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Vers libres à destination d'une internaute dépressive et postmoderne
Seule
Seule
Elle est seule
Elle essuie la solitude
Et vide aussi
Comme un écran.
Vide
Vide
Elle est vide
Elle essuie une larme
Et encore
Le seul vide est partagé
Humains en confettis
Comment fait-on pour se causer ?
Ils fêtent ils fêtent c’est faux
Seuls ensembles comme la fille seule
Mais elle est seule sans être ensemble
Car elle est vide comme un écran
Et seule et seule et seule
Quelques passions dans son esprit
Sciences histoire philosophie
Mais vide mais vide mais vide
Quelques garçons font comédie
Devant sa chatte, rien que sa chatte
Mais elle sa chatte elle la maudit
Comme les garçons et comme sa vie
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Seule
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Elle est seule
Elle essuie la solitude
Et vide aussi
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Vide
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Elle est vide
Elle essuie une larme
Et encore
Le seul vide est partagé
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Comment fait-on pour se causer ?
Ils fêtent ils fêtent c’est faux
Seuls ensembles comme la fille seule
Mais elle est seule sans être ensemble
Car elle est vide comme un écran
Et seule et seule et seule
Quelques passions dans son esprit
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Mais vide mais vide mais vide
Quelques garçons font comédie
Devant sa chatte, rien que sa chatte
Mais elle sa chatte elle la maudit
Comme les garçons et comme sa vie
il y a un mois
Sous le poids du festin, mon ventre se réveille,
Des grondements profonds m’avertissent, sans pareille.
Bientôt l'heure approche où, fier sur le trône blanc,
Je rends à la nature un tribut éclatant.
Ô doux moment sacré d’humaine délivrance,
Quand s’éteint la douleur, renaît la jouissance.
Dans l’air flotte un parfum, témoin de mon effort,
Un soupir triomphal s’échappe de mon corps.
Les dieux du cabanon célèbrent ma victoire,
Le rouleau me bénit, complice illusoire.
Et quand, digne et léger, je quitte le séant,
Je songe : tout grand roi n’est qu’un humble géant.
Des grondements profonds m’avertissent, sans pareille.
Bientôt l'heure approche où, fier sur le trône blanc,
Je rends à la nature un tribut éclatant.
Ô doux moment sacré d’humaine délivrance,
Quand s’éteint la douleur, renaît la jouissance.
Dans l’air flotte un parfum, témoin de mon effort,
Un soupir triomphal s’échappe de mon corps.
Les dieux du cabanon célèbrent ma victoire,
Le rouleau me bénit, complice illusoire.
Et quand, digne et léger, je quitte le séant,
Je songe : tout grand roi n’est qu’un humble géant.
il y a un mois
Pomer
1 mois
Sous le poids du festin, mon ventre se réveille,
Des grondements profonds m’avertissent, sans pareille.
Bientôt l'heure approche où, fier sur le trône blanc,
Je rends à la nature un tribut éclatant.
Ô doux moment sacré d’humaine délivrance,
Quand s’éteint la douleur, renaît la jouissance.
Dans l’air flotte un parfum, témoin de mon effort,
Un soupir triomphal s’échappe de mon corps.
Les dieux du cabanon célèbrent ma victoire,
Le rouleau me bénit, complice illusoire.
Et quand, digne et léger, je quitte le séant,
Je songe : tout grand roi n’est qu’un humble géant.
Des grondements profonds m’avertissent, sans pareille.
Bientôt l'heure approche où, fier sur le trône blanc,
Je rends à la nature un tribut éclatant.
Ô doux moment sacré d’humaine délivrance,
Quand s’éteint la douleur, renaît la jouissance.
Dans l’air flotte un parfum, témoin de mon effort,
Un soupir triomphal s’échappe de mon corps.
Les dieux du cabanon célèbrent ma victoire,
Le rouleau me bénit, complice illusoire.
Et quand, digne et léger, je quitte le séant,
Je songe : tout grand roi n’est qu’un humble géant.
Parfait
il y a un mois
Humains en confettis
Blog et discord catholique/actu/prophéties : https://tribulatioprophetica.wordpress.com/ - https://discord.gg/XYrAfrk689
il y a un mois
J'ai toujours trouvé la poésie forcée et pas si agréable que ça personnellement. Je ne sais pas si c'est un avis répandu. Comme si c'était un art noble alors que bof c'est sympa vite fait
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il y a un mois
Pascimerisitas
1 mois
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Seule
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Elle essuie la solitude
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Vide
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Elle essuie une larme
Et encore
Le seul vide est partagé
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Comment fait-on pour se causer ?
Ils fêtent ils fêtent c’est faux
Seuls ensembles comme la fille seule
Mais elle est seule sans être ensemble
Car elle est vide comme un écran
Et seule et seule et seule
Quelques passions dans son esprit
Sciences histoire philosophie
Mais vide mais vide mais vide
Quelques garçons font comédie
Devant sa chatte, rien que sa chatte
Mais elle sa chatte elle la maudit
Comme les garçons et comme sa vie
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Seule
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Elle est seule
Elle essuie la solitude
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Vide
Vide
Elle est vide
Elle essuie une larme
Et encore
Le seul vide est partagé
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Comment fait-on pour se causer ?
Ils fêtent ils fêtent c’est faux
Seuls ensembles comme la fille seule
Mais elle est seule sans être ensemble
Car elle est vide comme un écran
Et seule et seule et seule
Quelques passions dans son esprit
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Mais vide mais vide mais vide
Quelques garçons font comédie
Devant sa chatte, rien que sa chatte
Mais elle sa chatte elle la maudit
Comme les garçons et comme sa vie
Elle peut essuyer mon sperme si elle veut
Pianiste fou
il y a un mois
Boreale
1 mois
J'ai toujours trouvé la poésie forcée et pas si agréable que ça personnellement. Je ne sais pas si c'est un avis répandu. Comme si c'était un art noble alors que bof c'est sympa vite fait
On a d'autres formes d'expressions qui la banalisent mais à l'époque c'était fou et j'essaie avec d'autres de la remettre à jour
il y a un mois
Pomer
1 mois
Sous le poids du festin, mon ventre se réveille,
Des grondements profonds m’avertissent, sans pareille.
Bientôt l'heure approche où, fier sur le trône blanc,
Je rends à la nature un tribut éclatant.
Ô doux moment sacré d’humaine délivrance,
Quand s’éteint la douleur, renaît la jouissance.
Dans l’air flotte un parfum, témoin de mon effort,
Un soupir triomphal s’échappe de mon corps.
Les dieux du cabanon célèbrent ma victoire,
Le rouleau me bénit, complice illusoire.
Et quand, digne et léger, je quitte le séant,
Je songe : tout grand roi n’est qu’un humble géant.
Des grondements profonds m’avertissent, sans pareille.
Bientôt l'heure approche où, fier sur le trône blanc,
Je rends à la nature un tribut éclatant.
Ô doux moment sacré d’humaine délivrance,
Quand s’éteint la douleur, renaît la jouissance.
Dans l’air flotte un parfum, témoin de mon effort,
Un soupir triomphal s’échappe de mon corps.
Les dieux du cabanon célèbrent ma victoire,
Le rouleau me bénit, complice illusoire.
Et quand, digne et léger, je quitte le séant,
Je songe : tout grand roi n’est qu’un humble géant.
il y a un mois
Boreale
1 mois
J'ai toujours trouvé la poésie forcée et pas si agréable que ça personnellement. Je ne sais pas si c'est un avis répandu. Comme si c'était un art noble alors que bof c'est sympa vite fait
Moi aussi, apres y a des choses tres belles, personnellement je trouve les paroles de Brassens bien plus poetiques et boulversantes que certains poemes classiques des auteurs qu'on connait tous
Les juifs ca ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait
il y a un mois
Moi aussi, apres y a des choses tres belles, personnellement je trouve les paroles de Brassens bien plus poetiques et boulversantes que certains poemes classiques des auteurs qu'on connait tous
Personnellement ce sont dans les paroles de certains jeux/livres/films ou dans certains passages de textes bibliques. Je peux trouver ces choses bien plus poétiques et bien plus puissantes que les poèmes que l'on nous force à apprendre à l'école
Blog et discord catholique/actu/prophéties : https://tribulatioprophetica.wordpress.com/ - https://discord.gg/XYrAfrk689
il y a un mois
Faire des rimes ça te trouerait le cul l'OP ?
C'est que de l'amour putain !
il y a un mois
Par pitié les prolétaires restez sur le roman (genre deja bien infesté) n’attaquez pas la poésie.
il y a un mois
Personnellement ce sont dans les paroles de certains jeux/livres/films ou dans certains passages de textes bibliques. Je peux trouver ces choses bien plus poétiques et bien plus puissantes que les poèmes que l'on nous force à apprendre à l'école
Oui mais là tu parles de la beauté du sens des phrases, moi je parle de la beauté de trouver des mots qui ont une musicalité, un rythme, des rimes en plus du sens de la phrase. Si tu dis des belles choses percutantes et que en plus ca rime et y'a des jeux de syllabes et de mots c'est beaucoup plus percutant et harmonieux. Ca rend la parole parfaite ca fait comme une vibration sans rentrer dans le new age
Les juifs ca ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait
il y a un mois
Oui mais là tu parles de la beauté du sens des phrases, moi je parle de la beauté de trouver des mots qui ont une musicalité, un rythme, des rimes en plus du sens de la phrase. Si tu dis des belles choses percutantes et que en plus ca rime et y'a des jeux de syllabes et de mots c'est beaucoup plus percutant et harmonieux. Ca rend la parole parfaite ca fait comme une vibration sans rentrer dans le new age
Je trouve les règles de la poésie trop forcée sinon en effet pour les chansons je trouve que ça donne bien plus de poids au sens
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il y a un mois
Eisenherz
1 mois
Par pitié les prolétaires restez sur le roman (genre deja bien infesté) n’attaquez pas la poésie.
Les bourgeois on a tué votre poésie et vous êtes les prochains
il y a un mois




















