais honneur à la volonté de mes parents de m'avoir inscrit à des cours de musique, et je fais honneur au Créateur d'avoir choisi de me placer dans une famille qui me ferait faire de la musique, de m'avoir donné la mission d'être musicien.
Pour faire plus court: le plaisir que je prends à la musique vient du fait que ce faisant, j'accomplis une mission qui m'a été donnée par quelqu'un de plus haut que moi. Je sais que le fait de faire de la musique accomplit la volonté de mon supérieur hiérarchique, et ce faisant, je ressens le plaisir du travail bien fait, comme un chevalier qui a plaisir à servir son roi.
Peut-être alors que ce qui te manque, c'est cette notion de "supérieur hiérarchique". Il ne suffit pas d'avoir une activité... Encore faut-il que cette activité ait un sens, et ce sens ne peut venir que de quelqu'un qui est "plus haut" que toi ou qui te précède, toi n'étant que le prochain maillon dans la chaine.
Oui, je ne compte pas dans les activités pour lesquelles je n'ai aucun élan les simples divertissements (quoi que même ceux-ci sont devenus insipides). Je voulais parler des choses qui me feraient grandir par leur exercice, et qui me plairaient en premier lieu. Mais je n'en ai pas.
il y a 14 jours


















