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Torah-Box
@Torah_Box
Ils disent que nous contrôlons les banques.
Ils disent que nous dirigeons Hollywood.
Ils disent que nous dominons les médias.
Ils disent que nous avons trop d’influence. Trop de pouvoir. Trop d’orgueil.
Mais ils ne demandent jamais : comment ? Ni pourquoi.
On nous a interdit la culture de la terre.
Alors nous avons cultivé l’esprit. Par nécessité et par choix.
On nous a interdit la sécurité.
Alors nous avons développé notre foi dans le Tout-Puissant.
On nous a exclus des métiers.
Alors nous sommes devenus érudits, mais aussi médecins, commerçants, savants, avocats.
Notre amour éternel de l’étude n’est pas un privilège.
C’est un choix qui s’est construit, toujours plus fort, à travers l’exil.
Depuis la révélation au sommet du Sinaï,
qui résonne et s’amplifie dans les ruelles du shtetl ou dans les venelles du mellah.
Face à l’obscurantisme et à l’ignorance,
nous avons créé les yeshivot.
Face aux idéaux clinquants et éphémères, la Torah est devenue notre racine.
Le Talmud, notre salle d’entraînement intellectuel.
Ils nous ont enfermés dans des ghettos ?
Nous avons fait du savoir et du génie de la Torah notre clé vers l’infini.
Au Moyen Âge, les rois avaient besoin de prêts.
L’Église interdisait aux chrétiens de prêter à intérêt.
Alors ils ont appelé… les Juifs.
Pas par respect. Par commodité.
Nous sommes devenus prêteurs, non par ambition, mais par contrainte, car les autres métiers nous étaient interdits.
Et ensuite, ils nous ont haïs, puis expulsés et spoliés pour cela.
En Amérique, on nous a refusé les portes « respectables ».
Alors nous avons inventé Hollywood.
Pas pour manipuler. Pour faire rêver.
Pour raconter des histoires juives quand le monde refusait d’entendre les nôtres.
Faire parler les super-héros de Tikoun Olam, de l’aspiration à un monde divin réparé par l’homme.
Les universités limitaient les Juifs ? Nous avons fondé Brandeis, première université financée par la communauté juive aux États-Unis.
Les hôpitaux nous fermaient leurs portes ? Nous avons bâti le Cedars-Sinai, hôpital juif à but non lucratif, classé 2e meilleur établissement de santé de Californie.
On nous obligeait à travailler Chabat ? Nous avons fondé WeWork, société d’une valeur de 20 milliards de dollars, qui encourage le respect du Chabat comme déconnexion absolue et source de ressourcement familial et spirituel.
Les cabinets d’avocats nous rejetaient ? Nous avons ouvert Skadden et Wachtell, les deux plus grands cabinets d’avocats au monde.
Nous ne cherchions pas à dominer. Nous tentions simplement de vivre, si possible comme des Juifs fiers de leur identité.
Nous avons été expulsés d’Espagne, de France, d’Angleterre.
Massacrés en Pologne.
Pendus en Iran.
Lynchés en Géorgie.
Gazés en Allemagne.
Et montrés du doigt un peu partout.
Et malgré tout, nous sommes encore là, maintenus par la promesse divine.
Mais à chaque exil, nous avons pris la même direction en prière : Jerusalem.
En 1948, près d’un million de Juifs ont été chassés des pays arabes.
Dans le silence assourdissant de l’ONU. Pas d’UNRWA. Pas de caméras.
Pas de hashtag. Pas de « droit au retour ».
Ils disent que nous sommes tribaux.
Nous avons juste cessé de supplier leur approbation.
Chaque fois que nous avons tenté de nous fondre, ils nous ont rappelé qui nous étions.
Par la matraque des antisémites, Hachem nous a toujours fait ressentir que lorsque le Juif ne récite pas la prière du Kiddouch, ce sont les non-Juifs qui font la Havdala — qui nous séparent d’eux.
Alors nous avons construit pour nous-mêmes.
Nos synagogues. Nos écoles. Nos hôpitaux. Notre Torah-Box. Notre Emouna.
Et quand aucun pays ne voulait de nous… nous nous sommes rappelé que Hachem nous avait réservé Sa Terre depuis la création du monde.
Puis vint le 7 octobre 2023.
Le Hamas n’a pas attaqué des soldats.
C’était la haine d’Amalek, la haine de celui qui ne supporte pas que le Juif existe.
Il a violé des femmes. Décapité des bébés. Brûlé des familles.
Civils. Enfants. Vieillards. Innocents.
Le pire massacre de Juifs depuis la Shoah.
Et alors que nos morts n’étaient pas encore enterrés,
le monde ne s’est pas tenu à nos côtés – il s’est retourné contre nous.
« Gloire aux martyrs » sur les campus.
Croix gammées à Sydney.
« Gazez les Juifs » à Berlin.
Des étudiants juifs enfermés dans des bibliothèques à New York.
À Harvard, on leur dit : retirez votre étoile de David.
Alors lorsqu’on nous parle de frontières et de conflit pour la terre…
Ils nous haïssaient déjà avant 1948.
Avant que l’État d’Israël n’existe.
Avant qu’une seule ligne ne soit tracée sur une carte.
Ce qui les dérange, ce n’est pas notre politique.
C’est notre existence en tant que flambeau de la Parole divine.
Constante et insupportable : rappel d’une aspiration à la justice,
par notre simple présence, sans même avoir besoin de faire la morale.
Une nation.
Une Torah.
Une terre qui refleurit. Dans ses champs et dans ses maisons d’études.
Ils nous préféraient faibles, assimilés, mendiants de compassion.
Israël n’est pas un cadeau. C’est un besoin vital et un projet divin.
Nous n’avons pas colonisé cette terre – nous sommes rentrés chez nous.
Jérusalem, Hébron, Safed, Tibériade : plus de 3 000 ans de présence.
Nous avons prié vers Sion depuis chaque exil.
Nous avons fait fleurir un désert que tous disaient mort.
Nous avons accueilli rescapés de la Shoah, refuzniks de Russie, évadés d’Éthiopie et du Yémen.
Nous avons bâti un pays encerclé d’ennemis, mais vivant par la protection divine.
Israël n’a pas été fondé à cause de la Shoah,
mais pour réaliser la promesse du Créateur et le rêve d’un peuple qui a traversé 2 000 ans d’exil.
Deux poids, deux mesures.
L’Ukraine se défend ? Héroïsme.
Israël se défend ? Condamnation.
Aucun salut ne vient des nations.
Notre seul refuge a toujours été : "Ein Od Milvado" – Il n’y a que Lui.
Nous ne cherchons pas à dominer.
Nous voulons juste vivre comme des Juifs.
Libres. Fiers de notre identité. Sans nous excuser d’inspirer par notre exemple.
Ils n’ont pas besoin de nous aimer.
Ni d’être d’accord.
Mais plus jamais ils ne décideront qui nous devons être.
Chabbath Chalom | Binyamin Benhamou
@Torah_Box
Ils disent que nous contrôlons les banques.
Ils disent que nous dirigeons Hollywood.
Ils disent que nous dominons les médias.
Ils disent que nous avons trop d’influence. Trop de pouvoir. Trop d’orgueil.
Mais ils ne demandent jamais : comment ? Ni pourquoi.
On nous a interdit la culture de la terre.
Alors nous avons cultivé l’esprit. Par nécessité et par choix.
On nous a interdit la sécurité.
Alors nous avons développé notre foi dans le Tout-Puissant.
On nous a exclus des métiers.
Alors nous sommes devenus érudits, mais aussi médecins, commerçants, savants, avocats.
Notre amour éternel de l’étude n’est pas un privilège.
C’est un choix qui s’est construit, toujours plus fort, à travers l’exil.
Depuis la révélation au sommet du Sinaï,
qui résonne et s’amplifie dans les ruelles du shtetl ou dans les venelles du mellah.
Face à l’obscurantisme et à l’ignorance,
nous avons créé les yeshivot.
Face aux idéaux clinquants et éphémères, la Torah est devenue notre racine.
Le Talmud, notre salle d’entraînement intellectuel.
Ils nous ont enfermés dans des ghettos ?
Nous avons fait du savoir et du génie de la Torah notre clé vers l’infini.
Au Moyen Âge, les rois avaient besoin de prêts.
L’Église interdisait aux chrétiens de prêter à intérêt.
Alors ils ont appelé… les Juifs.
Pas par respect. Par commodité.
Nous sommes devenus prêteurs, non par ambition, mais par contrainte, car les autres métiers nous étaient interdits.
Et ensuite, ils nous ont haïs, puis expulsés et spoliés pour cela.
En Amérique, on nous a refusé les portes « respectables ».
Alors nous avons inventé Hollywood.
Pas pour manipuler. Pour faire rêver.
Pour raconter des histoires juives quand le monde refusait d’entendre les nôtres.
Faire parler les super-héros de Tikoun Olam, de l’aspiration à un monde divin réparé par l’homme.
Les universités limitaient les Juifs ? Nous avons fondé Brandeis, première université financée par la communauté juive aux États-Unis.
Les hôpitaux nous fermaient leurs portes ? Nous avons bâti le Cedars-Sinai, hôpital juif à but non lucratif, classé 2e meilleur établissement de santé de Californie.
On nous obligeait à travailler Chabat ? Nous avons fondé WeWork, société d’une valeur de 20 milliards de dollars, qui encourage le respect du Chabat comme déconnexion absolue et source de ressourcement familial et spirituel.
Les cabinets d’avocats nous rejetaient ? Nous avons ouvert Skadden et Wachtell, les deux plus grands cabinets d’avocats au monde.
Nous ne cherchions pas à dominer. Nous tentions simplement de vivre, si possible comme des Juifs fiers de leur identité.
Nous avons été expulsés d’Espagne, de France, d’Angleterre.
Massacrés en Pologne.
Pendus en Iran.
Lynchés en Géorgie.
Gazés en Allemagne.
Et montrés du doigt un peu partout.
Et malgré tout, nous sommes encore là, maintenus par la promesse divine.
Mais à chaque exil, nous avons pris la même direction en prière : Jerusalem.
En 1948, près d’un million de Juifs ont été chassés des pays arabes.
Dans le silence assourdissant de l’ONU. Pas d’UNRWA. Pas de caméras.
Pas de hashtag. Pas de « droit au retour ».
Ils disent que nous sommes tribaux.
Nous avons juste cessé de supplier leur approbation.
Chaque fois que nous avons tenté de nous fondre, ils nous ont rappelé qui nous étions.
Par la matraque des antisémites, Hachem nous a toujours fait ressentir que lorsque le Juif ne récite pas la prière du Kiddouch, ce sont les non-Juifs qui font la Havdala — qui nous séparent d’eux.
Alors nous avons construit pour nous-mêmes.
Nos synagogues. Nos écoles. Nos hôpitaux. Notre Torah-Box. Notre Emouna.
Et quand aucun pays ne voulait de nous… nous nous sommes rappelé que Hachem nous avait réservé Sa Terre depuis la création du monde.
Puis vint le 7 octobre 2023.
Le Hamas n’a pas attaqué des soldats.
C’était la haine d’Amalek, la haine de celui qui ne supporte pas que le Juif existe.
Il a violé des femmes. Décapité des bébés. Brûlé des familles.
Civils. Enfants. Vieillards. Innocents.
Le pire massacre de Juifs depuis la Shoah.
Et alors que nos morts n’étaient pas encore enterrés,
le monde ne s’est pas tenu à nos côtés – il s’est retourné contre nous.
« Gloire aux martyrs » sur les campus.
Croix gammées à Sydney.
« Gazez les Juifs » à Berlin.
Des étudiants juifs enfermés dans des bibliothèques à New York.
À Harvard, on leur dit : retirez votre étoile de David.
Alors lorsqu’on nous parle de frontières et de conflit pour la terre…
Ils nous haïssaient déjà avant 1948.
Avant que l’État d’Israël n’existe.
Avant qu’une seule ligne ne soit tracée sur une carte.
Ce qui les dérange, ce n’est pas notre politique.
C’est notre existence en tant que flambeau de la Parole divine.
Constante et insupportable : rappel d’une aspiration à la justice,
par notre simple présence, sans même avoir besoin de faire la morale.
Une nation.
Une Torah.
Une terre qui refleurit. Dans ses champs et dans ses maisons d’études.
Ils nous préféraient faibles, assimilés, mendiants de compassion.
Israël n’est pas un cadeau. C’est un besoin vital et un projet divin.
Nous n’avons pas colonisé cette terre – nous sommes rentrés chez nous.
Jérusalem, Hébron, Safed, Tibériade : plus de 3 000 ans de présence.
Nous avons prié vers Sion depuis chaque exil.
Nous avons fait fleurir un désert que tous disaient mort.
Nous avons accueilli rescapés de la Shoah, refuzniks de Russie, évadés d’Éthiopie et du Yémen.
Nous avons bâti un pays encerclé d’ennemis, mais vivant par la protection divine.
Israël n’a pas été fondé à cause de la Shoah,
mais pour réaliser la promesse du Créateur et le rêve d’un peuple qui a traversé 2 000 ans d’exil.
Deux poids, deux mesures.
L’Ukraine se défend ? Héroïsme.
Israël se défend ? Condamnation.
Aucun salut ne vient des nations.
Notre seul refuge a toujours été : "Ein Od Milvado" – Il n’y a que Lui.
Nous ne cherchons pas à dominer.
Nous voulons juste vivre comme des Juifs.
Libres. Fiers de notre identité. Sans nous excuser d’inspirer par notre exemple.
Ils n’ont pas besoin de nous aimer.
Ni d’être d’accord.
Mais plus jamais ils ne décideront qui nous devons être.
Chabbath Chalom | Binyamin Benhamou
https://x.com/Torah_Box/status/1979157694956159166
il y a 20 heures
Non seulement ces gens ont l'air parano et malades, mais ils ont aussi l'air déterminé et dangereux
il y a 20 heures
PtitMonsu
20h
Non seulement ces gens ont l'air parano et malades, mais ils ont aussi l'air déterminé et dangereux
Ils savent ce qu'ils font. Le juif est l'être le plus dangereux au monde et personne ne s'en rend compte 
il y a 20 heures
Les parasites qui bouffent la vieille charpente millénaire
il y a 20 heures
PtitMonsu
20h
Torah-Box
@Torah_Box
Ils disent que nous contrôlons les banques.
Ils disent que nous dirigeons Hollywood.
Ils disent que nous dominons les médias.
Ils disent que nous avons trop d’influence. Trop de pouvoir. Trop d’orgueil.
Mais ils ne demandent jamais : comment ? Ni pourquoi.
On nous a interdit la culture de la terre.
Alors nous avons cultivé l’esprit. Par nécessité et par choix.
On nous a interdit la sécurité.
Alors nous avons développé notre foi dans le Tout-Puissant.
On nous a exclus des métiers.
Alors nous sommes devenus érudits, mais aussi médecins, commerçants, savants, avocats.
Notre amour éternel de l’étude n’est pas un privilège.
C’est un choix qui s’est construit, toujours plus fort, à travers l’exil.
Depuis la révélation au sommet du Sinaï,
qui résonne et s’amplifie dans les ruelles du shtetl ou dans les venelles du mellah.
Face à l’obscurantisme et à l’ignorance,
nous avons créé les yeshivot.
Face aux idéaux clinquants et éphémères, la Torah est devenue notre racine.
Le Talmud, notre salle d’entraînement intellectuel.
Ils nous ont enfermés dans des ghettos ?
Nous avons fait du savoir et du génie de la Torah notre clé vers l’infini.
Au Moyen Âge, les rois avaient besoin de prêts.
L’Église interdisait aux chrétiens de prêter à intérêt.
Alors ils ont appelé… les Juifs.
Pas par respect. Par commodité.
Nous sommes devenus prêteurs, non par ambition, mais par contrainte, car les autres métiers nous étaient interdits.
Et ensuite, ils nous ont haïs, puis expulsés et spoliés pour cela.
En Amérique, on nous a refusé les portes « respectables ».
Alors nous avons inventé Hollywood.
Pas pour manipuler. Pour faire rêver.
Pour raconter des histoires juives quand le monde refusait d’entendre les nôtres.
Faire parler les super-héros de Tikoun Olam, de l’aspiration à un monde divin réparé par l’homme.
Les universités limitaient les Juifs ? Nous avons fondé Brandeis, première université financée par la communauté juive aux États-Unis.
Les hôpitaux nous fermaient leurs portes ? Nous avons bâti le Cedars-Sinai, hôpital juif à but non lucratif, classé 2e meilleur établissement de santé de Californie.
On nous obligeait à travailler Chabat ? Nous avons fondé WeWork, société d’une valeur de 20 milliards de dollars, qui encourage le respect du Chabat comme déconnexion absolue et source de ressourcement familial et spirituel.
Les cabinets d’avocats nous rejetaient ? Nous avons ouvert Skadden et Wachtell, les deux plus grands cabinets d’avocats au monde.
Nous ne cherchions pas à dominer. Nous tentions simplement de vivre, si possible comme des Juifs fiers de leur identité.
Nous avons été expulsés d’Espagne, de France, d’Angleterre.
Massacrés en Pologne.
Pendus en Iran.
Lynchés en Géorgie.
Gazés en Allemagne.
Et montrés du doigt un peu partout.
Et malgré tout, nous sommes encore là, maintenus par la promesse divine.
Mais à chaque exil, nous avons pris la même direction en prière : Jerusalem.
En 1948, près d’un million de Juifs ont été chassés des pays arabes.
Dans le silence assourdissant de l’ONU. Pas d’UNRWA. Pas de caméras.
Pas de hashtag. Pas de « droit au retour ».
Ils disent que nous sommes tribaux.
Nous avons juste cessé de supplier leur approbation.
Chaque fois que nous avons tenté de nous fondre, ils nous ont rappelé qui nous étions.
Par la matraque des antisémites, Hachem nous a toujours fait ressentir que lorsque le Juif ne récite pas la prière du Kiddouch, ce sont les non-Juifs qui font la Havdala — qui nous séparent d’eux.
Alors nous avons construit pour nous-mêmes.
Nos synagogues. Nos écoles. Nos hôpitaux. Notre Torah-Box. Notre Emouna.
Et quand aucun pays ne voulait de nous… nous nous sommes rappelé que Hachem nous avait réservé Sa Terre depuis la création du monde.
Puis vint le 7 octobre 2023.
Le Hamas n’a pas attaqué des soldats.
C’était la haine d’Amalek, la haine de celui qui ne supporte pas que le Juif existe.
Il a violé des femmes. Décapité des bébés. Brûlé des familles.
Civils. Enfants. Vieillards. Innocents.
Le pire massacre de Juifs depuis la Shoah.
Et alors que nos morts n’étaient pas encore enterrés,
le monde ne s’est pas tenu à nos côtés – il s’est retourné contre nous.
« Gloire aux martyrs » sur les campus.
Croix gammées à Sydney.
« Gazez les Juifs » à Berlin.
Des étudiants juifs enfermés dans des bibliothèques à New York.
À Harvard, on leur dit : retirez votre étoile de David.
Alors lorsqu’on nous parle de frontières et de conflit pour la terre…
Ils nous haïssaient déjà avant 1948.
Avant que l’État d’Israël n’existe.
Avant qu’une seule ligne ne soit tracée sur une carte.
Ce qui les dérange, ce n’est pas notre politique.
C’est notre existence en tant que flambeau de la Parole divine.
Constante et insupportable : rappel d’une aspiration à la justice,
par notre simple présence, sans même avoir besoin de faire la morale.
Une nation.
Une Torah.
Une terre qui refleurit. Dans ses champs et dans ses maisons d’études.
Ils nous préféraient faibles, assimilés, mendiants de compassion.
Israël n’est pas un cadeau. C’est un besoin vital et un projet divin.
Nous n’avons pas colonisé cette terre – nous sommes rentrés chez nous.
Jérusalem, Hébron, Safed, Tibériade : plus de 3 000 ans de présence.
Nous avons prié vers Sion depuis chaque exil.
Nous avons fait fleurir un désert que tous disaient mort.
Nous avons accueilli rescapés de la Shoah, refuzniks de Russie, évadés d’Éthiopie et du Yémen.
Nous avons bâti un pays encerclé d’ennemis, mais vivant par la protection divine.
Israël n’a pas été fondé à cause de la Shoah,
mais pour réaliser la promesse du Créateur et le rêve d’un peuple qui a traversé 2 000 ans d’exil.
Deux poids, deux mesures.
L’Ukraine se défend ? Héroïsme.
Israël se défend ? Condamnation.
Aucun salut ne vient des nations.
Notre seul refuge a toujours été : "Ein Od Milvado" – Il n’y a que Lui.
Nous ne cherchons pas à dominer.
Nous voulons juste vivre comme des Juifs.
Libres. Fiers de notre identité. Sans nous excuser d’inspirer par notre exemple.
Ils n’ont pas besoin de nous aimer.
Ni d’être d’accord.
Mais plus jamais ils ne décideront qui nous devons être.
Chabbath Chalom | Binyamin Benhamou
@Torah_Box
Ils disent que nous contrôlons les banques.
Ils disent que nous dirigeons Hollywood.
Ils disent que nous dominons les médias.
Ils disent que nous avons trop d’influence. Trop de pouvoir. Trop d’orgueil.
Mais ils ne demandent jamais : comment ? Ni pourquoi.
On nous a interdit la culture de la terre.
Alors nous avons cultivé l’esprit. Par nécessité et par choix.
On nous a interdit la sécurité.
Alors nous avons développé notre foi dans le Tout-Puissant.
On nous a exclus des métiers.
Alors nous sommes devenus érudits, mais aussi médecins, commerçants, savants, avocats.
Notre amour éternel de l’étude n’est pas un privilège.
C’est un choix qui s’est construit, toujours plus fort, à travers l’exil.
Depuis la révélation au sommet du Sinaï,
qui résonne et s’amplifie dans les ruelles du shtetl ou dans les venelles du mellah.
Face à l’obscurantisme et à l’ignorance,
nous avons créé les yeshivot.
Face aux idéaux clinquants et éphémères, la Torah est devenue notre racine.
Le Talmud, notre salle d’entraînement intellectuel.
Ils nous ont enfermés dans des ghettos ?
Nous avons fait du savoir et du génie de la Torah notre clé vers l’infini.
Au Moyen Âge, les rois avaient besoin de prêts.
L’Église interdisait aux chrétiens de prêter à intérêt.
Alors ils ont appelé… les Juifs.
Pas par respect. Par commodité.
Nous sommes devenus prêteurs, non par ambition, mais par contrainte, car les autres métiers nous étaient interdits.
Et ensuite, ils nous ont haïs, puis expulsés et spoliés pour cela.
En Amérique, on nous a refusé les portes « respectables ».
Alors nous avons inventé Hollywood.
Pas pour manipuler. Pour faire rêver.
Pour raconter des histoires juives quand le monde refusait d’entendre les nôtres.
Faire parler les super-héros de Tikoun Olam, de l’aspiration à un monde divin réparé par l’homme.
Les universités limitaient les Juifs ? Nous avons fondé Brandeis, première université financée par la communauté juive aux États-Unis.
Les hôpitaux nous fermaient leurs portes ? Nous avons bâti le Cedars-Sinai, hôpital juif à but non lucratif, classé 2e meilleur établissement de santé de Californie.
On nous obligeait à travailler Chabat ? Nous avons fondé WeWork, société d’une valeur de 20 milliards de dollars, qui encourage le respect du Chabat comme déconnexion absolue et source de ressourcement familial et spirituel.
Les cabinets d’avocats nous rejetaient ? Nous avons ouvert Skadden et Wachtell, les deux plus grands cabinets d’avocats au monde.
Nous ne cherchions pas à dominer. Nous tentions simplement de vivre, si possible comme des Juifs fiers de leur identité.
Nous avons été expulsés d’Espagne, de France, d’Angleterre.
Massacrés en Pologne.
Pendus en Iran.
Lynchés en Géorgie.
Gazés en Allemagne.
Et montrés du doigt un peu partout.
Et malgré tout, nous sommes encore là, maintenus par la promesse divine.
Mais à chaque exil, nous avons pris la même direction en prière : Jerusalem.
En 1948, près d’un million de Juifs ont été chassés des pays arabes.
Dans le silence assourdissant de l’ONU. Pas d’UNRWA. Pas de caméras.
Pas de hashtag. Pas de « droit au retour ».
Ils disent que nous sommes tribaux.
Nous avons juste cessé de supplier leur approbation.
Chaque fois que nous avons tenté de nous fondre, ils nous ont rappelé qui nous étions.
Par la matraque des antisémites, Hachem nous a toujours fait ressentir que lorsque le Juif ne récite pas la prière du Kiddouch, ce sont les non-Juifs qui font la Havdala — qui nous séparent d’eux.
Alors nous avons construit pour nous-mêmes.
Nos synagogues. Nos écoles. Nos hôpitaux. Notre Torah-Box. Notre Emouna.
Et quand aucun pays ne voulait de nous… nous nous sommes rappelé que Hachem nous avait réservé Sa Terre depuis la création du monde.
Puis vint le 7 octobre 2023.
Le Hamas n’a pas attaqué des soldats.
C’était la haine d’Amalek, la haine de celui qui ne supporte pas que le Juif existe.
Il a violé des femmes. Décapité des bébés. Brûlé des familles.
Civils. Enfants. Vieillards. Innocents.
Le pire massacre de Juifs depuis la Shoah.
Et alors que nos morts n’étaient pas encore enterrés,
le monde ne s’est pas tenu à nos côtés – il s’est retourné contre nous.
« Gloire aux martyrs » sur les campus.
Croix gammées à Sydney.
« Gazez les Juifs » à Berlin.
Des étudiants juifs enfermés dans des bibliothèques à New York.
À Harvard, on leur dit : retirez votre étoile de David.
Alors lorsqu’on nous parle de frontières et de conflit pour la terre…
Ils nous haïssaient déjà avant 1948.
Avant que l’État d’Israël n’existe.
Avant qu’une seule ligne ne soit tracée sur une carte.
Ce qui les dérange, ce n’est pas notre politique.
C’est notre existence en tant que flambeau de la Parole divine.
Constante et insupportable : rappel d’une aspiration à la justice,
par notre simple présence, sans même avoir besoin de faire la morale.
Une nation.
Une Torah.
Une terre qui refleurit. Dans ses champs et dans ses maisons d’études.
Ils nous préféraient faibles, assimilés, mendiants de compassion.
Israël n’est pas un cadeau. C’est un besoin vital et un projet divin.
Nous n’avons pas colonisé cette terre – nous sommes rentrés chez nous.
Jérusalem, Hébron, Safed, Tibériade : plus de 3 000 ans de présence.
Nous avons prié vers Sion depuis chaque exil.
Nous avons fait fleurir un désert que tous disaient mort.
Nous avons accueilli rescapés de la Shoah, refuzniks de Russie, évadés d’Éthiopie et du Yémen.
Nous avons bâti un pays encerclé d’ennemis, mais vivant par la protection divine.
Israël n’a pas été fondé à cause de la Shoah,
mais pour réaliser la promesse du Créateur et le rêve d’un peuple qui a traversé 2 000 ans d’exil.
Deux poids, deux mesures.
L’Ukraine se défend ? Héroïsme.
Israël se défend ? Condamnation.
Aucun salut ne vient des nations.
Notre seul refuge a toujours été : "Ein Od Milvado" – Il n’y a que Lui.
Nous ne cherchons pas à dominer.
Nous voulons juste vivre comme des Juifs.
Libres. Fiers de notre identité. Sans nous excuser d’inspirer par notre exemple.
Ils n’ont pas besoin de nous aimer.
Ni d’être d’accord.
Mais plus jamais ils ne décideront qui nous devons être.
Chabbath Chalom | Binyamin Benhamou
https://x.com/Torah_Box/status/1979157694956159166
Je ne sais pas vous mais j'ai l'impression que Torah Box aime bien troller des fois. Les mecs tiennent des lignes de guerre, de fin des temps avec des rabbins depuis des années.
Big nigger cock. Jew Women want big black cocks deep inside
il y a 20 heures
Je ne sais pas vous mais j'ai l'impression que Torah Box aime bien troller des fois. Les mecs tiennent des lignes de guerre, de fin des temps avec des rabbins depuis des années.
C'est pas un compte officiel apparemment
Pas mal si c'est du troll
Enfin y a tout un pan du discours juif qui se radicalise vraiment
Pas mal si c'est du troll
Enfin y a tout un pan du discours juif qui se radicalise vraiment
il y a 19 heures
" Alors nous avons inventé Hollywood.
Pas pour manipuler. Pour faire rêver. "
Alors voilà, comment dire.
Pas pour manipuler. Pour faire rêver. "
Alors voilà, comment dire.
il y a 19 heures
La Chine qui riposte très fort en voulant dégager leurs dollars + créer un monde multipolaire ( Brics ) avec une monnaie garantie contre de l’or .
Protège ton fric de la Dette: https://www.degiro.fr/par[...]079529&utm_source=mgm
il y a 19 heures
La Chine qui riposte très fort en voulant dégager leurs dollars + créer un monde multipolaire ( Brics ) avec une monnaie garantie contre de l’or .
Les chinois = des juifs plus nombreux et avec plus de QI (le séfarade moyen est débile léger )
il y a 19 heures
DarkChouffin
20h
Road to 110
Tous les juifs n’ont pas été exclus partout, beaucoup ont eu accès à divers métiers selon l’endroit et l’époque, d'ailleurs, l'idéologie juive reste ce qu'elle est, l'apport éducatif qu'ont les juifs leur vient des non juifs, de peuples divers qui n'ont pas comme langue l'hébreu en langue d'enseignement. Cela signifie que les juifs doivent tout aux non juifs et non l'inverse. Durant plus de 2000 ans, les juifs n'ont pas réussi à obtenir le territoire en Orient dans leur agenda religieux, ils ont eu besoin d'une aide externe logistique, militaire, technologique civile, éducative en formation et en moyen financier.
On peut se dire aussi que tu ne peux pas considérer que les juifs ont partagé une langue commune, un territoire commun en tant que groupe religieux pendant des siècles, étant donné que l'hébreu ancien était une langue morte, l'araméen servait comme langue imposée par les Babyloniens qui ont vaincu le peuple hébreux antique, qui était insignifiant face à ses concurrents sémitiques de l'époque et le groupe religieux juif avait fantasmé le peuple hébreu antique en peuple élu dans leur propagande du monothéisme strict de la Torah écrite. Puis tu as aussi des concepts divers qui vont changer la nature du divin chez les juifs, tenter de transformer un dieu colérique et temporel, en dieu distant, parfait à travers le Talmud et la Kabbale.
La caste sacerdotale fait aussi dans la pseudo science parlant de guématria pour tenter d'associer des événements comme en lien avec des versets de la Torah, c'est une propagande de guerre religieuse manichéenne où Amalek sert à recycler un récit de conflit face aux non juifs qui s'opposent à leur idéologie juive dont certains versets légalisent l'esclavage perpétuel sur des non juifs ou le massacre de peuples au nom de Yahvé, la croyance de la Terre Promise aussi. Ce genre de mentalité esclavagiste et messianique se retrouve dans d'autres religions, mais surtout via l'islam servant de balai d'Israël selon les régions par démographie avec l'usage de peuples islamisés, souvent contre l'Occident et les Slaves durant des siècles où des califats et sultanats finiront par perdre. Des peuples réputés pour leur tradition tribale et de pillage, cela correspond à l'époque mongole islamique et celle des Ottomans dans les routes aux esclaves en tant que sunnites et ayant un système d'enlèvement des enfants pour le trafic sexuel ou des Janissaires.
Le peuple israélien est tout récent avec l'aliyah pour amener une partie des diasporas juives éparpillées dans divers pays, surtout concentrées aux USA, France, Angleterre, Russie, l'Occident davantage. Leur présence plus notable vient du fait des conflits avec les maçons, royalistes, les juifs ont eu leurs expulsions du fait d'implications esclavagistes du temps des Radanites et d'Al-Andalus ainsi que chez les Ottomans. L'hébreu moderne date du XIXe siècle et emprunte au vocabulaire des Occidentaux en grande partie, car l'hébreu ancien est religieux dans la propagande de la Torah. Le peuple israélien est de base et jusqu'à nos jours, un peuple multiracial et multimonothéiste en concurrence entre sa part de juifs multiraciaux, dont il y a des convertis et métis de groupes divers, et une part importante mais minoritaire d'Arabes israéliens musulmans, ce qui diffère du peuple hébreu antique qui était sémite avec des parts de peuples concurrents et hénothéiste. Dans les guerres du pétrole, des déplacements migratoires se font, avant cela, des importations par des religieux et maçons en Amérique amenant à des conflits ethniques avec les Occidentaux en Amérique du Nord et aussi, la propagande plus récente via l'antiracisme visant à diaboliser l'identité des peuples occidentaux sur le plan ethnique, historique, culturel pour favoriser la tolérance de l'invasion migratoire favorisant la déconstruction raciale en faveur d'un projet mondialiste et racialiste dans le sens du métissage éloigné et dans la tolérance des religions esclavagistes abrahamiques alors qu'on dispose de connaissances non dogmatiques qui permettent de comprendre que l'idéologie religieuse n'est pas la vérité absolue et n'apporte pas de preuve concernant un dieu qui aurait créé en six jours, les conditions de la vie terrestre.
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il y a 19 heures
les religieux est surtout les juifs on tout le temps se sentiment de paranoia d'avoir étaient rejeter
que se sois de jesus ou Netanyahu ,c'est low iq sont vraiment toujours full parano
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il y a 19 heures